(blog à finir et à corriger)
Pauvre Afrique, décidément, ses richesses sont pillés, ses émigrants refoulés des pays dits "riches" et maintenant, "ils" lui volent ses terres.
Combien sont payés les membres des gouvernements africains par les sociétés étrangères pour léser leur propre population de leur dernier bien qu'il leur reste, la terre ?
(source : Irin news)
"LIBERIA: Accaparement des terres ou opportunité de développement ?
Des habitants regardent les terres qui auraient été saisies pour les investisseurs étrangers
MONROVIA, 20 février 2012 (IRIN) - Des centaines de villageois et d'habitants des villes du comté de Grand Cape Mount ont attiré l'attention de toute la population libérienne afin de récupérer des terres qu'ils considèrent comme leur appartenant, mais qui ont été saisies et cédées à un groupe agro-industriel malaisien.
En janvier, une pétition envoyée au cabinet de la présidente Ellen Johnson Sirleaf par les représentants politiques des personnes lésées demandait la restitution de ces terres.
« C'est insupportable », a dit Mary Freeman, une habitante de Sinje Town âgée de 42 ans. « Notre gouvernement doit s'occuper de nous et empêcher ces personnes de nous tuer en silence. Qu'avons-nous fait pour mériter toutes ces souffrances ? Ces terres nous appartiennent. Nous sommes nés ici, nos enfants sont nés ici. C'est le seul endroit que nous connaissons ».
Le 21 avril 2010, le groupe malaisien Sime Darby Plantations a signé un accord de concession pour planter 10 000 hectares de palmiers à huile dans les comtés de Bomi et de Grand Cape Mount. Le groupe vient de déposer une nouvelle demande pour planter 15 000 hectares de palmiers à huile dans les districts de Garwular et Gola Konneh dans le comté de Grand Cape Mount, et 20 000 hectares dans le comté de Gbarpolu."
Eh, oui, mes chers quatre lecteurs, ils le font même en Ukraine, alors, à mon avis les indiens d'Amazonie en ont pas pour très longtemps. Quarante, cinquante ans avant de disparaître.
Rien, paraît-il n'arrête le progrès.
En fait, c'est la recherche du profit.
Pauvre Libéria, le gouvernement installe les prémices de la prochaine guerre civile. Et, tout ça pour qui ?
Pour des sociétés étrangères prédatrices.
C'est comme l'histoire des brevets. Au début, le brevet protégeait l'inventeur. Aujourd'hui, le brevet ne sert plus qu'à rançonner les populations.
Pourquoi, rançonner ?
Parce qu'ils découpent le vivant en tranches, le brevetent pour faire payer, même les habitus ancestraux.
Comment faire autrement ?
Supprimer l'Organisation Mondiale du Commerce et toutes les autres organisations internationales qui promeuvent les multinationales, les places financières, la spéculation et....beaucoup la corruption de tous nos représentations élues.
Dire que le peuple doit reprendre l'initiative.
C'est vrai !
Si, nous n'en prenons pas conscience en nous occupons et en recadrant en premier nos élus corrompus, alors, ils nous vendront comme de la marchandise. Ce qu'ils font déjà d'ailleurs, les socialistes et les gens de droite, les réprésentants élus américains et tant d'autres dans le monde.
Sauf, qu'en Europe, la masse des citoyens regardent bêtement le laboratoire qu'est la Grèce sans rien dire.
Et, justement, pour éviter que les autres peuples européens ne viennent à protester pour leur apporter leur soutien, ils ont dit, les grecs sont paresseux, tous les grecs sont corrompus, tous les grecs sont, sont, sont."
Résultat, l'abruti de base de la Communauté Européenne croie ce que leur dit des médias appartenant à des grands patrons et n'entendent plus la souffrance du peuple grec.
D'autant plus, les peuples européens ne descendront pas dans la rue pour soutenir le peuple grec, d'autant, il sera isolé et d'autant, il sera soumis brutalement.
Sauf que, sauf que, mes chers quatre lecteurs, la Grèce n'étant qu'un laboratoire, ce qu'il s'y passe vous viendra tout droit dans les dents après.
Ce jour là, ils pratiqueront la même propagande qui a marché pour la Grèce et vous vous retrouverez tout seul....comme des cons. Juste comme les grecs.
mercredi 29 février 2012
mardi 28 février 2012
Salut aux poissons rouges, nous sommes dans la même situation. Solidarité !
Ainsi, donc, car, nous ne le savions pas, la dette grecque enrichit beaucoup de monde. Plus, elle appauvrit les grecs, plus, d'autres gagnent du fric.
Ils parient même et surtout sur le défaut de paiement, vu qu'ils ont pris des assurances dont le "paiement" leur rapporterait encore plus d'argent.
Et, du côté grec, ils s'arrangeraient pour en perdre le moins possible dans la renégociation. Donc, tout bénéf !
(source : blogfinance, AFP, Reuters)
"Grèce : S&P constate le défaut de paiement
CNBC_Greece_defaults_cover (1).jpgL'agence d'évaluation américaine Standard and Poor's a constaté lundi le défaut de paiement que constitue l'opération d'effacement de la dette publique grecque lancée vendredi.
S &P a par ailleurs abaissé la note du pays à SD (défaut sélectif).
Une annonce qui ne devrait toutefois pas déplaire à ceux qui ont spéculé sur les CDS (Credit Default Swap ou assurance contre les défauts de paiement) ...
Cette note traduit un défaut de paiement partiel indique par ailleurs Standard and Poor's.
L'agence de notation précise par ailleurs qu'elle envisage de relever la note du pays à CCC - note attribuée à des émetteurs de qualité médiocre présentant un vrai risque de non-remboursement - lorsque l'opération d'effacement de la dette publique grecque aura été intégralement réalisée, étape planifiée à la mi-mars.
Si en juillet dernier, les agences de notation les plus importantes avaient d'ores et déjà indiqué que l'opération d'échange serait assimilée à un défaut de paiement partiel, les analystes prévoyaient toutefois que lesdites agences devraient redonner une note à la Grèce une fois l'opération réalisée.
De son côté, l'International swaps and derivatives association (ISDA), entité de référence, considérée pour sa part que l'opération est volontaire.
De ce fait, elle estime que le montage réalisé ne constitue pas un événement de crédit, et ne peut être assimilée à une modification unilatérale des conditions du contrat passé entre débiteur et créancier, élément susceptible de déclencher le paiement de ces CDS (Credit Defaut Swap).
A la mi-janvier déjà, le lobby bancaire IIF basé à Washington avait montré son impatience en déclarant que "le temps commence à être compté" pour mener à bien la restructuration et le ré-échelonnement de la dette grecque. Objectif affiché : éviter un défaut de paiement de la Grèce autour du 20 mars prochain, date à laquelle 14,5 milliards d'euro de sa dette arrivent à échéance.
Mais selon des sources proches du dossier, les fonds spéculatifs (hedge funds) détenteurs de dette grecque pourraient néanmoins être intéressés par une faillite de la Grèce, dans la mesure où la situation permettrait de déclencher le versement des assurances qu'ils ont souscrites ..."
Et, si, nous continuons dans la magouille, en voici une autre.
Les banques françaises ont besoin de :
(source : AFP, Reuters)
"Fin octobre, l'EBA avait estimé à 8,8 milliards d'euros le besoin en capitaux du secteur bancaire français, à savoir les quatre principales banques (BNP Paribas, Société générale, BPCE et Crédit agricole)."
…
Alors qu'il n'y a pas longtemps, elles ont empruntés
(source : 20 minutes, mis à jour le 14.02.12)
"Les banques françaises ont emprunté un montant sans précédent de 218,2 milliards d'euros auprès de la Banque centrale européenne (BCE) en décembre, un nouveau signe du succès qu'a rencontré la première opération de refinancement de 489 milliards d'euros à trois ans de l'institut d'émission."
C'est vrai qu'aussitôt, elles ont replacé ces fonds à la BCE à 2% d'intérêts. Et, pourtant, elle recherche des fonds aux Etats-Unis.
Bizarre, bizarre, non ?
Elles prennent qui pour des cons nos banques françaises, si protégées par sarko, leur chéri bibi.
En fait, dès qu'il y a du pognon grave en jeu, les gouvernants et les autres nous prennent pour des cons. Comme la guerre en Irak à laquelle, Chirac a réfusé de participé, contrairement à Mitterrand et la guerre en Afganistan dans laquelle sarko a plongé avec délice.
Mais, entre-nous, les socialistes nous ont fait la même, d'abord avec Mitterrand et ensuite avec Jospin.
Et, Hollande s'imagine qu'il va nous faire la même.
Et, comme, je suis fatigué, j'arrête pour aujourd'hui.
René.
Ainsi, donc, car, nous ne le savions pas, la dette grecque enrichit beaucoup de monde. Plus, elle appauvrit les grecs, plus, d'autres gagnent du fric.
Ils parient même et surtout sur le défaut de paiement, vu qu'ils ont pris des assurances dont le "paiement" leur rapporterait encore plus d'argent.
Et, du côté grec, ils s'arrangeraient pour en perdre le moins possible dans la renégociation. Donc, tout bénéf !
(source : blogfinance, AFP, Reuters)
"Grèce : S&P constate le défaut de paiement
CNBC_Greece_defaults_cover (1).jpgL'agence d'évaluation américaine Standard and Poor's a constaté lundi le défaut de paiement que constitue l'opération d'effacement de la dette publique grecque lancée vendredi.
S &P a par ailleurs abaissé la note du pays à SD (défaut sélectif).
Une annonce qui ne devrait toutefois pas déplaire à ceux qui ont spéculé sur les CDS (Credit Default Swap ou assurance contre les défauts de paiement) ...
Cette note traduit un défaut de paiement partiel indique par ailleurs Standard and Poor's.
L'agence de notation précise par ailleurs qu'elle envisage de relever la note du pays à CCC - note attribuée à des émetteurs de qualité médiocre présentant un vrai risque de non-remboursement - lorsque l'opération d'effacement de la dette publique grecque aura été intégralement réalisée, étape planifiée à la mi-mars.
Si en juillet dernier, les agences de notation les plus importantes avaient d'ores et déjà indiqué que l'opération d'échange serait assimilée à un défaut de paiement partiel, les analystes prévoyaient toutefois que lesdites agences devraient redonner une note à la Grèce une fois l'opération réalisée.
De son côté, l'International swaps and derivatives association (ISDA), entité de référence, considérée pour sa part que l'opération est volontaire.
De ce fait, elle estime que le montage réalisé ne constitue pas un événement de crédit, et ne peut être assimilée à une modification unilatérale des conditions du contrat passé entre débiteur et créancier, élément susceptible de déclencher le paiement de ces CDS (Credit Defaut Swap).
A la mi-janvier déjà, le lobby bancaire IIF basé à Washington avait montré son impatience en déclarant que "le temps commence à être compté" pour mener à bien la restructuration et le ré-échelonnement de la dette grecque. Objectif affiché : éviter un défaut de paiement de la Grèce autour du 20 mars prochain, date à laquelle 14,5 milliards d'euro de sa dette arrivent à échéance.
Mais selon des sources proches du dossier, les fonds spéculatifs (hedge funds) détenteurs de dette grecque pourraient néanmoins être intéressés par une faillite de la Grèce, dans la mesure où la situation permettrait de déclencher le versement des assurances qu'ils ont souscrites ..."
Et, si, nous continuons dans la magouille, en voici une autre.
Les banques françaises ont besoin de :
(source : AFP, Reuters)
"Fin octobre, l'EBA avait estimé à 8,8 milliards d'euros le besoin en capitaux du secteur bancaire français, à savoir les quatre principales banques (BNP Paribas, Société générale, BPCE et Crédit agricole)."
…
Alors qu'il n'y a pas longtemps, elles ont empruntés
(source : 20 minutes, mis à jour le 14.02.12)
"Les banques françaises ont emprunté un montant sans précédent de 218,2 milliards d'euros auprès de la Banque centrale européenne (BCE) en décembre, un nouveau signe du succès qu'a rencontré la première opération de refinancement de 489 milliards d'euros à trois ans de l'institut d'émission."
C'est vrai qu'aussitôt, elles ont replacé ces fonds à la BCE à 2% d'intérêts. Et, pourtant, elle recherche des fonds aux Etats-Unis.
Bizarre, bizarre, non ?
Elles prennent qui pour des cons nos banques françaises, si protégées par sarko, leur chéri bibi.
En fait, dès qu'il y a du pognon grave en jeu, les gouvernants et les autres nous prennent pour des cons. Comme la guerre en Irak à laquelle, Chirac a réfusé de participé, contrairement à Mitterrand et la guerre en Afganistan dans laquelle sarko a plongé avec délice.
Mais, entre-nous, les socialistes nous ont fait la même, d'abord avec Mitterrand et ensuite avec Jospin.
Et, Hollande s'imagine qu'il va nous faire la même.
Et, comme, je suis fatigué, j'arrête pour aujourd'hui.
René.
lundi 27 février 2012
Salut aux agriculteurs pollueurs et empoisonneurs, la PAC est bientôt morte de sa belle mort.
Il n'est que temps !
Question à mille francs, mes chers quatre lecteurs, "Qui fout la merde au Proche Orient, Israël ou l'Iran ?"
Réponse : Israël.
Parce qu'en nous faisant un cinéma sur l'Iran, ils s'imaginent nous faire oublier que Israël traite les palestiniens comme eux étaient traité lorsqu'ils vivaient en ghetto. Un truc culturel en somme.
Peut-être même, que ce fonctionnement est tellement inscrit dans le backround culturel qu'il ne peut disparaître et se reproduit par automaticité sur des cultures incompatibles, dans le sens non assimilables.
Un peu tirer par les cheveux, vous me direz, sauf, que pour être mal poli, le fouteur et fauteur de merde au Proche Orient, c'est bien Israël.
Et, je peux d'autant le dire que je ne suis pas François Hollande à chercher le vote juif en rencontrant BHL dans un restaurant coté.
Cela, c'est la méthode sarko, rencontrer et promettre à chaque catégorie professionnelle pour faire basculer leur vote.
Bon, vous me direz que je suis pour que Jean Luc Mélenchon parvienne au deuxième tour. ¨Par contre, si, Hollande y parvient par mégarde, sans doute, je rejoindrais l'immense majorité des abstentionnistes.
Mais, j'espère que les français se rendront compte que François Hollande n'est qu'un notable de la politique et qu'il n'a pas le coeur naturellement généreux.
Car, finalement, la loi qu'il propose pour la reprise des entreprises qui sont bénéficiaires, mais, qui ferme les unités de production, Jean Luc Mélenchon l'avait évoqué avant lui, n'est pas suffisante.
Pas suffisante, du fait qu'elle renvoie à un repreneur qui peut être aussi à nouveau un fond spéculatif ou un concurrent mal intentionné ou alors que personne ne se présente, il faut que l'état nationalise lorsqu'il s'agit de branchse industrielles stratégiques pour le pays.
Naturellement, à retirer du coût d'achat les diverses aides à l'emploi, subventions et autres largesses accordées depuis la reprise par le fond ou autre.
Naturellement avec des conditions de paiement avantageuses pour l'état.
A mon avis, cela découragerait net les fonds spéculatifs d'investir en France.
Les fonds spéculatifs et les concurrents déloyaux.
Et, si, l'Europe n'est pas d'accord, exigeons la renégociation des traités iniques qui privilégient les paradis fiscaux comme le Luxembourg et boutons le hors de l'Europe ! Angela Merkel aussi, dans le même élan !
Elle toute seule, naturlïch, en gardant l'Allemagne et le peuple allemand si sympathique.
Euh, peut-être que j'en fais trop là, ne croyez-vous pas mes chers quatre lecteurs ?
Pourtant, sarko sur ce sujet précis y a été de sa botte de Nevers.
(le Monde, 27.02.12, Alexandre Lemarié, avec AFP et Reuters)
"MODERNISER LE SITE"
(...) "Je ne vois pas l'intérêt de cette proposition", a dit M. Sarkozy. "Je préfère une autre solution", par exemple qu'avec le Fonds stratégique d'investissement (FSI), "l'Etat décide d'investir pour donner du travail, pour moderniser le site". "Ce qui a du sens c'est d'investir" pour une meilleure "compétitivité" (...)."
Euh, mais, que veut-il dire ?
Certainement pas la nationalisation, il est contre. Alors, une montée en puissance de l'état dans Arcellor-Mittal ?
Pareil, la famille Mittal sera contre.
Alors, quoi ?
Un cadeau bonux à Mittal du tonneau à celui qu'il a fait à bernard tapie ?
Cela serait bien son genre, faire payer les contribuables pour favoriser un riche.
A mon avis, c'est un simple effet d'annonce, car, souvenez-vous, il avait fait la même pour Gondrange et Gondrange a fermé.
Ce qui est bien avec lui, c'est qu'il refait les mêmes promesses qu'il avait fait lors de sa précédente campagne de 2007 et dans le cours de son quinquennat.
Il y aurait de quoi rire, si, il ne s'agissait pas de la vie des français.
En tout cas, avec la Grèce, son acharnement thérapeutique avec Angela Merkel pour préserver les marchés financiers ne servira à rien. Qu'à un tas de pognon dépenser n'importe comment au prix de la misère du peuple grec.
Il fallait soutenir la Grèce pour que soit, elle gèle la dette et la renégocie, soit, qu'elle ne la rembourse pas.
De toute façon, le fameux MES pour cadrer les pays européens qui n'aura que pour finalité de les asphyxier finira par faire voler en éclat l'Europe.
A bonne entendeur, salut !
A bientôt.
René.
Il n'est que temps !
Question à mille francs, mes chers quatre lecteurs, "Qui fout la merde au Proche Orient, Israël ou l'Iran ?"
Réponse : Israël.
Parce qu'en nous faisant un cinéma sur l'Iran, ils s'imaginent nous faire oublier que Israël traite les palestiniens comme eux étaient traité lorsqu'ils vivaient en ghetto. Un truc culturel en somme.
Peut-être même, que ce fonctionnement est tellement inscrit dans le backround culturel qu'il ne peut disparaître et se reproduit par automaticité sur des cultures incompatibles, dans le sens non assimilables.
Un peu tirer par les cheveux, vous me direz, sauf, que pour être mal poli, le fouteur et fauteur de merde au Proche Orient, c'est bien Israël.
Et, je peux d'autant le dire que je ne suis pas François Hollande à chercher le vote juif en rencontrant BHL dans un restaurant coté.
Cela, c'est la méthode sarko, rencontrer et promettre à chaque catégorie professionnelle pour faire basculer leur vote.
Bon, vous me direz que je suis pour que Jean Luc Mélenchon parvienne au deuxième tour. ¨Par contre, si, Hollande y parvient par mégarde, sans doute, je rejoindrais l'immense majorité des abstentionnistes.
Mais, j'espère que les français se rendront compte que François Hollande n'est qu'un notable de la politique et qu'il n'a pas le coeur naturellement généreux.
Car, finalement, la loi qu'il propose pour la reprise des entreprises qui sont bénéficiaires, mais, qui ferme les unités de production, Jean Luc Mélenchon l'avait évoqué avant lui, n'est pas suffisante.
Pas suffisante, du fait qu'elle renvoie à un repreneur qui peut être aussi à nouveau un fond spéculatif ou un concurrent mal intentionné ou alors que personne ne se présente, il faut que l'état nationalise lorsqu'il s'agit de branchse industrielles stratégiques pour le pays.
Naturellement, à retirer du coût d'achat les diverses aides à l'emploi, subventions et autres largesses accordées depuis la reprise par le fond ou autre.
Naturellement avec des conditions de paiement avantageuses pour l'état.
A mon avis, cela découragerait net les fonds spéculatifs d'investir en France.
Les fonds spéculatifs et les concurrents déloyaux.
Et, si, l'Europe n'est pas d'accord, exigeons la renégociation des traités iniques qui privilégient les paradis fiscaux comme le Luxembourg et boutons le hors de l'Europe ! Angela Merkel aussi, dans le même élan !
Elle toute seule, naturlïch, en gardant l'Allemagne et le peuple allemand si sympathique.
Euh, peut-être que j'en fais trop là, ne croyez-vous pas mes chers quatre lecteurs ?
Pourtant, sarko sur ce sujet précis y a été de sa botte de Nevers.
(le Monde, 27.02.12, Alexandre Lemarié, avec AFP et Reuters)
"MODERNISER LE SITE"
(...) "Je ne vois pas l'intérêt de cette proposition", a dit M. Sarkozy. "Je préfère une autre solution", par exemple qu'avec le Fonds stratégique d'investissement (FSI), "l'Etat décide d'investir pour donner du travail, pour moderniser le site". "Ce qui a du sens c'est d'investir" pour une meilleure "compétitivité" (...)."
Euh, mais, que veut-il dire ?
Certainement pas la nationalisation, il est contre. Alors, une montée en puissance de l'état dans Arcellor-Mittal ?
Pareil, la famille Mittal sera contre.
Alors, quoi ?
Un cadeau bonux à Mittal du tonneau à celui qu'il a fait à bernard tapie ?
Cela serait bien son genre, faire payer les contribuables pour favoriser un riche.
A mon avis, c'est un simple effet d'annonce, car, souvenez-vous, il avait fait la même pour Gondrange et Gondrange a fermé.
Ce qui est bien avec lui, c'est qu'il refait les mêmes promesses qu'il avait fait lors de sa précédente campagne de 2007 et dans le cours de son quinquennat.
Il y aurait de quoi rire, si, il ne s'agissait pas de la vie des français.
En tout cas, avec la Grèce, son acharnement thérapeutique avec Angela Merkel pour préserver les marchés financiers ne servira à rien. Qu'à un tas de pognon dépenser n'importe comment au prix de la misère du peuple grec.
Il fallait soutenir la Grèce pour que soit, elle gèle la dette et la renégocie, soit, qu'elle ne la rembourse pas.
De toute façon, le fameux MES pour cadrer les pays européens qui n'aura que pour finalité de les asphyxier finira par faire voler en éclat l'Europe.
A bonne entendeur, salut !
A bientôt.
René.
dimanche 26 février 2012
Salut, à Jean Luc Mélenchon, le candidat du Front de Gauche, à l'élection présidentielle en France. Tu as raison, les autres n'arrivent même pas à nous faire rire.
Vous croyez qu'ils vont nous lâcher, mes chers quatre lecteurs, ceux qui veulent mettre le vivant pour en tirer du profit et, ceci au détriment de tous ceux qui veulent se nourrir de leur potager.
Par contre, dans l'article qui suit, on peut se demander qui "commande" dans l'Union Européenne puisque les "experts" introduisent toujours plus des cavaliers parlementaires.
Vous savez, ces alinéas dans les textes de lois qui échappent à la vigilance vu l'abondance de termes techniques des desdits textes.
Ces experts qui servent les intérêts d'industries pour moi sont des délinquants en col blanc qui savent très bien que les cavaliers parlementaires qu'ils dissimulent dans les textes vont à l'encontre de l'intérêt ou même de la santé des citoyens européens.
Autrement, ces industries feraient leur proposition au grand jour, ne croyez-vous pas mes quatre chers lecteurs ?
Et, que gagnent ces experts prêts à mettre notre santé en danger ?
Et, à quoi servent les élus européens, si, ils ne sont pas capables de nous protéger ?
Sont-ils complices ?
Ou sont-ils si mal payés qu'ils laissent passer ?
En tout cas, c'est ce que je comprends de cet article.
(source : Terraeco.net)
"ACTA : notre agriculture aussi dans le viseur ?
Et si le traité ACTA ne frappait pas que vos disques durs, mais aussi vos assiettes ? Avec ce texte, l'Europe pourrait bien déclarer la guerre à la contrefaçon du vivant.
Le traité ACTA, qui effraye depuis plusieurs semaines les défenseurs de l’Internet libre, pourrait bien menacer, dans certains cas, la liberté de semer de nos agriculteurs et l’économie des semenciers européens.
Certes, les mots « semences » ou « agriculture » n’apparaissent pas dans ACTA (Accord commercial anti-contrefaçon). Mais en y regardant de plus près, le texte entend protéger « tous les secteurs de la propriété intellectuelle qui font l’objet des sections 1 à 7 de la Partie II de l’Accord sur les "Aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce" (ADPIC), dont le brevet ».
Des plantes, des animaux ou les médicaments sont eux aussi sous brevet. Donc, a priori, aucune différence de traitement entre des sacs à main et des sachets de semences. C’est cette ambiguïté que dénonce Sandrine Bélier, députée d’Europe Ecologie - Les Verts (EELV) au Parlement européen. « Bien sûr, on pourrait nous dire que c’est de la science-fiction. Mais ACTA échappe aux règles démocratiques. Ce traité est négocié en secret depuis trois ans. Quand il a été signé le 26 janvier (par la Commission européenne et par l’exécutif de 22 pays, ndlr), les députés n’avaient toujours pas connaissance du texte. On a dû se battre pour la transparence. C’est pourquoi nous restons dans une vision floue. Nous n’avons aucune garantie. »
Des sanctions lourdes
Les sanctions prévues par ACTA sont : la saisie voire la destruction des produits contrefaits aux frontières ou des amendes et une révision des procédures judiciaires du pays si nécessaire. Des « mesures correctives » qui pourraient intervenir sur simple suspicion, très peu appliquées au vivant actuellement en Europe. Pour Etienne Wéry, avocat spécialiste de la propriété intellectuelle, on peut imaginer des situations similaires à celles que connaissent les Etats-Unis, où le brevet fait loi. « Le titulaire du brevet n’aura qu’à faire saisir la marchandise. C’est un système privé, très efficace. Monsanto par exemple envoie de nombreux inspecteurs dans les champs. Les sanctions sont énormes, la firme fait payer des dommages et intérêts très lourds à des agriculteurs. C’est un traité très en faveur de ceux qui font leur commerce sur la propriété intellectuelle », résume l’avocat.
ACTA ne concernerait qu’une minorité de ces semences agricoles, celles qui sont protégées par un brevet. Mais leur nombre est en constante hausse. En principe, dans l’Union européenne, la production et l’utilisation des semences sont protégées par un Certificat d’obtention végétale (COV). Plus souple que le brevet, il offre une certaine liberté aux semenciers et agriculteurs. Il permet ainsi à tout sélectionneur d’employer librement une variété protégée pour en créer une autre, une utilisation libre à titre expérimental sans production.
Quant à l’agriculteur, il peut - sous conditions restreintes - garder une partie de ses semences pour l’année suivante. Ce système, instauré en 1968, a contribué à freiner le monopole de grands groupes semenciers.
De plus en plus de fruits ou de légumes brevetés en Europe
Mais depuis une quinzaine d’années, la législation a complété le principe du COV. D’une part, avec les organismes génétiquement modifiés (OGM), dont la culture et l’expérimentation sont sans cesse en débat au sein de l’Union européenne. Ils sont bien sûr protégés par un brevet. Ensuite, par la directive 98/44, adoptée par l’UE en 1998 et qui protège toutes les inventions biotechnologiques. Breveter une variété est toujours interdit mais en revanche, un procédé de sélection ou un gène sont brevetables. Le gène peut être choisi parce qu’il est résistant à la sécheresse, par exemple. Autrement dit, le brevet n’est plus réservé aux OGM.
Conséquence : « Si un gène à l’intérieur d’une graine est breveté, c’est toute la graine qui est protégée par le droit. Les semences, les fruits, légumes issus de ces procédés brevetés le sont aussi », constate Anne-Charlotte Moy, juriste au sein du réseau Semences paysannes et d’Inf’OGM.
Pas moins de 1 800 brevets ont été accordés sur des plantes par l’Office européen des brevets (OEB), selon la coalition militante « No patents on seeds » [1]. Dans le domaine agricole, il s’agit essentiellement de légumes ou de fruits. Récemment, l’autorisation a été attribuée à des melons de la firme agrochimique Monsanto. A force de pétitions et d’invectives à l’initiative de « No patents on seeds », la grande Chambre des recours de l’OEB a néanmoins annulé plusieurs brevets, sur le brocoli par exemple.
Chaque année, près de 150 demandes de brevets parviennent à l’OEB, pour des plantes non génétiquement modifiées. (...)"
J'ai l'impression en fait que "ces experts" et certaines multinationales ou laboratoires pharmaceutiques nous envoient comme message, "Sataniquement votre !"
J'en rigole même pas tout seul, tellement, c'est pourri.
D'ailleurs, même les pays émergents qui ont tant souffert des diktats du FMI clament que l'Europe n'en fait pas assez.
Et, que nous proposent-ils ?
De passer par le FMI, quitte à le refinancer !
(source : AFP, 26/02/2012)
"Le G20 réuni à Mexico devrait lancer dimanche à l'Europe un appel à la fermeté face à la crise de la dette publique, même si les tensions sur les marchés financiers se sont relâchées.
Les ministres des Finances et banquiers centraux de ce groupe de pays riches et émergents se sont retrouvés lors d'un dîner samedi. Ils ont prévu de publier une déclaration finale à 16H30 (22H30 GMT).
Selon un responsable d'une délégation non européenne, le G20 cherchait dans la nuit de samedi à dimanche un bon équilibre pour exhorter la zone euro à se doter de moyens financiers puissants, sans se montrer trop pressant à son égard.
D'après cette source, le communiqué pourrait affirmer que si les Européens répondent aux exigences de leurs partenaires, alors le reste du monde contribuerait davantage aux ressources du Fonds monétaire international, comme ils le souhaitent.
Le leitmotiv des ministres des Finances ces derniers mois a été le "pare-feu" dont est censée se doter la zone euro. Celui-ci doit éviter une nouvelle propagation de la crise de la dette, à un moment où des économies aussi grandes que l'Italie et l'Espagne plongent en récession. (...)"
Décidément, les pays émergents ne sont plus ce qu'ils étaient.
Mais, il faut dire que lorsqu'eux même étaient en proie au FMI, les pays européens ne leur ont pas fait de cadeaux et les ont renvoyé au.....FMI.
Juste retour des choses en quelque sorte.
Et, concernant l'agriculture, on ne doit pas compter sur eux, vu que l'Argentine et le Brésil sont des grands pourvoyeurs de graines OGM.
Et, que leur réussite économique en dépend de la même façon que le pétrole pour l'Arabie Saoudite.
Ce qui pour le Brésil justifie l'éradication de la forêt amazionnienne.
Mais, après tout, ils sont chez eux.
La preuve, le gouvernement brésilien ne fait rien contre les propriétaires qui utilisent les services de tueurs à gages pour liquider les militants du mouvement des sans terre.
Mais, passons et attendant le moment où ses productions, de trop se développer, subiront une baisse des prix suffisante pour remettre en cause le modèle de développement.
Mais, passons.
Parce qu'en Ethiopie, à cause de la construction d'un barrage qui détiendra lui aussi le record du plus grand barrage du monde, comme au Brésil, les populations locales sont vouées au final à l'extinction.
(source : Survival International)
"Survival révèle de graves violations de droits de l’homme en Ethiopie 22 Février
Survival International découvre de nouvelles preuves choquantes d’abus de droits de l’homme commis à l’encontre des tribus de la vallée de l’Omo, au moment où s’intensifient les efforts du gouvernement pour développer son programme de plantations de canne à sucre.
Les bulldozers rasent les terres et détruisent les villages à proximité d’un site classé au patrimoine mondial de l’Unesco, forçant les communautés locales à abandonner leur mode de vie pastoral.
Un lourd climat de frayeur règne, alimenté par une violence grandissante à l’encontre des tribus de l’Omo : de nombreux cas de brutalités, viols et arrestations ont été signalés. Les familles sont contraintes par le gouvernement de vendre leur bétail. Comme le dit un habitant de la vallée : ‘Mon bétail c’est ma fortune et mon compte en banque c’est mon bétail’.
Aussi récemment qu’en janvier dernier, Survival apprenait que trois Bodi avaient été frappés à mort dans une prison éthiopienne.
Survival détient des photos exclusives d’une route en cours de construction traversant le territoire des tribus qui facilitera l’accès aux sites détruits au bulldozer.
Un Mursi a déploré : ‘Le gouvernement installe des plantations de canne à sucre sur ma terre. Quand vous les verrez, vous en pleurerez – il n’y a désormais plus de brousse dans la vallée de l’Omo’.
Deux instances des Nations-Unies ont déjà demandé à l’Ethiopie de fournir des preuves attestant que les tribus ont été consultées et que les projets de développement actuels n’affectent pas les régions classées au patrimoine mondial. Cependant, l’Ethiopie a ignoré ces appels.
Survival a également reçu des rapports inquiétants selon lesquels l’Ethiopie aurait amorcé son programme de ‘villagisation’, un processus de relocalisation forcée des tribus de la vallée de l’Omo.
Il a été donné un an aux communautés pour se reloger dans le cadre d’un programme similaire à celui qu’a récemment dénoncé Human Rights Watch dans la région de Gambella, à l’ouest de l’Ethiopie.
Un Mursi a expliqué à Survival : ‘Elles (les autorités gouvernementales) sont venues, ont pris notre terre et nous ont dit qu’elles voulaient déporter tous les habitants de la vallée de l’Omo dans un lieu unique qui ressemble à un camp’.
Survival International a déclaré aujourd’hui : ‘Le gouvernement éthiopien est responsable de certaines des plus flagrantes et des plus criminelles violations des droits de l’homme que nous ayons connues ces dernières années. En invoquant le ‘développement’ pour justifier la spoliation des terres indigènes, il espère se dédouaner de telles atrocités. Les investisseurs nationaux et privés seront les seuls à bénéficier de la liquidation des terres de la vallée de l’Omo alors que des tribus autosuffisantes sont confrontées à la destruction’."
Et, voilà, mes chers quatre lecteurs, sauf que si, nous ne sommes pas capables de nous défendre chez nous contre les abus des marchés financiers, comment pourrions-nous leur porter secours ?
Et, ce n'est pas le candidat socialiste qui nous aidera. Il est un peu trop notable à mon avis, pas marrant pour un sou et malgré ses discours, il ne fera rien contre les marchés financiers.
Demandez à ses lieutenants, eux même ancien lieutenants de strauss kahn, celui qui à la tête du FMI a contribué à mettre le peuple grec à genoux.
A bientôt.
René.
Vous croyez qu'ils vont nous lâcher, mes chers quatre lecteurs, ceux qui veulent mettre le vivant pour en tirer du profit et, ceci au détriment de tous ceux qui veulent se nourrir de leur potager.
Par contre, dans l'article qui suit, on peut se demander qui "commande" dans l'Union Européenne puisque les "experts" introduisent toujours plus des cavaliers parlementaires.
Vous savez, ces alinéas dans les textes de lois qui échappent à la vigilance vu l'abondance de termes techniques des desdits textes.
Ces experts qui servent les intérêts d'industries pour moi sont des délinquants en col blanc qui savent très bien que les cavaliers parlementaires qu'ils dissimulent dans les textes vont à l'encontre de l'intérêt ou même de la santé des citoyens européens.
Autrement, ces industries feraient leur proposition au grand jour, ne croyez-vous pas mes quatre chers lecteurs ?
Et, que gagnent ces experts prêts à mettre notre santé en danger ?
Et, à quoi servent les élus européens, si, ils ne sont pas capables de nous protéger ?
Sont-ils complices ?
Ou sont-ils si mal payés qu'ils laissent passer ?
En tout cas, c'est ce que je comprends de cet article.
(source : Terraeco.net)
"ACTA : notre agriculture aussi dans le viseur ?
Et si le traité ACTA ne frappait pas que vos disques durs, mais aussi vos assiettes ? Avec ce texte, l'Europe pourrait bien déclarer la guerre à la contrefaçon du vivant.
Le traité ACTA, qui effraye depuis plusieurs semaines les défenseurs de l’Internet libre, pourrait bien menacer, dans certains cas, la liberté de semer de nos agriculteurs et l’économie des semenciers européens.
Certes, les mots « semences » ou « agriculture » n’apparaissent pas dans ACTA (Accord commercial anti-contrefaçon). Mais en y regardant de plus près, le texte entend protéger « tous les secteurs de la propriété intellectuelle qui font l’objet des sections 1 à 7 de la Partie II de l’Accord sur les "Aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce" (ADPIC), dont le brevet ».
Des plantes, des animaux ou les médicaments sont eux aussi sous brevet. Donc, a priori, aucune différence de traitement entre des sacs à main et des sachets de semences. C’est cette ambiguïté que dénonce Sandrine Bélier, députée d’Europe Ecologie - Les Verts (EELV) au Parlement européen. « Bien sûr, on pourrait nous dire que c’est de la science-fiction. Mais ACTA échappe aux règles démocratiques. Ce traité est négocié en secret depuis trois ans. Quand il a été signé le 26 janvier (par la Commission européenne et par l’exécutif de 22 pays, ndlr), les députés n’avaient toujours pas connaissance du texte. On a dû se battre pour la transparence. C’est pourquoi nous restons dans une vision floue. Nous n’avons aucune garantie. »
Des sanctions lourdes
Les sanctions prévues par ACTA sont : la saisie voire la destruction des produits contrefaits aux frontières ou des amendes et une révision des procédures judiciaires du pays si nécessaire. Des « mesures correctives » qui pourraient intervenir sur simple suspicion, très peu appliquées au vivant actuellement en Europe. Pour Etienne Wéry, avocat spécialiste de la propriété intellectuelle, on peut imaginer des situations similaires à celles que connaissent les Etats-Unis, où le brevet fait loi. « Le titulaire du brevet n’aura qu’à faire saisir la marchandise. C’est un système privé, très efficace. Monsanto par exemple envoie de nombreux inspecteurs dans les champs. Les sanctions sont énormes, la firme fait payer des dommages et intérêts très lourds à des agriculteurs. C’est un traité très en faveur de ceux qui font leur commerce sur la propriété intellectuelle », résume l’avocat.
ACTA ne concernerait qu’une minorité de ces semences agricoles, celles qui sont protégées par un brevet. Mais leur nombre est en constante hausse. En principe, dans l’Union européenne, la production et l’utilisation des semences sont protégées par un Certificat d’obtention végétale (COV). Plus souple que le brevet, il offre une certaine liberté aux semenciers et agriculteurs. Il permet ainsi à tout sélectionneur d’employer librement une variété protégée pour en créer une autre, une utilisation libre à titre expérimental sans production.
Quant à l’agriculteur, il peut - sous conditions restreintes - garder une partie de ses semences pour l’année suivante. Ce système, instauré en 1968, a contribué à freiner le monopole de grands groupes semenciers.
De plus en plus de fruits ou de légumes brevetés en Europe
Mais depuis une quinzaine d’années, la législation a complété le principe du COV. D’une part, avec les organismes génétiquement modifiés (OGM), dont la culture et l’expérimentation sont sans cesse en débat au sein de l’Union européenne. Ils sont bien sûr protégés par un brevet. Ensuite, par la directive 98/44, adoptée par l’UE en 1998 et qui protège toutes les inventions biotechnologiques. Breveter une variété est toujours interdit mais en revanche, un procédé de sélection ou un gène sont brevetables. Le gène peut être choisi parce qu’il est résistant à la sécheresse, par exemple. Autrement dit, le brevet n’est plus réservé aux OGM.
Conséquence : « Si un gène à l’intérieur d’une graine est breveté, c’est toute la graine qui est protégée par le droit. Les semences, les fruits, légumes issus de ces procédés brevetés le sont aussi », constate Anne-Charlotte Moy, juriste au sein du réseau Semences paysannes et d’Inf’OGM.
Pas moins de 1 800 brevets ont été accordés sur des plantes par l’Office européen des brevets (OEB), selon la coalition militante « No patents on seeds » [1]. Dans le domaine agricole, il s’agit essentiellement de légumes ou de fruits. Récemment, l’autorisation a été attribuée à des melons de la firme agrochimique Monsanto. A force de pétitions et d’invectives à l’initiative de « No patents on seeds », la grande Chambre des recours de l’OEB a néanmoins annulé plusieurs brevets, sur le brocoli par exemple.
Chaque année, près de 150 demandes de brevets parviennent à l’OEB, pour des plantes non génétiquement modifiées. (...)"
J'ai l'impression en fait que "ces experts" et certaines multinationales ou laboratoires pharmaceutiques nous envoient comme message, "Sataniquement votre !"
J'en rigole même pas tout seul, tellement, c'est pourri.
D'ailleurs, même les pays émergents qui ont tant souffert des diktats du FMI clament que l'Europe n'en fait pas assez.
Et, que nous proposent-ils ?
De passer par le FMI, quitte à le refinancer !
(source : AFP, 26/02/2012)
"Le G20 réuni à Mexico devrait lancer dimanche à l'Europe un appel à la fermeté face à la crise de la dette publique, même si les tensions sur les marchés financiers se sont relâchées.
Les ministres des Finances et banquiers centraux de ce groupe de pays riches et émergents se sont retrouvés lors d'un dîner samedi. Ils ont prévu de publier une déclaration finale à 16H30 (22H30 GMT).
Selon un responsable d'une délégation non européenne, le G20 cherchait dans la nuit de samedi à dimanche un bon équilibre pour exhorter la zone euro à se doter de moyens financiers puissants, sans se montrer trop pressant à son égard.
D'après cette source, le communiqué pourrait affirmer que si les Européens répondent aux exigences de leurs partenaires, alors le reste du monde contribuerait davantage aux ressources du Fonds monétaire international, comme ils le souhaitent.
Le leitmotiv des ministres des Finances ces derniers mois a été le "pare-feu" dont est censée se doter la zone euro. Celui-ci doit éviter une nouvelle propagation de la crise de la dette, à un moment où des économies aussi grandes que l'Italie et l'Espagne plongent en récession. (...)"
Décidément, les pays émergents ne sont plus ce qu'ils étaient.
Mais, il faut dire que lorsqu'eux même étaient en proie au FMI, les pays européens ne leur ont pas fait de cadeaux et les ont renvoyé au.....FMI.
Juste retour des choses en quelque sorte.
Et, concernant l'agriculture, on ne doit pas compter sur eux, vu que l'Argentine et le Brésil sont des grands pourvoyeurs de graines OGM.
Et, que leur réussite économique en dépend de la même façon que le pétrole pour l'Arabie Saoudite.
Ce qui pour le Brésil justifie l'éradication de la forêt amazionnienne.
Mais, après tout, ils sont chez eux.
La preuve, le gouvernement brésilien ne fait rien contre les propriétaires qui utilisent les services de tueurs à gages pour liquider les militants du mouvement des sans terre.
Mais, passons et attendant le moment où ses productions, de trop se développer, subiront une baisse des prix suffisante pour remettre en cause le modèle de développement.
Mais, passons.
Parce qu'en Ethiopie, à cause de la construction d'un barrage qui détiendra lui aussi le record du plus grand barrage du monde, comme au Brésil, les populations locales sont vouées au final à l'extinction.
(source : Survival International)
"Survival révèle de graves violations de droits de l’homme en Ethiopie 22 Février
Survival International découvre de nouvelles preuves choquantes d’abus de droits de l’homme commis à l’encontre des tribus de la vallée de l’Omo, au moment où s’intensifient les efforts du gouvernement pour développer son programme de plantations de canne à sucre.
Les bulldozers rasent les terres et détruisent les villages à proximité d’un site classé au patrimoine mondial de l’Unesco, forçant les communautés locales à abandonner leur mode de vie pastoral.
Un lourd climat de frayeur règne, alimenté par une violence grandissante à l’encontre des tribus de l’Omo : de nombreux cas de brutalités, viols et arrestations ont été signalés. Les familles sont contraintes par le gouvernement de vendre leur bétail. Comme le dit un habitant de la vallée : ‘Mon bétail c’est ma fortune et mon compte en banque c’est mon bétail’.
Aussi récemment qu’en janvier dernier, Survival apprenait que trois Bodi avaient été frappés à mort dans une prison éthiopienne.
Survival détient des photos exclusives d’une route en cours de construction traversant le territoire des tribus qui facilitera l’accès aux sites détruits au bulldozer.
Un Mursi a déploré : ‘Le gouvernement installe des plantations de canne à sucre sur ma terre. Quand vous les verrez, vous en pleurerez – il n’y a désormais plus de brousse dans la vallée de l’Omo’.
Deux instances des Nations-Unies ont déjà demandé à l’Ethiopie de fournir des preuves attestant que les tribus ont été consultées et que les projets de développement actuels n’affectent pas les régions classées au patrimoine mondial. Cependant, l’Ethiopie a ignoré ces appels.
Survival a également reçu des rapports inquiétants selon lesquels l’Ethiopie aurait amorcé son programme de ‘villagisation’, un processus de relocalisation forcée des tribus de la vallée de l’Omo.
Il a été donné un an aux communautés pour se reloger dans le cadre d’un programme similaire à celui qu’a récemment dénoncé Human Rights Watch dans la région de Gambella, à l’ouest de l’Ethiopie.
Un Mursi a expliqué à Survival : ‘Elles (les autorités gouvernementales) sont venues, ont pris notre terre et nous ont dit qu’elles voulaient déporter tous les habitants de la vallée de l’Omo dans un lieu unique qui ressemble à un camp’.
Survival International a déclaré aujourd’hui : ‘Le gouvernement éthiopien est responsable de certaines des plus flagrantes et des plus criminelles violations des droits de l’homme que nous ayons connues ces dernières années. En invoquant le ‘développement’ pour justifier la spoliation des terres indigènes, il espère se dédouaner de telles atrocités. Les investisseurs nationaux et privés seront les seuls à bénéficier de la liquidation des terres de la vallée de l’Omo alors que des tribus autosuffisantes sont confrontées à la destruction’."
Et, voilà, mes chers quatre lecteurs, sauf que si, nous ne sommes pas capables de nous défendre chez nous contre les abus des marchés financiers, comment pourrions-nous leur porter secours ?
Et, ce n'est pas le candidat socialiste qui nous aidera. Il est un peu trop notable à mon avis, pas marrant pour un sou et malgré ses discours, il ne fera rien contre les marchés financiers.
Demandez à ses lieutenants, eux même ancien lieutenants de strauss kahn, celui qui à la tête du FMI a contribué à mettre le peuple grec à genoux.
A bientôt.
René.
samedi 25 février 2012
Salut aux citoyens de l'Europe. A eux, je dis, "Tous ensemble" pour combattre la corruption de nos élus politiques !
Mes quatre chers lecteurs, finalement, à mon grand âge, ma vue baisse. Rien de plus normal, mais, sachez que ce qui m'a éloigné de l'écran est dû quand même en partie à sa luminosité.
Cependant, j'ai gardé les oreilles grandes ouvertes et j'ai constaté que, ce sarko, quel bonimenteurs ! (Boniment : familièrement discours trompeur destiné à berner)
Et, il nous refait la musique du pouvoir d'achat et de la valeur travail. En fait, il ne se fatigue pas et reprend ses discours de la campagne présidentielle de 2007.
Comme, en général, il fait des copiés collés de ses discours, vous devriez retrouver les mêmes phrases et les même mots et même écrire, selon les sujets qu'il compte aborder, ses futurs discours.
En tout cas, il faut le crier bien fort, "Il est le sauveur de la Grèce !"
Au point que la centaine de milliards accordés à la Grèce doit servir uniquement à rembourser la dette. Pourtant, la question qui me taraude est,
"Mais, pourquoi attendre ?"
"Mais, pourquoi ne donnent-ils pas directement cet argent aux créanciers ?"
Ah, oui, c'est vrai, il faut payer les intérêts qui continuent à se rajouter tant que le remboursement n'est pas effectué.
Donc, en attendant, les "salauds" continuent à augmenter leur pactole dont les états européens, d'ailleurs qui en font partie de ces salauds.
Ah, là, là, heureusement que le premier ministre grec issu de l'écurie de la banque américaine Goldman Sachs est là pour garantir que la dette sera remboursée jusqu'au moindre centime, quitte à laisser crever le peuple grec. Ce qui est d'ailleurs en train de se passer.
A cela, vous ajouter une pincée de promesses bidons, du genre prime à l'emploi, et vous y êtes.
En tout cas, et pour changer de sujet, parmi la volaille comme dit une chanson de la course présidentielle, Hollande a fait une "promesse" intéressante, celle d'obliger les sociétés qui rachètent leur concurrente pour les faire disparaître à les céder de manière à ce que l'activité ne disparaisse pas du paysage.
(source : Libération, vendredi 24 février)
«Je sais que vous espérez que les hauts fourneaux puissent rouvrir». Les deux hauts-fourneaux de Florange sont à l'arrêt depuis octobre. Les syndicalistes sont convaincus que leur arrêt de mort a été signé mais la direction d'Arcelor France parle d'arrêt temporaire.
«Si Mittal ne veut plus de vous, ce qui serait un grand tort de sa part», a relevé le candidat PS, «s'il est animé que par des intérêts financiers et non industriels, alors même qu'il avait dit qu'il venait comme industriel», «je suis prêt à ce que nous déposions une proposition de loi» (PPL), a lancé le député.
«Quand une grande firme ne veut plus d'une unité de production et ne veut pas non plus la céder nous en ferions obligation pour que les repreneurs viennent et puissent donner une activité supplémentaire», a-t-il dit du haut du camion qu'il avait gravi avec une échelle."
Voilà, à mon zvis, une vraie proposition.
Enfin "UNE !"
Ouf, la campagne est sauvée parce qu'à part Jean Luc Mélenchon, pour le moment, elle ne plane pas haut, à part dans les sondages qui me paraissent parfois bien orientés.
Peut-être pour justifier une candidature ou faire pencher vers le vote utile.
Hélas pour sarko, il y a trop de gens à droite qui le déteste et qui ne voteront pas pour lui. Certains vont vers le vote front national sans que cela puisse suffire pour faire de Marine Lepen une candidate du deuxième tour.
Blague à part, voilà, une sacrée bonne idée, sauf que personnellement, à la place de Hollande, j'aurais déclaré que l'état pourrait prendre en charge le fonctionnement de Florange. Une nationalisation, voilà, qui serait plus franc de collier.
Et, pas la même occasion, renégocier l'Europe afin que l'UE ne puisse s'ingérer sur le mode des modèles économiques qui fonctionnent en Europe.
La France devrait pouvoir garder ses services publics, surtout lorsqu'ils sont bénéficiaires, sans avoir à les revendre secteur par secteur aux capitaux privés.
Parce que si, je me souviens bien, c'est lorsque Jospin était premier ministre et même avant avec Mitterrand que leur Europe a prévu de démanteler toutes les entreprises publiques.
N'est-ce pas, monsieur Hollande ?
Et, après ça; il vient nous faire la leçon et nous donner la bonne parole, le père Hollande.
On ne l'a pas entendu beaucoup protesté à l'époque quand il était secrétaire général du Parti Socialiste.
Normal, il était à fond la caisse d'accord.
Et, pour finir, cette nouvelle concernant les agriculteurs empoisonneurs.
(source : Sciences et Vie, Créé le 21-02-2012, Par Joël Ignasse)
"Résistance aux antibiotiques: l'effet boomerang
Un staphylocoque doré passé de l'homme à l'animal est devenu résistant aux antibiotiques lors de son passage chez les bêtes d’élevage. En cause : l’utilisation d’antibiotiques en agriculture.
Le Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) est une bactérie responsable d’infections cutanées et générales parfois sévères nécessitant des soins continus. En 2003, une nouvelle souche ST398 de cette bactérie est apparue dans les élevages de bétail et depuis elle infecte régulièrement les travailleurs agricoles qui entrent en contact avec des animaux contaminés. La souche est actuellement retrouvée chez les porcs, les dindes, les bovins, et d'autres animaux, elle a été détectée dans 47% des échantillons de viande aux États-Unis."
Eh, oui, mes quatre chers lecteurs, au bout du compte, c'est nous, les consommateurs qui sommes au bout de la chaîne.
Heureusement que sarko quand il a visité le salon de l'agriculteur leur a promis de supprimer les réglementations trop enquiquineuses pour eux, et protectrices pour nous.
Merci, d'avance pour tous ceux qui tomberont malade à cause des promesses de ce...."type".
A bientôt.
René.
Mes quatre chers lecteurs, finalement, à mon grand âge, ma vue baisse. Rien de plus normal, mais, sachez que ce qui m'a éloigné de l'écran est dû quand même en partie à sa luminosité.
Cependant, j'ai gardé les oreilles grandes ouvertes et j'ai constaté que, ce sarko, quel bonimenteurs ! (Boniment : familièrement discours trompeur destiné à berner)
Et, il nous refait la musique du pouvoir d'achat et de la valeur travail. En fait, il ne se fatigue pas et reprend ses discours de la campagne présidentielle de 2007.
Comme, en général, il fait des copiés collés de ses discours, vous devriez retrouver les mêmes phrases et les même mots et même écrire, selon les sujets qu'il compte aborder, ses futurs discours.
En tout cas, il faut le crier bien fort, "Il est le sauveur de la Grèce !"
Au point que la centaine de milliards accordés à la Grèce doit servir uniquement à rembourser la dette. Pourtant, la question qui me taraude est,
"Mais, pourquoi attendre ?"
"Mais, pourquoi ne donnent-ils pas directement cet argent aux créanciers ?"
Ah, oui, c'est vrai, il faut payer les intérêts qui continuent à se rajouter tant que le remboursement n'est pas effectué.
Donc, en attendant, les "salauds" continuent à augmenter leur pactole dont les états européens, d'ailleurs qui en font partie de ces salauds.
Ah, là, là, heureusement que le premier ministre grec issu de l'écurie de la banque américaine Goldman Sachs est là pour garantir que la dette sera remboursée jusqu'au moindre centime, quitte à laisser crever le peuple grec. Ce qui est d'ailleurs en train de se passer.
A cela, vous ajouter une pincée de promesses bidons, du genre prime à l'emploi, et vous y êtes.
En tout cas, et pour changer de sujet, parmi la volaille comme dit une chanson de la course présidentielle, Hollande a fait une "promesse" intéressante, celle d'obliger les sociétés qui rachètent leur concurrente pour les faire disparaître à les céder de manière à ce que l'activité ne disparaisse pas du paysage.
(source : Libération, vendredi 24 février)
«Je sais que vous espérez que les hauts fourneaux puissent rouvrir». Les deux hauts-fourneaux de Florange sont à l'arrêt depuis octobre. Les syndicalistes sont convaincus que leur arrêt de mort a été signé mais la direction d'Arcelor France parle d'arrêt temporaire.
«Si Mittal ne veut plus de vous, ce qui serait un grand tort de sa part», a relevé le candidat PS, «s'il est animé que par des intérêts financiers et non industriels, alors même qu'il avait dit qu'il venait comme industriel», «je suis prêt à ce que nous déposions une proposition de loi» (PPL), a lancé le député.
«Quand une grande firme ne veut plus d'une unité de production et ne veut pas non plus la céder nous en ferions obligation pour que les repreneurs viennent et puissent donner une activité supplémentaire», a-t-il dit du haut du camion qu'il avait gravi avec une échelle."
Voilà, à mon zvis, une vraie proposition.
Enfin "UNE !"
Ouf, la campagne est sauvée parce qu'à part Jean Luc Mélenchon, pour le moment, elle ne plane pas haut, à part dans les sondages qui me paraissent parfois bien orientés.
Peut-être pour justifier une candidature ou faire pencher vers le vote utile.
Hélas pour sarko, il y a trop de gens à droite qui le déteste et qui ne voteront pas pour lui. Certains vont vers le vote front national sans que cela puisse suffire pour faire de Marine Lepen une candidate du deuxième tour.
Blague à part, voilà, une sacrée bonne idée, sauf que personnellement, à la place de Hollande, j'aurais déclaré que l'état pourrait prendre en charge le fonctionnement de Florange. Une nationalisation, voilà, qui serait plus franc de collier.
Et, pas la même occasion, renégocier l'Europe afin que l'UE ne puisse s'ingérer sur le mode des modèles économiques qui fonctionnent en Europe.
La France devrait pouvoir garder ses services publics, surtout lorsqu'ils sont bénéficiaires, sans avoir à les revendre secteur par secteur aux capitaux privés.
Parce que si, je me souviens bien, c'est lorsque Jospin était premier ministre et même avant avec Mitterrand que leur Europe a prévu de démanteler toutes les entreprises publiques.
N'est-ce pas, monsieur Hollande ?
Et, après ça; il vient nous faire la leçon et nous donner la bonne parole, le père Hollande.
On ne l'a pas entendu beaucoup protesté à l'époque quand il était secrétaire général du Parti Socialiste.
Normal, il était à fond la caisse d'accord.
Et, pour finir, cette nouvelle concernant les agriculteurs empoisonneurs.
(source : Sciences et Vie, Créé le 21-02-2012, Par Joël Ignasse)
"Résistance aux antibiotiques: l'effet boomerang
Un staphylocoque doré passé de l'homme à l'animal est devenu résistant aux antibiotiques lors de son passage chez les bêtes d’élevage. En cause : l’utilisation d’antibiotiques en agriculture.
Le Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) est une bactérie responsable d’infections cutanées et générales parfois sévères nécessitant des soins continus. En 2003, une nouvelle souche ST398 de cette bactérie est apparue dans les élevages de bétail et depuis elle infecte régulièrement les travailleurs agricoles qui entrent en contact avec des animaux contaminés. La souche est actuellement retrouvée chez les porcs, les dindes, les bovins, et d'autres animaux, elle a été détectée dans 47% des échantillons de viande aux États-Unis."
Eh, oui, mes quatre chers lecteurs, au bout du compte, c'est nous, les consommateurs qui sommes au bout de la chaîne.
Heureusement que sarko quand il a visité le salon de l'agriculteur leur a promis de supprimer les réglementations trop enquiquineuses pour eux, et protectrices pour nous.
Merci, d'avance pour tous ceux qui tomberont malade à cause des promesses de ce...."type".
A bientôt.
René.
jeudi 23 février 2012
(blog à finir et à corriger)
Désolé, mes quatre chers lecteurs, hier, mes yeux à force de fréquenter l'écran de l'ordinateur voyaient trouble, donc, j'ai évité d'y poser les yeux.
Du coup, ce matin, je ne vois plus trouble les lettres du journal et je peux faire les mots fléchés dans le métro.
Mais, en attendant que mes yeux retrouvent leur clarté, l'Europe se corsette pour être belle pour les marchés financiers, mais, pas pour les citoyens.
Elle va faire payer les pauvres pour les frasques gouvernementales qui ont favorisés les riches, les multinationales et les différentes industries qui pratiquent un lobbying carnivore.
La question étant que les socialistes français se sont abstenus. Comme, s'il n'avait pas d'opinion tranché sur le sujet.
Alors, à quoi sert-il que leur candidat chante sur tous les toits qu'il reviendra sur le traité de Lisbonne qu'ils ont accepté.
Pourtant, le peuple français lors d'un référendum avait dit non, non à toutes les injustices véhiculées par le précédent. Sarko n'en a pas tenu compte, il a traité le résultat par le mépris en magouillant le traité de Lisbonne.
Et, maintenant, il annonce vouloir remettre au goût du jour le référendum, il nous prend vraiment pour des cons. Parce que si, le résultat ne lui plaît pas, il n'en tiendra aucun compte.
(source : Agoravox)
Avec le MES le parlement français vote le coup d’état permanent européen !
"(...) Comment ça marche ?
A l’instar du FESF, chaque Etat de la zone euro contribuera au capital du MES. Pour apporter une assistance financière, le MES disposera de deux types d’instruments : des prêts à court ou moyen terme, ainsi que des interventions sur les marchés des émissions souveraines – autrement dit, le marché de la dette soumis à de fortes pressions depuis la crise de l’été dernier. Avec le Fonds monétaire international (FMI), le MES proposera un protocole d’accord au pays demandeur : un package de mesures d’austérité, que les deux fonds estimeront nécessaires pour pouvoir enrayer la crise, en échange de l’argent prêté. L’intervention du MES s’accompagnera d’une participation du secteur privé.
Ce qui n’est pas dit explicitement ici c’est que ces fonds seront débloqués pour réduire vos déficits et votre dette. C’est tout. Pas pour faire des dépenses d’investissement sociaux et économiques chez vous bien au contraire ! Mais surtout :
une fois le protocole d’accord signé entre le pays demandeur et le MES, aucune action judiciaire ou administrative ne peut en effet être engagé contre le fonds et les conditions qu’il impose à ses débiteurs.
C’est cela une dictature financière. On te prête de l’argent pour renflouer la dette mais en échange des mesures d’austérité drastiques payées par les peuples. C’est où ça ou crève. Et ce fonds européen sera abondé par les états souverains et pas par les banques voyez-vous. La France va mettre 16 milliards d’argent frais au pot en 2012 ! Du racket pur et simple."
Vraiment, ces socialistes qui sont de fait ultra-libéraux. Ils n'en rien fait pour dire non franchement parce que cela les arrange et qu'au fond, ils sont d'accord avec sarko.
Mais, "shut !", il ne faut surtout pas le dire. Mais, au moins le faire comprendre aux partenaires européens à travers une abstention.
Eux, aussi, il faudrait qu'il arrête de nous prendre pour des cons.
Désolé, mes quatre chers lecteurs, hier, mes yeux à force de fréquenter l'écran de l'ordinateur voyaient trouble, donc, j'ai évité d'y poser les yeux.
Du coup, ce matin, je ne vois plus trouble les lettres du journal et je peux faire les mots fléchés dans le métro.
Mais, en attendant que mes yeux retrouvent leur clarté, l'Europe se corsette pour être belle pour les marchés financiers, mais, pas pour les citoyens.
Elle va faire payer les pauvres pour les frasques gouvernementales qui ont favorisés les riches, les multinationales et les différentes industries qui pratiquent un lobbying carnivore.
La question étant que les socialistes français se sont abstenus. Comme, s'il n'avait pas d'opinion tranché sur le sujet.
Alors, à quoi sert-il que leur candidat chante sur tous les toits qu'il reviendra sur le traité de Lisbonne qu'ils ont accepté.
Pourtant, le peuple français lors d'un référendum avait dit non, non à toutes les injustices véhiculées par le précédent. Sarko n'en a pas tenu compte, il a traité le résultat par le mépris en magouillant le traité de Lisbonne.
Et, maintenant, il annonce vouloir remettre au goût du jour le référendum, il nous prend vraiment pour des cons. Parce que si, le résultat ne lui plaît pas, il n'en tiendra aucun compte.
(source : Agoravox)
Avec le MES le parlement français vote le coup d’état permanent européen !
"(...) Comment ça marche ?
A l’instar du FESF, chaque Etat de la zone euro contribuera au capital du MES. Pour apporter une assistance financière, le MES disposera de deux types d’instruments : des prêts à court ou moyen terme, ainsi que des interventions sur les marchés des émissions souveraines – autrement dit, le marché de la dette soumis à de fortes pressions depuis la crise de l’été dernier. Avec le Fonds monétaire international (FMI), le MES proposera un protocole d’accord au pays demandeur : un package de mesures d’austérité, que les deux fonds estimeront nécessaires pour pouvoir enrayer la crise, en échange de l’argent prêté. L’intervention du MES s’accompagnera d’une participation du secteur privé.
Ce qui n’est pas dit explicitement ici c’est que ces fonds seront débloqués pour réduire vos déficits et votre dette. C’est tout. Pas pour faire des dépenses d’investissement sociaux et économiques chez vous bien au contraire ! Mais surtout :
une fois le protocole d’accord signé entre le pays demandeur et le MES, aucune action judiciaire ou administrative ne peut en effet être engagé contre le fonds et les conditions qu’il impose à ses débiteurs.
C’est cela une dictature financière. On te prête de l’argent pour renflouer la dette mais en échange des mesures d’austérité drastiques payées par les peuples. C’est où ça ou crève. Et ce fonds européen sera abondé par les états souverains et pas par les banques voyez-vous. La France va mettre 16 milliards d’argent frais au pot en 2012 ! Du racket pur et simple."
Vraiment, ces socialistes qui sont de fait ultra-libéraux. Ils n'en rien fait pour dire non franchement parce que cela les arrange et qu'au fond, ils sont d'accord avec sarko.
Mais, "shut !", il ne faut surtout pas le dire. Mais, au moins le faire comprendre aux partenaires européens à travers une abstention.
Eux, aussi, il faudrait qu'il arrête de nous prendre pour des cons.
mardi 21 février 2012
Salut au père Nicolas, le russe évidemment, qui balance des cadeaux dans toutes les cheminées.
Parfois, je me demande, mes quatre lecteurs, si l'Islam ne véhicule pas des valeurs plus humaine que l'ultra-libéralisme.
Oui, je me pose la question.
Evidemment, parmi vous, il y en a qui vont être mort de rire.
Eh, bien qu'ils déchantent !
Pourquoi ?
L'ultra-libéralisme en plaçant le "PROFIT" comme seul but à atteindre quitte à mettre la morale de côté nous replace à cette période biblique du culte du veau d'or.
Pour ce faire, ils mettent tout en coupe réglé, les êtres humains et l'environnement. Le pire est qu'ils mettent même le vivant en coupe réglée.
Et, la recherche devenant le prétexte à celle-ci.
Par exemple, les brevets des laboratoires pharmaceutiques élaborés à travers les plantes traditionnelles et qui donne prétexte à ces industries pour poser une loi interdisant l'utilisation de ces plantes.
Ou alors, Mosanto qui fait voter une loi (loi HR 875) par le gouvernement américain pour obliger les individus qui cultivent des jardins potagers à n'utiliser que leurs graînes.
Evidemment, l'Europe a suivi en votant une loi en ce sens.
Bon, vous me direz du discours, encore du discours, quel rapport avec l'Islam ?
Eh, bien, je vais vous dire, l'Islam condamne l'usure, voilà.
Et, l'usure comme vous le savez est le propre des banques.
Que en Islam, vous pouvez envoyer de l'argent sans qu'il ne vous en coûte un sou d'intérêt, voilà pourquoi, sur ce point fondamental, l'Islam est supérieur à l'ultra-libéralisme.
Rendez-vous compte, mes quatre chers lecteurs, le monstre qu'a enfanté l'ultra-libéralisme est en voie de transformer les peuples des pays occidentaux en nouveaux serfs.
Donc, nous aurons par rapport à la Chine et à tous les pays qui n'adhéreront pas la réapparition de politique de blocs. Et, à nouveau la guerre !
Heureusement que les musulmans ont un livre sacré, le Coran, qui s'oppose dans l'esprit même au développement de ce nouveau type de fonctionnement sociale.
Bien sûr, vous pouvez ne pas être d'accord, mais, pour moi, l'Islam a cet avantage, que la condamnation d'une telle dérive est inscrite dans son livre sacré.
Voilà, ce que je pense, mes quatre chers lecteurs, peut-être devrions tous nous faire musulman ?
Mais, non, je plaisante.
En tout cas, il est clair que nos dirigeants nous ont trahi et se sont vendus en nous vendant à cette clique de gros capitaux qui rêvent tout haut de devenir les maîtres du monde.
C'est bien pour cela, d'ailleurs, qu'ils sont prêts à déclencher des guerres ou à déclencher "LA" guerre.
En sachant que la guerre, souvent, est le moyen le plus rapide pour écraser les oppositions.
N'oublions pas que ce sont les bushs, les sarkos, les tatchers qui génèrent les conflits pour servir des intérêts qui ne sont pas ceux des nations qu'ils président.
Mais, passons de mes élucubrations, car, la vie continue et le contingent militaire en Afghanistan continue à se faire aimer de la population.
(source : voila.actualités)
"Afghanistan: fureur après que des soldats américains ont brûlé des Corans.
Des milliers d'Afghans manifestaient violemment mardi devant la plus grande base militaire américaine d'Afghanistan, près de Kaboul, accusant les troupes étrangères d'avoir brûlé des exemplaires du Coran.
Des milliers de personnes se sont massées devant la base de Bagram, à 60 km au Nord de la capitale, lançant des cocktails Molotov qui ont mis feu à l'un des portails, a rapporté un photographe de l'AFP sur place.
Le commandant en chef de la force internationale de l'Otan (Isaf), le général américain John Allen, a présenté ses "excuses" au "noble peuple d'Afghanistan" après des "informations" indiquant que "des soldats de la base de Bagram se sont débarrassés de manière inconvenante dans la nuit d'un nombre important de documents islamiques, dont des Corans."
Drôle de guerre, en vérité que les occidentaux ont été faire en Afghanistan. Finalement, seul, Jacques Chirac avait eu le courage et l'intelligence de ne pas intervenir en Irak. Notre président national, lui, s'est cru dans le club des cinq, fiers d'envoyer des soldats français se faire tuer à côté du grand frère américain.
Il nous a fait un tas de baratin et au final, personne ne sait plus pourquoi les soldats français ont été mourir là-bas.
Ah, oui, c'est vrai, ils sont morts pour que les chefs de guerre corrompus puissent s'en mettre encore plus dans les poches avec l'argent de nos impôts et ceux des citoyens américains. Et, que l'industrie militaro-industrielle américaine puisse engranger des centaines de millions et......quelques hommes politiques par société de sécurité interposée?
C'est une réussite !
Par contre, si, on avait laissé les talibans se débarrasser de ben laden et de Al Quaïda, ils l'auraient sûrement fait plus vite et peut-être plus radicalement.
Mais, on ne refait pas l'histoire, n'est-ce pas mes quatre chers lecteurs ?
Et, sur ces bonnes paroles, je vous la fait courte aujourd'hui.
A bientôt.
René.
Parfois, je me demande, mes quatre lecteurs, si l'Islam ne véhicule pas des valeurs plus humaine que l'ultra-libéralisme.
Oui, je me pose la question.
Evidemment, parmi vous, il y en a qui vont être mort de rire.
Eh, bien qu'ils déchantent !
Pourquoi ?
L'ultra-libéralisme en plaçant le "PROFIT" comme seul but à atteindre quitte à mettre la morale de côté nous replace à cette période biblique du culte du veau d'or.
Pour ce faire, ils mettent tout en coupe réglé, les êtres humains et l'environnement. Le pire est qu'ils mettent même le vivant en coupe réglée.
Et, la recherche devenant le prétexte à celle-ci.
Par exemple, les brevets des laboratoires pharmaceutiques élaborés à travers les plantes traditionnelles et qui donne prétexte à ces industries pour poser une loi interdisant l'utilisation de ces plantes.
Ou alors, Mosanto qui fait voter une loi (loi HR 875) par le gouvernement américain pour obliger les individus qui cultivent des jardins potagers à n'utiliser que leurs graînes.
Evidemment, l'Europe a suivi en votant une loi en ce sens.
Bon, vous me direz du discours, encore du discours, quel rapport avec l'Islam ?
Eh, bien, je vais vous dire, l'Islam condamne l'usure, voilà.
Et, l'usure comme vous le savez est le propre des banques.
Que en Islam, vous pouvez envoyer de l'argent sans qu'il ne vous en coûte un sou d'intérêt, voilà pourquoi, sur ce point fondamental, l'Islam est supérieur à l'ultra-libéralisme.
Rendez-vous compte, mes quatre chers lecteurs, le monstre qu'a enfanté l'ultra-libéralisme est en voie de transformer les peuples des pays occidentaux en nouveaux serfs.
Donc, nous aurons par rapport à la Chine et à tous les pays qui n'adhéreront pas la réapparition de politique de blocs. Et, à nouveau la guerre !
Heureusement que les musulmans ont un livre sacré, le Coran, qui s'oppose dans l'esprit même au développement de ce nouveau type de fonctionnement sociale.
Bien sûr, vous pouvez ne pas être d'accord, mais, pour moi, l'Islam a cet avantage, que la condamnation d'une telle dérive est inscrite dans son livre sacré.
Voilà, ce que je pense, mes quatre chers lecteurs, peut-être devrions tous nous faire musulman ?
Mais, non, je plaisante.
En tout cas, il est clair que nos dirigeants nous ont trahi et se sont vendus en nous vendant à cette clique de gros capitaux qui rêvent tout haut de devenir les maîtres du monde.
C'est bien pour cela, d'ailleurs, qu'ils sont prêts à déclencher des guerres ou à déclencher "LA" guerre.
En sachant que la guerre, souvent, est le moyen le plus rapide pour écraser les oppositions.
N'oublions pas que ce sont les bushs, les sarkos, les tatchers qui génèrent les conflits pour servir des intérêts qui ne sont pas ceux des nations qu'ils président.
Mais, passons de mes élucubrations, car, la vie continue et le contingent militaire en Afghanistan continue à se faire aimer de la population.
(source : voila.actualités)
"Afghanistan: fureur après que des soldats américains ont brûlé des Corans.
Des milliers d'Afghans manifestaient violemment mardi devant la plus grande base militaire américaine d'Afghanistan, près de Kaboul, accusant les troupes étrangères d'avoir brûlé des exemplaires du Coran.
Des milliers de personnes se sont massées devant la base de Bagram, à 60 km au Nord de la capitale, lançant des cocktails Molotov qui ont mis feu à l'un des portails, a rapporté un photographe de l'AFP sur place.
Le commandant en chef de la force internationale de l'Otan (Isaf), le général américain John Allen, a présenté ses "excuses" au "noble peuple d'Afghanistan" après des "informations" indiquant que "des soldats de la base de Bagram se sont débarrassés de manière inconvenante dans la nuit d'un nombre important de documents islamiques, dont des Corans."
Drôle de guerre, en vérité que les occidentaux ont été faire en Afghanistan. Finalement, seul, Jacques Chirac avait eu le courage et l'intelligence de ne pas intervenir en Irak. Notre président national, lui, s'est cru dans le club des cinq, fiers d'envoyer des soldats français se faire tuer à côté du grand frère américain.
Il nous a fait un tas de baratin et au final, personne ne sait plus pourquoi les soldats français ont été mourir là-bas.
Ah, oui, c'est vrai, ils sont morts pour que les chefs de guerre corrompus puissent s'en mettre encore plus dans les poches avec l'argent de nos impôts et ceux des citoyens américains. Et, que l'industrie militaro-industrielle américaine puisse engranger des centaines de millions et......quelques hommes politiques par société de sécurité interposée?
C'est une réussite !
Par contre, si, on avait laissé les talibans se débarrasser de ben laden et de Al Quaïda, ils l'auraient sûrement fait plus vite et peut-être plus radicalement.
Mais, on ne refait pas l'histoire, n'est-ce pas mes quatre chers lecteurs ?
Et, sur ces bonnes paroles, je vous la fait courte aujourd'hui.
A bientôt.
René.
lundi 20 février 2012
(blog à finir et à corriger)
Mais, que va dire le candidat socialiste aux ouvriers métallurgistes de ArcelorMittal de Florange qui occupent les locaux de la direction ?
Comme Lionel Jospin, un truc comme, "Je ne commande pas les industriels".
A mon avis, rien !
Tout simplement parce Mittal a toujours eu l'intention de liquider ce qu'il restait de la métallurgie française.
Cela s'appelle, supprimer la concurrence en la rachetant avant liquidation.
Moins, il y a de producteurs, mieux, on peut imposer son prix.
Pourtant, les syndicats assurent que les carnets de commande sont pleins.
Alors ?
La fin de l'industrie métallurgique en France, après, celle du textile, voici, l'un des grands tournants que connaît la nation.
Euh, nationaliser ?
Mis, que dites-vous, mes chers quatre lecteurs, rendez-vous compte, il n'y a plus d'argent dans les caisses, surtout avec les 500 milliards que nous a rajouté notre président national.
Alors, si, le candidat socialiste n'y peut pas grand chose, sarko ne bougera en rien, peut-être faire renvoyer la décision à après les élections pour pouvoir chantonner qu'il a fait changer la position de la famille Mittal.
Il nous fera alors, "Et, bla bla, et bla bla...POUR LA FRANCE !"
Eh, oui, c'est cela aussi se soumettre à la loi des marchés, les laisser dépouiller un état de ses industries lourdes....et du reste.
Mais, pourquoi Hollande n'y pourrait rien ?
Simple, parce qu'il respecte la liberté des marchés malgré ses déclarations et qu'il s'arrange pour leur donner des gages pendant qu'il nous sert la soupe.
Alors, lui ou sarko entre-nous, même, si, ce n'est pas blanc bonnet et bonnet blanc, c'est pas lui qui va nous sauver la mise.
N'oublions pas qu'il est entouré du noyau dur des strauss kahnien qui sont, disons-le, ultra-libéraux.
D'ailleurs, j'espère que les électeurs sauront s'en souvenir et qu'ils éliront d'autres candidats que les valls et moscovici en choisissant chez les verts ou au front de gauche.
Mais, revenons à notre sujet.
Donc, maintenant ou l'année prochaine, ArcelorMittal de Florange, c'est mort.
A moins, à moins, de nationaliser, de remettre à flot et revendre avec "PROFIT", si, effectivement ce que disent les syndicats sur les carnets de commande est vrai.
Evidemment, tout le monde n'est pas comme sarko à penser à détruire notre pouvoir d'achat.
Par exemple, en Iran, les autorités pensent à donner du pain aux plus malheureux.
Et, pour ce faire, mes quatre chers lecteurs, ils commettent une pression insupportables sur le marché du blé.
Et, cela risque d'inciter certains spéculateurs à y intervenir.
Donc, le meilleur prix, c'est l'Iran qui va en bénéficier.
Alors, que chez nous, dans la France FORTE, c'est la baguette qui va augmenter.
En apparté, je dirais que la france Forte me rappelle le slogan bidonnant de Ségoleine Royale sur le machin juste, le truc juste de des meilleurs et j'en passe.
Sarko, ça serait plutôt le juste prix par exemple le bouclier fiscal.
D'accord, je m'égare, revenons-en à l'article.
(source : blogfinance)
"Iran : achat massif de blé auprès de la Russie
cereales-ble.jpgImpact à prévoir tant sur le plan diplomatique qu'au niveau des cours de matières premières.
Selon des informations communiquées par des traders à des médias occidentaux, l'Iran a acquis environ 500.000 tonnes de blé russe au cours de la semaine qui vient de s'écouler.
Téhéran mènerait actuellement des négociations en vue d'accroître le volume de ses achats. Tout en étudiant parallèlement la possibilité de régler ses factures en roubles, les sanctions internationales décrétées contre elles l'empêchant d'effectuer ses transactions en euros ou en dollars.
Si l'on en croit la presse internationale, ces deux dernières semaines, l'Iran a nettement augmenté son activité sur le marché mondial de blé, acquérant, 1,1 million de tonnes de blé via d'autres devises que le billet vert.
L'Iran mène également des tractations en vue de troquer ses achats de blé contre son pétrole et son or."
Ben, dites donc. Eh, oui, nos yeux se fixent sur cette actualité et pendant ce temps Mosanto avance ses pions pour nous interdire....de planter notre potager.
Pour nous obliger à acheter ses graines, comme veut le faire les grands semenciers en Europe.
"Monsanto propose une loi pour interdire les potagers des particuliers, la loi HR 875." (trouver sur le net)
Alors, qu'est-ce qui est le plus important pour nous, l'Iran ou ces salauds qui tentent de nous empêcher de vivre et qui font tout pour que le moindre acte de notre vie puisse être traduit en brevets pour transformer notre sueur en pièces de monnaie qui tombe dans leur escarcelle.
Mais, que va dire le candidat socialiste aux ouvriers métallurgistes de ArcelorMittal de Florange qui occupent les locaux de la direction ?
Comme Lionel Jospin, un truc comme, "Je ne commande pas les industriels".
A mon avis, rien !
Tout simplement parce Mittal a toujours eu l'intention de liquider ce qu'il restait de la métallurgie française.
Cela s'appelle, supprimer la concurrence en la rachetant avant liquidation.
Moins, il y a de producteurs, mieux, on peut imposer son prix.
Pourtant, les syndicats assurent que les carnets de commande sont pleins.
Alors ?
La fin de l'industrie métallurgique en France, après, celle du textile, voici, l'un des grands tournants que connaît la nation.
Euh, nationaliser ?
Mis, que dites-vous, mes chers quatre lecteurs, rendez-vous compte, il n'y a plus d'argent dans les caisses, surtout avec les 500 milliards que nous a rajouté notre président national.
Alors, si, le candidat socialiste n'y peut pas grand chose, sarko ne bougera en rien, peut-être faire renvoyer la décision à après les élections pour pouvoir chantonner qu'il a fait changer la position de la famille Mittal.
Il nous fera alors, "Et, bla bla, et bla bla...POUR LA FRANCE !"
Eh, oui, c'est cela aussi se soumettre à la loi des marchés, les laisser dépouiller un état de ses industries lourdes....et du reste.
Mais, pourquoi Hollande n'y pourrait rien ?
Simple, parce qu'il respecte la liberté des marchés malgré ses déclarations et qu'il s'arrange pour leur donner des gages pendant qu'il nous sert la soupe.
Alors, lui ou sarko entre-nous, même, si, ce n'est pas blanc bonnet et bonnet blanc, c'est pas lui qui va nous sauver la mise.
N'oublions pas qu'il est entouré du noyau dur des strauss kahnien qui sont, disons-le, ultra-libéraux.
D'ailleurs, j'espère que les électeurs sauront s'en souvenir et qu'ils éliront d'autres candidats que les valls et moscovici en choisissant chez les verts ou au front de gauche.
Mais, revenons à notre sujet.
Donc, maintenant ou l'année prochaine, ArcelorMittal de Florange, c'est mort.
A moins, à moins, de nationaliser, de remettre à flot et revendre avec "PROFIT", si, effectivement ce que disent les syndicats sur les carnets de commande est vrai.
Evidemment, tout le monde n'est pas comme sarko à penser à détruire notre pouvoir d'achat.
Par exemple, en Iran, les autorités pensent à donner du pain aux plus malheureux.
Et, pour ce faire, mes quatre chers lecteurs, ils commettent une pression insupportables sur le marché du blé.
Et, cela risque d'inciter certains spéculateurs à y intervenir.
Donc, le meilleur prix, c'est l'Iran qui va en bénéficier.
Alors, que chez nous, dans la France FORTE, c'est la baguette qui va augmenter.
En apparté, je dirais que la france Forte me rappelle le slogan bidonnant de Ségoleine Royale sur le machin juste, le truc juste de des meilleurs et j'en passe.
Sarko, ça serait plutôt le juste prix par exemple le bouclier fiscal.
D'accord, je m'égare, revenons-en à l'article.
(source : blogfinance)
"Iran : achat massif de blé auprès de la Russie
cereales-ble.jpgImpact à prévoir tant sur le plan diplomatique qu'au niveau des cours de matières premières.
Selon des informations communiquées par des traders à des médias occidentaux, l'Iran a acquis environ 500.000 tonnes de blé russe au cours de la semaine qui vient de s'écouler.
Téhéran mènerait actuellement des négociations en vue d'accroître le volume de ses achats. Tout en étudiant parallèlement la possibilité de régler ses factures en roubles, les sanctions internationales décrétées contre elles l'empêchant d'effectuer ses transactions en euros ou en dollars.
Si l'on en croit la presse internationale, ces deux dernières semaines, l'Iran a nettement augmenté son activité sur le marché mondial de blé, acquérant, 1,1 million de tonnes de blé via d'autres devises que le billet vert.
L'Iran mène également des tractations en vue de troquer ses achats de blé contre son pétrole et son or."
Ben, dites donc. Eh, oui, nos yeux se fixent sur cette actualité et pendant ce temps Mosanto avance ses pions pour nous interdire....de planter notre potager.
Pour nous obliger à acheter ses graines, comme veut le faire les grands semenciers en Europe.
"Monsanto propose une loi pour interdire les potagers des particuliers, la loi HR 875." (trouver sur le net)
Alors, qu'est-ce qui est le plus important pour nous, l'Iran ou ces salauds qui tentent de nous empêcher de vivre et qui font tout pour que le moindre acte de notre vie puisse être traduit en brevets pour transformer notre sueur en pièces de monnaie qui tombe dans leur escarcelle.
dimanche 19 février 2012
Salut aux anonymes du monde entier qui ne sont pas d'accord. Ils ont déjà préparé des lois pour une répression drastique, mais, ils ne tueront pas l'utopie.
Tiens, donc, mes quatre chers lecteurs, notre président national continue à verrouiller les postes stratégiques dans l'administration publique. Aujourd'hui, il s'attaque à l'INSEE (L’ Institut national de la statistique et des études économiques est chargé de la production, de l'analyse et de la diffusion des statistiques officielles).
Tudieu !
Parions que bientôt, l'Insee va nous vanter la remontée de la croissance en France, la baisse du chômage et l'explosion de la création d'emploi.
De quoi, nourrir la propagande sarkozienne, "C'est pas de ma faute, c'est la faute à l'autre".
(source : Médiapart, 17 FÉVRIER 2012 | PAR LAURENT MAUDUIT)
"Un sarkozyste doit être nommé à la tête de l'Insee
Selon nos informations, Nicolas Sarkozy envisage de prendre un décret en conseil des ministres pour installer au poste de directeur général de l'Insee Jean-Luc Tavernier, l'ex-directeur de cabinet d'Eric Woerth au ministère du budget. Cette possible promotion scandalise de nombreux économistes de l'Institut dont la crédibilité est assise sur son indépendance."
Eh, oui, le sarko, après nous avoir fait le coup de l'union de tous les français dans son gouvernement et avoir été plus ou moins modéré dans les nominations passe à la vitesse supérieure. Comme un parfum de fin de règne ?
Bon, d'accord, mes chers quatre lecteur, le point d'interrogation, c'est une fleur, histoire de ne pas être méchant.
En attendant, l'économie de la Côte d'Ivoire ne se porte pas bien.
A cause de qui ?
A cause des marchés, bien entendu !
Parce que, n'oublions pas que la spéculation sur les denrées alimentaires se poursuit joyeusement, mettant les économies concernées en danger et le bien être des citoyens dans le même sac.
Cette spéculation est d'autant plus efficace qu'elle accentue des conditions climatiques dans ces pays, peu favorables à une espèce de production.
Il suffit d'acheter en masse sur le marché à termes et d'attendre l'augmentation des prix avant mise en circulation dans le circuit économique.
(OK, je dis circuit économique pour ne pas répéter marché. C'est pas joli, mais, tant pis)
Pour juger de l'importance d'une chute des prix dans l'économie ivoirienne, un petit rappel :
(source : Direction du trésor et de la comptabilité publique)
"Le cours du café et du cacao.
La Côte d'Ivoire participe pour plus de 40 % à la production mondiale de cacao avec des récoltes supérieures à 1,1 millions de tonnes. Le cacao est et demeure la principale ressource économique du pays, assurant environ en moyenne 35 % de la valeur totale des exportations ivoiriennes et sept cent cinquante milliards de francs CFA (750 milliards FCFA) par an.
On compte environ 3 à 4 millions de personnes travaillant dans la filière cacao (producteurs, pisteurs, traitants, coopératives, exportateurs et transformateurs locaux) pour 2,5 millions d'hectares de plantations cacaoyères exploitées par environ 700.000 producteurs.
La filière café quant à elle est depuis le début des années 60 associée à la filière cacao dans une dynamique. (Binôme café-cacao). En Côte d'Ivoire quelques 300.000 planteurs de café gèrent environ 1.200.000 hectares de plantations dont 800.000 productifs."
Avez-vous pigé, mes quatre chers lecteurs, les dégâts que provoque la spéculation ajoutée à des
aléas climatiques sur la vie des gens et des états qui joue à la baisse en attendant de ramasser le jack pot ?
Du moins, je l'espère.
(source : le blogfinance)
"Café : le cours de l'arabica à son plus bas depuis fin 2010 (Par Elisabeth Studer le 19 février 2012)
Le cours de l'arabica a nettement chuté cette semaine, dégringolant même jeudi jusqu'à 197,80 cents la livre, ce qui correspond à son plus bas niveau depuis début novembre 2010."
Cacao : la baisse du cours continue (Par Elisabeth Studer le 12 février 2012)
Le cours du cacao a suivi la même tendance baissière cette semaine.
Les inquiétudes persistantes quant aux éventuels dégâts que pourraient causer les vents chauds aux récoltes ivoiriennes n'auront pas permis d'inverser les choses.
Après avoir dégringolé de 6 % la semaine dernière, le prix de la fève a encore accentué ses pertes. Raisons principales d'un tel phénomène : l'introduction fin janvier d'un nouveau système officiel de vente en Côte d'Ivoire, premier pays producteur de fèves brunes."
Eh, oui, on se demande comment la Côte d'Ivoire va pouvoir garantir ses prêts à court terme sur les marchés, à moins......de liquider les entreprises publiques, off course !
Et, pour finir parce qu'en France, nous sommes dimanche, ce titre : "La Grèce, le laboratoire continue !"
(source : skyrock, Publié par Giuditta à l'adresse 10/24/2011)
"L'EUROGENDFOR est debarquée en Gréce! Le silence "des agneaux" doit cesser immédiatement!
Préparatifs secrets pour l'intervention de l'EUROGENDFOR, la force européennespéciale, en Grèce!
La crise économique accompagnée d'une agitation sociale donnera à Bruxelles l'occasion de tester la capacité de réponse du groupe secret qui a été créé pour lutter contre les troubles et les soulèvement populaires en Europe.
L'EUROGENDFOR est un groupe secret avec son siège en Italie, et est prête à démarrer en Grèce, où elle a sa première opération d'envergure contre la population d'un Etat européen. La Grèce est en ébullition. Les protestations deviennent de plus in plus violentes. Préparatifs secrets de l'opération de la force spéciale européenne en Grèce!
P.S. Excuses moi la traduction qui suit.
Giuditta
Un aéroport désaffecté à Larissa cache le gouvernament militaire étrangère
(George Adalis, 24/10/2011)
Il y a deux semaines, nous avons eu les premières informations qui a débarqué un contingent étranger militaro-policière à Igoumenitsa !
Depuis lors, nous avons contacté diverses sources et tenté de perser les nouvelles, mais en vain! Personne ne sait ou ne savait rien au sujet, comme si elles venaient en Grèce ... des hirondelles et non pas une puissance étrangère.
Des sources indépendantes ont confirmé l'arrivée d'une puissance étrangère.
Le problème est que ce contingent était littéralement (entre temps) ... disparu!
Il semble que le gouvernement est totalement impliquée, car aujourd'hui, nous révèlent que le contingent que nous recherchons tous, s'est installé la semaine dernière, dans le camp de l'Aile de combat désaffecté 110 à Larissa!
Sous des informations exclusives d' AegeanTimes.gr, sont 300 personnes appartenant à la NATO!
La chose étrange est que lors de notre enquête, même si au début on ne savait rien, tout à coup, ils ont commencé à parler d'une petite unité qui est venu ici pour ... aller au Kosovo!
Ce qui est étrange, toutefois, que selon des témoins et des documents que nous avons à notre disposition, c'est une unité insolite ...!
Ni insignes, ni uniformes! Au lieu de cela, portaient des vêtements civils, des costumes, avec tous un petit sac à dos!
L'équipe est allé dans les petites pièces, comme s'ils voulaient se protéger des regards du monde!
[ ... ]
Selon un responsable à Bruxelles, avec lesquel nous sommes entrés en contact, toute l'Europe, sauf la Gréce, sait que cela est une unité hautement qualifiés, dont la mission est d'empêcher des mouvements de masse et de proteger des personnalités publiques (VIP).
«À Larissa sont seulement une petite partie d'entre eux, principalement des Tchèques," at-il dit perplexe!
«Ils sont arrivés ici, afin de protéger en première lieu, les responsables européens des réactions de colère de la foule et d'autre part, la protection des grandes entreprises européennes que sont susceptibles d'être ciblés par les insurgés!"
Selon les mêmes sources, plusieurs souches de ce groupe ont été formés pour réprimer les mouvements dissidents dans l'armée nationale!
De toute façon, cependant, le secret de leur arrivée, mais plutôt le lieu, est un coup dur pour le prestige et l'indépendance de notre pays, et les informations arrivée de l'étranger et pourquoi le gouvernement n'a pas explique aux gens quel est but d'avoir un une telle puissance militaire étrangère. De plus, ternir la réputation des forces armées grecques, à un moment où tout le monde a tourné les yeux vers l'armée grecque!
[ ... ]
Toutefois, la question va revenir très bientôt avec de nouvelles informations, parce que avec la situation en Grèce, le silence "des agneaux" doit cesser immédiatement, avant que il y a des conséquences pour notre démocratie elle-même. Si, après la révélation d'aujourd'hui n'est pas donné une réponse convaincante, nous pensons qu'il y aura des développements politiques dramatiques.
A l'heure actuelle, le ratio désormais appartient sans doute au ministre de la Défense et le Premier ministre!
Source:
http://www.aegeantimes.gr/article.asp?id=37012&type=1&kata=0"
Ben, dites donc, l'Europe ne ferait pas confiance aux militaires grecs pour massacrer le peuple grec ?
Il est vrai que le premier ministre actuel grec, affidé de la banque américaine Goldman Sachs a viré l'état major grec qui avait déclaré ne pas vouloir intervenir contre le peuple.
Un peu bizarre quand même, dans les pays arabes, on fait des grands discours sur la démocratie et en Europe, les gouvernants s'apprête à écraser dans le sang les manifestations populaires.
Et, nos gouvernants se permettent de donner des leçons de démocratie aux autres.
Cependant, il me faut reconnaître une chose, c'est grâce à notre immense président sarko que cette force militaire a vu le jour.
A mon avis, c'est bien pour cela qu'il se présente comme l'unique et le vrai représentant du peuple français.
Mais, revenons-en au sujet en nous posant la question de ce qu'est cette fameuse force EUROGENDFOR. Ne serait-ce pas un 11ème choc mode européen ?
(source : Wikipédia)
"La Force de gendarmerie européenne (ou EuroGendFor ou FGE) a été créée le 17 septembre 2004 à Noordwijk, aux Pays-Bas. Initiée par la France, elle regroupe les forces de police à statut militaire des six pays de l'Union européenne qui en disposent : la Garde civile espagnole, la Gendarmerie française, les Carabiniers italiens, la Maréchaussée royale des Pays-Bas, la Garde nationale républicaine portugaise et la Gendarmerie roumaine.
Certains pays européens, tels que la Belgique et la Pologne, ont fait acte de candidature et souhaitent intégrer à la FGE des membres de leur police militaire, tandis que l'Allemagne, par la voix de son Ministre de la défense Peter Struck, s'y est refusée1.
L'État-major de cette force européenne est basé à Vicenza, en Italie. Composé d'une trentaine d'officiers et sous-officiers des cinq pays fondateurs, la Force est actuellement dirigée par le colonel portugais Jorge Esteves depuis le 26 juin 2009. Il succède au colonel Giovanni Truglio (2007-2009), et au général de brigade français Gérard Deanaz (2005-2007). Le commandement suit une rotation selon les pays.
Cette force de gendarmerie a été composée au départ de 800 hommes affectés de manière non-permanente. Les hommes de l'EuroGendFor sont déployables dans les trente jours - y compris au-delà des frontières de l'Union. Leurs missions correspondront aux « sorties de crise », situations de fin de conflit où la paix n'est pas encore complètement assurée (ex : Bosnie-Herzégovine, Kosovo), et relèveront à la fois du maintien de l'ordre et des activités de police judiciaire pour lutter contre le terrorisme ou le crime organisé. Elle a été déclarée opérationnelle le 20 juillet 2006 et conduit une première mission en Bosnie-Herzégovine depuis novembre 2007.
La langue de travail de l'Eurogendfor est l'anglais, et sa devise (latine) « Lex pacificerat » (« Que la Loi pacifie »).
La Cour des comptes française note dans son rapport de 2011 que « l'EuroGendFor est engagée depuis 2007 en Bosnie-Herzégovine, où elle arme une partie de l’unité de police intégrée de l’opération européenne Althéa ; depuis décembre 2009, elle contribue également à la formation de la police afghane au sein de la mission de l’OTAN. Mais il s’agit dans ces deux cas de mission de police et non de missions militaires à proprement parler » et recommande la « refonte, la réorganisation, voire la suppression » des corps militaires européens permanents2.
La mission de la FGE en Afghanistan compte 276 membres dont 124 gendarmes français en juin 2010, les autres nations contributrices étant l'Espagne, les Pays-Bas, la Pologne et le Portugal, pour une mission qui devait comporter à la base entre 400 et 500 membres3. En mai 2010, Brice Hortefeux alors ministre de l'intérieur a annoncé que 250 sous-officiers et 50 officiers afghans de l'ANCOP ont été formés jusque là par 27 gendarmes français et les autres instructeurs européens, et que 40 gendarmes français de plus seraient prochainement envoyés4. Les autres gendarmes participent à des missions de P-OMLT: ils accompagnent, conseillent et aident les policiers afghans sur le terrain5."
Bien, alors, mes quatre chers lecteurs, que va faire Eurogendfor en Grèce ?
Se fixer de nouvelles missions, par exemple à l'exemple des agents de la CIA en Iran qui ont fait liquider Mohammad Mossadegh, le premier ministre qui avait nationalisé l'industrie pétrolière ?
En Grèce, que pourrait-elle faire ?
Bof, sans doute, déconsidérer les manifestations en provoquant des attentats qui seraient attribués à des extrémistes quelconques.
Enfin, un truc, comme cela, si, vous voyiez ce que je veux dire.
Et, d'ailleurs, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
Tiens, donc, mes quatre chers lecteurs, notre président national continue à verrouiller les postes stratégiques dans l'administration publique. Aujourd'hui, il s'attaque à l'INSEE (L’ Institut national de la statistique et des études économiques est chargé de la production, de l'analyse et de la diffusion des statistiques officielles).
Tudieu !
Parions que bientôt, l'Insee va nous vanter la remontée de la croissance en France, la baisse du chômage et l'explosion de la création d'emploi.
De quoi, nourrir la propagande sarkozienne, "C'est pas de ma faute, c'est la faute à l'autre".
(source : Médiapart, 17 FÉVRIER 2012 | PAR LAURENT MAUDUIT)
"Un sarkozyste doit être nommé à la tête de l'Insee
Selon nos informations, Nicolas Sarkozy envisage de prendre un décret en conseil des ministres pour installer au poste de directeur général de l'Insee Jean-Luc Tavernier, l'ex-directeur de cabinet d'Eric Woerth au ministère du budget. Cette possible promotion scandalise de nombreux économistes de l'Institut dont la crédibilité est assise sur son indépendance."
Eh, oui, le sarko, après nous avoir fait le coup de l'union de tous les français dans son gouvernement et avoir été plus ou moins modéré dans les nominations passe à la vitesse supérieure. Comme un parfum de fin de règne ?
Bon, d'accord, mes chers quatre lecteur, le point d'interrogation, c'est une fleur, histoire de ne pas être méchant.
En attendant, l'économie de la Côte d'Ivoire ne se porte pas bien.
A cause de qui ?
A cause des marchés, bien entendu !
Parce que, n'oublions pas que la spéculation sur les denrées alimentaires se poursuit joyeusement, mettant les économies concernées en danger et le bien être des citoyens dans le même sac.
Cette spéculation est d'autant plus efficace qu'elle accentue des conditions climatiques dans ces pays, peu favorables à une espèce de production.
Il suffit d'acheter en masse sur le marché à termes et d'attendre l'augmentation des prix avant mise en circulation dans le circuit économique.
(OK, je dis circuit économique pour ne pas répéter marché. C'est pas joli, mais, tant pis)
Pour juger de l'importance d'une chute des prix dans l'économie ivoirienne, un petit rappel :
(source : Direction du trésor et de la comptabilité publique)
"Le cours du café et du cacao.
La Côte d'Ivoire participe pour plus de 40 % à la production mondiale de cacao avec des récoltes supérieures à 1,1 millions de tonnes. Le cacao est et demeure la principale ressource économique du pays, assurant environ en moyenne 35 % de la valeur totale des exportations ivoiriennes et sept cent cinquante milliards de francs CFA (750 milliards FCFA) par an.
On compte environ 3 à 4 millions de personnes travaillant dans la filière cacao (producteurs, pisteurs, traitants, coopératives, exportateurs et transformateurs locaux) pour 2,5 millions d'hectares de plantations cacaoyères exploitées par environ 700.000 producteurs.
La filière café quant à elle est depuis le début des années 60 associée à la filière cacao dans une dynamique. (Binôme café-cacao). En Côte d'Ivoire quelques 300.000 planteurs de café gèrent environ 1.200.000 hectares de plantations dont 800.000 productifs."
Avez-vous pigé, mes quatre chers lecteurs, les dégâts que provoque la spéculation ajoutée à des
aléas climatiques sur la vie des gens et des états qui joue à la baisse en attendant de ramasser le jack pot ?
Du moins, je l'espère.
(source : le blogfinance)
"Café : le cours de l'arabica à son plus bas depuis fin 2010 (Par Elisabeth Studer le 19 février 2012)
Le cours de l'arabica a nettement chuté cette semaine, dégringolant même jeudi jusqu'à 197,80 cents la livre, ce qui correspond à son plus bas niveau depuis début novembre 2010."
Cacao : la baisse du cours continue (Par Elisabeth Studer le 12 février 2012)
Le cours du cacao a suivi la même tendance baissière cette semaine.
Les inquiétudes persistantes quant aux éventuels dégâts que pourraient causer les vents chauds aux récoltes ivoiriennes n'auront pas permis d'inverser les choses.
Après avoir dégringolé de 6 % la semaine dernière, le prix de la fève a encore accentué ses pertes. Raisons principales d'un tel phénomène : l'introduction fin janvier d'un nouveau système officiel de vente en Côte d'Ivoire, premier pays producteur de fèves brunes."
Eh, oui, on se demande comment la Côte d'Ivoire va pouvoir garantir ses prêts à court terme sur les marchés, à moins......de liquider les entreprises publiques, off course !
Et, pour finir parce qu'en France, nous sommes dimanche, ce titre : "La Grèce, le laboratoire continue !"
(source : skyrock, Publié par Giuditta à l'adresse 10/24/2011)
"L'EUROGENDFOR est debarquée en Gréce! Le silence "des agneaux" doit cesser immédiatement!
Préparatifs secrets pour l'intervention de l'EUROGENDFOR, la force européennespéciale, en Grèce!
La crise économique accompagnée d'une agitation sociale donnera à Bruxelles l'occasion de tester la capacité de réponse du groupe secret qui a été créé pour lutter contre les troubles et les soulèvement populaires en Europe.
L'EUROGENDFOR est un groupe secret avec son siège en Italie, et est prête à démarrer en Grèce, où elle a sa première opération d'envergure contre la population d'un Etat européen. La Grèce est en ébullition. Les protestations deviennent de plus in plus violentes. Préparatifs secrets de l'opération de la force spéciale européenne en Grèce!
P.S. Excuses moi la traduction qui suit.
Giuditta
Un aéroport désaffecté à Larissa cache le gouvernament militaire étrangère
(George Adalis, 24/10/2011)
Il y a deux semaines, nous avons eu les premières informations qui a débarqué un contingent étranger militaro-policière à Igoumenitsa !
Depuis lors, nous avons contacté diverses sources et tenté de perser les nouvelles, mais en vain! Personne ne sait ou ne savait rien au sujet, comme si elles venaient en Grèce ... des hirondelles et non pas une puissance étrangère.
Des sources indépendantes ont confirmé l'arrivée d'une puissance étrangère.
Le problème est que ce contingent était littéralement (entre temps) ... disparu!
Il semble que le gouvernement est totalement impliquée, car aujourd'hui, nous révèlent que le contingent que nous recherchons tous, s'est installé la semaine dernière, dans le camp de l'Aile de combat désaffecté 110 à Larissa!
Sous des informations exclusives d' AegeanTimes.gr, sont 300 personnes appartenant à la NATO!
La chose étrange est que lors de notre enquête, même si au début on ne savait rien, tout à coup, ils ont commencé à parler d'une petite unité qui est venu ici pour ... aller au Kosovo!
Ce qui est étrange, toutefois, que selon des témoins et des documents que nous avons à notre disposition, c'est une unité insolite ...!
Ni insignes, ni uniformes! Au lieu de cela, portaient des vêtements civils, des costumes, avec tous un petit sac à dos!
L'équipe est allé dans les petites pièces, comme s'ils voulaient se protéger des regards du monde!
[ ... ]
Selon un responsable à Bruxelles, avec lesquel nous sommes entrés en contact, toute l'Europe, sauf la Gréce, sait que cela est une unité hautement qualifiés, dont la mission est d'empêcher des mouvements de masse et de proteger des personnalités publiques (VIP).
«À Larissa sont seulement une petite partie d'entre eux, principalement des Tchèques," at-il dit perplexe!
«Ils sont arrivés ici, afin de protéger en première lieu, les responsables européens des réactions de colère de la foule et d'autre part, la protection des grandes entreprises européennes que sont susceptibles d'être ciblés par les insurgés!"
Selon les mêmes sources, plusieurs souches de ce groupe ont été formés pour réprimer les mouvements dissidents dans l'armée nationale!
De toute façon, cependant, le secret de leur arrivée, mais plutôt le lieu, est un coup dur pour le prestige et l'indépendance de notre pays, et les informations arrivée de l'étranger et pourquoi le gouvernement n'a pas explique aux gens quel est but d'avoir un une telle puissance militaire étrangère. De plus, ternir la réputation des forces armées grecques, à un moment où tout le monde a tourné les yeux vers l'armée grecque!
[ ... ]
Toutefois, la question va revenir très bientôt avec de nouvelles informations, parce que avec la situation en Grèce, le silence "des agneaux" doit cesser immédiatement, avant que il y a des conséquences pour notre démocratie elle-même. Si, après la révélation d'aujourd'hui n'est pas donné une réponse convaincante, nous pensons qu'il y aura des développements politiques dramatiques.
A l'heure actuelle, le ratio désormais appartient sans doute au ministre de la Défense et le Premier ministre!
Source:
http://www.aegeantimes.gr/article.asp?id=37012&type=1&kata=0"
Ben, dites donc, l'Europe ne ferait pas confiance aux militaires grecs pour massacrer le peuple grec ?
Il est vrai que le premier ministre actuel grec, affidé de la banque américaine Goldman Sachs a viré l'état major grec qui avait déclaré ne pas vouloir intervenir contre le peuple.
Un peu bizarre quand même, dans les pays arabes, on fait des grands discours sur la démocratie et en Europe, les gouvernants s'apprête à écraser dans le sang les manifestations populaires.
Et, nos gouvernants se permettent de donner des leçons de démocratie aux autres.
Cependant, il me faut reconnaître une chose, c'est grâce à notre immense président sarko que cette force militaire a vu le jour.
A mon avis, c'est bien pour cela qu'il se présente comme l'unique et le vrai représentant du peuple français.
Mais, revenons-en au sujet en nous posant la question de ce qu'est cette fameuse force EUROGENDFOR. Ne serait-ce pas un 11ème choc mode européen ?
(source : Wikipédia)
"La Force de gendarmerie européenne (ou EuroGendFor ou FGE) a été créée le 17 septembre 2004 à Noordwijk, aux Pays-Bas. Initiée par la France, elle regroupe les forces de police à statut militaire des six pays de l'Union européenne qui en disposent : la Garde civile espagnole, la Gendarmerie française, les Carabiniers italiens, la Maréchaussée royale des Pays-Bas, la Garde nationale républicaine portugaise et la Gendarmerie roumaine.
Certains pays européens, tels que la Belgique et la Pologne, ont fait acte de candidature et souhaitent intégrer à la FGE des membres de leur police militaire, tandis que l'Allemagne, par la voix de son Ministre de la défense Peter Struck, s'y est refusée1.
L'État-major de cette force européenne est basé à Vicenza, en Italie. Composé d'une trentaine d'officiers et sous-officiers des cinq pays fondateurs, la Force est actuellement dirigée par le colonel portugais Jorge Esteves depuis le 26 juin 2009. Il succède au colonel Giovanni Truglio (2007-2009), et au général de brigade français Gérard Deanaz (2005-2007). Le commandement suit une rotation selon les pays.
Cette force de gendarmerie a été composée au départ de 800 hommes affectés de manière non-permanente. Les hommes de l'EuroGendFor sont déployables dans les trente jours - y compris au-delà des frontières de l'Union. Leurs missions correspondront aux « sorties de crise », situations de fin de conflit où la paix n'est pas encore complètement assurée (ex : Bosnie-Herzégovine, Kosovo), et relèveront à la fois du maintien de l'ordre et des activités de police judiciaire pour lutter contre le terrorisme ou le crime organisé. Elle a été déclarée opérationnelle le 20 juillet 2006 et conduit une première mission en Bosnie-Herzégovine depuis novembre 2007.
La langue de travail de l'Eurogendfor est l'anglais, et sa devise (latine) « Lex pacificerat » (« Que la Loi pacifie »).
La Cour des comptes française note dans son rapport de 2011 que « l'EuroGendFor est engagée depuis 2007 en Bosnie-Herzégovine, où elle arme une partie de l’unité de police intégrée de l’opération européenne Althéa ; depuis décembre 2009, elle contribue également à la formation de la police afghane au sein de la mission de l’OTAN. Mais il s’agit dans ces deux cas de mission de police et non de missions militaires à proprement parler » et recommande la « refonte, la réorganisation, voire la suppression » des corps militaires européens permanents2.
La mission de la FGE en Afghanistan compte 276 membres dont 124 gendarmes français en juin 2010, les autres nations contributrices étant l'Espagne, les Pays-Bas, la Pologne et le Portugal, pour une mission qui devait comporter à la base entre 400 et 500 membres3. En mai 2010, Brice Hortefeux alors ministre de l'intérieur a annoncé que 250 sous-officiers et 50 officiers afghans de l'ANCOP ont été formés jusque là par 27 gendarmes français et les autres instructeurs européens, et que 40 gendarmes français de plus seraient prochainement envoyés4. Les autres gendarmes participent à des missions de P-OMLT: ils accompagnent, conseillent et aident les policiers afghans sur le terrain5."
Bien, alors, mes quatre chers lecteurs, que va faire Eurogendfor en Grèce ?
Se fixer de nouvelles missions, par exemple à l'exemple des agents de la CIA en Iran qui ont fait liquider Mohammad Mossadegh, le premier ministre qui avait nationalisé l'industrie pétrolière ?
En Grèce, que pourrait-elle faire ?
Bof, sans doute, déconsidérer les manifestations en provoquant des attentats qui seraient attribués à des extrémistes quelconques.
Enfin, un truc, comme cela, si, vous voyiez ce que je veux dire.
Et, d'ailleurs, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
samedi 18 février 2012
Salut au peuple grec. A toi, que tous veulent écraser, je crie, "Résistance !"
Si, les riches continuent à ne pas payer leur dû au fisc, alors, arrêtez de payer vos impôts !
Ainsi, donc, mes trois cher lecteurs, notre président national a trouvé une parade pour sa réélection, à la droite extrême toute !
Bilen, bien, il pense ainsi pallier les défections de tous ceux qui charmés la première fois désertent en masse.
ah, que cela a un relent de nostalgie d'une France pas si ancienne que ça.
Surtout, lorsque l'on sait que son inspirateur est militant de l'extrême droite, ancien membre de Front national, journaliste du journal minute, de la droite extrême.
Enfin, bref, un "sale mec", selon la formule hollandaise.
De la part de sarko, c'est carrément une fuite en avant. S'imagine-t-il que le nombre d'électeurs qu'il va récupérer suffira à pallier les déçus et les vrais républicains ou centristes qui vont le quitter.
Tout ces gens-là rejoindront le candidat du Modem qui lui conserve une éthique judéo-chrétienne puisqu'il est catholique pratiquant dans le bon sens du terme.
Sarko a choisi de faire beaucoup de bruits, mais, il n'enlèvera pas aux français le dégoût qu'ils ressentent à son égard. Comme une envie de vomir.
Ce qui nous attends de sa part, c'est une situation à la grecque.
Là-bas, le peuple souffre et les 140 milliards de détournement fiscal qui dorment dans les banques suisses ne subissent bizarrement aucunes tentatives de récupération de la part des autorités grecques. Alors, que les dernières négociations ont tourné justement sur l'effacement d'une part de la dette de 100 milliards.
100 milliards qui justifie selon la troïka la souffrance du peuple grec et un salaire minimum à un peu plus de 400 euros.
C'est la raison pour laquelle, je vous livre ce témoignage.
(source : basta !, Par Marie-Laure Veilhan, 16 FÉVRIER 2012)
"MOUVEMENT SOCIAL
Grèce : « Nous n’aurons bientôt plus aucune raison de ne pas être violents »
Marie-Laure, Française exilée en Grèce depuis vingt ans, raconte la manifestation qui a secoué les rues d’Athènes le 12 février, et l’angoissant climat qui s’installe dans le pays. « Prenez soin de vous, et de votre humanité. Si on oublie, si de rage, de peur ou de désespoir on en vient à se perdre, rappelez-nous à la nôtre », nous prévient-elle.
La manif de dimanche n’était en fait pas vraiment une manif. C’était plutôt comme si beaucoup, beaucoup de Grecs avaient décidé de quitter leur boulot, leur cuisine, l’endroit ils se trouvaient, pour aller se camper autour du Parlement... Il y avait des vieux, des mémés (pas beaucoup mais quand même), beaucoup de couples, cools.
On s’est retrouvés avec Yorgos Mitralias (fondateur de l’ELE, le comité pour l’audit de la dette grecque), dans une galerie historique, en contrebas de Syntagma. À cinq heures pile, on était à l’angle gauche du Parlement, au coin de l’hôtel Grande-Bretagne. Les forces de l’ordre, style Ninjas, « carapacées » jusqu’aux oreilles, avaient bloqué l’accès à plusieurs rues, et formé un cordon impressionnant devant le Parlement. Là, ils ont balancé les premiers lacrymogènes, et ça n’a pas cessé, ensuite, pendant des heures.
On a battu en retraite, fait le tour de la place en courant et en trébuchant pour filer aussi vite que la foule le permettait. La foule, dense, partout. Les Ninjas nous repoussaient. La foule faisait des vagues, flux et reflux, mais on revenait toujours. Manifestement, les flics avaient peur qu’on atteigne le Parlement – on était prêts à entrer, c’est vrai. À l’intérieur, on a vu plus tard ce qui se passait. Pour l’instant, il fallait reprendre son souffle et continuer, trois pas en avant, quatre en arrière…
Une foule immense et pacifique
Je ne raconte pas les « incidents » : ils sont sur tous les écrans. On nous parle de la catastrophe provoquée par les casseurs : très probablement, d’une part, des flics provocateurs, comme d’habitude, pour justifier les lacrymos ; cette fois-ci, on tenait l’info d’un jeune cousin – flic – avec qui on a déjeuné juste avant la manif, lui était en arrêt maladie, le veinard… ; d’autre part, les supporters membres des club sportifs Panathinaïkos, Panionios et Olympiakos, ennemis jurés d’habitude, qui avaient décidé une trêve et lancé un appel aux supporters pour se retrouver à Syntagma, alors même qu’un match se tenait, à la même heure. Eux, ou plutôt certains d’entre eux, sont bien entraînés, et ils savent casser, et castagner…
Catastrophe, donc, à Athènes. OK, beaucoup de magasins incendiés (dont beaucoup de banques). Version Paris Match, c’est effectivement très impressionnant. Rien, mais rien du tout sur la foule immense, pacifique, qui s’en est pris plein les poumons, y compris Mikis Théodorakis, compositeur et véritable symbole pour les Grecs, et Manolis Glezos, symbole encore plus énorme, c’est lui qui a descendu le drapeau allemand de l’Acropole, pendant l’Occupation. Ils ont aujourd’hui respectivement 88 et 90 ans. Eh bien, il s’est trouvé des flics pour les menacer de leurs matraques, et leur balancer leurs lacrymos. Et oui !
Un salaire minimum de 480 euros par mois
Ils avaient la trouille, oui, jusque dans leurs chaussettes, qu’on montre les images de cette mer de monde bruissante de colère et de désespoir. Les chaînes de télé montrent toutes les mêmes images, là, on se rend compte de la mainmise du pouvoir. Les journalistes « analysent » les dégâts, maintenant qu’ils sont rassurés sur l’avenir. Désormais rose bonbon, ouf, le mémorandum est passé, on aura désormais un salaire minimum de 480 euros par mois net. Donc la croissance va reprendre d’une minute à l’autre.
Bon, il faut se serrer un peu la ceinture, OK, mais on n’est pas irresponsables, nous les députés, on assume et on signe… On se désole que 100 personnes risquent de perdre leur emploi à cause des dégâts causés par les casseurs. Rien sur les 15 000 fonctionnaires qui vont perdre leur poste, ni sur les orphelinats qui ferment, tout simplement… Ils ont signé, les salauds, il n’y en a eu que 45 pour se rebeller contre la ligne donnée par leur parti (dont deux de l’extrême droite, qui ont signé pour, malgré la position de leur chef). Un député, héros du jour ou dangereux subversif, a balancé le mémorandum en direction de Venizélos (Evangélos Venizélos, ministre des Finances, ndlr). Nous voilà à la nouvelle ère, celle du mémorandum 2, là où on a faim, froid, et peur.
On aura faim, et froid
Mais pas assez, ou alors on est tellement en colère qu’on en oublie la peur, pour ne pas aller casser les bureaux des députés traîtres à notre cause. Il y en a déjà deux qui n’ont plus de locaux (dont un socialiste, si l’on peut dire), et qui cherchent leurs meubles… sur le trottoir. Le tour des autres viendra, on n’aura bientôt plus aucune raison de ne pas être violents. Faites passer, ça ne passera pas. Pas comme ça. Il y a les sous, oui. Mais aussi la dignité, les moments d’insouciance, les heures à ne rien faire et à ne penser qu’au bonheur de vivre.
Ça ne s’abandonne pas si facilement, son humanité. On aura faim, peut-être, surtout dans les villes (nous, on va mettre des poules dans le jardin, on a la mer, pas riche mais bon) ; on aura froid (ça, on connaît déjà) ; on aura peur (c’est nouveau, on a goûté, on y goûte un peu plus tous les jours). Mais on avancera. Faites gaffe, ils se rapprochent. Ils auront fait de nous des cobayes, personne n’y croyait, et on y est. Demain, on mord... Prenez soin de vous, et de votre humanité. Si on oublie, si de rage, de peur ou de désespoir on en vient à se perdre, rappelez-nous à la nôtre."
Alors, pourquoi, les grecs ne feraient pas comme l'Argentine, il y a dix ans ?
La punition des marchés, faire de ce pays un paria. Pourtant, cela n'a pas empêché d'avoir une croissance à 8% de croissance en moyenne depuis 2003 (8,8% en 2011) et de parier sur une plus réduite à 3,5%, sans doute en 2012, en dessous des prévisions officielles (5,1%).
Et, la France de sarko qui soumet le pays aux diktats des marchés, "BOF", le ministre prévoit une croissance de 0,5% et il s'en vante.
(source : Angolapress. International, 18/02/12)
"Argentine
Face à la crise internationale, l'Argentine prend des mesures de rigueur
BUENOS AIRES - La présidente argentine Cristina Kirchner multiplie depuis des semaines les mesures de rigueur, réduisant les subventions aux services publics et contrôlant les importations pour faire face à la crise internationale.
Réélue en octobre dans un raz-de-marée (53,9%), Mme Kirchner a rapidement supprimé 852 millions d'euros de subventions, une mesure qui se traduit par des augmentations des tarifs dans divers domaines. Elle a appelé cela "la sintonia fina" ("le réglage en finesse") de l'activité économique, un euphémisme pour éviter le mot "rigueur".
"La volte-face dans la politique fiscale et de revenus est éloquente si on la compare avec l'année électorale", dit à l'AFP l'économiste Marina Dal Poggetto du cabinet Bein & Associés. En 2011, l'année de la campagne, les subventions avaient atteint un record de 57 milliards d'euros, soit 50% de plus qu'en 2010, selon les chiffres de l'Association argentine du budget.
Les Argentins vont devoir désormais remplir un formulaire s'ils estiment qu'ils ont besoin d'une subvention pour leurs factures d'eau, d'électricité ou de gaz. Les premiers touchés ont été les services financiers, les casinos, les aéroports, les compagnies pétrolières et de téléphone. Dans la capitale, l'Etat a cédé le métro à la ville pour n'avoir plus à le subventionner:
le prix du billet a aussitôt augmenté de 127%.
Pour Marina Dal Poggetto, après avoir enregistré 8% de croissance en moyenne
depuis 2003 (8,8% en 2011), l'Argentine "sait qu'elle ne pourra garder ce rythme". Cette
économiste prévoit une croissance de 3,5% en 2012, en dessous des prévisions officielles (5,1%).
Le pays sait aussi que son défaut de paiement record (76 milliards d'euros) a fait de lui de 2001 un paria des marchés internationaux, auxquels il n'a toujours pas accès.
L'Argentine est donc contrainte de faire des économies et d'avoir une balance commerciale excédentaire, afin de préserver ses réserves monétaires qui ont diminué de 4,5 mds d'euros en 2011, passant de 39,5 à 35 mds d'euros. Le gouvernement a mis en place, dès le lendemain de l'élection d'octobre, une série de contrôles draconiens sur l'achat de devises étrangères, afin de tenter de limiter la fuite de capitaux."
Alors, mes quatre chers lecteurs, c'est vrai, s'il faut en croire sarko, il n'y a rien à faire ?
Ben, à mon humble avis, l'Argentine sans l'aide des marchés s'en tire largement que la France de sarko avec l'aide des marchés.
Et, simplement pour finir, il nous a juré "qu'il" avait muselé les paradis fiscaux alors que le Luxembourg qui en est un beau fait parti du noyau dur au sin de l'Union Européenne qui milite pour la soumission totale de la Grèce.
Est-ce normal, mon capitaine ?
A bientôt.
René.
Si, les riches continuent à ne pas payer leur dû au fisc, alors, arrêtez de payer vos impôts !
Ainsi, donc, mes trois cher lecteurs, notre président national a trouvé une parade pour sa réélection, à la droite extrême toute !
Bilen, bien, il pense ainsi pallier les défections de tous ceux qui charmés la première fois désertent en masse.
ah, que cela a un relent de nostalgie d'une France pas si ancienne que ça.
Surtout, lorsque l'on sait que son inspirateur est militant de l'extrême droite, ancien membre de Front national, journaliste du journal minute, de la droite extrême.
Enfin, bref, un "sale mec", selon la formule hollandaise.
De la part de sarko, c'est carrément une fuite en avant. S'imagine-t-il que le nombre d'électeurs qu'il va récupérer suffira à pallier les déçus et les vrais républicains ou centristes qui vont le quitter.
Tout ces gens-là rejoindront le candidat du Modem qui lui conserve une éthique judéo-chrétienne puisqu'il est catholique pratiquant dans le bon sens du terme.
Sarko a choisi de faire beaucoup de bruits, mais, il n'enlèvera pas aux français le dégoût qu'ils ressentent à son égard. Comme une envie de vomir.
Ce qui nous attends de sa part, c'est une situation à la grecque.
Là-bas, le peuple souffre et les 140 milliards de détournement fiscal qui dorment dans les banques suisses ne subissent bizarrement aucunes tentatives de récupération de la part des autorités grecques. Alors, que les dernières négociations ont tourné justement sur l'effacement d'une part de la dette de 100 milliards.
100 milliards qui justifie selon la troïka la souffrance du peuple grec et un salaire minimum à un peu plus de 400 euros.
C'est la raison pour laquelle, je vous livre ce témoignage.
(source : basta !, Par Marie-Laure Veilhan, 16 FÉVRIER 2012)
"MOUVEMENT SOCIAL
Grèce : « Nous n’aurons bientôt plus aucune raison de ne pas être violents »
Marie-Laure, Française exilée en Grèce depuis vingt ans, raconte la manifestation qui a secoué les rues d’Athènes le 12 février, et l’angoissant climat qui s’installe dans le pays. « Prenez soin de vous, et de votre humanité. Si on oublie, si de rage, de peur ou de désespoir on en vient à se perdre, rappelez-nous à la nôtre », nous prévient-elle.
La manif de dimanche n’était en fait pas vraiment une manif. C’était plutôt comme si beaucoup, beaucoup de Grecs avaient décidé de quitter leur boulot, leur cuisine, l’endroit ils se trouvaient, pour aller se camper autour du Parlement... Il y avait des vieux, des mémés (pas beaucoup mais quand même), beaucoup de couples, cools.
On s’est retrouvés avec Yorgos Mitralias (fondateur de l’ELE, le comité pour l’audit de la dette grecque), dans une galerie historique, en contrebas de Syntagma. À cinq heures pile, on était à l’angle gauche du Parlement, au coin de l’hôtel Grande-Bretagne. Les forces de l’ordre, style Ninjas, « carapacées » jusqu’aux oreilles, avaient bloqué l’accès à plusieurs rues, et formé un cordon impressionnant devant le Parlement. Là, ils ont balancé les premiers lacrymogènes, et ça n’a pas cessé, ensuite, pendant des heures.
On a battu en retraite, fait le tour de la place en courant et en trébuchant pour filer aussi vite que la foule le permettait. La foule, dense, partout. Les Ninjas nous repoussaient. La foule faisait des vagues, flux et reflux, mais on revenait toujours. Manifestement, les flics avaient peur qu’on atteigne le Parlement – on était prêts à entrer, c’est vrai. À l’intérieur, on a vu plus tard ce qui se passait. Pour l’instant, il fallait reprendre son souffle et continuer, trois pas en avant, quatre en arrière…
Une foule immense et pacifique
Je ne raconte pas les « incidents » : ils sont sur tous les écrans. On nous parle de la catastrophe provoquée par les casseurs : très probablement, d’une part, des flics provocateurs, comme d’habitude, pour justifier les lacrymos ; cette fois-ci, on tenait l’info d’un jeune cousin – flic – avec qui on a déjeuné juste avant la manif, lui était en arrêt maladie, le veinard… ; d’autre part, les supporters membres des club sportifs Panathinaïkos, Panionios et Olympiakos, ennemis jurés d’habitude, qui avaient décidé une trêve et lancé un appel aux supporters pour se retrouver à Syntagma, alors même qu’un match se tenait, à la même heure. Eux, ou plutôt certains d’entre eux, sont bien entraînés, et ils savent casser, et castagner…
Catastrophe, donc, à Athènes. OK, beaucoup de magasins incendiés (dont beaucoup de banques). Version Paris Match, c’est effectivement très impressionnant. Rien, mais rien du tout sur la foule immense, pacifique, qui s’en est pris plein les poumons, y compris Mikis Théodorakis, compositeur et véritable symbole pour les Grecs, et Manolis Glezos, symbole encore plus énorme, c’est lui qui a descendu le drapeau allemand de l’Acropole, pendant l’Occupation. Ils ont aujourd’hui respectivement 88 et 90 ans. Eh bien, il s’est trouvé des flics pour les menacer de leurs matraques, et leur balancer leurs lacrymos. Et oui !
Un salaire minimum de 480 euros par mois
Ils avaient la trouille, oui, jusque dans leurs chaussettes, qu’on montre les images de cette mer de monde bruissante de colère et de désespoir. Les chaînes de télé montrent toutes les mêmes images, là, on se rend compte de la mainmise du pouvoir. Les journalistes « analysent » les dégâts, maintenant qu’ils sont rassurés sur l’avenir. Désormais rose bonbon, ouf, le mémorandum est passé, on aura désormais un salaire minimum de 480 euros par mois net. Donc la croissance va reprendre d’une minute à l’autre.
Bon, il faut se serrer un peu la ceinture, OK, mais on n’est pas irresponsables, nous les députés, on assume et on signe… On se désole que 100 personnes risquent de perdre leur emploi à cause des dégâts causés par les casseurs. Rien sur les 15 000 fonctionnaires qui vont perdre leur poste, ni sur les orphelinats qui ferment, tout simplement… Ils ont signé, les salauds, il n’y en a eu que 45 pour se rebeller contre la ligne donnée par leur parti (dont deux de l’extrême droite, qui ont signé pour, malgré la position de leur chef). Un député, héros du jour ou dangereux subversif, a balancé le mémorandum en direction de Venizélos (Evangélos Venizélos, ministre des Finances, ndlr). Nous voilà à la nouvelle ère, celle du mémorandum 2, là où on a faim, froid, et peur.
On aura faim, et froid
Mais pas assez, ou alors on est tellement en colère qu’on en oublie la peur, pour ne pas aller casser les bureaux des députés traîtres à notre cause. Il y en a déjà deux qui n’ont plus de locaux (dont un socialiste, si l’on peut dire), et qui cherchent leurs meubles… sur le trottoir. Le tour des autres viendra, on n’aura bientôt plus aucune raison de ne pas être violents. Faites passer, ça ne passera pas. Pas comme ça. Il y a les sous, oui. Mais aussi la dignité, les moments d’insouciance, les heures à ne rien faire et à ne penser qu’au bonheur de vivre.
Ça ne s’abandonne pas si facilement, son humanité. On aura faim, peut-être, surtout dans les villes (nous, on va mettre des poules dans le jardin, on a la mer, pas riche mais bon) ; on aura froid (ça, on connaît déjà) ; on aura peur (c’est nouveau, on a goûté, on y goûte un peu plus tous les jours). Mais on avancera. Faites gaffe, ils se rapprochent. Ils auront fait de nous des cobayes, personne n’y croyait, et on y est. Demain, on mord... Prenez soin de vous, et de votre humanité. Si on oublie, si de rage, de peur ou de désespoir on en vient à se perdre, rappelez-nous à la nôtre."
Alors, pourquoi, les grecs ne feraient pas comme l'Argentine, il y a dix ans ?
La punition des marchés, faire de ce pays un paria. Pourtant, cela n'a pas empêché d'avoir une croissance à 8% de croissance en moyenne depuis 2003 (8,8% en 2011) et de parier sur une plus réduite à 3,5%, sans doute en 2012, en dessous des prévisions officielles (5,1%).
Et, la France de sarko qui soumet le pays aux diktats des marchés, "BOF", le ministre prévoit une croissance de 0,5% et il s'en vante.
(source : Angolapress. International, 18/02/12)
"Argentine
Face à la crise internationale, l'Argentine prend des mesures de rigueur
BUENOS AIRES - La présidente argentine Cristina Kirchner multiplie depuis des semaines les mesures de rigueur, réduisant les subventions aux services publics et contrôlant les importations pour faire face à la crise internationale.
Réélue en octobre dans un raz-de-marée (53,9%), Mme Kirchner a rapidement supprimé 852 millions d'euros de subventions, une mesure qui se traduit par des augmentations des tarifs dans divers domaines. Elle a appelé cela "la sintonia fina" ("le réglage en finesse") de l'activité économique, un euphémisme pour éviter le mot "rigueur".
"La volte-face dans la politique fiscale et de revenus est éloquente si on la compare avec l'année électorale", dit à l'AFP l'économiste Marina Dal Poggetto du cabinet Bein & Associés. En 2011, l'année de la campagne, les subventions avaient atteint un record de 57 milliards d'euros, soit 50% de plus qu'en 2010, selon les chiffres de l'Association argentine du budget.
Les Argentins vont devoir désormais remplir un formulaire s'ils estiment qu'ils ont besoin d'une subvention pour leurs factures d'eau, d'électricité ou de gaz. Les premiers touchés ont été les services financiers, les casinos, les aéroports, les compagnies pétrolières et de téléphone. Dans la capitale, l'Etat a cédé le métro à la ville pour n'avoir plus à le subventionner:
le prix du billet a aussitôt augmenté de 127%.
Pour Marina Dal Poggetto, après avoir enregistré 8% de croissance en moyenne
depuis 2003 (8,8% en 2011), l'Argentine "sait qu'elle ne pourra garder ce rythme". Cette
économiste prévoit une croissance de 3,5% en 2012, en dessous des prévisions officielles (5,1%).
Le pays sait aussi que son défaut de paiement record (76 milliards d'euros) a fait de lui de 2001 un paria des marchés internationaux, auxquels il n'a toujours pas accès.
L'Argentine est donc contrainte de faire des économies et d'avoir une balance commerciale excédentaire, afin de préserver ses réserves monétaires qui ont diminué de 4,5 mds d'euros en 2011, passant de 39,5 à 35 mds d'euros. Le gouvernement a mis en place, dès le lendemain de l'élection d'octobre, une série de contrôles draconiens sur l'achat de devises étrangères, afin de tenter de limiter la fuite de capitaux."
Alors, mes quatre chers lecteurs, c'est vrai, s'il faut en croire sarko, il n'y a rien à faire ?
Ben, à mon humble avis, l'Argentine sans l'aide des marchés s'en tire largement que la France de sarko avec l'aide des marchés.
Et, simplement pour finir, il nous a juré "qu'il" avait muselé les paradis fiscaux alors que le Luxembourg qui en est un beau fait parti du noyau dur au sin de l'Union Européenne qui milite pour la soumission totale de la Grèce.
Est-ce normal, mon capitaine ?
A bientôt.
René.
vendredi 17 février 2012
mercredi 15 février 2012
Salut à toutes les victimes de notre président national. Rassurez-vous, il a agit pour sa grandeur et pas la grandeur de la France. C'est bien pour cela que ses coups foireux...foirent.
Bon, avant hier, mes quatre chers lecteurs, je saluais les candidats bouffons à l'élection présidentielle français. Evidemment, il fallait comprendre que je parlais des candidats qui issus du parti présidentielle posait leur candidature juste pour négocier une place au sein d'un nouveau gouvernement sarko. Je parlais de Bouttin et de Morin, les fous du roi et seulement de ces deux=là, pas plus, ni moins.
Mais, en attendant l'industrie continue à se porter mal en France. Déjà, nous avions les délocalisations, les faillites de TPE et PME par manque de crédit bancaire, les faillites dues à la concurrence des pays émergents et maintenant, nous avons les fermetures dues à l'élimination de la concurrence comme cela s'est passé à Gandrange avec la fermeture programmée par la famille Mittal du site d'ArcelorMittal de Gandrange.
Maintenant, il se passe la même avec l'industrie de l'Aluminium.
(source : Agoravox)
Le sabotage de l’industrie de l’aluminium en France
On apprend ces jours-ci que l’usine de production d’aluminium de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie, risque d’être fermée très prochainement.
Selon Olivier Baud, ancien président d’Aluminium Péchiney, le groupe canadien Alcan qui a racheté Péchiney en 2004 avait prémédité un plan de fermeture de toutes les usines européennes de ce groupe sidérurgique français, en en précisant même les dates. Ainsi, l’usine de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie, était déjà programmée, il y a 8 ans lors du rachat, comme devant être fermée en 2012…(...)"
Bientôt, la France, si, l'état ne fait pas un effort n'aura plus d'industrie lourde, comme cela s'est passé pour le textile dans le nord.
Et, le premier ministre nous parle d'une croissance à 0,5%, « la perspective d'une croissance de 0,5 % minimum en 2012 est acquise ». La dynamique reste très fragile".
Il y a de quoi rigoler, en riant jaune évidemment, les entrepreneurs nationaux désertent le pays pour une question de profit et non pas de survie et la France perd son tissu industriel, sans compter celui dee PME-PMI e TPE.
Il y a de quoi pavoiser, ne pensez-vous pas mes quatre chers lecteurs ?
A Gandrange, sarko avait promis de prendre l'affaire en main, résultat, le site a fermé.
A cause du profit dont il nous a tant battu les oreilles au point de concocter des primes à la méritocratie dans les administrations publiques. Plus, tu travailles, plus, tu touches de prime, mais, en même temps en supprime des milliers de poste.
En URSS, cela s'appelait le Le stakhanovisme.
Et, dire qu'il a annoncé qu'il allait nous rabattre les oreilles avec la valeur travail. A mon avis, il devrait plutôt se préoccuper que l'industrie dans son ensemble ne quitte pas la France.
Parce que dans l'agriculture, il n'y a pas de travail, dans les administrations pareils, dans les services publics, la même et au chômage, il y a déjà trop de monde.
Encore heureux, qu'il n'y ait plus Christine Lagarde au ministre de l'économie parce qu'elle aurait capable de vouloir nous faire avaler qu'en France, finalement, la situation n'est pas si mauvaise pour l'emploi.
Sauf, qu'elle a été sévir au FMI et cela est peut-être pire, pour nous évidemment puisque sa seule vraie compétence est de suivre ce qu'il lui est dit de faire.
Mais, passons, parce qu'au Mali, la crise s'internationalise.
(source : El Watan, le 14.02.12)
"Crise du nord du Mali : l’Union africaine et la France s’en mêlen.
L’Union africaine a décidé de ne pas rester les bras croisés face à l’aggravation de la crise du nord du Mali qui connaît depuis le mois de janvier dernier une résurgence de la rébellion touareg.
Le Burkina Faso, pays qui a accueilli depuis le début du conflit près de 10 000 réfugiés touareg, a annoncé que l’organisation panafricaine était en train de préparer des «initiatives». L’annonce a été faite en marge d’une rencontre entre le président burkinabé, Blaise Compaoré, et un émissaire du président de l’UA, le Béninois Thomas Boni Yayi. «Un message du président béninois, nouveau patron de l’UA, a été transmis à M. Compaoré samedi par le ministre béninois des Affaires étrangères, Nassirou Bako-Arifari», a indiqué la présidence burkinabé dans un communiqué.
M. Bako-Arifari a, selon la même source, «fait savoir que la question de la rébellion touareg au Mali a été abordée» avec le président Compaoré. Cette «concertation», précise-t-on encore, fait suite à une mission envoyée par le président Boni Yayi auprès du chef de l’Etat malien, Amadou Toumani Touré, pour «envisager des actions à mener». «D’autres concertations sont en cours et le Conseil de paix et de sécurité de l’UA est en train de prendre des initiatives», a ajouté la présidence du Burkina, sans plus de précision. Cette initiative africaine, précise-t-on, intervient une semaine après la médiation menée entre Bamako et les rebelles touareg par le gouvernement algérien."
Donc, tout le monde se rend compte du danger d'implosion dans la région du Sahel. L'Union Africaine songe sans doute à y envoyer une force d'intervention militaire.
Mais, à mon avis, il n'y a pas que des armes qui sont arrivés avec les mercenaires touaregs de Kadhafi, il y a de l'argent et sans doute, beaucoup d'argent.
Et, n'oublions pas que les touaregs gardent comme base arrière le nord de la Libye où leur alliance avec d'autres tribus restent d'actualité.
Sans compter que la situation y reste confuse.
(source : idem, Jeudi 16 février 2012)
"Six morts dans des violences intertribales.
Six personnes ont été tuées et 20 autres blessées hier dans des combats armés entre tribus libyennes dans le sud-est désertique de la Libye, ont indiqué des responsables et des sources tribales.
Les affrontements entre la tribu des Zwai et celle de Tobu ont éclaté dans la nuit de dimanche à lundi dans la ville de Koufra et cinq personnes y ont péri. Une sixième personne, un membre des Zwai, a été tuée, selon les sources tribales."
Eh, oui, mes chers quatre lecteurs, notre président national est un grand stratège, il l'a prouvé en Côte d'Ivoire où la situation reste explosive. Bref, il aurait mieux fait de s'abstenir.
(source :Ivoirebusiness.net, jeu, 16 févr. 2012 )
"Rébellion armée contre Ouattara : Général Soumaïla Bakayoko « Des combattants armés pullulent à Lopou, dans la forêt de DABOU, prêts à frapper le régime »
Général Soumaïla Bakayoko, chef d'Etat-major des FRCI.Le 16 février 2012 par IvoireBusiness - Une expédition punitive est en train d’être préparée au plus haut niveau par la haute hiérarchie des FRCI dirigée par le général de division Soumaïla Bakayoko, chef d’Etat-major des armées, sur toutes
les régions de Côte d'Ivoire ou pullulent des Combattants armés de tous poils. L’attaque meurtrière d’un convoi FRCI par des soldats non identifiés lui est manifestement passée au travers de la gorge.
La situation est ainsi devenue explosive à Dabou, 27 km de la capitale économique ivoirienne, Abidjan. Le général Bakayoko a mis ses hommes sur les traces de combattants pro-Gbagbo et liberiens, qui selon lui sont dans la forêt de Dabou dans le village de Lopou.
Ils auraient pris position dans les riches forêts de cette localité, attendant ‘’ le feu vert’’ pour déstabiliser le régime d’Alassane Ouattara. Dans le souci d'en savoir un peu plus sur cette présence officiellement évoquée par les autorités militaires de « trouble-fête » dans la région, le confrère L’Inter s’est rendu à Dabou. Sur les traces des combattants…
C’est dans cette veine qu’hier le sous-préfet de Dabou et le secrétaire général de la préfecture ont été arrêtés. Leurs torts : Avoir un penchant pour le Président Laurent Gbagbo.
A SIKENSI, HAMED BAKAYOKO PRÊT A REPRIMER TOUTE REBELLION DANS LE SANG
A Sikensi, la situation est aussi préocupante.
Jeudi 02 février dernier, Hamed Bakayoko, ministre de l’Intérieur était à Sikensi pour des mises au point avec la population.
Il a été très menaçant envers cette dernière. Il a dit que les jeunes de la région prépareraient une rébellion contre le régime de Ouattara.
Il a invité les parents séance tenante à dissuader leurs enfants car il avait les moyens de réprimer toute rébellion dans le sang. Il a dit qu'il est prêt à tuer tout le monde et que personne ne dise APR7S qu'il massacre les civils."
Donc, vive le candidat sarko qui a réussi à mettre tout le monde dans la merde, les français en premier.
Et, chez lui, c'est son incompétence qui est dangereuse.
A bientôt.
René.
Bon, avant hier, mes quatre chers lecteurs, je saluais les candidats bouffons à l'élection présidentielle français. Evidemment, il fallait comprendre que je parlais des candidats qui issus du parti présidentielle posait leur candidature juste pour négocier une place au sein d'un nouveau gouvernement sarko. Je parlais de Bouttin et de Morin, les fous du roi et seulement de ces deux=là, pas plus, ni moins.
Mais, en attendant l'industrie continue à se porter mal en France. Déjà, nous avions les délocalisations, les faillites de TPE et PME par manque de crédit bancaire, les faillites dues à la concurrence des pays émergents et maintenant, nous avons les fermetures dues à l'élimination de la concurrence comme cela s'est passé à Gandrange avec la fermeture programmée par la famille Mittal du site d'ArcelorMittal de Gandrange.
Maintenant, il se passe la même avec l'industrie de l'Aluminium.
(source : Agoravox)
Le sabotage de l’industrie de l’aluminium en France
On apprend ces jours-ci que l’usine de production d’aluminium de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie, risque d’être fermée très prochainement.
Selon Olivier Baud, ancien président d’Aluminium Péchiney, le groupe canadien Alcan qui a racheté Péchiney en 2004 avait prémédité un plan de fermeture de toutes les usines européennes de ce groupe sidérurgique français, en en précisant même les dates. Ainsi, l’usine de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie, était déjà programmée, il y a 8 ans lors du rachat, comme devant être fermée en 2012…(...)"
Bientôt, la France, si, l'état ne fait pas un effort n'aura plus d'industrie lourde, comme cela s'est passé pour le textile dans le nord.
Et, le premier ministre nous parle d'une croissance à 0,5%, « la perspective d'une croissance de 0,5 % minimum en 2012 est acquise ». La dynamique reste très fragile".
Il y a de quoi rigoler, en riant jaune évidemment, les entrepreneurs nationaux désertent le pays pour une question de profit et non pas de survie et la France perd son tissu industriel, sans compter celui dee PME-PMI e TPE.
Il y a de quoi pavoiser, ne pensez-vous pas mes quatre chers lecteurs ?
A Gandrange, sarko avait promis de prendre l'affaire en main, résultat, le site a fermé.
A cause du profit dont il nous a tant battu les oreilles au point de concocter des primes à la méritocratie dans les administrations publiques. Plus, tu travailles, plus, tu touches de prime, mais, en même temps en supprime des milliers de poste.
En URSS, cela s'appelait le Le stakhanovisme.
Et, dire qu'il a annoncé qu'il allait nous rabattre les oreilles avec la valeur travail. A mon avis, il devrait plutôt se préoccuper que l'industrie dans son ensemble ne quitte pas la France.
Parce que dans l'agriculture, il n'y a pas de travail, dans les administrations pareils, dans les services publics, la même et au chômage, il y a déjà trop de monde.
Encore heureux, qu'il n'y ait plus Christine Lagarde au ministre de l'économie parce qu'elle aurait capable de vouloir nous faire avaler qu'en France, finalement, la situation n'est pas si mauvaise pour l'emploi.
Sauf, qu'elle a été sévir au FMI et cela est peut-être pire, pour nous évidemment puisque sa seule vraie compétence est de suivre ce qu'il lui est dit de faire.
Mais, passons, parce qu'au Mali, la crise s'internationalise.
(source : El Watan, le 14.02.12)
"Crise du nord du Mali : l’Union africaine et la France s’en mêlen.
L’Union africaine a décidé de ne pas rester les bras croisés face à l’aggravation de la crise du nord du Mali qui connaît depuis le mois de janvier dernier une résurgence de la rébellion touareg.
Le Burkina Faso, pays qui a accueilli depuis le début du conflit près de 10 000 réfugiés touareg, a annoncé que l’organisation panafricaine était en train de préparer des «initiatives». L’annonce a été faite en marge d’une rencontre entre le président burkinabé, Blaise Compaoré, et un émissaire du président de l’UA, le Béninois Thomas Boni Yayi. «Un message du président béninois, nouveau patron de l’UA, a été transmis à M. Compaoré samedi par le ministre béninois des Affaires étrangères, Nassirou Bako-Arifari», a indiqué la présidence burkinabé dans un communiqué.
M. Bako-Arifari a, selon la même source, «fait savoir que la question de la rébellion touareg au Mali a été abordée» avec le président Compaoré. Cette «concertation», précise-t-on encore, fait suite à une mission envoyée par le président Boni Yayi auprès du chef de l’Etat malien, Amadou Toumani Touré, pour «envisager des actions à mener». «D’autres concertations sont en cours et le Conseil de paix et de sécurité de l’UA est en train de prendre des initiatives», a ajouté la présidence du Burkina, sans plus de précision. Cette initiative africaine, précise-t-on, intervient une semaine après la médiation menée entre Bamako et les rebelles touareg par le gouvernement algérien."
Donc, tout le monde se rend compte du danger d'implosion dans la région du Sahel. L'Union Africaine songe sans doute à y envoyer une force d'intervention militaire.
Mais, à mon avis, il n'y a pas que des armes qui sont arrivés avec les mercenaires touaregs de Kadhafi, il y a de l'argent et sans doute, beaucoup d'argent.
Et, n'oublions pas que les touaregs gardent comme base arrière le nord de la Libye où leur alliance avec d'autres tribus restent d'actualité.
Sans compter que la situation y reste confuse.
(source : idem, Jeudi 16 février 2012)
"Six morts dans des violences intertribales.
Six personnes ont été tuées et 20 autres blessées hier dans des combats armés entre tribus libyennes dans le sud-est désertique de la Libye, ont indiqué des responsables et des sources tribales.
Les affrontements entre la tribu des Zwai et celle de Tobu ont éclaté dans la nuit de dimanche à lundi dans la ville de Koufra et cinq personnes y ont péri. Une sixième personne, un membre des Zwai, a été tuée, selon les sources tribales."
Eh, oui, mes chers quatre lecteurs, notre président national est un grand stratège, il l'a prouvé en Côte d'Ivoire où la situation reste explosive. Bref, il aurait mieux fait de s'abstenir.
(source :Ivoirebusiness.net, jeu, 16 févr. 2012 )
"Rébellion armée contre Ouattara : Général Soumaïla Bakayoko « Des combattants armés pullulent à Lopou, dans la forêt de DABOU, prêts à frapper le régime »
Général Soumaïla Bakayoko, chef d'Etat-major des FRCI.Le 16 février 2012 par IvoireBusiness - Une expédition punitive est en train d’être préparée au plus haut niveau par la haute hiérarchie des FRCI dirigée par le général de division Soumaïla Bakayoko, chef d’Etat-major des armées, sur toutes
les régions de Côte d'Ivoire ou pullulent des Combattants armés de tous poils. L’attaque meurtrière d’un convoi FRCI par des soldats non identifiés lui est manifestement passée au travers de la gorge.
La situation est ainsi devenue explosive à Dabou, 27 km de la capitale économique ivoirienne, Abidjan. Le général Bakayoko a mis ses hommes sur les traces de combattants pro-Gbagbo et liberiens, qui selon lui sont dans la forêt de Dabou dans le village de Lopou.
Ils auraient pris position dans les riches forêts de cette localité, attendant ‘’ le feu vert’’ pour déstabiliser le régime d’Alassane Ouattara. Dans le souci d'en savoir un peu plus sur cette présence officiellement évoquée par les autorités militaires de « trouble-fête » dans la région, le confrère L’Inter s’est rendu à Dabou. Sur les traces des combattants…
C’est dans cette veine qu’hier le sous-préfet de Dabou et le secrétaire général de la préfecture ont été arrêtés. Leurs torts : Avoir un penchant pour le Président Laurent Gbagbo.
A SIKENSI, HAMED BAKAYOKO PRÊT A REPRIMER TOUTE REBELLION DANS LE SANG
A Sikensi, la situation est aussi préocupante.
Jeudi 02 février dernier, Hamed Bakayoko, ministre de l’Intérieur était à Sikensi pour des mises au point avec la population.
Il a été très menaçant envers cette dernière. Il a dit que les jeunes de la région prépareraient une rébellion contre le régime de Ouattara.
Il a invité les parents séance tenante à dissuader leurs enfants car il avait les moyens de réprimer toute rébellion dans le sang. Il a dit qu'il est prêt à tuer tout le monde et que personne ne dise APR7S qu'il massacre les civils."
Donc, vive le candidat sarko qui a réussi à mettre tout le monde dans la merde, les français en premier.
Et, chez lui, c'est son incompétence qui est dangereuse.
A bientôt.
René.
Aujourd'hui, peu de mots, juste cette article au sujet du Mali et de la guerre civile qui monte alimentée par les armes venues de Libye.
Quel avenir pour la sous région ?
Posez-vous la question, mes chers quatre lecteurs, parce les accords militaires amèneront la France à intervenir. Le problème étant qu'il n'y a pas que Aqmi, affidé à al quaÏda, il y a tous les autres qui vont passer des alliances de circonstance dans le cadre de rezzous avec aqmi ou entre-eux ou tous ensemble.
C'était aussi une conséquence à prévoir de la part de nos stratèges après la chute de Kadhafi. Le résultat, c'est une future implication militaire français avec des combattants aguerris et qui ont un compte à régler avec la France.
Et, la France seule n'a pas vraiment les moyens de dominer la situation.
Mais, passons.
(source : Irin news)
"SAHEL: Les Maliens déplacés sont un fardeau pour leurs hôtes
Photo: ReliefWeb
Carte des régions affectées par les affrontements et le déplacement qui s’ensuit
BAMAKO/DAKAR, 7 février 2012 (IRIN) - Selon le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) à Niamey, la capitale du Niger, quelque 12 000 Maliens ont fui les combats qui se sont déroulés dans les villes de Ménaka et d’Anderamboucane dans le nord du Mali. Ils ont atteint les villages voisins de Tillabéri dans l’ouest du Niger, villages souffrant eux-mêmes d’insécurité alimentaire.
D’après le ministère des Affaires étrangères du Mali, les réfugiés maliens sont répartis entre les villages nigériens de Mangaizé, Chinégodar, Koutoubou, Yassan et Ayorou ; la majorité d’entre eux, estimée à 7 000 personnes, se trouvent à Chinégodar qui compte habituellement 1 500 habitants, a indiqué Franck Kuwonu du Bureau de la Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies (OCHA) à Niamey.
Des combats ont éclaté à la mi-janvier entre les rebelles Touareg et d’anciens soldats de Libye d’un côté et l’armée malienne de l’autre. Les groupes rebelles et les anciens combattants libyens auraient récemment acquis de nouvelles armes suite au conflit libyen et lancé un nouveau mouvement, le Mouvement National de Libération de l’Awazad (MNLA) qui réclame la création d’un Etat indépendant comprenant les régions de Gao, Kidal et Timbouctou, situées dans le nord du Mali.
Selon le gouvernement et les agences humanitaires, la région de Tillabéri au Niger a été la plus durement affectée par la sécheresse et les mauvaises récoltes de 2011 et une bonne partie des habitants sont déjà confrontés à une insécurité alimentaire sévère. Les évaluations sont encore en cours, mais le gouvernement a estimé à la fin de l’an dernier que près de la moitié de la population du Niger manquerait de nourriture cette année.
« Chinégodar n’a même pas suffisamment de céréales pour nourrir sa propre population qui n’est pas large, » a dit M. Kuwonu, en faisant remarquer que la banque de céréales contenait [seulement] trois tonnes de millet. Le prix du millet dans la région est de 24 000 francs CFA (50 dollars) le sac de 100 kilos ; il était de 19 000 francs CFA (40 dollars) à la même époque l’an dernier.
Le CICR et l’organisation non gouvernementale (ONG) Médecins sans Frontières [MSF] ont été les plus rapides à répondre aux besoins des réfugiés : Le CICR a réparé les pompes à eau dans les villes sous pression qui accueillent les réfugiés et distribué des couvertures, des matériaux pour faire des abris et de la nourriture ; MSF a délégué une infirmière avec des fournitures médicales de base pour aider les personnes ayant besoin de soins.
Cependant, la logistique est lente, a indiqué M. Kuwonu et il faut davantage de nourriture et d’abris. Le porte-parole du CICR à Niamey, Germain Mwehu, a dit à IRIN que l’aide était suffisante pour assurer les besoins immédiats, mais pas sur le long terme.
Une mission inter-agences de l’ONU a évalué la région la semaine dernière et les représentants des agences vont se rencontrer demain [le 7 février] pour discuter des modalités d’intervention. Oxfam a également évalué la situation. Toutes les agences coordonneront étroitement leurs efforts avec ceux du gouvernement, a dit M. Kuwonu.
En route vers la Mauritanie, le Burkina, la Guinée
Selon PANA Press, quelque 6 000 Maliens ont fui également les affrontements de Léré, Niafunké et Goundam dans la région de Timbouctou au nord du Mali, et se sont réfugiés à Fassala Néré en Mauritanie, à environ 1 260 kilomètres à l’est de la capitale Nouakchott. Parmi eux, un certain nombre d’enfants souffriraient de malnutrition sévère, selon l’Association pour la Recherche et le Développement en Mauritanie (ARDM), une ONG locale.
Les autorités locales et l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) sont actuellement en train d’évaluer la situation de façon plus détaillée, a indiqué à IRIN, de Nouakchott, Elise Villechalane, porte-parole du HCR. Un nombre inconnu de Maliens se sont aussi enfuis vers l’est pour se réfugier au Burkina Faso et en Guinée occidentale, a indiqué le CICR au Mali.
Dans le même temps, un nombre inconnu de Maliens fuient vers le sud en direction de Mopti, quelque 640 kilomètres au nord de la capitale Bamako, et vers Bamako même.
Amina Coulibaly, productrice à la radio nationale à Gao, dans l’est du Mali, a parlé à IRIN de la capitale [régionale]: « Les affrontements n’ont pas encore commencé à Gao [ville] mais étant donné que c’est l’un des endroits que les Touareg veulent annexer dans leur république, je préfère partir maintenant. »
Le Mali s’efforce depuis plusieurs années de contenir les groupes rebelles dans le nord, la montée en puissance des factions (AQMI) d’Al Qaïda au Maghreb Islamique et le trafic de contrebande extrêmement répandu dans les régions du nord du pays."
Voilà, cela sera tout pour aujourd'hui et je vous laisse imaginer le futur développement du conflit. A mon avis, il ne fera pas être bon d'être français dans la région. Mais, Areva n'en a peut-être rien à faire, vu qu'il y a de l'uranium à extraire.
Qui vivra, verra, comme dit le proverbe.
A bientôt.
René.
PS ; Désormais, les nomades ont un objectif, un but, leur pays, l’Awazad. Ce ciment sera leur rêve et la raison de leur sacrifice, ce qui les réunira au lieu de toujours quémander des améliorations de leur situation dans les pays respectifs qui donnent lieu à des promesses jamais tenus. Et, je gage que ce combat soulèvera l'enthousiasme des nations arabes, donc un soutien financiers et en armes. Le Mali et le Niger ne font pas le poids et la France s'enfoncerait dans une guerre à très long terme parce que maintenant les touaregs et les autres nomades savent pourquoi, ils se battent, pour l'avenir de leurs enfants.
Quel avenir pour la sous région ?
Posez-vous la question, mes chers quatre lecteurs, parce les accords militaires amèneront la France à intervenir. Le problème étant qu'il n'y a pas que Aqmi, affidé à al quaÏda, il y a tous les autres qui vont passer des alliances de circonstance dans le cadre de rezzous avec aqmi ou entre-eux ou tous ensemble.
C'était aussi une conséquence à prévoir de la part de nos stratèges après la chute de Kadhafi. Le résultat, c'est une future implication militaire français avec des combattants aguerris et qui ont un compte à régler avec la France.
Et, la France seule n'a pas vraiment les moyens de dominer la situation.
Mais, passons.
(source : Irin news)
"SAHEL: Les Maliens déplacés sont un fardeau pour leurs hôtes
Photo: ReliefWeb
Carte des régions affectées par les affrontements et le déplacement qui s’ensuit
BAMAKO/DAKAR, 7 février 2012 (IRIN) - Selon le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) à Niamey, la capitale du Niger, quelque 12 000 Maliens ont fui les combats qui se sont déroulés dans les villes de Ménaka et d’Anderamboucane dans le nord du Mali. Ils ont atteint les villages voisins de Tillabéri dans l’ouest du Niger, villages souffrant eux-mêmes d’insécurité alimentaire.
D’après le ministère des Affaires étrangères du Mali, les réfugiés maliens sont répartis entre les villages nigériens de Mangaizé, Chinégodar, Koutoubou, Yassan et Ayorou ; la majorité d’entre eux, estimée à 7 000 personnes, se trouvent à Chinégodar qui compte habituellement 1 500 habitants, a indiqué Franck Kuwonu du Bureau de la Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies (OCHA) à Niamey.
Des combats ont éclaté à la mi-janvier entre les rebelles Touareg et d’anciens soldats de Libye d’un côté et l’armée malienne de l’autre. Les groupes rebelles et les anciens combattants libyens auraient récemment acquis de nouvelles armes suite au conflit libyen et lancé un nouveau mouvement, le Mouvement National de Libération de l’Awazad (MNLA) qui réclame la création d’un Etat indépendant comprenant les régions de Gao, Kidal et Timbouctou, situées dans le nord du Mali.
Selon le gouvernement et les agences humanitaires, la région de Tillabéri au Niger a été la plus durement affectée par la sécheresse et les mauvaises récoltes de 2011 et une bonne partie des habitants sont déjà confrontés à une insécurité alimentaire sévère. Les évaluations sont encore en cours, mais le gouvernement a estimé à la fin de l’an dernier que près de la moitié de la population du Niger manquerait de nourriture cette année.
« Chinégodar n’a même pas suffisamment de céréales pour nourrir sa propre population qui n’est pas large, » a dit M. Kuwonu, en faisant remarquer que la banque de céréales contenait [seulement] trois tonnes de millet. Le prix du millet dans la région est de 24 000 francs CFA (50 dollars) le sac de 100 kilos ; il était de 19 000 francs CFA (40 dollars) à la même époque l’an dernier.
Le CICR et l’organisation non gouvernementale (ONG) Médecins sans Frontières [MSF] ont été les plus rapides à répondre aux besoins des réfugiés : Le CICR a réparé les pompes à eau dans les villes sous pression qui accueillent les réfugiés et distribué des couvertures, des matériaux pour faire des abris et de la nourriture ; MSF a délégué une infirmière avec des fournitures médicales de base pour aider les personnes ayant besoin de soins.
Cependant, la logistique est lente, a indiqué M. Kuwonu et il faut davantage de nourriture et d’abris. Le porte-parole du CICR à Niamey, Germain Mwehu, a dit à IRIN que l’aide était suffisante pour assurer les besoins immédiats, mais pas sur le long terme.
Une mission inter-agences de l’ONU a évalué la région la semaine dernière et les représentants des agences vont se rencontrer demain [le 7 février] pour discuter des modalités d’intervention. Oxfam a également évalué la situation. Toutes les agences coordonneront étroitement leurs efforts avec ceux du gouvernement, a dit M. Kuwonu.
En route vers la Mauritanie, le Burkina, la Guinée
Selon PANA Press, quelque 6 000 Maliens ont fui également les affrontements de Léré, Niafunké et Goundam dans la région de Timbouctou au nord du Mali, et se sont réfugiés à Fassala Néré en Mauritanie, à environ 1 260 kilomètres à l’est de la capitale Nouakchott. Parmi eux, un certain nombre d’enfants souffriraient de malnutrition sévère, selon l’Association pour la Recherche et le Développement en Mauritanie (ARDM), une ONG locale.
Les autorités locales et l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) sont actuellement en train d’évaluer la situation de façon plus détaillée, a indiqué à IRIN, de Nouakchott, Elise Villechalane, porte-parole du HCR. Un nombre inconnu de Maliens se sont aussi enfuis vers l’est pour se réfugier au Burkina Faso et en Guinée occidentale, a indiqué le CICR au Mali.
Dans le même temps, un nombre inconnu de Maliens fuient vers le sud en direction de Mopti, quelque 640 kilomètres au nord de la capitale Bamako, et vers Bamako même.
Amina Coulibaly, productrice à la radio nationale à Gao, dans l’est du Mali, a parlé à IRIN de la capitale [régionale]: « Les affrontements n’ont pas encore commencé à Gao [ville] mais étant donné que c’est l’un des endroits que les Touareg veulent annexer dans leur république, je préfère partir maintenant. »
Le Mali s’efforce depuis plusieurs années de contenir les groupes rebelles dans le nord, la montée en puissance des factions (AQMI) d’Al Qaïda au Maghreb Islamique et le trafic de contrebande extrêmement répandu dans les régions du nord du pays."
Voilà, cela sera tout pour aujourd'hui et je vous laisse imaginer le futur développement du conflit. A mon avis, il ne fera pas être bon d'être français dans la région. Mais, Areva n'en a peut-être rien à faire, vu qu'il y a de l'uranium à extraire.
Qui vivra, verra, comme dit le proverbe.
A bientôt.
René.
PS ; Désormais, les nomades ont un objectif, un but, leur pays, l’Awazad. Ce ciment sera leur rêve et la raison de leur sacrifice, ce qui les réunira au lieu de toujours quémander des améliorations de leur situation dans les pays respectifs qui donnent lieu à des promesses jamais tenus. Et, je gage que ce combat soulèvera l'enthousiasme des nations arabes, donc un soutien financiers et en armes. Le Mali et le Niger ne font pas le poids et la France s'enfoncerait dans une guerre à très long terme parce que maintenant les touaregs et les autres nomades savent pourquoi, ils se battent, pour l'avenir de leurs enfants.
mardi 14 février 2012
Salut aux candidats bouffons de notre élection présidentielle, vous nous avez bien fait rire !
Bon, mes quatre chers lecteurs, mon tuyau d'arrivée d'eau vient d'exploser avec l'eau gelée qui justement à dégeler un peu trop brutalement. Plus de bain avant.....qu'on puisse payer la facture.
En attendant, je me pose la question, "Est-ce cela le monde de demain ?"
La disparition programmée de la forêt amazonienne et l'extinction violente des derniers indiens de la région. Tout cela pourquoi ?
Pour les arbres précieux dont se nourrissent nos industries ?
Pour augmenter les surfaces cultivables de cannes à sucre et de soja Mosanto ?
Va-t-on laisser mourir le peuple du chef Raoni ?
La présidente brésilienne me paraît être une piètre écologiste.
Les colons sauvages sont soutenus par des policiers. Eh, oui, si, le Brésil payait mieux ses policiers, ils seraient peut-être moins tenté de se faire du fric comme tueurs à gages ou mercenaires.
Car, si, ces individus veulent éviter une réaction internationale, ils doivent faire vite, c'est-à-dire, tuer un maximum d'indiens en un minimum de temps.
La maxime américaine est toujours valable, "Un bon indien est un indien mort !"
(source : Libération, Dimanche dernier)
"Brésil : le chef indien Raoni lance un cri d'alarme sur le sort de son peuple.
Le chef indien brésilien Raoni, connu dans le monde entier pour son combat en vue de défendre la forêt amazonienne, a lancé un cri d'alarme sur la situation extrêmement préoccupante en ce moment sur son territoire afin d'éviter un bain de sang. ( © AFP Alain Jocard)
Cet appel a été rendu public dimanche par l'association Planète Amazone de défense de l'environnement et des Indiens.
Dans un communiqué adressé aux médias, Planète Amazone, rend compte de "graves incidents survenus sur les territoires ancestraux des kayapo (dans l'Etat amazonien du Mato Grosso) et de leur chef Raoni occupés illégalement par des colons armés soutenus par des éléments d'une police corrompue".
Un Indien a été passé à tabac il y a deux jours, une camionnette des Indiens brûlée par les colons, et "les guerriers de Raoni se regroupent par centaines afin de chasser les intrus", selon le communiqué.
"Le choc risque d'être sanglant et personne ne fait rien. Nous craignons pour la vie de Raoni et des siens", affirme Planète Amazone qui espère "inciter le gouvernement brésilien à prendre des mesures" pour effectuer le bornage effectif de la réserve indigène de Raoni, 180.000 km2 dans le Xingu.
"Je reste combatif (...) Depuis si longtemps je demande aux gouvernements successifs de régulariser cette situation, mais, malgré les promesses, ils ne m'ont pas écouté (...) Ne laissez pas mon peuple être expulsé de ses terres", exhorte le cacique octogénaire Raoni, rendu célèbre par le soutien que lui a apporté le chanteur anglais Sting en 1989.
Arborant toujours une coiffe de plumes jaunes et noires et son impressionnant labret (disque en bois) dans la lèvre, Raoni est d'autre part un farouche opposant à la construction du barrage géant de Belo Monte en Amazonie.
En dépit d'une campagne des écologistes et des Indiens, soutenue par le réalisateur d'"Avatar", James Cameron, le Brésil a donné son feu vert le 1er juin dernier aux travaux destinés à ériger le troisième barrage le plus grand du monde, sur le Rio Xingu.
Selon les chiffres officiels, cet ouvrage, qui doit être terminé en 2019, inondera une zone de 500 km2 dans l'ouest de l'Etat amazonien du Para, et requerra le déplacement de 16.000 personnes."
Et, oui, nous sommes plongés dans la crise, la Grèce flambe, la troïka (CEE, BCE, FMI, plus le couple sarko-angela merkel) nous promettent, non pas des sacrifices, mais, du sang et des larmes.
D'ailleurs, je me demande qu'est-ce qui permet à Merkel de se mêler des élections présidentielles en France. Elle se mêle déjà de la vie des grecs qui apprécient beaucoup, maintenant, elle veut nous imposer son candidat.
Qu'est-ce qu'il se passe, "Coucou, revoilà, la domination allemande !"
Ach, Teuton ! Ils sont passés par ici, ils repasserons par là.
Mais, non, je plaisante, car les travailleurs allemands souffrent autant que nous et ce n'est pas la croissance de leur pays qui aide à améliorer leur condition.
Alors, si, la croissance n'aide pas à améliorer les conditions du peuple allemand, à quoi sert-elle ?
A conforter la classe dirigeante et aisées ?
Donc, la croissance ne signifie plus, plus de justice sociale. En fait, dans leur discours, ils nous racontent encore et toujours des mensonges.
Comme candidat socialiste, Hollande qui prend rendez-vous dans un restaurant fort connu avec bernard henry lévy, le foudre de guerre de sarko pour la Libye.
Que va-t-il faire avec ce personnage sulfureux ?
De toute façon, nos politiques n'ont plus aucune éthique.
En tout cas, le tandem sarko et merkel ont préparé aux peuples européens des lendemain qui ne chantent pas et qui annoncent des réductions de salaires, des baisses d'effectifs dans le public, une baisse des remboursements de la sécurité sociale, des soins et des écoles sous dotées, etc, etc, faites-vous même la liste mes quatre chers lecteurs.
Et, pourquoi ?
Parce que aucun état européen de faible niveau économique ne pourra tenir le deal. Ce qui annonce d'avance dans ces pays, la destruction des politiques publiques et la liquidation des entreprises publiques. Tout cela, évidemment, au bénéfice des spéculateurs du marché.
En fait, ils sont en train de restructurer l'Europe en la découpant par tranches pour la mise en vente, exactement comme, cela se fait pour une entreprise rachetée par un fond spéculatif. Pas plus, pas moins.
Et, que sommes-nous là dedans ? RIEN !
(source : les Echos, 30/01)
"Accord européen sur le nouveau traité budgétaire
Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE sont parvenus à un accord lundi soir sur le nouveau pacte budgétaire qui doit contrôler plus étroitement les finances publiques de tous les membres du bloc communautaire, excepté la Grande-Bretagne, ont dit deux diplomates.
Les dirigeants européens s'étaient entendus le 9 décembre dernier sur ce pacte, qui limitera à 0,5% leurs déficits primaires annuels sur l'ensemble du cycle économique et prévoit des sanctions automatiques pour les pays dont le déficit passerait la barre des 3% de Produit intérieur brut (PIB).
"Un accord a été trouvé sur le pacte budgétaire", a dit l'un des diplomates.
Il a expliqué que le dernier obstacle politique - la question des pays qui seront invités à participer aux sommets des dirigeants de la zone euro - a été franchi après qu'un compromis a été trouvé avec la Pologne, qui conditionnait sa signature du texte à ces invitations."
Et, en attendant, la sphère spéculative continue à spéculer annonçant, par exemple pour Tahiti qui a le record de l'électricité la plus chère au monde, car issue du pétrole, des factures plus élevées encore. Et, pour les automobilistes des coûts à la pompe en hausse.
Evidemment, vous comprenez bien que ce ne sont pas les coûts de production qui sont en jeux, mais, le simple jeu de la spéculation internationale qui vient vous piquer dans votre porte monnaie.
Après, sarko nous parlera des coûts de production.
(source : blogfinance)
"Pétrole : le cours dopé par Grèce et Iran
Le cours du pétrole a achevé la journée de lundi en hausse à New-York, dopé par la crise financière et sociale qui sévit actuellement en Grèce, les tensions géopolitiques liées à l'Iran incitant parallèlement les investisseurs à se tourner vers le brut.
Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mars aura ainsi grimpé de 2,24 dollars dans la journée par rapport à la clôture de vendredi, s'échangeant désormais à 100,91 dollars sur le New York Mercantile Exchange.
Parallèlement, à Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour même échéance terminait à 117,93 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE), progressant de 62 cents par rapport à la clôture de vendredi.
A noter, que quelques minutes à la clôture à New York, les échanges de brut new-yorkais sur le New York Mercantile Exchange (NYMEX) ont été suspendus, pour des raisons techniques nous dit-on, l'événement perturbant la fin des transactions de certains contrats à terme.
Alors que le baril s'échangeait à 100,39 dollars avant cette suspension, progressant de 1,72 dollar, le cours a par la suite bondi à la reprise des échanges.
La plupart des analystes estiment que cette hausse est liée au vote du parlement grec en faveur des mesures d'austérité, ainsi qu'aux tensions accrues après des attaques contre les employés des ambassades israéliennes en Géorgie et en Inde.
Précisons en effet que deux attentats ont visé lundi le personnel des ambassades d'Israël à New Delhi et Tbilissi. Le Premier ministre israélien y voit la main armée de l'Iran, accusation démentie par Téhéran.
A noter également que suite aux sanctions européennes récemment décidées en guise de rétorsion contre la politique nucléaire iranienne, des opérateurs se voient désormais dans l'impossibilité d'acheminer leurs tankers dans les ports iraniens, aucune compagnie n'acceptant d'assurer leurs cargaisons."
Et, voilà, mes quatre chers lecteurs, tant que nous ne nous lèverons pas par millions, que dis-je par centaine de millions en même temps à travers la planète, nous serons les cocus de l'histoire.
A bientôt.
René.
PS : source : basta !)
P"ESTICIDES ET SANTÉ
Au Nicaragua, la canne à sucre tue les ouvriers à petit feu
PAR NOLWENN WEILER (12 JUILLET 2010)
Face aux ravages que provoquent les pesticides sur la santé des ouvriers de l’industrie sucrière au Nicaragua, un mouvement social, emmené par une femme, Carmen Rios, se bat pour la reconnaissance des maladies professionnelles et l’indemnisation des victimes.
« DDT », « Paraquat »... Ces noms barbares font partie du panel de pesticides abondamment déversés chaque année sur les plantations nicaraguayennes de canne à sucre, dans la région de Chichigalpa, à l’ouest du pays. Les 3.000 ouvriers qui y travaillent - jusqu’à 7.000 au moment de la récolte - ne prennent évidemment aucune précaution pour épandre ces produits miraculeux, qui tuent les mauvaises herbes, les insectes ravageurs, et font pousser la canne plus vite. Ils boivent l’eau des rivières, complètement infectée, se lavent dedans, cuisinent avec... sans s’inquiéter.
« Je me souviens simplement que maman nous disait de rentrer dans la maison quand ils épandaient les pesticides par avion », témoigne Carmen Rios, porte-parole d’anciens travailleurs de la canne à sucre, aujourd’hui atteints d’insuffisance rénale chronique (IRC). De passage en Aquitaine, à l’occasion de l’université d’été du CRID (Centre de recherche et d’information sur le développement) , elle rappelle que les victimes ne sont pas toutes d’anciens travailleurs : « Moi, par exemple, je souffre d’IRC alors que je n’ai jamais mis les pieds dans la plantation. C’est par l’eau, que j’ai été contaminée. »
Une douleur insupportable
C’est la variation du taux de créatinine, une molécule normalement éliminée par les reins et sur laquelle les pesticides ont une influence certaine, qui définit l’état d’IRC. Silencieuse pendant longtemps, cette maladie a des effets de plus en plus ravageurs. « Au début, il y a la fièvre, les maux de ventre, l’hypertension, les maux de tête, des douleurs intenses dans les os, les oublis, explique Carmen Rios. Et puis les douleurs deviennent de plus en plus insistantes et intolérables. » Une personne malade, citée par Peuples solidaires dans son appel à la solidarité avec ces anciens travailleurs, rapporte qu’en phase terminale, « la douleur est si intense, c’est comme si tous les os de votre corps étaient brisés. C’est une mort horrible, une douleur insupportable. » Depuis que le recensement des personnes atteintes d’IRC a commencé en 2000, plus de 3.000 personnes sont mortes. 8.000 ont été déclarées malades.
A force de combat, le mouvement emmené par Carmen Rios obtient en 2004 l’inscription dans le code du travail de l’IRC comme maladie professionnelle. Grâce à quoi 5.400 personnes touchent aujourd’hui 80 euros de pension par mois. « Pour les autres, nous avons diverses tracasseries administratives, notamment avec la sécurité sociale, détaille Carmen Rios. Mais cela devrait se résoudre. Nous souhaitons, en plus, percevoir une indemnisation de l’entreprise qui exploite la canne à sucre et qui est l’une des plus puissantes et des plus riches du pays. » C’est la « Sugar Estates Ltd. » qui gère la sucrerie de Chichigalpa, propriété du Groupe Pellas, qui possède des banques, des usines ou des plantations dans toute l’Amérique centrale et en Floride.
« On ne connaît les ouvriers que par leur numéro »
Pour faire pression sur Pellas, les anciens travailleurs ont marché sur Managua en mars 2009. Et ont décidé d’y rester. Ils sont plus de 300 à camper depuis plus d’un an au pied de la cathédrale, à 600 mètres du siège de l’entreprise. « Nous y allons tous les jours, poursuit Carmen Rios. Tous les matins, nous restons une à deux heures devant le siège, puis nous repartons. Un compagnon égrène les noms de ceux et celles qui sont décédés, en rappelant, à chaque fois, le numéro sous lequel ils étaient enregistrés par l’entreprise. Parce que, chez Pellas, on ne connaît les ouvriers que par leur numéro. »
Jusqu’à quand tiendront-ils le coup ? Dans les rues de Managua, recouvertes de poussière les jours de grande chaleur, les pieds dans la boue quand la pluie se met à tomber, régulièrement harcelés, voire frappés, par la police... « Nous resterons tant que nous n’aurons pas obtenu gain de cause, assure Carmen Rios. Nous voulons être, chacun, indemnisés. Nous réclamons aussi la fin de la consommation de pesticides et la plantation d’arbres dans nos régions désolées par les plantations de canne à sucre. » Un mouvement de boycott du Rhum national produit par Pellas, Flor de cana, a été lancé par un groupe d’étudiants. S’il est suivi, cela pourrait encourager la multinationale à prendre enfin en compte la santé des ouvriers qu’elle emploie."
Bon, mes quatre chers lecteurs, mon tuyau d'arrivée d'eau vient d'exploser avec l'eau gelée qui justement à dégeler un peu trop brutalement. Plus de bain avant.....qu'on puisse payer la facture.
En attendant, je me pose la question, "Est-ce cela le monde de demain ?"
La disparition programmée de la forêt amazonienne et l'extinction violente des derniers indiens de la région. Tout cela pourquoi ?
Pour les arbres précieux dont se nourrissent nos industries ?
Pour augmenter les surfaces cultivables de cannes à sucre et de soja Mosanto ?
Va-t-on laisser mourir le peuple du chef Raoni ?
La présidente brésilienne me paraît être une piètre écologiste.
Les colons sauvages sont soutenus par des policiers. Eh, oui, si, le Brésil payait mieux ses policiers, ils seraient peut-être moins tenté de se faire du fric comme tueurs à gages ou mercenaires.
Car, si, ces individus veulent éviter une réaction internationale, ils doivent faire vite, c'est-à-dire, tuer un maximum d'indiens en un minimum de temps.
La maxime américaine est toujours valable, "Un bon indien est un indien mort !"
(source : Libération, Dimanche dernier)
"Brésil : le chef indien Raoni lance un cri d'alarme sur le sort de son peuple.
Le chef indien brésilien Raoni, connu dans le monde entier pour son combat en vue de défendre la forêt amazonienne, a lancé un cri d'alarme sur la situation extrêmement préoccupante en ce moment sur son territoire afin d'éviter un bain de sang. ( © AFP Alain Jocard)
Cet appel a été rendu public dimanche par l'association Planète Amazone de défense de l'environnement et des Indiens.
Dans un communiqué adressé aux médias, Planète Amazone, rend compte de "graves incidents survenus sur les territoires ancestraux des kayapo (dans l'Etat amazonien du Mato Grosso) et de leur chef Raoni occupés illégalement par des colons armés soutenus par des éléments d'une police corrompue".
Un Indien a été passé à tabac il y a deux jours, une camionnette des Indiens brûlée par les colons, et "les guerriers de Raoni se regroupent par centaines afin de chasser les intrus", selon le communiqué.
"Le choc risque d'être sanglant et personne ne fait rien. Nous craignons pour la vie de Raoni et des siens", affirme Planète Amazone qui espère "inciter le gouvernement brésilien à prendre des mesures" pour effectuer le bornage effectif de la réserve indigène de Raoni, 180.000 km2 dans le Xingu.
"Je reste combatif (...) Depuis si longtemps je demande aux gouvernements successifs de régulariser cette situation, mais, malgré les promesses, ils ne m'ont pas écouté (...) Ne laissez pas mon peuple être expulsé de ses terres", exhorte le cacique octogénaire Raoni, rendu célèbre par le soutien que lui a apporté le chanteur anglais Sting en 1989.
Arborant toujours une coiffe de plumes jaunes et noires et son impressionnant labret (disque en bois) dans la lèvre, Raoni est d'autre part un farouche opposant à la construction du barrage géant de Belo Monte en Amazonie.
En dépit d'une campagne des écologistes et des Indiens, soutenue par le réalisateur d'"Avatar", James Cameron, le Brésil a donné son feu vert le 1er juin dernier aux travaux destinés à ériger le troisième barrage le plus grand du monde, sur le Rio Xingu.
Selon les chiffres officiels, cet ouvrage, qui doit être terminé en 2019, inondera une zone de 500 km2 dans l'ouest de l'Etat amazonien du Para, et requerra le déplacement de 16.000 personnes."
Et, oui, nous sommes plongés dans la crise, la Grèce flambe, la troïka (CEE, BCE, FMI, plus le couple sarko-angela merkel) nous promettent, non pas des sacrifices, mais, du sang et des larmes.
D'ailleurs, je me demande qu'est-ce qui permet à Merkel de se mêler des élections présidentielles en France. Elle se mêle déjà de la vie des grecs qui apprécient beaucoup, maintenant, elle veut nous imposer son candidat.
Qu'est-ce qu'il se passe, "Coucou, revoilà, la domination allemande !"
Ach, Teuton ! Ils sont passés par ici, ils repasserons par là.
Mais, non, je plaisante, car les travailleurs allemands souffrent autant que nous et ce n'est pas la croissance de leur pays qui aide à améliorer leur condition.
Alors, si, la croissance n'aide pas à améliorer les conditions du peuple allemand, à quoi sert-elle ?
A conforter la classe dirigeante et aisées ?
Donc, la croissance ne signifie plus, plus de justice sociale. En fait, dans leur discours, ils nous racontent encore et toujours des mensonges.
Comme candidat socialiste, Hollande qui prend rendez-vous dans un restaurant fort connu avec bernard henry lévy, le foudre de guerre de sarko pour la Libye.
Que va-t-il faire avec ce personnage sulfureux ?
De toute façon, nos politiques n'ont plus aucune éthique.
En tout cas, le tandem sarko et merkel ont préparé aux peuples européens des lendemain qui ne chantent pas et qui annoncent des réductions de salaires, des baisses d'effectifs dans le public, une baisse des remboursements de la sécurité sociale, des soins et des écoles sous dotées, etc, etc, faites-vous même la liste mes quatre chers lecteurs.
Et, pourquoi ?
Parce que aucun état européen de faible niveau économique ne pourra tenir le deal. Ce qui annonce d'avance dans ces pays, la destruction des politiques publiques et la liquidation des entreprises publiques. Tout cela, évidemment, au bénéfice des spéculateurs du marché.
En fait, ils sont en train de restructurer l'Europe en la découpant par tranches pour la mise en vente, exactement comme, cela se fait pour une entreprise rachetée par un fond spéculatif. Pas plus, pas moins.
Et, que sommes-nous là dedans ? RIEN !
(source : les Echos, 30/01)
"Accord européen sur le nouveau traité budgétaire
Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE sont parvenus à un accord lundi soir sur le nouveau pacte budgétaire qui doit contrôler plus étroitement les finances publiques de tous les membres du bloc communautaire, excepté la Grande-Bretagne, ont dit deux diplomates.
Les dirigeants européens s'étaient entendus le 9 décembre dernier sur ce pacte, qui limitera à 0,5% leurs déficits primaires annuels sur l'ensemble du cycle économique et prévoit des sanctions automatiques pour les pays dont le déficit passerait la barre des 3% de Produit intérieur brut (PIB).
"Un accord a été trouvé sur le pacte budgétaire", a dit l'un des diplomates.
Il a expliqué que le dernier obstacle politique - la question des pays qui seront invités à participer aux sommets des dirigeants de la zone euro - a été franchi après qu'un compromis a été trouvé avec la Pologne, qui conditionnait sa signature du texte à ces invitations."
Et, en attendant, la sphère spéculative continue à spéculer annonçant, par exemple pour Tahiti qui a le record de l'électricité la plus chère au monde, car issue du pétrole, des factures plus élevées encore. Et, pour les automobilistes des coûts à la pompe en hausse.
Evidemment, vous comprenez bien que ce ne sont pas les coûts de production qui sont en jeux, mais, le simple jeu de la spéculation internationale qui vient vous piquer dans votre porte monnaie.
Après, sarko nous parlera des coûts de production.
(source : blogfinance)
"Pétrole : le cours dopé par Grèce et Iran
Le cours du pétrole a achevé la journée de lundi en hausse à New-York, dopé par la crise financière et sociale qui sévit actuellement en Grèce, les tensions géopolitiques liées à l'Iran incitant parallèlement les investisseurs à se tourner vers le brut.
Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mars aura ainsi grimpé de 2,24 dollars dans la journée par rapport à la clôture de vendredi, s'échangeant désormais à 100,91 dollars sur le New York Mercantile Exchange.
Parallèlement, à Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour même échéance terminait à 117,93 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE), progressant de 62 cents par rapport à la clôture de vendredi.
A noter, que quelques minutes à la clôture à New York, les échanges de brut new-yorkais sur le New York Mercantile Exchange (NYMEX) ont été suspendus, pour des raisons techniques nous dit-on, l'événement perturbant la fin des transactions de certains contrats à terme.
Alors que le baril s'échangeait à 100,39 dollars avant cette suspension, progressant de 1,72 dollar, le cours a par la suite bondi à la reprise des échanges.
La plupart des analystes estiment que cette hausse est liée au vote du parlement grec en faveur des mesures d'austérité, ainsi qu'aux tensions accrues après des attaques contre les employés des ambassades israéliennes en Géorgie et en Inde.
Précisons en effet que deux attentats ont visé lundi le personnel des ambassades d'Israël à New Delhi et Tbilissi. Le Premier ministre israélien y voit la main armée de l'Iran, accusation démentie par Téhéran.
A noter également que suite aux sanctions européennes récemment décidées en guise de rétorsion contre la politique nucléaire iranienne, des opérateurs se voient désormais dans l'impossibilité d'acheminer leurs tankers dans les ports iraniens, aucune compagnie n'acceptant d'assurer leurs cargaisons."
Et, voilà, mes quatre chers lecteurs, tant que nous ne nous lèverons pas par millions, que dis-je par centaine de millions en même temps à travers la planète, nous serons les cocus de l'histoire.
A bientôt.
René.
PS : source : basta !)
P"ESTICIDES ET SANTÉ
Au Nicaragua, la canne à sucre tue les ouvriers à petit feu
PAR NOLWENN WEILER (12 JUILLET 2010)
Face aux ravages que provoquent les pesticides sur la santé des ouvriers de l’industrie sucrière au Nicaragua, un mouvement social, emmené par une femme, Carmen Rios, se bat pour la reconnaissance des maladies professionnelles et l’indemnisation des victimes.
« DDT », « Paraquat »... Ces noms barbares font partie du panel de pesticides abondamment déversés chaque année sur les plantations nicaraguayennes de canne à sucre, dans la région de Chichigalpa, à l’ouest du pays. Les 3.000 ouvriers qui y travaillent - jusqu’à 7.000 au moment de la récolte - ne prennent évidemment aucune précaution pour épandre ces produits miraculeux, qui tuent les mauvaises herbes, les insectes ravageurs, et font pousser la canne plus vite. Ils boivent l’eau des rivières, complètement infectée, se lavent dedans, cuisinent avec... sans s’inquiéter.
« Je me souviens simplement que maman nous disait de rentrer dans la maison quand ils épandaient les pesticides par avion », témoigne Carmen Rios, porte-parole d’anciens travailleurs de la canne à sucre, aujourd’hui atteints d’insuffisance rénale chronique (IRC). De passage en Aquitaine, à l’occasion de l’université d’été du CRID (Centre de recherche et d’information sur le développement) , elle rappelle que les victimes ne sont pas toutes d’anciens travailleurs : « Moi, par exemple, je souffre d’IRC alors que je n’ai jamais mis les pieds dans la plantation. C’est par l’eau, que j’ai été contaminée. »
Une douleur insupportable
C’est la variation du taux de créatinine, une molécule normalement éliminée par les reins et sur laquelle les pesticides ont une influence certaine, qui définit l’état d’IRC. Silencieuse pendant longtemps, cette maladie a des effets de plus en plus ravageurs. « Au début, il y a la fièvre, les maux de ventre, l’hypertension, les maux de tête, des douleurs intenses dans les os, les oublis, explique Carmen Rios. Et puis les douleurs deviennent de plus en plus insistantes et intolérables. » Une personne malade, citée par Peuples solidaires dans son appel à la solidarité avec ces anciens travailleurs, rapporte qu’en phase terminale, « la douleur est si intense, c’est comme si tous les os de votre corps étaient brisés. C’est une mort horrible, une douleur insupportable. » Depuis que le recensement des personnes atteintes d’IRC a commencé en 2000, plus de 3.000 personnes sont mortes. 8.000 ont été déclarées malades.
A force de combat, le mouvement emmené par Carmen Rios obtient en 2004 l’inscription dans le code du travail de l’IRC comme maladie professionnelle. Grâce à quoi 5.400 personnes touchent aujourd’hui 80 euros de pension par mois. « Pour les autres, nous avons diverses tracasseries administratives, notamment avec la sécurité sociale, détaille Carmen Rios. Mais cela devrait se résoudre. Nous souhaitons, en plus, percevoir une indemnisation de l’entreprise qui exploite la canne à sucre et qui est l’une des plus puissantes et des plus riches du pays. » C’est la « Sugar Estates Ltd. » qui gère la sucrerie de Chichigalpa, propriété du Groupe Pellas, qui possède des banques, des usines ou des plantations dans toute l’Amérique centrale et en Floride.
« On ne connaît les ouvriers que par leur numéro »
Pour faire pression sur Pellas, les anciens travailleurs ont marché sur Managua en mars 2009. Et ont décidé d’y rester. Ils sont plus de 300 à camper depuis plus d’un an au pied de la cathédrale, à 600 mètres du siège de l’entreprise. « Nous y allons tous les jours, poursuit Carmen Rios. Tous les matins, nous restons une à deux heures devant le siège, puis nous repartons. Un compagnon égrène les noms de ceux et celles qui sont décédés, en rappelant, à chaque fois, le numéro sous lequel ils étaient enregistrés par l’entreprise. Parce que, chez Pellas, on ne connaît les ouvriers que par leur numéro. »
Jusqu’à quand tiendront-ils le coup ? Dans les rues de Managua, recouvertes de poussière les jours de grande chaleur, les pieds dans la boue quand la pluie se met à tomber, régulièrement harcelés, voire frappés, par la police... « Nous resterons tant que nous n’aurons pas obtenu gain de cause, assure Carmen Rios. Nous voulons être, chacun, indemnisés. Nous réclamons aussi la fin de la consommation de pesticides et la plantation d’arbres dans nos régions désolées par les plantations de canne à sucre. » Un mouvement de boycott du Rhum national produit par Pellas, Flor de cana, a été lancé par un groupe d’étudiants. S’il est suivi, cela pourrait encourager la multinationale à prendre enfin en compte la santé des ouvriers qu’elle emploie."
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