(C'est quand même un peu ambitieux de vouloir se positionner pour faire la guerre à la Russie et éventuellement servir de proxy contre la Chine alors que l'industrie coréenne dépend des fournitures de ces deux pays. La question est simple, quel minérai les Etats-Unis vendent à la Corée du Sud ? note de rené)
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par Islam Uddin
Vendredi, le bureau d’enquête sur la corruption a tenté d’arrêter Yoon Suk-yeol, mais les forces de sécurité présidentielle les en ont empêché.
Un tribunal sud-coréen a rejeté dimanche l’objection du président Yoon Suk-yeol sur l’exécution d’un mandat d’arrêt à son encontre.
L’agence de presse Yonhap a rapporté qu’un tribunal local de la capitale, Séoul, avait rejeté les objections soulevées par l’avocat de Yoon Suk-yeol à l’encontre du mandat d’arrêt délivré à l’encontre du président destitué.
L’équipe juridique de Yoon Suk-yeol a déclaré qu’elle déposerait une plainte contre le chef du bureau d’enquête sur la corruption pour les hauts fonctionnaires et les officiers de police ayant tenté d’exécuter un mandat d’arrêt à l’encontre de leur client.
Vendredi, le bureau d’enquête sur la corruption a tenté d’arrêter Yoon Suk-yeol, mais les forces de sécurité présidentielle les en ont empêché.
Le mandat d’arrêt, émis la semaine dernière, reste valable jusqu’à lundi.
Yoon Suk-yeol a été destitué le 14 décembre 2024 et attend maintenant un procès devant la Cour constitutionnelle qui déterminera s’il est définitivement démis de ses fonctions ou s’il en est rétabli, après l’échec de sa tentative d’imposition de la loi martiale le 3 décembre. La décision de la Cour pourrait prendre jusqu’à six mois.
Yoon Suk-yeol est le premier président en exercice de l’histoire de la Corée du Sud à être accusé d’insurrection et de trahison et à se voir interdire de voyager.
C’est également la première fois qu’un mandat d’arrêt est émis à l’encontre d’un président en exercice dans ce pays.
source : Agence Anadolu
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