(Le détournement de la signification des termes et concepts devient lassant. Ces gens ne sont pas d'extrême gauche, ce sont des serviteurs zélés d'une idéologie qui prône la dépopulation massive mondiale et le contrôle social total sur ceux qui restent. L'extrême gauche prône la fin du capitalisme contrairement à eux qui sont pour son expression la pire, l'oligarchisme clanique, et milite pour la nationalisation des biens de production, donc du système bancaire entre autre. Eux, ils sont pour la suppression de la propriété privée si cette privation bénéficie uniquement aux grands fonds d'investissement de préférence américains. Ils sont pour une société totalitaire, alors que l'extrême gauche est , idéalement, pour une société participative. note de rené)
Fauci, Klain, Yellen, Kendi sont à la tête d’une conférence d’extrême gauche financée par Pfizer à Washington cette semaine
Anthony Fauci va être le chef d’orchestre d’une importante conférence d’extrême gauche dont le principal sponsor est Pfizer, le fabricant du vaccin COVID-19, révèle The National Pulse. Fauci apparaîtra aux côtés d’Ibram X. Kendi, l’appât du gain, de Ron Klain, chef de cabinet de la Maison Blanche, de Janet Yellen, secrétaire au Trésor, et d’autres encore.
Le festival du magazine Atlantic, qui se déroulera du 21 au 23 septembre, aura lieu au Wharf à Washington, D.C. Les billets seront vendus au prix de 400 dollars par personne. Parmi les sujets abordés figurent la théorie critique des races, la diversité, l’Ukraine, la censure, le changement climatique et la centralisation du contrôle des soins de santé et de la réponse aux pandémies.
Fauci, qui a supervisé la majeure partie de la réponse américaine au COVID-19 en tant que directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, fait depuis longtemps l’objet de « vérifications des faits » par des médias d’entreprise tels que Reuters, qui nient ses liens avec le groupe Big Pharma Pfizer. Le président et ancien directeur général de la Fondation Thomson Reuters, James C. Smith, est l’un des principaux investisseurs et membres du conseil d’administration de Pfizer, comme l’a révélé The National Pulse en décembre 2021.
Les études sur les vaccins Pfizer ont également montré des effets indésirables sur la santé de leurs destinataires, notamment une altération des cycles menstruels chez les femmes, une diminution du nombre de spermatozoïdes chez les hommes et des problèmes cardiovasculaires chez les enfants et les jeunes adultes. En dépit de ces lacunes – ou peut-être à cause d’elles – la société a engagé un nombre record de lobbyistespolitiquement connectés pour aider à faire avancer les mandats de vaccination.
Un alignement anti-américain
Parmi les autres participants à l’événement figurent le chef de cabinet de la Maison Blanche, Ronald A. Klain, le militant « antiraciste » Ibram X. Kendi, la spécialiste de la « théorie critique de la race » Kimberlé Crenshaw, ainsi que la secrétaire au Trésor Janet Yellen.
Le premier jour de la conférence comprend des panels « souscrits » par Pfizer, Genentech, la Walton Family Foundation et Edward Jones. Le site Web explique que les sessions « souscrites » ne sont « pas produites par l’équipe de rédaction de The Atlantic ». En d’autres termes, il s’agit de longs « publireportages » payés par les intérêts des grandes entreprises. Les sessions souscrites représentent la moitié des événements du premier jour, 62,5 % des événements du deuxième jour et aucun des événements du dernier jour.
Le programme de la deuxième journée comprend une table ronde sur la « désinformation », financée par le Boston Consulting Group, à laquelle participeront Abbie Richards, « chercheur en désinformation » de TikTok, ainsi que Louis Jacobson, du « vérificateur de faits » partisan Politifact. Il est peu probable que Mme Richards soit interrogée sur les récentes révélations selon lesquelles des groupes démocrates financés par de l’argent noir paient pour que des acolytes d’Obama diffusent des informations erronées sur sa plate-forme chinoise communiste.
Southern Company finance ensuite un panel sur George Floyd, suivi par la Fondation MacArthur qui vante les mérites de la « diversité, de l’équité et de l’inclusion » et par Penguin Books qui promeut la théorie critique de la race.
Liens avec la Chine
Les « Happy Hours » se déroulent chaque jour au District Pier à Washington, D.C., et des représentants du réseau Omidyar de la gauche dure devraient également y assister. Le fondateur du réseau Omidyar, Pierre Omidyar, a été connecté en 2021 à l’Institut Berggruen, lié aux communistes chinois, dont le personnel a aidé à gérer le désormais célèbre jeu de guerre politique anti-Trump qui a vu le conseiller Biden récemment nommé, John Podesta, refuser de concéder l’élection malgré sa défaite le soir de l’élection, dans le jeu.
Les prédictions du Transition Integrity Project se sont réalisées, car l’establishment politique a refusé l’accès aux observateurs des sondages de Trump et a revendiqué la victoire dans les jours qui ont suivi le vote de 2020.
La conférence accueillera également la première d’un nouveau documentaire de Peacock intitulé Shadowland, dans lequel des élites politiques sont interviewées dans le but de démystifier l’idée d’une classe politique dominante aux États-Unis. Ils prétendront que l’idée d’une élite politique ou d’une oligarchie est antisémite. Pour en savoir plus sur la conférence, cliquez ici.
Sources : Zero Hedge, Raheem J. Kassam and Natalie Winters via The National Pulse – Traduit par Anguille sous roche
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