dimanche 8 mai 2011

"En France, tout se termine par des chansons." Proverbe Canadien. Eh, bien, je peux dire que ce temps là est terminé !

Salut, il est temps de remettre en cause l'industrialisation forcenée. Celle qui nous détruit en nous promettant le progrès comme Mosanto et les autres qui nous nourrit en nous empoisonnant à petite dose, tout les jours répétée.

Désolé, mes trois chers lecteurs, je vous ai abandonné pendant deux jours. Problèmes de couple provoqués bêtement par votre ignoble serviteur.
Méa Culpa ! Heureusement, elle m'a pardonné.
Bon, tout ça ne m'a pas empêché de me poser des questions sur le prochaine élection présidentielle en France.
En me demandant pourquoi la secrétaire général du parti socialiste a cru bon de vouloir manipuler tout le monde en faveur de Strauss Kahn.
Sommes-nous des imbéciles ?
Je ne sais pas, déjà, notre président nous considère comme tel. Peut-être, est-ce une mode chez les politiques français ?
Le méritons-nous ?
De toute façon, en final, le meilleur adversaire pour sarko, à mon avis, c'est Strauss Kahn.
Parce que pourra-t-il critiquer de la politique économique française puisqu'en temps que directeur du FMI, il y a participé en prônant la rigueur budgétaire.
Alors, oui, que pourra-t-il nous dire.
Racontez des conneries ?
Seulement les faits sont là.
Les grecs, les espagnols, les portugais, les irlandais en paient le prix. Nous, de même.
Sarko, aura toujours l'occasion de signifier que Strauss Kahn a fait pire en Grèce et en Europe. Donc, qu'il fera automatiquement pire que lui n'a fait, si les français le ressentent comme tel, et qu'en fait il a sauvé les meubles.
Vraiment, ils nous prennent pour des "cons" avec leur sondage journalier et les médias qui tentent de nous suggérer pour quel candidat voter au final.
En tout cas, c'est vraiment minable de la part de Martine Aubry, surtout, si, elle s'imagine que sa côte de popularité va s'ajouter à celle de Strauss Kahn.
Là, je lui dis tout de suite que c'est mal parti.
Déjà, qu'elle a, quand même une manière d'être rébarbative, c'est vraiment, parce que, elle aurait été l'unique opposante de sarko qu'elle aurait élu.
Maintenant, si, elle nous a pris pour des cons, cela, va rejaillir sur la candidature Strauss Kahn.
Moi, perso, je dis, ni sarko, ni Strauss Kahn. Sûrement pas Ségolène Royal. Alors, qui reste-t-il ?
Hollande ?
Ce qui me fait doucement rigoler, c'est que les affidés de Strauss Kahn se sont permis de se moquer de lui en le qualifiant de candidat le plus à droite que le PS n'ait jamais connu.
Et, Strauss Kahn, il est quoi ?
A l'extrême droite ?
Sarko nous prend pour de la merde et le PS pour des imbéciles.
Evidemment que l'on n'a plus envie de voter, c'est toujours la même histoire, bonnet blanc et blanc bonnet.
Mais, de toute façon, mon avis n'intéresse, personne, mis à part moi.
En tout cas, je sais ce que je ferais en cas de candidature Strauss Kahn, je reste chez moi. Et, peut être même au premier tour.
A bientôt.
René.

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