(blog à finir)
Ainsi, va le vent de l'histoire, mes chers quatre lecteurs, euro, oui, euro, non, Europe, un jour et plus demain.
Bon, mis à part, mon opinion personnelle défavorable à l'euro et à cette Europe là, les poignards et les dents s'aiguisent sur l'avenir de l'euro.
Les grands penseurs s'agitent et fixent même des dates pour la fin de l'euro.
Noël pour Jacques Attali, qui dit mieux ?
A part que lui, il veut nous enfoncer plus que jusqu'au cou dans cette Europe qui ne sert que la finance et les multinationales.
Cette Europe que nous ont construits les socialistes français à l'époque où ils étaient aux affaires et qui prévoyaient le démantèlement, déjà à l'époque, des services publics.
Alors, le discours de Hollande au secours du petit peuple, cela me fait doucement rigoler, surtout, en sachant qu'il est entouré des lieutenants de Strauss Kahn.
Mais, revenons-en à l'euro.
Parce que, à mon humble avis, il sera là pour l'élection présidentielle française.
Alors, les scénarios torrides à la Attali ou de nos amis anglais, d'accord, cela va mal, mais, pas encore à ce point là.
Et, si, les marchés ont besoin d'un Attali pour les concocter en espérant que cela va semer la panique et obliger les états à rendre gorge et se soumettre, désolé, le temps n'est pas encore venu.
Par contre le repli sur l'Allemagne et la France pour le sauver ne devrait pas suffire tant que les états ne décident pas d'affronter frontalement les marchés.
Car, si, il doit y avoir de la casse, il faudrait mieux que cela soit chez eux.
Parce que déjà les affidés de Goldman Sachs, commencent la grande offensive.
En Grèce, le nouveau premier ministre compte licencier 20.000 fonctionnaires.
Et, quid, des 400 milliards planqués par les fortunes grecs en Suisse et provenant massivement de l'évasion fiscale.
Tiens, donc, cette manne, le nouveau gouvernement grec va la laisser à ses bénéficiaires.
Par contre, il ne va pas hésiter à sabrer dans le petit peuple. Et, si, il y a émeute, le milliard de matériel militaire acheté tout récemment lui servira certainement à lui faire fermer sa "gueule".
Par contre, que va-t-il se passer avec le nouveau directeur de la BCE qui est aussi un affidé de Goldman Sachs ?
Va-t-il saboter les efforts de l'Allemagne et la France pour préserver une "oasis" à l'euro capable de lui assurer une survie.
Par le truchement de ses affidés de Goldman Sachs et malgré, ce qu'ils déclarent, le marché financier américain est arrivé aux commandes économiques de l'euro.
Ces américains qui nous ont délivré des nazis, nous apportent aujourd'hui la soumission à leur idole, "l'argent Roi" !
Et, la misère va être pire encore.
Alors, maintenant, nous ne savons plus trop où nous en sommes.
Sauver l'euro qui nous affaiblit économiquement et qui rogne notre pouvoir d'achat ou passer sous la coupe des marchés financiers américains avec une Europe encore pire que celle que nous connaissons ?
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