Salut au secteur social en France. Maintenant, sarko va avoir le temps de mieux s'occuper de vous !
Mais, concentrant nous en France où Mme Royal, membre émérite du Parti Socialiste vient de déclarer qu'il fallait tendre la main aux déçus du sarkozysme qui viennent de se faire virer du gouvernement, en autre Bernard Kouchner.
Drôle d'idée !
Ces gens se sont vendus pour une place et Ségolène Royal serait prête à les recueillir. Ceci est d'un ridicule accompli.
Décidément, les girouettes opportunistes qui ne représentent rien qj'elles mêmes, attirent les politiques qui s'imaginent la société du spectacle en lieu et en place de la société réelle.
Faudrait peut-être arrêter avec les has been toxiques.
Mais, passons, parce qu'en France, il paraît que les français n'aiment pas la bourse.
(source : le Monde, mardi 16 novembre 2010, p19)
"La dernière étude réalisée en 2007 par la Banque de France, Euronext et TNS Sofres a révélé que 6,7 millions détenaient des tires contre 7,1 millions en 2002. Les français sont ainsi parmi les plus réfractaires d'Europe envers la Bourse. En 2007,ils étaient à détenir des produits en actions contre 12,8% de britanniques, 13,3% d'allemands, 23,3% d'espagnols et 26,6% d'italiens. Cette désaffection est dangereuses, souligne-t-on chez Actionaria, où l'on rappelle que la Bourse sert à financer l'industrie, l'économie "r&elle".
Dommage, sacrés franchouillards, va ! Toujours à privilégier le bas de laine et la lessiveuse ( attitude consistant à cacher ses économies à l'intérieur, revue Anthropologique, n°23, p7).
Mais, heureusement, y'a un type qui a réfléchi inténsemment pour nous sortir de la situation.
"Pour M.Mang (directeur du salon Actionaria), "Faire un peu de pédagogie dès le lycée" suffirait à lever beaucoup d'obstacles.
Ouh, là, là !
Mais, qu'est-ce qu'ils ont tous après les ados et les enfants. Déjà, y a eu des abrutis qui avaient déclaré qu'ils fallaient repérer les futurs voyous dès la maternelle. Maintenant, il s'agit de chercher les lycéens pour sauver la bourse.
Y'a pas à dire, en France, on n'a pas de pétrole, mais, on a des idées.
Par contre au Nigéria, non, seulement, on a des idées, mais, on sait comment les faire fructifier. En France aussi, mais, ça se sait moins.
(source : Angola Press International)
"Une banquière influente condamnée à la prison au Nigeria.
Lagos - Un tribunal du Nigeria a condamné vendredi à une peine de prison une des femmes les plus influentes du pays pour son role dans le prêt par sa banque de millions de dollars dans un dossier lié à un vaste scandale financier.
Cecilia Ibru, membre d'une famille qui controle de nombreuses sociétés nigérianes, dirigeait l'Oceanic Bank jusqu'à ce que le gouvernement la démette l'an dernier, avec des responsables d'autres institutions financières, pour endiguer la crise provoquée en partie par d'énormes créances douteuses.
Le tribunal l'a condamnée à six mois de prison et à renoncer à des fonds et avoirs de plus de 190 milliards de nairas (1,3 milliard de dollars, 900 millions d'euros), a rapporté l'agence anti-corruption nigériane. Le jugement a été le résultat d'un accord à l'amiable dont les termes n'ont pas été révèlés. Le juge Dan Abutu a seulement déclaré que la peine de prison aurait été normalement plus lourde."
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, tout cela s'explique par la différence de culture. En France, nous avons l'affaire Bettencourt, excusez du peu, au Nigéria, au moins, les banquiers finissent en prison.
En France, c'est pas pareil, pourtant, des scandales, il y en a eu, sauf, que c'est toujours les lampistes qui trinquent.
Alors, posons-nous la question de voir, si Eric Woerth, l'ancien ministre du travail va jouer le rôle de lampiste dans l'affaire Bettencourt qui sera jugé après les futures élections présidentielles de 2012 ?
Fera-t-il comme Juppé ? Paiera-t-il pour les autres ?
On verra bien.
Et, toujours pris à la même source, un appel aux investisseurs étrangers en Angola.
Qu'attendent les français ? Sans doute que les chinois occupent l'espace.
"Diplomate angolais veut attirer des possibles investisseurs vers l'Angola
Brazzaville – L'ambassadeur angolais en République du Congo, Pedro Fernando Mavunza, a réaffirmé, jeudi dernier, à Brazzaville, que les portes d'Angola étaient toujours ouvertes aux investisseurs étrangers, en vue d'encourager les mutations socio-économique dans le pays.
Le diplomate a lancé cet appel dans son discours prononcé durant le gala organisé dans sa résidence officielle, dans le cadre des commémorations du 35è anniversaire de l'Indépendance d'Angola, proclamée le 11 novembre 1975, par le président António Agostinho Neto."
Et, voilà, mes chers trois lecteurs, ça sera tout pour aujourd'hui.
En tout cas, dites-vous bien, le G20 marquera "un gros pataqués" dans la foire des égoïsmes régionaux. Car, personne n'est prêt à sacrifier un pouce de son territoire économique.
A bientôt.
René.
PS : Nouvelles d'Australie (les Nouvelles Calédoniennes).
"Près de 200 crocodiles ont été capturés dans la région de Darwin cette année dont deux près du centre-ville. Face au problème, le Territoire du Nord pourrait autoriser les safaris aux crocodiles."
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