Aujourd'hui, juste quelques réflexions jetées sur le papier et un texte.
En France, actuellement se débat la question de l'immigration. Oups ! Je me suis trompé, se débat la question de la citoyenneté. Oups ! Je me suis trompé, se débat la question de l'appartenance à la nation française.
Vu, la globalisation, je voudrais revenir sur l'entité supranationale que représentent les intérêts conjugués des multinationales.
A mon avis, les nations existeront toujours. De la manière dont les immigrés se coulent dans le moule ou le modifient sur le long terme et là je ne parle pas des fondamentalistes musulmans, est une autre histoire.
Par contre, la réalité du pouvoir des multinationales qui ne sont pas intéressées par la représentation du pouvoir et qui se partagent le capital planète m'interpelle certainement.
Parce que les états sont là pour les protéger lorsqu'elles s'attaquent à des catégories de population. Donc, la réalité du pouvoir de l'ensemble des multinationales se place au dessus des états et au dessus de l'ONU.
C'est cet ensemble qui pose problème en final pour lutter contre le changement climatique. Et, c'est cet ensemble qui s'organise maintenant contre les écologistes dans leurs tentatives de lui imposer des limites.
Tant que les écologistes vont dans le sens de la création de nouveaux secteurs industriels, ça marche. Autrement, ils deviennent une cible.
Ca, c'est une réflexion que je vous laisse développer. Et, n'oubliez pas que chez les expert de l'OMS qui a poussé des cris d'orfaie contre la gippe H1N1, il y en a qui ont des liens avec l'industrie pharmaceutique.
Bon, la deuxième réflexion concerne Europe Ecologie.
Cohn Bendit a rassemblé des têtes d'affiche dans l'intention de faire un carton aux élections européennes.
Les "agitateurs" qu'il a réuni autour de lui, nous manque sur le terrain.
La question qui me taraude est, "Quel est son objectif final ?"
Voilà, pour la deuxième réflexion. Maintenant, je vais vous livrer un texte. Il vaut ce qu'il vaut, mais, il raconte des moments de vie.
S'y reconnaîtra qui veut.
C’est la vie
De retour à Paris,
Après un beau voyage.
Que nous étions beaux pour les filles.
Nous jouions aux affranchis
Un anneau à chaque oreille.
Nos paroles de rêves et d’horizons
Les emmenaient au loin.
Si, loin que seules nos étreintes
Pouvaient les retenir.
Un jour, l’argent manqua
L’admiration suivit.
Nous changeâmes de lieux
Mais, dans nos paroles
Le rêve était parti.
Et, les filles aussi.
Paris, le 09/01/2009
A bientôt.
René.
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