mardi 30 juillet 2024

 (Ca y est la propagande pour l'interdiction des jardins potagers du simple citoyen commence, là un article du Telegrah anglais. Comme d'habitude, ils annoncent LA vérité et vont monter en puissance pour l'imposer jusqu'à ce que tous les médias la rabâchent. Déjà, ils détruisent l'agriculture familiale qui n'est que très bio, maintenant ils s'attaquent aux tous petits, rien, ni personne ne doit leur échapper. Moi, je fais un potager, pas très loin du fermier qui lui fait du chimique, je gratouille la terre avant de planter mes graines traditionnelles bio de kokopelli, je fais des lignes éloignés entre-elles pour laisser l'herbe sauvage et avoir moins à désherber. Entre, je passe avec la débroussailleuse et en peu de temps le plus gros est fait. J'arrose un minimum vu que l'eau veolia du robinet, je ne la bois pas et j'arrose au pied. Aucun produit chimique n'est utilisé, les petites bêtes prennent leur part de mon potager, après tout hors de la maison, c'est aussi bien leur territoire que le mien et l'herbe que je coupe, je la laisse sur place pour nourrir le sol, alors, dites-moi, mon capitaine en quoi je bousille la planète ? Par contre black rock, vanguard, state street, en Ukraine sur les terres volées, je dis "volées" parce que zelensky leur a permis de les racheter en dessous de leur prix, à mon avis, il a dû touché du fric pour ça. bon bref, ils inondent leurs cultures de produits chimiques sans contrôle sanitaire et avec des produits interdits en europe. En fait si vous regardez ce qu'ils veulent faire en gros, l'argent numérique, ils contrôle nos dépenses et nous imposent où acheter et pratiquement quoi acheter si les grandes surfaces ne présentent que les mêmes produits, c'est d'ailleurs ce qui se passe déjà, légumes d'Espagne, boîtes de conserves de quelques usines. Il n'y a pas de diversité de produits dans les grandes surfaces, même si il y en a beaucoup sur les étalages. En fait ce sont les mêmes usines qui fabriquent les boîtes et inscrivent les marques sur les boîtes avec des cahiers des charges différents par marques. Donc, en réalité, dans les grandes surfaces, il y a une fausse diversité. Résumons, contrôle de nos achats, contrôle de notre alimentation en nous enlevant en plus le droit d'en cultiver et de diversifier notre alimentation. Par conséquent au vu de toutes les pièces versées au dossier, si on se bouge, c'est maintenant ! Et je ne dis pas de se bouger avec les partis d'oppositions institutionnels, ils sont tous bidons et leurs dirigeants mentalement corrompus, pour ne pas dire autre chose. Parions qu'un jour, ils nous interdirons de sécher notre linge dehors ou sur un balcon parce que cela nuit à la planète. note de rené)


Faire son potager à la maison génère plus de CO2 que l’agriculture conventionnelle !!

Source Insolentiae via les moutons enragés

C’est un article incroyable du Telegraph de Londres, journal de premier plan, qui explique doctement, que faire son propre potager est nettement plus émeteur de CO2 que d’acheter ses fruits et légumes issus de l’agriculture conventionnelle. Et pas qu’un peu !

“L’empreinte carbone des aliments cultivés à la maison est cinq fois supérieure à celle des aliments cultivés de manière conventionnelle”…

Voilà. Faire vos légumes vous-même c’est 5 fois plus de CO2 que d’aller acheter vos avocats du Pérou en voiture au supermarché du coin…

Hahahahahahahahahaha….

Mais je vous assure que c’est une étude très sérieuse.

Il est d’ailleurs fort probable qu’elle sera reprise pour justifier les interdictions futures de potagers individuels, qui en plus sont inégalitaires par rapport à ceux qui n’ont pas de lopins de terre !

Quelle est la cause me direz vous ?

L’étude a révélé que les infrastructures des jardins individuels étaient responsables de l’augmentation des niveaux de CO2.

“L’empreinte carbone des aliments cultivés à la maison est cinq fois plus importante que celle des produits issus des pratiques agricoles conventionnelles, comme les fermes rurales, selon les données disponibles.

Une étude de l’université du Michigan a examiné la quantité de CO2 produite lors de la culture d’aliments dans différents types de fermes urbaines et a constaté qu’en moyenne, une portion d’aliments produits dans des fermes traditionnelles génère 0,07 kg de CO2.

L’impact sur l’environnement est presque cinq fois plus élevé, avec 0,34 kg par portion pour les jardins individuels, tels que les potagers ou les jardins familiaux.

Selon les scientifiques, la majeure partie des émissions ne provient pas de la culture des aliments eux-mêmes, mais de l’infrastructure nécessaire pour permettre cette culture.”

Jake Hawes, doctorant au Michigan et premier auteur de l’étude, a déclaré : « La contribution la plus importante aux émissions de carbone sur les sites d’agriculture urbaine que nous avons étudiés est l’infrastructure utilisée pour cultiver les aliments – des plates-bandes surélevées aux abris de jardin en passant par les allées, ces constructions ont investi beaucoup de carbone dans leur construction.

« Un compost mal géré et d’autres intrants synthétiques peuvent également contribuer de manière importante aux émissions de carbone.

Mais quand même une petite nuance…

“Les tomates cultivées localement, par exemple, ont une empreinte carbone inférieure à celle de l’agriculture conventionnelle, tout comme les asperges.

Une portion de tomates urbaines produit en moyenne 0,17 kg de CO2, contre 0,27 kg dans une ferme conventionnelle qui utiliserait une serre à forte consommation d’énergie.

De même, les asperges, qui sont le plus souvent transportées par avion depuis l’étranger et parcourent des milliers de kilomètres, sont une source importante d’émissions de carbone si elles sont cultivées de manière conventionnelle.”

Il est évident que tous les légumes qui viennent de loin ne peuvent pas rivaliser avec le potager individuel.

La réalité c’est qu’avec les calculs de CO2 qui n’ont strictement rien de scientifiques, on atteint des sommets de manipulation en fonction des méthodes de calculs utilisées.

Charles SANNAT


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