Salut aux espèces en voie de disparition (de la faute de l'homme), un scientifique a prouvé que vous ne disparaissiez pas aussi vite. Alors, où êtes-vous ?
Décidément, qu'est-ce qu'on ne fait pas pour protéger les espèces en Inde. Pour protéger les espèces ou faire venir les touristes ?
Mais, heureusement que le gouvernement indien a sur raison gardé.
(source : Survival International)
"Le gouvernement indien fait marche arrière sur sa politique d’expulsion des tribus au nom de la conservation. 16 Mai
L'Inde compte 84 millions d'autochtones.
Le gouvernement indien a abandonné sa politique controversée d’expulsion des populations tribales des zones riches en espèces sauvages pour les transformer en parcs nationaux.
En vertu des nouvelles dispositions, les populations tribales ne pourront être expulsées qu’avec leur consentement libre, préalable et éclairé. Survival International a expressément demandé au ministère de l’Environnement et des Forêts d’appliquer les mêmes règles aux réserves de tigres qui sont exclues de cette nouvelle politique.
(...) Environ 100 000 autochtones sont déjà devenus des réfugiés de la conservation après leur expulsion de zones protégées en Inde. Ces réfugiés ont perdu l’accès aux terres et aux ressources dont ils dépendent depuis des générations, dont de nombreux sites sacrés et lieux de sépulture, entraînant des effets catastrophiques sur leur santé mentale et physique."
Et, toujours de la même source, un espoir pour d'autre peuple, indiens en l'occurrence au Pérou amazonien.
"Le géant pétrolier ConocoPhillips se retire d’un projet controversé en Amazonie 13 Mai
Le géant pétrolier américain ConocoPhillips a annoncé qu’il se retirait du bloc 39, une concession pétrolière controversée dans le nord de l’Amazonie péruvienne.
Cette décision intervient après l’indignation mondiale suscitée par les risques que font courir les compagnies pétrolières sur deux groupes d’Indiens isolés qui vivent dans la région.
Plus de 50 ONG internationales ont co-signé la lettre que Survival a adressée l’an dernier aux compagnies pétrolières Repsol, Perenco et ConocoPhillips leur demandant de se retirer immédiatement de la région.
Les Indiens isolés ont très peu d’immunité contre les maladies que peuvent leur transmettre les ouvriers pétroliers et pourraient réagir violemment si leurs terres étaient menacées.
ConocoPhillips avait une participation de 45% dans le bloc 39, détenu en majorité par la compagnie hispano-argentine Repsol-YPF."
Alors, croyez-vous mes trois chers lecteurs que le monde peut quand devenir meilleur ?
Et, sur cette note optimiste, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
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