Salut au père Noël, tes cadeaux ont baissé sur la qualité, les enfants attrapent des allergies. Change de fournisseurs !
Pour commencer, mes chers cinq lecteurs, une lettre adressée au président français, françois hollande, qui joue les va-t-en guerre en Syrie par un ancien diplomate français.
(source : Médiapart)
De toute façon, entre-nous, mes chers lecteurs qui peut encore croire le gouvernement américain ?
Il nous empoisonne le monde entier avec les chemtrails et assure que ce sont les complotistes et pour finir d'anciens hauts fonctionnaires affirment que déverser des millions de tonnes de produits dans l'atmosphère par jour, cela n'est que pour protéger la terre du rayonnement solaire.
Il appuie diplomatiquement et parfois par la menace l'expansion des semences OGM dans le monde en soutenant que c'est pour sauver l'humanité de la famine, au final, tout ça, c'est pipo et c'est juste pour assurer la domination alimentaire des ses multinationales de l'agro-alimentaire.
Il nous a fait le coup de l'Irak et s'est emparé de son pétrole tout en éliminant un ennemi d'Israël. Pour l'Afghanistan, l'histoire des tween towers, ce n'est pas clair du tout.
Bref, aujourd'hui, il veut aider le peuple syrien avec des rebelles de plus en plus dominé par les mouvements extrémistes djihadistes, bizarre.
Est-ce que vous n'en avez pas marre, citoyens américains que votre gouvernement vous prennent pour des cons, dites-moi ?
En attendant, les sommes astronomiques dépensées pour le lobby militaro-industriel ne va pas aux aides sociales et à la relance de l'économie, alors, que le gouvernement Obama nous assure que le chômage recule et que si, l'on regarde les chiffres en les comparant avec les pertes d'emplois et autres facteurs, tout cela est bidon, mais, ça fait marcher Wall Street.
Et, entre-nous, les Etats-Unis feraient bien de reconnaître l'effet de l'agent orange de Mosanto au Vietnam et indemniser les victimes.
Mais, passons, car, le facteur principal du changement vers un mieux être dans le monde dépend du réveil du citoyen américain.
En attendant, en France, il y en a qui réussissent à nous apporter un mieux être........d'une autre façon.
(source : Le GORAFI.fr)
Ouaf, ouaf, comme dirait Rintintin, vous savez le berger allemand, héros d'une série de Walt Disney.
Mais, passons à quelque chose que, au moins, nous pouvons réaliser directement pour notre mieux être.
(source : Tout Vert)
Et, pour finir ce constat concernant notre santé.
(source : Scoop it)
Bien le bonjour chez vous.
René.
Pour commencer, mes chers cinq lecteurs, une lettre adressée au président français, françois hollande, qui joue les va-t-en guerre en Syrie par un ancien diplomate français.
(source : Médiapart)
Pierre Charasse écrit à Hollande.
Ce billet se contente de transmettre une lettre et quelle lettre!
Un chef-d'oeuvre d'ironie mais aussi d'information.
Alors que nous tremblons de voir des fous entamer une guerre dont personne ne peut envisager les consèquences, le terrible mépris de ce courrier, écrit dans une langue classique qui fait du bien, traduit le déshonneur d'un homme qui se trouve à diriger notre pays pour le soumettre et le vendre.
Je remercie "le Grand soir " de la porter à notre connaissance. La voici sur leur site.http://www.legrandsoir.info/syrie-la-lettre-d-un-ancien-ambassadeur-de-france-a-francois-hollande.html
Diplomate de carrière de 1972 à 2009, Pierre Charasse fut ambassadeur [1], notamment au Pakistan, en Uruguay et au Pérou, et a représenté la France dans de nombreuses instances internationales. Depuis le Mexique où, retraité, il réside, il vient d’adresser une lettre aussi ironique que cinglante à François Hollande sur la crise syrienne.
Mexico, le 2 septembre 2013
Monsieur le Président de la RépubliqueDans l’épreuve que subit actuellement l’humanité du fait de la présence d’armes chimiques en Syrie, vous avez pris la tête d’un grand mouvement mondial au nom de « l’obligation de protéger » les populations civiles menacées. Vous avez très bien expliqué dans votre discours du 27 août devant vos Ambassadeurs que c’était là la vocation de la France, comme elle l’a fait en Libye récemment, et qu’elle ne manquerait pas à son devoir. Votre détermination exemplaire devrait rapidement convaincre vos partenaires européens flageolants et les opinions publiques pleutres, en France, en Grande Bretagne, aux Etats-Unis et partout dans le monde, du bien-fondé d’une intervention militaire chirurgicale en Syrie.
Naturellement, comme vous l’avez rappelé le 27 août, « l’obligation de protéger » s’inscrit dans une démarche très réglementée par les Nations Unies et incombe en premier lieu aux Etats concernés : protéger leur propre population. En cas de défaillance de leur part, c’est au Conseil de Sécurité qu’il appartient de décider des modalités de mise en œuvre de ce principe. Sous votre conduite, la France s’honorera si elle fait respecter à la lettre cette avancée importante du droit international. Je suis sûr que le Président Poutine sera sensible à vos arguments tout comme le Président Xi Jiping et qu’ils ne feront pas obstacle à vos projets en opposant un veto au Conseil de Sécurité. Peu importe que l’objectif final soit encore un peu flou, ce qui compte c’est la défense énergique de principes clairs.
De même, je suis sûr que d’autres pays suivront la France dans son intention de livrer des armes aux rebelles syriens, malgré les risques que cela comporte. M. Laurent Fabius, Ministre des Affaires Etrangères, a annoncé qu’il exigerait des destinataires des armes françaises qu’ils signent un « certificat d’utilisateur final ». Avec une telle fermeté nous aurons l’assurance que nos armes ne tomberont pas entre les mains des combattants Jihadistes du Front Al Nusra-Al Qaeda, qui font partie de la Coalition rebelle (encore très hétéroclite mais que avez le mérite de vouloir unifier, bon courage !) et ne se retourneront pas contre les pays occidentaux qui les ont aidé ou leurs rivaux au sein de la Coalition, voire des populations civiles.
Nous voilà rassurés. Al Qaeda devrait comprendre le message fort que vous lui envoyez. Il est important de bien expliquer que notre ennemi reste le Terrorisme International, même si de temps en temps il faut se montrer pragmatique, comme disent nos amis anglo-saxons, et tendre la main à ceux qui veulent notre perte. Ceux-ci ne devraient pas être insensibles à nos gestes amicaux. Vos services devraient pouvoir sans peine démentir l’information diffusée par l’agence Associated Press selon laquelle des armes chimiques livrées par notre allié l’Arabie Saoudite (le Prince Bandar Bin Sultan, chef des services saoudiens de renseignement) au Front Al Nusra-Al Qaeda auraient été manipulées maladroitement par ces apprentis-sorciers.
Une fois ce point éclairci vous aurez les mains libres pour agir sur la base des informations fournies par les Etats-Unis et Israël qui ont toute votre confiance. Toutefois il ne serait pas inutile d’éviter que se reproduise le scénario de 2003 aux Nations Unies lorsque Colin Powell a exhibé des photos truquées et un flacon de poudre de perlimpinpin comme preuves irréfutables de la présence d’armes de destruction massive en Irak ! Principe de précaution élémentaire. On vous fait confiance, c’est la crédibilité de la France qui est en jeu.
Quand aux objectifs militaires de cette opération, il paraît évident qu’ils doivent être en priorité de détruire par des moyens aériens les dépôts d’armes chimiques sans les faire exploser au nez de la population civile, ce qui serait un véritable désastre, et de neutraliser tous les engins qui permettent leur utilisation (missiles, chars, lance-roquettes etc.), sans mettre en péril la vie de nos soldats sur un terrain incertain. Si les Américains ont du mal à identifier les cibles, les services français de renseignement se feront un plaisir de leur fournir toutes les informations dont ils disposent, de telle sorte que l’opération soit courte et cinglante et que grâce à vous les armes chimiques soient définitivement éradiquées de la planète.
Les populations que nous allons protéger auront un prix à payer pour le service rendu et doivent accepter d’avance les quelques centaines ou milliers de morts que peuvent provoquer les effets collatéraux de cette opération et leurs conséquences en cascade. Mais c’est pour leur bien. Si vous prenez la tête de la manœuvre à la place de vos collègues Obama et Cameron, qui semblent rétropédaler avant même que le coup d’envoi ait été donné, Bashar Al Assad comprendra très vite à qui il a affaire. L’Occident ne doit pas de mollir, ce serait un mauvais signal au reste du monde, on compte sur vous pour tenir la barre fermement.
Lorsque cette mission humanitaire sera terminée et que Bashar Al Assad aura fait amende honorable après la tripotée qu’on va lui mettre tout en le laissant au pouvoir, vous aurez la satisfaction d’avoir contribué à appliquer en Syrie la théorie du « chaos constructif » élaborée par des « think tanks » américains à l’époque de George Bush, en espérant que les grandes entreprises américaines, principales bénéficiaires du chaos, auront la bonté de laisser aux entreprises françaises la possibilité de tirer quelques avantages du désordre institutionnalisé qui a désormais vocation à se substituer à des Etats forts comme c’est le cas en Irak ou en Libye. Quelques contrats pétroliers feraient bien l’affaire de nos grands groupes.
Après cette victoire pratiquement acquise d’avance, il vous appartiendra de porter ailleurs le message humanitaire universel de la France. Les crises sont nombreuses dans le monde, la liste des dictateurs sanguinaires est longue, et des millions d’hommes, de femmes et d’enfants attendent avec joie que la France puisse les protéger comme elle s’en est donnée la mission. On pense toujours à l’Afrique qui arrive au premier rang de nos préoccupations. Mais il y a le feu dans de nombreuses régions du monde. Une intervention humanitaire en Palestine serait la bienvenue, vous y songez certainement.
Au Mexique, on estime à 70.000 les morts provoqués par la violence des groupes criminels et des forces de sécurité et 26.000 disparus durant de sexennat du Président Calderón (2006-2012). Après la première année du mandat du Président Peña Nieto, on dénombre déjà 13.000 morts. En toute logique avec de tels chiffres la population civile mexicaine devrait être éligible aux bénéfices du programme « obligation de protéger » concocté par la « communauté internationale », même si celle-ci se réduit aujourd’hui à la France seule. Au point où nous en sommes, il faut bien qu’un pays se dévoue pour être l’avant-garde agissante d’une communauté internationale amorphe et irresponsable, « ensemble gazeux et incertain » comme a dit Hubert Védrine à propos de l’Union Européenne. Mieux vaut être seul que mal accompagné. S’agissant du Mexique, on pourra tirer les leçons de l’intervention militaire française de 1862 et ne pas répéter l’erreur qui a conduit à la déconfiture les armées de Napoléon III : déclencher des opérations militaires injustifiées et lointaines qui dépassent nos forces.
Pour cela il faudra, mais vous l’avez évidement prévu, programmer davantage de moyens budgétaires, par exemple pour la construction de nouveaux porte-avions nucléaires, les avions et missiles qui vont avec. Le « Charles de Gaulle » rend de brillants services lorsqu’il n’est pas immobilisé dans nos arsenaux pour de trop longues périodes de révision, mais il aura du mal à répondre seul à toutes les demandes d’intervention surtout lorsqu’il devra croiser dans des mers lointaines, exotiques et dangereuses. Je suis sûr que vous saurez persuader nos compatriotes que dans les circonstances actuelles, le monde occidental, pour poursuivre sa mission civilisatrice, pilier de la globalisation, devra s’en donner les moyens budgétaires.
On se souvient des contraintes qui ont empêché les forces françaises de frapper encore plus massivement la Libye. Leurs stocks de missiles se sont rapidement épuisés et le budget de la Défense n’avait pas prévu que l’abominable Khadafi, pourtant ami intime de votre prédécesseur, serait aussi peu sensible à nos problèmes budgétaires en opposant une résistance aussi farouche qu’inutile. La population, si elle est bien informée, acceptera certainement de bon gré l’augmentation des impôts et les coupes dans les dépenses publiques, notamment sociales, comme les bourses scolaires pour les français de l’étranger, ainsi que la réduction des moyens du réseau diplomatique, consulaire, éducatif et culturel français dans le monde si c’est le prix à payer pour que la France garde son statut de grande puissance mondiale. Tout est question de pédagogie.
Monsieur le Président, vous n’êtes pas sans savoir que nos amis et alliés américains n’ont pas toujours une très bonne image dans le monde. La France, avec les Présidents De Gaulle, Mitterrand et Chirac, a joui d’un grand prestige international, justement parce ce qu’elle parlait d’une voix différente de celle de ses alliés occidentaux. Le Président Sarkozy a mis fin à cette tradition diplomatique, pensant que la France avait tout intérêt, dans le contexte de la mondialisation et face à la montée en puissance de nouveaux acteurs, à se fondre dans « la famille occidentale » et à réintégrer l’appareil militaire de l’OTAN, c’est à dire à mettre ses forces conventionnelles sous le commandement américain.
« O tempora ! O mores ! » comme a dit Ciceron en son temps. Mais vos Ambassadeurs ont déjà du vous signaler que dans de nombreux pays la France est désormais perçue comme un relais servile de la politique américaine. Des épisodes récents, comme l’affaire Snowden avec l’interception du Président Evo Morales lors de son survol de l’Europe, ont pu donner cette impression fâcheuse, mais je suis convaincu que vous n’aurez aucun mal à persuader vos interlocuteurs du monde entier que cette perception est erronée, car c’est en toute indépendance que vous avez confirmé l’ancrage de la France dans sa « famille occidentale ».
Enfin, je pense que vous avez réfléchi à la meilleure manière de protéger les populations mondiales des catastrophes humanitaires provoquées par le capitalisme mafieux et prédateur à l’origine des dernières crises économiques et financières. Il est probablement dans vos intentions de proposer à vos collègues du G7 et du G20 que vous allez rencontrer au Sommet de Saint Pétersbourg de changer de cap pour mettre fin à l’économie-casino et à l’empire de la finance sans contrôle. L’opinion publique mondiale, les chômeurs en Grèce, au Portugal, en Espagne, en France et ailleurs, apprécieraient vraisemblablement des frappes chirurgicales sur le FMI, la Banque Centrale européenne, la City de Londres, quelques paradis fiscaux « non-coopératifs » ou d’improbables agences de notation qui font plier les gouvernements.
Une telle cohérence dans l’application de « l’obligation de protéger » honorera la France et son Président. En continuant sans relâche sur cette voie et en défendant comme vous le faites le droit international et les normes fixées par les Nations Unies, il ne fait aucun doute qu’avant la fin de votre mandat vous rejoindrez votre collègue et ami Barack Obama dans le club très sélect des Prix Nobel de la Paix. Vous l’aurez bien mérité.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’assurance de ma très haute et respectueuse considération.
Pierre Charasse, Français de l’étranger, contribuable et électeur.
Il nous empoisonne le monde entier avec les chemtrails et assure que ce sont les complotistes et pour finir d'anciens hauts fonctionnaires affirment que déverser des millions de tonnes de produits dans l'atmosphère par jour, cela n'est que pour protéger la terre du rayonnement solaire.
Il appuie diplomatiquement et parfois par la menace l'expansion des semences OGM dans le monde en soutenant que c'est pour sauver l'humanité de la famine, au final, tout ça, c'est pipo et c'est juste pour assurer la domination alimentaire des ses multinationales de l'agro-alimentaire.
Il nous a fait le coup de l'Irak et s'est emparé de son pétrole tout en éliminant un ennemi d'Israël. Pour l'Afghanistan, l'histoire des tween towers, ce n'est pas clair du tout.
Bref, aujourd'hui, il veut aider le peuple syrien avec des rebelles de plus en plus dominé par les mouvements extrémistes djihadistes, bizarre.
Est-ce que vous n'en avez pas marre, citoyens américains que votre gouvernement vous prennent pour des cons, dites-moi ?
En attendant, les sommes astronomiques dépensées pour le lobby militaro-industriel ne va pas aux aides sociales et à la relance de l'économie, alors, que le gouvernement Obama nous assure que le chômage recule et que si, l'on regarde les chiffres en les comparant avec les pertes d'emplois et autres facteurs, tout cela est bidon, mais, ça fait marcher Wall Street.
Et, entre-nous, les Etats-Unis feraient bien de reconnaître l'effet de l'agent orange de Mosanto au Vietnam et indemniser les victimes.
Mais, passons, car, le facteur principal du changement vers un mieux être dans le monde dépend du réveil du citoyen américain.
En attendant, en France, il y en a qui réussissent à nous apporter un mieux être........d'une autre façon.
(source : Le GORAFI.fr)
Sondage : les tarifs des psychanalystes à l’origine de 81% des guérisons
Les héritiers de Freud en pleine tourmente. Une étude commandée par la Société Française de Psychologie démontre que pas moins de 96% des français qui ont essayé un jour la psychanalyse disent avoir guéri de leurs maux grâce à ce type de thérapie. Mais plus étonnant encore, parmi eux, près de 8 personnes sur 10 disent avoir surmonté leurs problèmes non pas grâce à leur thérapeute mais davantage grâce à leurs tarifs, parfois dissuasifs. Décryptage
La voie de l’auto-guérison
Pascal est ébéniste. Il y a 1 mois, à la suite d’un divorce qui l’a profondément meurtri, il a souhaité suivre une thérapie. Mais très vite, un choix s’est imposé à lui : « 40 euros par séance, au rythme d’une séance par semaine, c’est un gouffre financier ! J’ai pas les moyens de payer ça. Alors je m’y suis pris tout seul, comme un grand. J’ai réfléchi sur moi-même, sur mon enfance et mes traumatismes et petit à petit, je me suis guéri. Mais cette guérison n’aurait jamais pu avoir lieu si le tarif de mon psychanalyste n’avait pas été aussi élevé. » Depuis cette expérience, Pascal dit ne jamais s’être senti aussi bien dans vie.
Pour Myriam Loucot, psychologue et maître de conférence à Paris VII, ce type de réaction est tout à fait logique : « On observe chez ces anciens patients un comportement identique. Quand ils sont confrontés au besoin de se soigner et donc de suivre une thérapie, ils procèdent tous à une sorte de processus de rationalisation » Et la clinicienne d’expliquer : « Ils mettent sur la balance ce que leur coûte leur pathologie et le prix d’une série de consultations chez un psychanalyste et logiquement, ils pensent que leur maladie leur coûte trop cher. En tout castrop cher à guérir à l’aide d’un tiers. Et ils se mettent à se soigner tous seuls. »
Si ce chiffre de 81% de guérison paraît pour le moins énorme, les premiers concernés, à savoir les psychanalystes, tentent, eux, de relativiser l’information : « Ce type de guérison est malheureusement de nature provisoire. Les personnes retrouvent certes un équilibre psychique mais cela ne dure qu’un temps. » confie Serge Rudeczko, praticien de Grenoble. « Il est donc nécessaire de faire une véritable thérapie avec un professionnel. Et généralement, sur du très long terme, 15-20 ans, afin de déraciner totalement les causes de la souffrance. » tient-il également à préciser.
L’ombre de Freud
Pour cette autre psychanalyste, cette étude ne vient que confirmer la voie ouverte par Sigmund Freud : « C’est quand même bien la preuve que la psychanalyse peut guérir ! Peu importe comment, ce qui compte ce sont les résultats. Après tout, Freud insistait bien pour que ses patients payent chaque séance en liquide afin qu’ils prennent conscience de la notion d’échange. Le fait de mettre un prix plus ou moins élevé n’est qu’une autre technique au service du client. Cela devrait servir de leçon aux détracteurs de notre discipline. »
La Rédaction
Illustration : selimaksan/iStock
Ouaf, ouaf, comme dirait Rintintin, vous savez le berger allemand, héros d'une série de Walt Disney.
Mais, passons à quelque chose que, au moins, nous pouvons réaliser directement pour notre mieux être.
(source : Tout Vert)
Une centrale électrique alimentée par de la graisse de cuisine
Jusqu’ici la graisse de bacon bouchait les tuyauteries et provoquait des arrêts cardiaques. Le cochon mort servira bientôt une noble cause, rapporte The Sunday Times.
Les résidus graisseux des restaurants de Londres alimenteront une nouvelle centrale électrique à l’est de la capitale. Ce complexe, le plus grand de ce type au monde, devraitéconomiser de coûteux nettoyages.
Des montagnes de graisse coagulent dans les égouts londoniens. Les amas les plus récalcitrants doivent être extirpés par une équipe spéciale : cette liposuccion en sous-sol coûte 1,17 million d’euros par mois. Les déchets adipeux seront désormais brûlés pour générer de l’énergienotamment pour le traitement des eaux usées.
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Mais pour cela, l’entreprise Thames Water, en charge du traitement des eaux usées et de l’approvisionnement en eau de la région du Grand Londres, devra convaincre au moins 10 000 restaurants d’installer des « pièges à graisse » sous leurs éviers.
La centrale électrique va être construite à l’Est de Londres, à Beckton, le projet étant financé par un consortium dirigé par l’entreprise iCON Infrastructure. Elle devrait être opérationnelle d’ici 2015. Elle produira130 Gigawattheures (GWh) par an, une quantité d’énergie suffisante pour alimenter en électricité 40.000 foyers.
Le modèle de centrale électrique prévu utilise un gros moteur thermique Diesel, du type de ceux qu’on retrouve dans les cargos, capable de brûler toutes sortes de carburants.
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Pour aller encore plus loin dans l’économie d’énergie, la chaleur résiduelle du moteur sera utilisée dans un système de réduction de pression de gaz d’une unité adjacente, permettant d’éteindre des brûleurs au gazexistants. Une partie de la chaleur sera également employée dans un réseau qui la distribuera à des foyers alentours. L’efficacité énergétique devrait ainsi dépasser les 90 % grâce à un carburant recyclé.
De quoi encourager les amateurs de fish and chips : en mangeant leur plat préféré, ils feront une bonne action environnementale."
(source : Scoop it)
Associées les unes aux autres, certaines substances toxiques présentes dans l’alimentation ont un impact sur la santé, et ce même si les quantités de chacune de ces substances prises séparément sont très inférieures aux seuils fixés par la législation.
Prenez un polluant souvent présent dans notre alimentation, comme le phtalate de di-2-éthylhexyle par exemple (ce phtalate, utilisé comme additif en tant que plastifiant, est un perturbateur endocrinien qui occasionne une diminution de la synthèse de la testostérone, d'où le retrait du marché en cours dont il sera l'objet en Europe d'ici 2015). Si la quantité de cette substance est inférieure à la dose journalière tolérable (la dose journalière tolérable d'une substance correspond à la quantité de cette substance pouvant être ingérée durant toute la vie sans risque pour la santé), alors les risques sur la santé sont théoriquement très faibles.
Mais imaginez maintenant un cocktail de substances toxiques de ce type, qui contiendrait non seulement du phtalate de di-2-éthylhexyle, mais aussi du bisphénol A, du polychlorobiphényle 153 (les polychlorobiphényles, dits aussi PCB, sont des polluants notamment présents dans les produits d'origine animale comme le poisson la viande ou les produits laitiers), ou encore de la TCDD (la 2,3,7,8-tétrachlorodibenzo-p-dioxine, plus connue sous le nom de son acronyme TCDD, est une dioxine cancérigène auquel l'être humain est exposé via l'alimentation). Avec là encore, pour chaque substance, des quantités infimes, bien inférieures aux doses journalières tolérables fixées par la législation.
Un tel cocktail est-il susceptible de nuire à la santé ?
Oui, au moins chez les personnes dont le régime alimentaire est très riche en gras, selon une étude menée sur des souris par des scientifiques français, et publiée dans le numéro de septembre 2013 de la revue Faseb Journal. En effet, chez les individus dont l’alimentation est très grasse, un tel cocktail serait susceptible d’aggraver sur le long terme des désordres métaboliques tels que l'apparition chez les femmes d'une intolérance au glucose. Un résultat préoccupant, car c’est précisément ce type de cocktails de polluants que nous retrouvons dans nos assiettes…
Pour parvenir à ce résultat, la biologiste française Brigitte Le Magueresse-Battistoni et ses collègues du Laboratoire INSERM de recherche en Cardiovasculaire, Métabolisme, Diabétologie et Nutrition (Oullins, France) ont introduit un cocktail de polluants à très faible dose, constitué de phtalate de di-2-éthylhexyle, de bisphénol A, de PCB 153 et de TCDD, dans l'alimentation de souris mâles et femelles soumises à un régime alimentaire riche en gras. Et ce, durant toute l'existence de ces souris.
Résultat ? Chez les souris femelles, les biologistes français ont observé l'apparition d’une intolérance au glucose, couplée à une altération du mécanisme responsable de la production des oestrogènes (les oestrogènes sont les principales hormones sexuelles féminines). Quant aux souris mâles, elle présentait une altération des mécanismes qui régissent la production et la destruction des lipides et du cholestérol.
Un résultat qui suggère que même à très faible dose, les polluants alimentaires ont un effet négatif sur la santé lorsqu'ils sont ingérés quotidiennement, et qu'ils ont couplé à une alimentation riche en calories.
Ces travaux ont été publiés dans l'édition de septembre 2013 de la revue Faseb Journal, sous le titre « Low-dose food contaminants trigger sex-specific, hepatic metabolic changes in the progeny of obese mice ».
Bien le bonjour chez vous.
René.
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