L'Histoire des crises financières se répète inlassablement depuis le "décrochage Nixon du dollar de l'or" de 1971. Depuis lors, tapi dans l'invisible (visible par les seuls comptables) se trouve une gigantesque caverne dans laquelle gît un monstre à 7 têtes (les billets dollar avec ses 7 têtes des présidents des Etats-Unis - lire le 777).
Ce monstre de la dette, qui ne cesse de grossir parce que généreusement nourri par la planche à billets de la Fed, a quand même régulièrement besoin d'agrandir les limites physiques de sa caverne, sous peine d'y être coincé, de mourir et de tuer tout ce qui est autour.
C'est le mega-monstre de la Dette qui a même fait des petits dans le monde entier (l'euro par exemple).
Les Etats-Unis sont en mode fausse monnaie depuis exactement 51 ans, soit depuis plus d'un demi-siècle, et ce monstre-dollar-dette à 7 têtes a tant enflé depuis 2008 qu'il est à nouveau coincé dans sa caverne, pourtant gigantesque.
De sa naissance en 1971, il a fait parler de lui dans le monde entier une première fois en 1987, puis à nouveau en 2008. Son souci, comme pour tous les monstres, est bien son gigantisme, ses 30 trilliards de kilos, pardon, dollars, (pour être précis 28,8 à l'heure de l'écriture de cette ligne) qui l'étouffe de plus en plus. Son corps est si énorme qu'il déborde maintenant de sa caverne, visible par le monde entier.
Et il est coincé à nouveau.
Ce monstre de la dette, qui ne cesse de grossir parce que généreusement nourri par la planche à billets de la Fed, a quand même régulièrement besoin d'agrandir les limites physiques de sa caverne, sous peine d'y être coincé, de mourir et de tuer tout ce qui est autour.
C'est le mega-monstre de la Dette qui a même fait des petits dans le monde entier (l'euro par exemple).
Les Etats-Unis sont en mode fausse monnaie depuis exactement 51 ans, soit depuis plus d'un demi-siècle, et ce monstre-dollar-dette à 7 têtes a tant enflé depuis 2008 qu'il est à nouveau coincé dans sa caverne, pourtant gigantesque.
De sa naissance en 1971, il a fait parler de lui dans le monde entier une première fois en 1987, puis à nouveau en 2008. Son souci, comme pour tous les monstres, est bien son gigantisme, ses 30 trilliards de kilos, pardon, dollars, (pour être précis 28,8 à l'heure de l'écriture de cette ligne) qui l'étouffe de plus en plus. Son corps est si énorme qu'il déborde maintenant de sa caverne, visible par le monde entier.
Et il est coincé à nouveau.
Alors une nouvelle opération est nécessaire, ne serait qu'au niveau des dollars ''énergie": un appel de marge de 1,5 trillion de dollars a été fait dans ce secteur, et les compagnies qui doivent payer n'ont (comme en 2008 avec les banques) plus un centime, obligeant les Etats à monter au créneau pour régler l'addition à leur place.
Sauf que les Etats, in fine, c'est vous, moi, tous les citoyens, taxés (lire: volés) encore plus, juste pour sauver cette bande d'escrocs, ce qui va abaisser encore plus le niveau de vie et le pouvoir d'achat.
Car oui, ce que je vous ai exposé lundi dernier, Bloomberg vient de le résumer aussi à sa façon: les compagnies d'énergie (merci la privatisation) autrefois trésor national, sont désormais ''too big to fail'' autrement dit trop importantes pour que l'Etat les laisse faire faillite.
Et c'est le peuple qui va payer la note, exactement comme en 2008.
On a vu ce que cela a donné depuis en termes de chômage et en baisse du niveau de vie.
Maintenant, c'est une nouvelle crise dans la crise, une nouvelle tornade dans la tornade, un nouveau tsunami dans le tsunami qui laissera la population hébétée, anéantie, exangue, rampant sur le sol en quête d'un peu d'eau comme un égaré dans le désert.
Lorsqu'il ne restera que des miettes, comme à notre lecteur Thomas ci-dessous, la grande Révolte se mettra en marche et effacera tout.
La révolution de 1789 a été Française, celle qui vient sera mondiale.
Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2022
Sauf que les Etats, in fine, c'est vous, moi, tous les citoyens, taxés (lire: volés) encore plus, juste pour sauver cette bande d'escrocs, ce qui va abaisser encore plus le niveau de vie et le pouvoir d'achat.
Car oui, ce que je vous ai exposé lundi dernier, Bloomberg vient de le résumer aussi à sa façon: les compagnies d'énergie (merci la privatisation) autrefois trésor national, sont désormais ''too big to fail'' autrement dit trop importantes pour que l'Etat les laisse faire faillite.
Et c'est le peuple qui va payer la note, exactement comme en 2008.
On a vu ce que cela a donné depuis en termes de chômage et en baisse du niveau de vie.
Maintenant, c'est une nouvelle crise dans la crise, une nouvelle tornade dans la tornade, un nouveau tsunami dans le tsunami qui laissera la population hébétée, anéantie, exangue, rampant sur le sol en quête d'un peu d'eau comme un égaré dans le désert.
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