mercredi 31 juillet 2024

 (Je ne voudrais pas dire, mais la grande mode, c'est de faire tomber  la pluie chez soi plutôt que la laisser tomber chez le voisin, du coup des régions comme la mienne dans le nord de la France ont des sols gorgés d'eau, cette nuit par exemple, il a plu très fort "'encore" à trois heurs du matin alors qu'en Sicile, la pluie ne tombe plus. En Iran, c'est la sécheresse alors que pas loi, des trombes d'eau tombent en Arabie Saoudite et dans les Emirats Arabes Unis. Mais pas en Iran qui connaît une sécheresse qui dure depuis plus de 5 ans grâce à la guerre climatique que leur font les Etats-Unis ou peut-être même Israël. On dira que c'est l'effet papillon sans que les gens qui manipulent le climat sachent où l'effet, la sécheresse par exemple, va se concrétiser. Pour l'Iran, c'est simple, il suffit de faire tomber la pluie avant qu'elle franchisse la frontière. Bref, on est dans la toute puissance et on fait n'importe quoi. Par exemple, l'espace temps, un truc de science fiction qui ne nous atteint pas, nous simples pèquenots qui payons trop de taxes, de tva, d'impôts, sauf que brutalement le déroulement du temps connaît un couac sur note terre, quelques personnes en ont pris conscience et qu'est-ce qu'on apprend, eh, bien qu'au CERN, centre scientifique en Suisse, il y a eu un Couac. Et par ailleurs, on apprend après le dit COAUC que l'angle de la Terre face au soleil s'est très, très légèrement modifié et sur mon front, c'est marqué "GROS CON". On sait ce qu'ils cherchent, comme tout bon élève, à dépasser le maître, à être meilleur que Dieu, voilà qui nous rassure sur les évènements à venir. A part ça, l'article parle de mauvaise gestion, on dira que les conduites d'eau laisse fuiter au moins au minimum 20% de l'eau qui y circulle. note de rené) 


Italie: face à une grave crise de l'eau, la Sicile lutte contre le changement climatique et une mauvaise gestion

Le sud de l’Italie est particulièrement frappé par des sécheresses prolongées. Et la mauvaise gestion des infrastructures, un fléau désormais endémique, a une grande part de responsabilité dans la gravité de la situation actuelle.

RFI

Un homme est assis à l'arrière d'une calèche pendant une vague de chaleur à Palerme, en Sicile, en Italie, le 17 juillet 2024.
Un homme est assis à l'arrière d'une calèche pendant une vague de chaleur à Palerme, en Sicile, en Italie, le 17 juillet 2024. © Antonio Cascio / Reuters

De notre correspondante à Rome,

En Italie, l’alerte rouge météo a été déclenchée dans plusieurs régions en raison de la canicule. Cette dernière ne laissera aucun répit au cours des prochaines semaines. La Sicile, avec ses cinq millions d’habitants et ses nombreuses entreprises agricoles, sont les plus touchés par une grave sécheresse qui dure depuis dix-huit mois, en raison de très faibles précipitations.

Les terres arables se dégradent en désert. Toute la filière des agrumes est menacée d’extinction. Les vendanges ont dû commencer dès le mois de juillet. Et les éleveurs de bovins ou de caprins ne parviennent plus à nourrir leurs animaux correctement, faute de fourrage et d’eau en suffisance.

Quant à la population, elle est soumise à un rationnement drastique de l’eau potable dans une centaine de communes, dont celles d’Agrigente et de Palerme. Cela alors que les températures dépassent les 40°C et que la chaleur est encore plus suffocante, en raison d'un taux d’humidité de plus de 70%.

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