(En fait tout part en couille, depuis qu'ils ont décidé qu'il était temps de mettre en place leur nouvel ordre mondial dans le réel, merci rothschild, merci rockefelle , merci warren buffet et merci bill gates, soros et compagnie ! note de rené)
Peter Schiff: « Cette crise financière à venir est plus qu’évidente et personne ne la voit arriver… »
Le courant dominant continue d’insister sur le fait que l’économie se porte bien. Que l’inflation est vaincue. qu’un atterrissage en douceur est en cours. Mais dans son podcast, Peter Schiff a déclaré que nous étions aux premiers stades d’une énorme crise financière. Cela devrait être évident, mais très peu de gens la voient venir.
Peter a souligné que nous sommes déjà au milieu d’une crise financière.
Nous sommes bien entendu aux premiers stades de cette crise financière. Cela se déroule sous vos yeux si vous êtes suffisamment éveillé ou suffisamment intelligent pour reconnaître ce que vous voyez. Mais cela va devenir bien pire.
Peter a dit qu’à un moment donné, les gens reconnaîtront que nous sommes dans une crise financière, mais ils ne comprendront pas pourquoi.
Ils seront tous autant aveuglés par cette crise financière en cours que par la crise financière bien plus modeste de 2008, qui les a également complètement surpris.»
Lors de la crise de financière 2008, le courant dominant l’avait décrit comme une « Crise que l’on ne connait qu’une fois par siècle » – un « cygne noir » que personne n’aurait pu prévoir.
Ce qui, bien sûr, était un tas de conneries, car un certain nombre de personnes, moi y compris, non seulement l’avaient vu à l’avance, mais avaient passé des années à la prévenir.
Peter a déclaré que l’évolution de cette crise est tout aussi évidente.
Il s’agit de la crise financière la plus évidente que personne ne voit venir. Je veux dire, ce n’est même pas un cygne noir. Elle est juste là. Mais Wall Street a tout intérêt à ignorer cela. Et c’est aussi le cas de beaucoup de gens sur Main Street, du monde universitaire, des médias financiers et du gouvernement. Personne ne veut le reconnaître jusqu’à ce que cela se produise déjà. Ensuite, ils chercheront le bouc émissaire.
Une chose est assez certaine. Personne ne pointera du doigt le parti le plus responsable à savoir le gouvernement.
Ils ne regardent jamais en arrière et ne réfléchissent jamais au rôle du gouvernement dans la création de la crise. Non non Non! Ils sont trop occupés à pointer du doigt quelqu’un dans le secteur privé et à présenter le gouvernement comme planche de salut. « Nous avons juste besoin de plus de gouvernement ! Si seulement nous avions eu plus de réglementations, cela ne serait pas arrivé. Non. Cela s’est produit parce que nous avions trop de réglementations. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une déréglementation et d’un libre marché.
Les réglementations gouvernementales sabotent le libre marché qui fonctionnent réellement.
Nous pouvons voir le système financier se déstructurer sur le marché obligataire. Les rendements obligataires à long terme ont continué de grimper la semaine dernière. Peter a qualifié la vente d’obligations d’« implacable ». Vendredi dernier, le rendement des bons du Trésor à 30 ans avaient dépassé les 5,1 %. Le rendement du 10 ans a également brièvement éclipsé les 5 %.
La courbe des rendements est fondamentalement plate, autour de 5 %, mais Peter a déclaré qu’elle ne le resterait pas.
Cela va s’accentuer. Je m’attends à ce que les taux d’intérêt à long terme continuent de monter en mars, et nous devrions mettre plus de distance entre un bon à 90 jours et 6 mois et un bon du Trésor à 10 et à 30 ans, en particulier l’obligation à 30 ans. C’est celui-là qui va subir le plus gros coup.
Peter a déclaré qu’à mesure que la courbe se normalise, la partie concernant le court terme pourrait augmenter jusqu’à 6 % et la partie longue se rapprocherait de la fourchette de 7 ou 8 % – minimum.
La question est: la Réserve fédérale le permettra-t-elle ?
Les marchés financiers, le secteur bancaire, l’économie et le gouvernement seront-ils capables de résister à cette augmentation ? Jusqu’à présent, il semble que, OUI, nous survivons à 5 %. Mais je ne pense pas vraiment que ce soit le cas. Je pense que les chiffres cachent les problèmes qui sous-tendent l’économie.
Par exemple, l’indice des indicateurs économiques avancés a chuté pour le 16e mois consécutif en septembre, perdant encore 0,7 %. Le Conference Board a également révisé à la baisse le chiffre d’août.
C’est assez rare. Il faut remonter à 2007-2008, qui a été la Grande Récession – la pire récession depuis la Grande Dépression des années 1930. Il faut y retourner pour trouver une série d’indicateurs économiques avancés négatifs qui dure plus longtemps que les 16 mois dont nous disposons actuellement.»
Cela indique que l’économie est beaucoup plus faible que ce que les « experts » peuvent bien nous dire.
Si l’économie est si forte, comment ces indicateurs économiques « avancés » peuvent-ils être aussi faibles ?
Pendant ce temps, nous avons une dette de carte de crédit record ainsi que des taux d’intérêt record sur les cartes de crédit. Le consommateur américain « insubmersible » croule sous les dettes . Les valeurs du secteur financier plongent. American Express est en baisse de 5,4%. Peter a souligné que ces banques et sociétés financières ne font que signaler les premiers stades des problèmes.
Mais quiconque prêtait de l’argent pendant la bulle aura du mal à récupérer son argent à mesure que la bulle se dégonfle. Ce n’est donc que la pointe d’un gros iceberg pour American Express, Visa, Mastercard, Discover, toutes ces cartes de crédit. entreprises. »
Et si les consommateurs ne peuvent pas emprunter, ils ne peuvent pas acheter.
Des signes de tension persistent également dans le secteur bancaire. Les banques continuent de recourir au programme de sauvetage mis en place après l’effondrement de la Silicon Valley Bank et de Signature Bank. On s’inquiète également de plus en plus de la pression exercée sur le système bancaire par le marché de l’immobilier commercial .
Les choses mijotent encore sous la surface, mais ce n’est qu’une question de temps avant que la situation n’éclate.
Source: schiffgold
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