Salut aux nobles utopistes. Il serait temps de marquer des points sur les idéalistes de droite !
Oh, ce silence assourdissant de la Russie. Existe-t-elle encore ?
Obama a raison, la croissance mondiale passe aussi par le redressement économique des Etats-unis parce que la Chine ne peut à elle seule tirer la consommation industrielle du monde.
En fait, il faut actuellement trois leviers pour qu'elle reparte pour la plupart des pays à des taux de croissance à deux chiffres, la Chine, les Etats-Unis et la Russie.
Car, la Russie peut créer un moteur de consommation qui tire la croissance des autres pays, notamment européens.
Mais, où est-elle ?
Dites-moi, que faîtes-vous monsieur Poutine, à part vous couvrir d'auto-satisfaction et laisser le peuple russe dans la misère.
Faites-vous mieux que Elstine ?
A mon avis, vous faites la même à votre manière à vous. Pas plus, pas moins.
Si, votre première préoccupation est de faire fermer leur "gueule" aux russes pour dissimuler votre échec patent dans le développement de votre pays, alors, vous avez tout faux.
A mon avis, ce n'est pas la bonne méthode.
La liberté d'expression n'a jamais été un frein au développement économique, elle est au contraire l'expression d'une société dynamique.
Et, entre-nous, vous êtes tellement populaire, faut-il vraiment qu'il faille que vous reveniez à des méthodes staliniennes ou même léniniennes de contrôle du désaccord exprimé ?
L'ouverture de votre pays pourrait changer la nature d'une partie des fonds spéculatifs internationaux qui tournent entre les pays émergents dans l'espoir de faire sauter la banque.
En donnant confiance aux investisseurs, vous pourriez en les encadrant les appeler, ces fonds spéculatifs, à se transformer en fonds d'investissements, ce qui pourrait vous aider à créer des tissus industriels régionaux puisque les fonds vous manque.
Les fonds et peut-être l'imagination.
Vous avez réussi à faire de la Russie un pays à la marge alors que tant d'atouts le recouvre littéralement.
Je ne dis pas qu'une ouverture contrôlée de votre pays humanisera l'ultra-libéralisme, mais, en proposant une option aux investisseurs qui protègent les travailleurs russes avec un code du travail contraignant, mais, salutaire, vous pourriez montrer une autre voie.
Les investisseurs viendront de toute façon, si, ils peuvent faire la culbute au niveau de des bénéfices escomptés.
Et, invitez donc vos concitoyens à réfléchir sur leurs souhaits d'une société qui ne les écrase pas. Ils vous suivront avec enthousiasme et vous ferez naître un espoir nouveau.
Mais, passons, cette démarche est trop utopiste pour que Poutine la mette en place. Pourtant, il aurait du respect à y gagner.
Mais, passons comme je le disais. Et, de toute façon, ce n'est pas moi à dire à Poutine ce qu'il doit faire. Car, lui a déjà dit, "Aléa jacta est !"
Car, il faut saluer la libération de Aung San Kyi, l'opposant à la dictature birmane.
(source : Orange.actualités en ligne)
"L'icône de la démocratie birmane Aung San Suu Kyi est libre
ung San Suu Kyi, symbole de la lutte pour la démocratie en Birmanie, a été libérée samedi après plus de sept ans en résidence surveillée, et est sortie de sa maison à Rangoun, devant des milliers de partisans en liesse.
Vers 17h00 (10H30 GMT), des responsables de la junte sont entrés chez elle, rue de l'université pour lire l'ordre de libération de la junte, le jour où arrivait à son terme sa dernière condamnation à 18 mois de résidence surveillée.
"Elle est libre maintenant", a indiqué un responsable birman à l'AFP.
Dans les minutes qui ont suivi, la police enlevaient les barrières menant à la maison de la dissidente.
Criant et applaudissant à tout rompre, des milliers de personnes se sont alors précipitées vers la vieille bâtisse familiale posée sur le bord d'un lac, en plein centre de Rangoun, attendant que la "Dame" de Rangoun se montre. Certains sont grimpés dans les arbres pour tenter de l'apercevoir."
Et, que l'on doit-on dire, "Félicitation les généraux ?"
Eh, bien non !
Car, de leur part, cela ressemble à un geste gratuit tant qu'ils ne lui accordent pas le droit de sortir du pays. Pour le moment, il la garde sous la main.
Mais, au moins pourra-t-elle voir autre chose que les murs de sa maison.
A voir !
En attendant, en Chine, la marmite commence à bouillonner. L'inflation, l'inflation, mes chers trois lecteurs !
Tous ces mots finissant en "ion" que déteste notre président national qui incapable de relancer la machine économique de la France applique une politique de rigueur, histoire de faire croire qu'il fait quelque chose et qui au final s'attaque au pouvoir d'achat, seul atout d'une vraie relance.
Après, ça, il tente de nous faire gober que c'est nous les imbéciles qui n'avons rien compris.
Mais, revenons-en à la Chine qui se fait encercler peu à peu, non pas par les Etats-Unis, mais, par les indicateurs d'une future surchauffe de l'économie avec une bulle immobilière en embuscade. Donc, aussi, avec des futures émeutes pour dénoncer une vie chère insupportable pour la majorité des chinois.
(source : Le Quotidien du Peuple)
"La poussée de l'inflation met la pression sur les décideurs politiques
En octobre, l'inflation a atteint son plus fort niveau depuis 25 mois en Chine, à 4,4% d'une année sur l'autre, en même temps que le montant des nouveaux prêts bancaires a dépassé les prévisions du marché, accroissant la pression sur les décideurs politiques chinois pour tenter de juguler l'inflation.
L'augmentation des prix de l'alimentation a fait monter l'Index des Prix à la Consommation (IPC), jauge majeure de l'inflation, plus haut que les prévisions du marché à 4% environ, et encore plus haut qu'en septembre, où il était à 3,6%.
De janvier à octobre, l'IPC en Chine a augmenté de 3% d'une année sur l'autre, atteignant le niveau maximal prévu par le gouvernement pour l'année entière, a précisé jeudi le Bureau National des Statistiques.
« La Chine doit faire davantage pour maintenir l'inflation de cette année en dessous de l'objectif maximal », a dit le porte-parole du BNS, Sheng Laiyun.
Le prix des produits alimentaires, qui compte pour un tiers de l'éventail de produits utilisé pour calculer l'IPC de la Chine, a augmenté de 10,1% d'une année sur l'autre en octobre, du fait de l'augmentation des prix sur les marchés agricoles mondiaux et de fréquentes catastrophes naturelles survenues dans le pays, a précisé M. Sheng.
Quant aux prêts bancaires, bien que le montant des nouveaux prêts accordés ait baissé à 587,7 milliards de Yuans (88,5 milliards de Dollars US) en octobre par rapport aux 595,5 milliards de Yuans de septembre, les chiffres de ce mois restent tout de même supérieurs aux estimations du marché, qui étaient inférieures à 500 milliards de Yuans.
D'après M. Sheng, la pression liée à de nouvelles hausses de prix augmente, et les politiques d'assouplissement quantitatif mises en places par certains pays vont alimenter davantage encore les risques d'inflation.
Pour les analystes, ces politiques d'assouplissement quantitatif vont exacerber le problème de l'excès de liquidités, avec pour résultat de nouveaux influx de capitaux spéculatifs vers les economies émergentes comme la Chine, et pourraient compliquer les mesures chinoises de lutte contre l'inflation."
Et, oui, mes chers amis chinois, tout est lié. Entre-nous, vous avez subi l'augmentations des matières premières minérales et agricoles. Sauf, qu'entre-nous, vous avez bien été obligé d'y participer à 100% en assurant la sécurité de vos approvisionnements.
C'est un truc que vous connaissez, le serpent qui se mort la queue. On produit mieux, on produit plus, mais, ça coûte plus cher, car tout augmente.
Et, c'est bien pour ça que vous négociez dur au G20.
Et, pour finir, ce témoignage d'une étudiante parisienne grappillé sur Rue 89.
« Je fais la fin des marchés, les magasins de hard-discount : j'essaye de réduire mes dépenses au maximum. Mais dès qu'il faut que j'achète du shampooing ou quoi, ça fait sauter tout mon budget."
Mais, ce genre de situation ne risque pas de gêner notre président national puisqu'il continue à faire exploser le budget de l'Elysée pendant qu'il réduit celui des français et qu'il demande à ses ministres de mettre la pédale douce sur leurs dépenses pour montrer aux français qu'il fait gaffe. En réalité, il est le président de l'indécence.
(source : idem)
"Trente millions sous Chirac, 100 millions sous Sarkozy en 2008, 114 millions aujourd'hui. Pour reprendre l'expression du député René Dosière, le budget de l'Elysée « ne connaît pas la crise ».
A bientôt.
René.
PS : N'oubliez pas d'aller sur mes blogs, à google, unser profile, rené guiart. Vous y trouverez les recettes de cuisine de ma grand-mère paternel de Lyon, mes nouvelles, mes poèmes, l'histoire de ma vie de militant kanak en Nouvelle Calédonie et trois romans.
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