Salut aux mères célibataires qui devront prostituer leur corps de plus en plus nombreuses pour nourrir leurs enfants !
Ainsi, donc, finit l'ère kadhafi en Libye.
Ainsi, commencent les troubles dans la zone désertique du Sahara.
Gageons, qu'avec toutes les armes et missiles de diverses sortes, Areva, au Niger ne connaissent à nouveau des problèmes plus graves que les précédents.
(source : El Watan)
"Dossier Touareg : la peur gagne Bamako.
le 14.11.11
Les autorités maliennes se donnent visiblement comme priorité de désamorcer la «bombe sécuritaire» engendrée par le conflit libyen.
Dans le but de prévenir justement une éventuelle résurgence de la rébellion touareg dans le nord du Mali, Bamako vient d’ailleurs d’y dépêcher des notables. Le but : connaître l’état d’esprit des habitants de la région qui, annoncent plusieurs sources, seraient sur le point de reprendre les armes. La remarque vaut surtout pour les Touareg qui ont combattu, ces derniers mois, pour le compte du régime de Mouammar El Gueddafi. Cette région est, rappelle-t-on, confrontée, depuis le début des années 1990, à des rébellions touareg cycliques.
Pas plus loin qu’hier, une délégation d’élus du nord du Mali a entamé une mission «d’écoute et d’apaisement» à Kidal, une région connue pour son hostilité envers le pouvoir de Bamako. «Une délégation composée d’élus du nord du Mali a quitté dimanche (hier, ndlr) Kidal pour se rendre auprès de Touareg maliens armés revenus de Libye», a déclaré à la presse une source au gouvernorat de Kidal.
Selon un programme fixé d’avance, la délégation se rendra sur un cantonnement de Touareg armés revenus de Libye et qui acceptent le processus de paix dans le nord du Mali. Ces élus iront ensuite à la rencontre d’autres Touareg armés qui, une fois de retour de Libye, ont refusé de se cantonner, préférant rejoindre les montagnes du désert en signe de colère. «Nous allons les écouter, les calmer et tout faire pour éviter une dégradation de la situation sécuritaire sur le terrain», a affirmé à l’AFP un membre de la délégation.
Mais pour parer à toute éventualité, l’on indique qu’un renfort en hommes et en matériel de l’armée malienne est arrivé samedi dans le nord du Mali. Officiellement, ce «mouvement» de troupes est destiné à «assurer la sécurité» des populations."
Ben, voyons, des mouvements de troupe pour assurer la sécurité des populations. Moi, si, j'étais touareg, j'y verrais un acte hostile préparant sans doute une attaque préventive.
En conséquence, j'attaquerais le premier.
Et, cela, avant que mes adversaires soient au courant du type d'armes que je possède. Si, j'en ai ramené beaucoup, j'enfonce les lignes adverses.
Si, j'en ai ramené qu'un peu je "wWit and See".
En tout cas, je refuse le "cantonnement", cette vieille pratique colonialiste, qui depuis que les américains l'ont inauguré avec les indiens ne sont que des mouroirs pour les peuples libres.
Sans compter que comme pour les indiens des Etats-Unis, les promesses faites au peuple touareg n'ont pas été tenues.
Et, le gouvernement malien n'est pas le gouvernement américain, il n'a pas les moyens de nous exterminer.
Alors, oui, je suis prêt à me battre pour rester un homme digne et libre.
Enfin, voilà, ce que je penserais mes quatre chers lecteurs, si, j'étais touareg, mais, je ne suis que français, même pas militant et seulement préoccupé de son pouvoir d'achat et de ne pas sombrer dans la misère que nous promettent en utilisant la langue de bois, les candidats de la droite et le socialiste à l'élection présidentielle.
Mais, comme dirait un paysan du coin, "Seule la terre ne ment pas".
Ce à quoi, je répondrais, elle ne ment certainement pas, mais, désespérer les hommes, oui, cela, elle peut le faire.
Par contre, si, je m'inquiète pour mon pouvoir d'achat, c'est que l'impression qui me domine, c'est que ce monde est dirigée par des malades dégénérés mentaux !
Ouh, là, attention, mes quatre chers lecteurs, vous n'allez pas me croire, j'espère, je plaisant. Allez, je retire "malades dégénérés mentaux", en plus, cela ne veut pas dire grand chose.
Sauf, lorsqu'il s'agit des agences de notation qui contrôlent l'économie mondiale !
Et, là, oh, surprise, le grand cirque continue.
J'ai beau dire qu'il faut les éradiquer, non, les dirigeants du monde préfèrent continuer à soumettre la sécurité de leurs peuples à ces bouffons !
Cette fois-ci, il s'agit du Brésil.
(source : Yahoo actualités)
Avec le Brésil, S&P commet sa seconde bévue en une semaine
Reuters – ven. 18 nov. 2011
Le siège de Standard & Poor's à New York. Une semaine après avoir annoncé à tort l'abaissement de la note AAA de la France, l'agence de notation a de nouveau commis une bévue jeudi au moment de la publication de la nouvelle note améliorée du Brésil.
NEW YORK (Reuters) - Une semaine après avoir annoncé à tort avoir abaissé la note AAA de la France, l'agence Standard & Poor's a de nouveau commis une bévue jeudi au moment de la publication de la nouvelle note améliorée du Brésil.
Dans le titre de son communiqué, l'agence américaine a d'abord dit avoir relevé à la note du brésil à BBB- avant de rectifier rapidement. Et pour cause, la note du Brésil était déjà à BBB- et l'agence l'a en fait relevée d'un cran, à BBB. Le corps du texte en revanche était correct.
Un porte parole de S&P a expliqué à Reuters que le titre incorrect avaient été adressé à certains abonnés et dit qu'il étudiait la question.
Les investisseurs avaient eu un choc plus important la semaine dernière quand S&P avait par erreur annoncé à certains abonnés qu'il retirait son triple A à la France avant de rectifier dans la foulée.
Richard Smith, trader chez Faros Trading dans le Connecticut, estime que le titre incorrect du communiqué brésilien de S&P est un faux pas mineur mais que de telles erreurs peuvent être déstabilisantes dans un marché nerveux et prompt aux retournements abrupts."
Vous en avez pas marre, vous, mes quatre chers lecteurs de voir notre président se mettre à genoux devant ces agences de notation.
Tout le monde sait qu'elles ont magouillé et ont été actives dans le déclenchement de la précédente crise, qu'elles sont moteurs dans l'actuelle, malgré tout cela, on les laisse continuer leurs simagrées.
Qu'est-ce qu'il veut sarko, à part que le Fonds européen de stabilité financière (FESF) ou même la BCE rachète les créances des banques européennes sur les dettes souveraines.
Donc, comme d'habitude, il renvoie au contribuable européen, ce qu'il n'a pas les moyens d'imposer au contribuable français.
Oui, qu'est-ce qu'il veut notre président national, que l'Europe soit soumise définitivement aux marchés financiers ?
Sait-il seulement, que cela signifiera la fin, non seulement du rêve, mais, de l'Europe ?
A mon avis, il s'en fout parce qu'il ne sert pas son pays, mais, ses amis ou les amis de ses amis.
En attendant, nous allons bientôt être tous des grecs !
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
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