(Ok, il y a une grève à Cuba, rien de plus normal selon moi, donc le communisme ne marche pas. Ok, il y a une grève des dockers à venir aux States, mais cela ne signifie pas que le système, la république des grandes corporations, ne marchent pas, si ? note de rené)
Communism Failure: Cuba Paralyzed By Massive Power Blackout
In a post on X, Cuba's Ministry of Mines and Energy announced that the nation's largest power plant has been "completely disconnected," sparking widespread blackouts across the island. While unsurprising for the Communist-run island nation in the northern Caribbean Sea, it's a stark warning for all Americans about how Kamala Harris' proposed Communist policies could rapidly push the US towards third-world conditions if elected next month. We're halfway there with ten-plus million unvetted illegal aliens roaming America's city streets.
"Following the unexpected departure of the Antonio Guiteras CTE, the National Electricity System was completely disconnected at 11 a.m. today. The Unión Eléctrica is working on its restoration," the Ministry of Mines and Energy wrote on X around 1235 ET.
Bloomberg noted that hours before the unexpected failure at the 330-megawatt capacity CTE Antonio Guiteras power plant, the Communist government revealed that it would "paralyze" top industries and divert power for residential customers.
"But the frequency and duration of blackouts has been on the rise, as Cuba's aging power generators break down and the cash-strapped government struggles to import enough fuel," the media outlet noted.
Cybersecurity firm Cloudflare showed that internet activity on the island has also plunged due to power outages.
Cuba's communist regime is undoubtedly at its weakest point in decades. Constant power blackouts and food shortages are merely signs that centrally planned economies don't function efficiently.
Yet, while Cuba implodes, Kamala Harris has pitched American voters that her proposed Communist-style price control strategy will make them better off if she is elected.
Sorry Democrats. Americans don't want Chinese-style Communism. Innovation and freedom are okay with them.
USA: Des dockers en grève suite à l'échec des négociations sur les salaires et l'automatisation dans les ports
Lundi soir, le syndicat ILA et l'alliance USMX avaient annoncé avoir repris leurs négociations qui, commencées en mai, achoppent sur les salaires et l'automatisation. "Au cours des dernières 24 heures, l'USMX et l'ILA ont échangé des contre-offres au sujet des salaires", a assuré l'alliance maritime dans un communiqué lundi soir, précisant avoir "amélioré" sa proposition et avoir demandé une prolongation de l'accord social pour continuer à négocier.
Le syndicat ILA projetait de faire grève dès l'expiration de l'accord social dans les ports de la côte est et du golfe du Mexique. L'USMX représente les employeurs de 36 ports disséminés le long des côtes entre le Maine (nord-est) et le Texas (sud), sur le Golfe du Mexique, en passant par la Floride (sud-est). En face, le syndicat des dockers compte 85 000 adhérents aux Etats-Unis.
"Les membres de l'ILA méritent d'être compensés pour l'important travail qu'ils accomplissent afin que le commerce américain continue de circuler et de grossir", a déclaré le syndicat lundi matin, dénonçant les "milliards de dollars de bénéfices" engrangés par les ports et les transporteurs maritimes, y compris lors de la pandémie de Covid-19. "Pendant ce temps-là, les membres dévoués de l'ILA continuent d'être paralysés par l'inflation à cause de rémunérations injustes."
L'alliance reprochait au syndicat de refuser toute discussion depuis des semaines, empêchant de ce fait une entente sur le nouvel accord de six ans. Et Joe Biden, qui se présente comme le "président le plus favorable aux syndicats", a annoncé, à cinq semaines du scrutin présidentiel, n'avoir aucune intention d'intervenir. Il peut pourtant activer la loi Taft-Hartley – utilisée à maintes reprises pour des grèves de l'ILA avant 1977 – permettant d'imposer un moratoire de 80 jours.
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