lundi 22 novembre 2010

Aujourd'hui, mes trois chers lecteurs, je n'ai pas le temps de trop écrire.

Pourtant, je me demande, si, le repli identitaire, commaunautaire et religieux des immigrés en réponse à la crise et au sentiment d'insécurité collatérale, ne précéde pas, le repli identitaires des pays d'accueil.
Un tel repli signifierait en France, un apport électoral pour le front national aux élections présidentielles de 2012.
En tout cas, une montée de l'extrême droite, la plus détestable, celle du rejet de la différence.
Cela concerne l'europe dans son ensemble aussi bien que d'autres et nombreux pays, le Japon (avec les travaileurs coréens), les pays musulmans (avec les minorités religieuses), les Etats-Unis (avec les tea-party), la Russie dans son rejet de l'islam et de ce qui n'est pas orthodoxe.
Sombre tableau, n'est-il pas, mes chers trois lecteurs ?
Ce qui signifie que, par exemple, en France, va se reposer en ce qui concerne l'accesion à la nationalité, le droit à la terre en opposition au droit du sang.
Et, l'argument de l'extrême droite pourrait être l'organisation d'un référendu à ce sujet précis pour mettre en porte à faux, notre président national.
En tout cas, comme, il a toujours été dans n'importe quel pays, la précarité ambiante fait le lit de l'extrême droite. En considérant aussi, que l'autre extrême, la gauche, est depuis quelques temps hors jeu, en tout cas chez nous.
Donc, les politiques sécuritaires et d'exclusions se durciront en réponse à une crise sociale aggravée et en substitut à des réponses sociales et économiques adaptées.
Le choix est claire de la part de nos gouvernants, ils nous diront "Haro !" sur telle ou telle catégorie de population pour éviter que l'on remette en cause "leur" politique essentiellement favorable au nantis.
Et, ne me dites pas que le sarko ne vend pas la France au patronat, mes trois chers lecteurs !
Il vous suffit de considérer touts les secteurs publics qu'il déshabille pour nous diriger vers le secteur privé.
Les hôpitaux publics n'ont plus assez de lits ou le rendez-vous avec un spécialiste est renvoyé aux calendes grecs, vous allez vers le privé, et la sécu paie.
Les chômeurs s'inscrivent à Pôle emploi, on les renvoie vers les agences d'intérim, évidemment du secteur privé. Et, c'est Pôle emploi, organisme public, qui les rétribuent.
Par contre, lorqu'ils s'attaquent au secteur public, c'est pour faire croire que les Mutuelles doivent participer à l'effort national pour réduire le déficit de la sécurité, de telle sorte que celles-ci vont augmenter les cotisations de leurs clients.
Ca, c'est du social à la mode sarko !
En attendant, dans les quartier, les français qui relèvent des aides sociale, il y en a de plus en plus, voient passer devant eux des immigrés. Et, ils ont les boules, comme, on dit. Et, dont certaines femmes sont voilées, encore pire !
Ces gens-là, de plus en plus nombreux, croyez-vous que la gauche ou l'ump vont les attraper dans leurs gros filets ?
Que nenni, mon capitaine. Si, ils votent, cela sera en faveur de l'extrême droite, c'est-à-dire pour Marine Lepen.
Et, je pense même que ce vote protestataire risque de réserver des surprises.
De toute façon, pour qui, ils se prennent nos grands politiques ? Ils secouent le cocotier et s'imaginent que les noix vont tomber toutes seules.
Ils en ont trop fait, de droite ou de gauche, dans la magouille et la carambouille pour nous faire croire qu'ils "sont mieux".
Billevesée !
Moi, je vous le dis, tous ces gens là, vu qu'on leur crache dessus, ils auront raison de voter Front National !
Voilà ce que je pense.
Surtout, lorsque je constate que rien n'arrête les leaders socialistes dans leurs simagrées. Et, après, ils voudraient qu'on vote pour eux.
Des fois, on se demande, si, à part toucher leur chèques de l'assemblée nationale ou du sénat, ils font autre chose que des projections sur leur avenir.
Bon, je vais m'arrêter là, car, le travail m'appelle et même pas trois quart d'heures pour écrire, c'est peu. Esn tout cas, n'oubliez pas, de l'argent soustrait au peuple et en génèral, il y en a en France. Beaucoup, même !
Sur ce, je vous souhaite donc bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.

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