vendredi 28 mai 2010

Salut à tous ceux qui en Nouvelle Calédonie regardent la pollution pourrir leur pays. Je suis avec vous.

Bon, alors, les sociétés minières ne sont pas contentes de l'augmentation que leur octroie le gouvernement australien parce qu'il les aime bien.
Ces messieurs ne veulent pas participer à sauver les retraites des citoyens australiens. En fait, elles veulent juste exploiter les ressources du pays sans avoir aucun compte à rendre au peuple australien. Encore, qui prennent les gens pour des cons.
Décidement, c'est une mode qui parcourt le monde. Il n'y a donc pas que le gouvernement français et son président national qui la pratique.
Parce que, comme d'habitude, il fait semblant de consulter les partenaires sociaux pour faire croire qu'il a tenu compte de leurs avis alors que la réforme est déjà dans les cartons.
Et, qu'il ait eu 1 millions de personnes dans la rue pour défendre la retraite à 60 ans, Sarko s'en fout.
Car, la "crise" leur permet de finir de liquider les derniers acquis sociaux restant avec l'assentiment complice des médias rachetés par nos capitaines d'industrie, amis, de notre président national.
Alors, que voulez-vous faire lorsque tout le monde dit, "c'est inéductable !"
Eh, bien, moi, je dis que tous ces dirigeants sont des menteurs !
Mais, avant plus ample explication, revenons à l'article des Nouvelles Calédoniennes.

"Les exploitants font grise mine.

Depuis l’annonce d’une nouvelle taxe de 40 % sur l’exploitation des ressources minières en Australie, industriels, politiques et syndicalistes se livrent une bataille acharnée par médias interposés. Ainsi, le Syndicat des travailleurs australiens sensibilise la population à la « campagne de terreur menée par les grands patrons » par le biais d’un spot télévisé.
Depuis dimanche, un spot publicitaire sponsorisé par le Syndicat de travailleurs australiens (Australian Workers Union) implore les Australiens de « faire comprendre aux grands patrons miniers qu’il est temps de rendre à l’Australie une part des bénéfices acquis à travers l’exploitation de nos ressources. »
« L’industrie minière se sont enrichis pendant des décennies en creusant au cœur de l’Australie. Nous voulons que les communautés régionales en profitent aussi, et que ce soit un juste partage pour tous les Australiens », déclare, de son côté, le secrétaire général du syndicat, Paul Howes.
Les patrons des deux géants miniers Rio Tinto et BHP Billiton se sont, quant à eux, faits menaçants et ont averti le Premier ministre australien, Kevin Rudd, qu’une telle taxe risquerait fort de nuire à de futurs investissements miniers et de conduire à une perte d’emplois importante.
Lundi, dans une lettre adressée à ses actionnaires, le Président de BHP Billiton, Jacques Nasser, a qualifié cette décision du gouvernement australien « d’opportuniste et dangereuse » : « Cette proposition signifierait que le taux d’impôts total applicable sur les bénéfices de BHP Billiton en Australie augmenterait de 43 % à 57 %, et l’industrie minière australienne deviendrait la plus taxée au monde. C’est inacceptable. »
Nous voulons que les communautés en profitent aussi, et que ce soit un juste partage pour tous les Australiens.
Les sociétés minières affirment cependant « comprendre que le gouvernement ajuste les taxes de temps à autre ».
Autre problème, la nouvelle taxe de 40 % concerne les investissements existant comme ceux déjà réalisés.
Les sociétés minières ont d’ores et déjà achetés des encarts publicitaires d’une page entière dans les plus grands quotidiens australiens, exprimant leur colère.
Mais pour l’heure, aucun projet minier n’a été abandonné, et BHP et Rio Tinto se disent tous deux prêts à négocier avec le gouvernement.
Invité récemment de la chaîne de télévision ABC, le Premier ministre australien Kevin Rudd a affirmé « qu’un pareil scandale avait eu lieu dans les années 1980 lorsqu’il était question de mettre en place la taxe sur l’exploitation pétrolière en offshore. Les industriels avaient prédit un effondrement des investissements, mais, de toute évidence, cela n’a pas été le cas. »

Nicole Gooch, à Sydney"

Donc, revenons sur le fait que je traite tous ces messieurs bien pensants qu'ils soient de gouvernements ou du FMI, de menteurs.
Simple, parce qu'ils ne parlent plus de croissance.
Tiens, donc et pourquoi ?
Encore plus simple, parce qu'ils n'ont pas d'idées, qu'ils affirment, "Au secours l'euro", alors que c'est bon pour les exportations. Exportations qui peuvent être moteur pour la croissance.
Mais, de tout cela, plus personne ne nous dit rien puisque leur problème, c'est de nous faire avaler sans que l'on proteste la fin des acquis sociaux. Et, évidemment, les syndicats se divisent pour nous défendre. Des fois, je me demande si FO n'est pas redevenu un syndicat patronal ?
Tous pourris, même les syndicats !
Mais, non, mais, non, je plaisant en riant jaune. Jaune, ils connaissent peut-être à FO.
Mais, non, mais, non, je plaisante encore.
Décidement, je suis d'humeur moqueuse.
Mais, basta, réfléchissez mes trois chers lecteurs et vous comprendrez qu'ils nous prennent pour des cons !
Mais, passons à autre chose, par exemple, prenons le cas d'un militant anti-massacre baleine.
Au moins, lui, se bat pour que vive la bio-diversité, celle qui, sans elle, nous condamnera à disparaître à notre tour.
Mais, là, aussi, on est pris pour des cons. Sauf, que n'oublions pas les norvégiens et les islandais aussi pratique la chasse à la baleine. Ce sont nos voisins et l'europe n'est pas capable de les obliger à arrêter ce type de pêche.

(source : idem)

Le procès du Néo-Zélandais Peter Bethune, membre de l’association Sea Shepherd et accusé d’avoir entravé la chasse à la baleine des navires japonais dans l’Antarctique, s’est ouvert jeudi devant un tribunal de Tokyo. Le militant écologiste risque jusqu’à quinze ans de prison ferme.
Le délit de coups et blessures est passible au Japon de quinze ans de prison et de 500 000 yens d’amende (540 000 francs), celui d’entrée illégale sur une propriété privée de trois ans de prison et 100 000 yens d’amende (108 000 francs).
Peter Bethune, membre de l’association de défense de l’environnement Sea Shepherd, basée aux Etats-Unis, a plaidé coupable, hier à Tokyo, pour quatre chefs d’accusation, mais a nié celui de « coups et blessures ».
Le militant écologiste, qui risque jusqu’à quinze ans de prison, est accusé d’avoir blessé au visage un jeune marin japonais en jetant une flasque d’acide butyrique (beurre rance) en février contre le baleinier Shonan Maru 2 dans les eaux de l’Antarctique. Il est également accusé de s’être introduit illégalement, trois jours plus tard, à bord de ce navire, en découpant à l’aide d’un couteau un filet de protection. M. Bethune, 45 ans, voulait ainsi protester contre le naufrage de son trimaran, l’Ady Gil, percuté le 6 janvier par le baleinier.
Le procès du Néo-Zélandais Peter Bethune, membre de l’association Sea Shepherd et accusé d’avoir entravé la chasse à la baleine des navires japonais dans l’Antarctique, s’est ouvert jeudi devant un tribunal de Tokyo. Le militant écologiste risque jusqu’à quinze ans de prison ferme.
Peter Bethune, membre de l’association de défense de l’environnement Sea Shepherd, basée aux Etats-Unis, a plaidé coupable, hier à Tokyo, pour quatre chefs d’accusation, mais a nié celui de « coups et blessures ».
Le militant écologiste, qui risque jusqu’à quinze ans de prison, est accusé d’avoir blessé au visage un jeune marin japonais en jetant une flasque d’acide butyrique (beurre rance) en février contre le baleinier Shonan Maru 2 dans les eaux de l’Antarctique. Il est également accusé de s’être introduit illégalement, trois jours plus tard, à bord de ce navire, en découpant à l’aide d’un couteau un filet de protection. M. Bethune, 45 ans, voulait ainsi protester contre le naufrage de son trimaran, l’Ady Gil, percuté le 6 janvier par le baleinier.
« Je rejette l’accusation de coups et blessures », a-t-il déclaré à l’ouverture de son procès. « En ce qui concerne l’entrave à des activités commerciales, j’admets avoir lancé de l’acide butyrique, mais il y avait des circonstances supplémentaires que nous aborderons devant le tribunal », a-t-il ajouté.

A part ça, une prévision sur les ouragans. Sauf, que dans cet article, ce qui me fait marrer, c'est que des vents sont prévus à 178 km/h. Alors, qu'en Australie, ils ont soufflé à 400 km/h.
Alors, ils nous font quoi, les prévisionnistes ?
Ils nous font peur à pisser dans notre culotte ?

(source : le Télégramme.com)

"Ouragans. Une saison à redouter dans l'Atlantique
28 mai 2010 - Réagir à cet article.

Dans l'Atlantique, la saison des ouragans pourrait être la pire jamais enregistrée. Ces prévisions catastrophiques émanent de l'agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA).
La saison commence le 1er juin. Entre 14 et 23 tempêtes, suffisamment importantes pour que leur soit donné un nom, avec des vents minimums de 62 km/h, sont attendues.
Et parmi elles, entre 8 et 10 pourraient être classées ouragans avec des vents supérieurs à 119 km/h.
Trois à sept de ces ouragans pourraient être classés "majeurs" (catégories 3 à 5) avec des bourrasques de 178 km/h minimum".

A bientôt.
René.

PS : La lcl, crédit lyonnais m'a encore "volé" 37,33 euros. Maintenant, j'attends de voir combien, la banque va me "voler" alors que je viens d'être à nouveau créditeur. En sachant que tout le temps où la banque commet un hold up sur mon compte, il me restait 123 euros sur mon godefi qu'il m'est impossible de débloquer au téléphone et même au guichet qui m'aurait évité de subir des pénalités pour trois chèques. Trois chèques de 30, 30 et 40 euros qui m'ont coûté 30 euros de pénalités chaque.
Merci, le crédit lyonnais et je n'en ai pas encore fini.

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