(Les banquiers se transforment en pirates parce qu'ils savent que la justice pour tous ne les concerne pas. note de rené)
LE BANQUIER CENTRAL RECHERCHE PAR INTERPOL A VOLE LES LIBANAIS UNE NOUVELLE FOIS
Le Liban est un pays vraiment extraordinaire ! C'est le seul (à ma connaissance) où le gouverneur de la Banque Centrale fait chanter la totalité des partis politiques, députés, policiers, juges, etc. Depuis la fin 2019, époque où il a permis aux ultra-riches et aux gros détenteurs de dollars, d'exfiltrer leur fortune vers Paris, Londres, New York et Dubaï, il fait ce qu'il veut, bien qu'il soit recherché aussi bien par des juges locaux qu'Interpol ou Europol.
Selon Alain Bifani, ex directeur du Ministère des Finances, "6 milliards de dollars ont été exfiltrés en secret par l'élite avant d'interdire aux gens ordinaires de retirer leur épargne en dollars".
Il n'y a pas à dire, c'est un véritable exploit de Riad Salamé qui vient de ruiner les Libanais une fois de plus.
Son dernier exploit ?
Dévaluer la lire libanaise de 90% au point que celle-ci vaut presque moins que le papier sur lequel elle est imprimée.
Fallait oser...
"Reuters reports the new official exchange rate of 15.000 pounds per US dollar on Feb 1, Central Bank governor Riad Salameh said, marking a 90% devaluation from its current official rate that has remained unchanged for 25 years. The shift from the old rate of 1.507 to 15.000 is still far off the parallel market rate of around 60.000."
Et en plus sa dévaluation est à géométrie variable, via Timour Azhari: "Quelques jours après s'être débarrassé de l'ancien taux de change, Salame en a créé un autre: 38.000 pour les salariés du secteur public".
Merveilleux !
J'avoue que je n'aurais jamais pu imaginer une telle arnaque, même avec les banquiers les plus fous vivant sur cette planète. Ce qui donne les taux suivants:
- Taux officiel: 15.000
- Taux Sayrafa: 42.000 (la plateforme Sayrafa est gérée la Banque du Liban et utilisé pour les conversions du dollar)
- Taux du marché noir: 64.000
Cela veut dire que les seuls fonctionnaires peuvent CHANGER leurs livres en dollars avec une remise de 40%.
Tout est normal au Liban !
Selon Alain Bifani, ex directeur du Ministère des Finances, "6 milliards de dollars ont été exfiltrés en secret par l'élite avant d'interdire aux gens ordinaires de retirer leur épargne en dollars".
Il n'y a pas à dire, c'est un véritable exploit de Riad Salamé qui vient de ruiner les Libanais une fois de plus.
Son dernier exploit ?
Dévaluer la lire libanaise de 90% au point que celle-ci vaut presque moins que le papier sur lequel elle est imprimée.
Fallait oser...
"Reuters reports the new official exchange rate of 15.000 pounds per US dollar on Feb 1, Central Bank governor Riad Salameh said, marking a 90% devaluation from its current official rate that has remained unchanged for 25 years. The shift from the old rate of 1.507 to 15.000 is still far off the parallel market rate of around 60.000."
Et en plus sa dévaluation est à géométrie variable, via Timour Azhari: "Quelques jours après s'être débarrassé de l'ancien taux de change, Salame en a créé un autre: 38.000 pour les salariés du secteur public".
Merveilleux !
J'avoue que je n'aurais jamais pu imaginer une telle arnaque, même avec les banquiers les plus fous vivant sur cette planète. Ce qui donne les taux suivants:
- Taux officiel: 15.000
- Taux Sayrafa: 42.000 (la plateforme Sayrafa est gérée la Banque du Liban et utilisé pour les conversions du dollar)
- Taux du marché noir: 64.000
Cela veut dire que les seuls fonctionnaires peuvent CHANGER leurs livres en dollars avec une remise de 40%.
Tout est normal au Liban !
C'est un peu comme si la BCE disait que seuls les fonctionnaires du gouvernement français pouvaient transformer leurs euros en dollars avec une remise de 40%, et que les salariés du secteur privé, eux, étaient officiellement punis !
Et du coup, eh bien la loi de Gresham est appliquée: pour des achats sans importance, les Libanais se débarrassent de leurs livres, et pour tout le reste, c'est-à-dire 80% du commerce, les achats sont faits en dollars américains.
Résultat, au Liban, c'est désormais, la loi du plus fort / ou du plus riche qui est appliquée, en particulier dans les supermarchés.
Et du coup, eh bien la loi de Gresham est appliquée: pour des achats sans importance, les Libanais se débarrassent de leurs livres, et pour tout le reste, c'est-à-dire 80% du commerce, les achats sont faits en dollars américains.
Résultat, au Liban, c'est désormais, la loi du plus fort / ou du plus riche qui est appliquée, en particulier dans les supermarchés.
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➤ - ALSACE - COLMAR sam 25 mars
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