mercredi 31 juillet 2024

 (Black rock, soros se sont installés en Pologne. Dès leur arrivée, la majorité conservatrice au pouvoir a perdu les élections. En corrompant les dirigeants de la coalition au pouvoir, adeptes du nouvel ordre mondial comme trudeau ou macron, soros a pu lançer la culture woke et lgbt, pendant que black rock travaille au niveau des banques nationales pour casser l'opposition des agriculteurs polonais à l'entrée des "ses" semences ukrainiennes faites d'ailleurs pour les ruiner, en leur bloquant le crédit bancaire. Quant-à mastercard, il arrive après pour se servir de la Pologne comme laboratoire à sa grande idée de suppression de la carte bancaire pour mieux numériser et emprisonner l'argent du client. N'oublions pas que mastercard a été le moteur de la tentative d'interdiction de la monnaie liquide au Nigéria pour imposer le naira numérique ce qui a stoppé net dans un pays où l'économie parallèle fait vivre la population  toute transaction commerciale. Le directeur de la banque centrale nigériane s'est retrouvé en prison pour haute trahison quand la population a fait comprendre qu'elle allait se soulever. note de rené)


Il ne sera bientôt plus possible de payer sur Internet avec sa carte bancaire pour des millions de Français

D'ici quelques temps, les cartes d'un des principaux réseaux de cartes bancaires ne fonctionneront plus pour payer sur Internet. Voilà comment les clients devront s'y prendre.

Utiliser sa carte bancaire pour payer sur Internet est une habitude qui fait partie du quotidien des ménages désormais. Pour faire ses courses, commander des vêtements, des meubles, ou même pour louer des films, des millions de Français utilisent leur carte bancaire sur différents sites.

Bien que cette méthode soit encore largement majoritaire aujourd'hui (84% des consommateurs font leurs achats sur Internet avec leurs cartes bancaires selon la Fevad), elle présente plusieurs inconvénients. Tout d'abord, le processus est relativement fastidieux : il faut sortir sa carte, recopier le numéro unique de 16 chiffres, renseigner la date d'expiration de sa carte et enfin indiquer le cryptogramme.

De plus, cette méthode n'est pas très sécurisée. Il existe un risque que les identifiants soient interceptés par des cybercriminels lors de leur envoi ou sur les serveurs du site marchand. Le seul recours dans ce cas est de faire opposition et commander une nouvelle carte, souvent à ses frais.


Des alternatives existent déjà, comme les portefeuilles électroniques (PayPal, Apple Pay...). Ceux-ci s'appuient aussi sur le réseau des cartes bancaires mais jouent un rôle d'intermédiaire, ce qui évite d'exposer directement ses identifiants. Ils prélèvent en contrepartie des commissions sur les transactions. Leur montée en puissance ne réjouit pas les réseaux de carte bancaire comme Visa et Mastercard.

Face à ce phénomène la société américaine Mastercard a annoncé dans un communiqué son intention de supprimer totalement le paiement en ligne par carte. L'utilisation des numéros inscrits sur les cartes en plastique Mastercard sera abandonnée. 

Pour améliorer la sécurité et l'expérience de ses clients, Mastercard mise sur la technologie de la tokenisation. Le principe est de fournir au consommateur un numéro de carte alternatif (un jeton numérique sécurisé) à usage unique ou limité dans le temps. Cela permet de payer sans exposer son véritable numéro de carte. Certaines banques proposent déjà ce service sous le nom de "carte virtuelle". Mastercard veut désormais le généraliser.

 

Selon les informations de Money Vox, les réseaux de cartes déploient actuellement un nouveau standard appelé "Click to Pay" (Cliquer pour payer). Développé par la société EMVco, il fonctionne comme un portefeuille électronique. Un clic suffit pour l'ouvrir depuis la page de paiement d'un site. Après authentification, l'utilisateur choisit la carte virtuelle qu'il souhaite utiliser et le jeton numérique est généré automatiquement.

Actuellement en cours de déploiement en France, ces deux technologies devraient à terme remplacer complètement le paiement en ligne avec le numéro des cartes en plastique. Cela permettra des transactions plus simples et plus sécurisées pour les consommateurs. Mastercard veut généraliser ce système d'ici 2030.

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