(Donc, comme le fait d'habitude le deep state, il va falloir un évènement Horribilis pour traumatiser les citoyens américains, les sidérer et présenter les républicains comme inapte à prendre les commandes du pays assurant ainsi la victoire des démocrates. Genre l'effondrement des tours jumelles de New York ? N'oubliez pas nous ne sommes plus en démocratie autrement il n'y aurait pas autant de sans abris aux Etats-Unis. Devenir sans abris, fait désormais de la norme sociale communément admise aux USA. note de rené)
Kamala Harris : « La démocratie n’est légitime que si les démocrates sont au pouvoir »
La vice-présidente Kamala Harris a prévenu que la démocratie ne peut exister que si les démocrates restent éternellement au pouvoir.
Oui, vraiment.
Lors d’une interview avec Chuck Todd de NBC dimanche, Harris a déclaré que la règle du filibuster au Sénat devrait être abandonnée pour les priorités des démocrates, mais qu’elle devrait être maintenue pour tout le reste.
Thefederalist.com rapporte : Todd : « Êtes-vous à l’aise avec le fait que cela pourrait mettre fin au filibuster législatif pour de bon, probablement, même si vous n’essayez de le faire que pour deux questions ? »
Harris : « Non, je ne le suis pas. Non, je ne le suis pas. »
Elle a déclaré que le pays a besoin d’un président qui va « parler et tirer la sonnette d’alarme » au sujet de ceux « qui, en ce moment, ne défendent pas notre démocratie de manière éclatante ». Puis elle a excusé les démocrates qui ont activement soutenu et élevé les candidats républicains aux primaires du Congrès qui ont exprimé leur scepticisme quant à l’élection de 2020.
Todd : « Quand vous voyez le parti démocrate et certaines parties du parti financer des publicités pour promouvoir certains de ces négationnistes de l’élection dans les primaires… Est-ce quelque chose qui vous mettrait à l’aise ? »
Harris : « Je ne vais pas dire aux gens comment mener leurs campagnes, Chuck. »
Elle a professé être profondément dévouée à ce que le monde soit témoin de l’attachement de l’Amérique à « l’importance des principes démocratiques, de l’état de droit, des droits de l’homme ». Puis elle a sapé notre plus haute cour, accusant les juges d’être politiquement motivés.
Todd : « Quelle confiance avez-vous dans la Cour suprême ? »
Harris : « Je pense que c’est une cour activiste. »
Il n’y a pas de fin logique au processus de pensée de Harris et de tous les autres leaders démocrates, sinon : Quand nous dirigeons les choses, c’est juste et tout le monde doit accepter. Quand ce n’est pas nous, tout est inapproprié, invalide et illégal.
Être un démocrate, ce n’est pas être pro-démocratie. C’est poursuivre un état à parti unique.
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