Aujourd'hui, peut-être juste la suite de mon feuilleton, "Alerte, le crédit lyonnais (LCL) me dépouille !"

Nota : Si mes aventures bancaires ne vous intéressent pas, vous pouvez zapper et aller directement à la fin où je réécrit sur le monde. Ls début est noté en gras.

Bon, aujourd'hui, la suite de mes déboires avec le crédit lyonnais (lcl), merci !
Donc, autorisation de découvert, 1000 euros, dépassé de 196 à trois jours du versement de mon salaire. Suppression de découvert avant couvrement des virements fixés au 10 de chaque mois. Automatiquement, pénalité de dépassement de 126 euros, plus 134 euros pour courrier et refus de chèques. Donc, nous en sommes à 260 euros, histoire de vous aider à remonter la pente. En urgence, je prends rendez-vous avec ma nouvelles conseillère et je lui apporte un chèque de 500 euros ce qui me rétablit à très court terme puisque le virement de l'école de mon gamin n'est pas encore arrivé de 500.
Cinq jours après, la nouvelle écriture n'est pas passée sur Internet et Bouig me signale le refus de paiement de mon abonnement, 53 euros, ce qui va donner lieu à un nouveau prélèvement pour rejet. Peut-être un quart d'heure après, Bouig me signale que si le prélèvement de 53 euros n'est pas couvert sous 48 heures, ma ligne sera restreinte.
Donc, la banque se sert en premier et mes 500 euros ont servi pour un peu plus que la moitié à payer les frais bancaire. Par conséquent, je suis toujours rick-crack. Sans compter, les frais à venir pour rejet des virements à venir pour 572 euros. A compter à peu près la même somme en frais bancaire.
Si, la conseillère m'avait rétabli un découvert à hauteur des virements à venir, c'était nickel, je serrais la ceinture en mangeant des lentilles tous les jours et ça passait.
Mais, non, ce serait sans compter sur l'essence même de la LCL agir en usurier en vous étouffant financièrement, et vous faisant vivre l'enfer.
Par exemple, si la LCL faisait passer ses frais après rétablissement du compte en proposant un échelonnement des frais, au moins, ça pourrait être considéré comme un geste. Mais, non, c'est marche ou crève. Et, pour beaucoup de personnes, c'est crève ! Car, comment, voulez-vous que des personnes à revenu faible ou moyen puissent faire face à ce désir insatiable de la banque de vous dépouiller jusqu'à votre dernier centime et cela sans aucune humanité. Et, là, ne me dites pas que les conseillers n'ont pas leur mot à dire et qu'il leur suffit de se camoufler derrière le centre de gestion, ce big brother collé derrière chaque conseiller. Ça, je ne le crois pas !
Pas contre, les primes qu'ils touchent pour baiser leur client, c'est bien big brother qui leur accorde.
Alors, si, je comprends, seul le versement de mon salaire à la fin du mois me tirera d'affaire, en sachant que de nouveaux frais de pénalités m'attendront en embuscade et,à mon avis à la hauteur de 500 euros pour la semaine restante avant la fin du mois.
Et, comme, je vous l'avais signalé, il y a trois jours, mon précédent conseiller m'avait persuadé de prendre un crédit à la consommation avant son départ de l'agence pour couvrir un crédit révolving de 800 euros. Sauf,qu'il n'avait pas passé l'écriture, me laissant avec deux crédits sur le dos. Le crédit à la consommation est d'environ 132 euros par mois et le revolving de 25. Évidemment, ses collègues n'ont pas trouvé trace sur l'ordi. Sauf que mon prélèvement, lui, il est réel.
Donc, logiquement, je suis mort !
Parce que mon salaire me laissera à peine 100 euros pour vivre à moins que les frais de la lcl ne continuent à grimper.
Alors, la LCL, banque ou usurier ?
Encore que, ma conseillère pour répondre à ma question sur le rétablissement d'un découvert moins élevé m'a répondu, "On se voit dans quinze jours et je vous ferais part de la décision de ma direction".
Naturellement, elle savait qu'il y avait 572 euros de prélèvement à venir et en me regardant, elle me sort, "Nous verrons cela dans quinze jours".
Dans ma tête, j'ai pensé, "Enculée !" et pas, salope, vous noterez.
Bref, cette attitude est pourrie, c'est bien la raison pour laquelle, je tiens à porter témoignage sur le net. Parce qu'il n'y a pas que moi à subir ce type de hold up.
Et, c'est dans ces moments que l'on se rappelle des déclarations de nos gouvernants qui avait affirmé qu'ils allaient obliger les banques à revoir leur taux de pénalités.
Donc, là, je vous le dis tout net, "Pipo", le gouvernement a menti car je peux vous affirmer que la LCL n'a pas modifié ses taux.
En tout cas, je me pose la question, "Lorsque les détournements se font en interne, le siège social brûle du toit aux sous sol et l'enquête ne donne rien, et, lorsque, nous, clients nous dépassons, notre découvert, la lcl met en place un système de pénalités diverses qui nous ponctionne à mort et on ne peut rien faire. Est-ce normal ?"
A part, faire partager ce feuilleton sur le net en le mettant sur mon blog et sur face book pour inciter tous ceux qui ont des problèmes avec l'appétit délirant de leur banque à faire de même, que puis-je faire ? Eh, bien, rien !
René.

Et, c'est là que je reprends les aventures du monde !

Bon, quand même une nouvelle de Chine relatée par le Quotidien du Peuple au sujet de la culture du riz avec une question à la clé, "Mais, finalement, c'est quoi, ce super riz ?"

"La Chine a diffusé le « super» riz et réglé le problème de la nourriture de 160 millions de personnes

Pendant les trois premières années du 11ème plan quinquennal (2006-2010), la Chine a diffusé le «super» riz et réglé le problème de la nourriture de 160 millions de personnes.

Selon les statistiques, pendant ces trois années, la production de ce riz par mu (un mu équivaut à un 15ème d'hectare) en Chine a été de 572 kg, 582 kg et 583 kg respectivement, soit une augmentation respective de 74 kg, 76 kg et 71 kg par rapport à l'espèce ordinaire. En trois ans, la production totale de riz de la Chine a augmenté de 16,2 milliards de kilos, grâce à la diffusion du « super » riz. Ce qui a aidé la Chine à régler le problème de la nourriture de 160 millions de personnes.

Ces chiffres ont été publiés au cours d'une conférence nationale consacrée à ce sujet récemment tenue à Nanchang, capitale provinciale du Jiangxi.

La riziculture est la culture céréalière la plus importante de la Chine. Les rizières représentent 27% des champs de culture céréalière et la production de riz représente 37% de la production céréalière. Face à la réduction des champs cultivés et à la pénurie des ressources en eau douce, le recours aux progrès agronomiques s'avère comme étant le moyen le plus efficace pour augmenter la production de céréales.

En 2009, la Chine a diffusé cette espèce de riz sur 93, 57 millions de mu (6,238 millions d'hectares), qui représentaient 21% des rizières, soit une augmentation de 10,15 millions de mu (676 666 hectares) par rapport à l'année précédente, en hausse 12,2%".

"La Chine n'a jamais approuvé l'importation de semences de céréales transgéniques pour la culture

Le ministère chinois de l'Agriculture n'a jamais approuvé l'importation d'aucune espèce de semence de céréale transgénique pour la culture dans le pays et la Chine n'a jamais cultivé aucune espèce de céréale transnégique".

Sauf que, sauf que, "En Chine un coton transgénique provoque une infestation imprévue de punaises". (source : le Monde, du Samedi 15 mai, p4)

Mais, revenons à nos moutons plutôt qu'être caustique vis-à-vis des déclarations des responsables chinois. Alors, qu'est-ce que le super riz ?

(source : les Affaires.com)

"Le « super riz », développé en collaboration avec l’International Rice Research Institute, est une amélioration génétique des graines de riz conçues pour résister au sel qui ravage les cultures de riz par l’eau et la terre à travers le sud-est et le sud de l’Asie, l’Inde, la Chine, l’Indonésie et les Philippines.

Le Dr. Kronzucker prévoit garder son invention à but non lucratif".

Finalement, le monde n'est pas aussi pourri qu'on pourrait le croire. Il existe encore des hommes généreux. Et, ça nous fait du bien au cerveau !

Et, une autre nouvelle du Quotidien du Peuple, importante à mes yeux car pouvant empêcher les enfants des écoles de se faire égorger par des hachoirs rouillés.

"Des scientifiques chinois trouvent une utilisation aux mégots de cigarette

D'après une étude chinoise, les extraits chimiques provenant des mégots de cigarette, si toxiques qu'ils peuvent tuer les poissons, pourraient être utilisés pour protéger les tuyaux d'acier de la rouille".

"En effet, dans un article publié dans le journal Industrial & Engineering Chemistry Research, publication bi-hebdomadaire de l'American Chemical Society, des scientifiques chinois disent avoir identifié neuf éléments chimiques après avoir immergé des mégots de cigarette dans l'eau.

Ils en ont appliqué des extraits sur du N80, un type d'acier utilisé pour les tuyaux destinés au transport du pétrole, et ont constaté que ces extraits protégeaient l'acier contre la rouille.

« La surface du métal peut être protégée, et la dissolution ultérieure des atomes de fer empêchée », ont-ils écrit.

Ce sont les éléments chimiques, dont la nicotine, qui seraient responsables de cet effet anti-corrosion, ont-ils ajouté".

N'est-ce pas une bonne nouvelle, mes trois chers lecteurs. Finalement, le monde est merveilleux !

A bientôt.
René.

PS : N'oubliez pas que vous pouvez lire mes poèsies et autres textes, sur google, rené guiart, poèsie. Et, vous en avez de la chance, je vous balance ce texte que j'écris par ennui.

Je suis assis sur un toit
Contemplant les vagues de tous les autres toits de Paris.
Je devrais être content, il ne pleut pas
Et les lumières de la ville me polluent les yeux.
Oui, je devrais être content
Et pourtant, comme une nostalgie
Me traverse le corps
Pour ne pas parler de l’âme.
Parce qu’entre nous d’âme, je n’en ai pas.
J’ai dû l’oublier dans un coffre
A la banque de France.
Vous savez ces coffres à dix huit chiffres
Qui offrent les trésors de la France.
Sauf, que moi, les trésors de la France
Je n’en ai que faire.
Je préfèrerais une glace au chocolat
Celle qui fait des bulles
Quand vous l’oubliée
Au fond du placard.
Des fois, je me dis en contemplant les toits
Que le monde est mal fait.
Il devrait exister des fleurs de bonheur
Vous savez celle que vous cueillez
Et qui voue envoie dans les narines
Une bouffée de gaz euphorisant
Histoire de vous ramener à l’époque
De la guerre du Vietnam
Quand les américains balançaient
L’agent orange pour bronzer les populations.
Voilà, à quoi, je pense
Perché sur le toit.
Bon, faut dire que mes songeries
Ne sont pas scientifiquement c
Contrôlables.
Mais, il paraît que la science
N’est que l’expression d’un délire
Qui ne franchit pas l’espace du temps.
Que ce qui est aujourd’hui
Demain ne se ressemble plus.
Alors, qu’importe
En fait, considérez que je ne suis pas là.
Simplement, bêtement de passage
Sur un toit
Avec le ciel sur la tête.
Et peut-être que tous les gens qui s’agitent
Là en bas, ne sont rien
Que des apparitions qui s’ennuient
Et qui sortent de chez eux
Pour avoir l’impression, juste de faire quelque chose
Juste pour avoir l’impression d’être là.