jeudi 27 février 2020


(Un laboratoire français à Wuhan, mon dieu, est-ce possible ? note de rené)

Coronavirus : on ne nous dit pas tout

source : Nice-Provence Info

Les Français sentent que les prétendues « autorités », les auto-proclamés « experts », les médias bien pensants leur refont le même coup de désinformation que lors de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl avec son nuage radioactif bloqué à nos frontières.
Il est bien clair que les informations sont filtrées, contradictoires, parfois alarmistes mais bien plus souvent rassurantes.
Qui connait la vérité ? car il en est bien qui savent et qui cachent
Peu à peu toutefois des bribes d’informations filtrent malgré la censure « à la chinoise » qui s’est instaurée. Citons cet article de Médias Presse Info : « L’étrange coronavirus mutant de Wuhan pose question ». Nous y lisons notamment :

Analyse génétique du coronavirus (2019-nCoV) dans BioRxiv
Beaucoup plus étrange est l’analyse faite par des Indiens et prépubliée le 31 janvier 2020. Elle montre que le génome du coronavirus (2019-nCoV) est dans l’ensemble similaire à des coronavirus normaux déjà connus.
Mais elle montre aussi que le génome contient quatre inserts, et ô surprise, ces inserts sont des protéines du virus du sida HIV‑1. Trois
inserts encodent la glycoprotéine de surface gp120 et le quatrième encode la protéine Gag. Ces deux protéines permettent respectivement l’accrochage sur la cible et l’assemblage du virus du sida HIV‑1.
Les auteurs de l’analyse s’étonnent de la présence de ces inserts de virus du sida humain HIV‑1 dans le génome d’un coronavirus de chauve-souris. Sans aller jusqu’à dire explicitement que ces inserts sont une création artificielle, ils ne croient pas que leur présence puisse être fortuite. Je cite : « It is unlikely that all 4 inserts in the 2019-nCoV spike glycoprotein fortuitously match with 2 key structural proteins of an unrelated virus (HIV‑1). » : « Il est peu probable que les quatre inserts dans la glycoprotéine du (2019-nCoV) puissent par hasard correspondre à deux protéines structurellement essentielles d’un autre virus non-apparenté (HIV‑1). » [la source de ce document a étrangement été censurée]
Ils parlent d’une évolution non-conventionnelle et se demandent comment un coronavirus a pu acquérir naturellement de tels inserts d’un autre virus.
Autrement dit, si on lit entre les lignes, ce coronavirus (2019-nCoV) est une chimère, créée en laboratoire, qui combine habilement et sournoisement un coronavirus de chauve-souris plus ou moins banal avec des protéines essentielles du virus du sida (HIV‑1).
Autrement dit, c’est une arme de guerre bioengénierée qui se retrouve dans la nature, sans doute à cause d’une erreur ou d’une défaillance quelconque. Voilà à quoi nous avons affaire.
L’analyse pré-publiée le 31 janvier 2020 n’est plus disponible ce jour. Elle a été retirée… De deux choses l’une. Soit l’analyse faite par les Indiens de New Delhi, à la Kusuma School of biological sciences (Indian institute of technology) et à l’Acharya Narendra Dev College (University of Delhi) est fausse, soit elle gêne. A chacun de se faire son opinion.

Or une autre information, incontournable et encore vérifiable en ligne, nous apprend que la France a vendu à la Chine un centre high-tech de virologie, au « niveau 4 de sécurité », ce qui lui permet de manipuler les pathogènes les plus dangereux au monde. Et où est installé ce laboratoire ? À Wuhan ! Vous n’y croyez pas, et pourtant cette information est publiée par le site du Consulat général de France à Wuhan.

Dans le cadre de son voyage officiel en Chine et de sa visite à Wuhan le 23 février 2017, le Premier Ministre a visité le laboratoire P4 de Wuhan, de conception française, dans le cadre de la coopération bilatérale en matière de prévention et de lutte contre les maladies infectieuses.
[ … ]
Le Premier Ministre s’est rendu sur le site du laboratoire de haute sécurité biologique P4 de Wuhan, premier de ce type en Chine continentale. Ce laboratoire de l’académie des sciences de Chine (CAS, Institut de virologie de Wuhan) est un laboratoire de conception française et possède de nombreux équipements de confinement biologique de pointe français et européens.
Accueilli par le Gouverneur de la Province du Hubei (M. WANG Xiaodong), le vice-président de l’Académie des Sciences chinoise (M. ZHANG Yaping) et l’Ambassadeur de Chine en France (M. ZHAI Jun), il a effectué une visite du laboratoire et participé à la cérémonie d’accréditation par l’organisme chinois d’accréditation.


Il est pour le moins étrange que ce nouveau virus soit apparu précisément là où la Chine a installé son « laboratoire de haute sécurité biologique P4» (source gouvernementale française). Qu’est-ce que signifie « P4 » ? Réponse de Wikipédia :
La classification P4 d’un laboratoire signifie « pathogène de classe 4 » et le rend susceptible d’abriter des micro-organismes très pathogènes. Ces agents de classe 4 sont caractérisés par leur haute dangerosité (taux de mortalité très élevé en cas d’infection), l’absence de vaccin protecteur, l’absence de traitement médical efficace, et la transmission possible par aérosols. La protection maximale exigée pour manipuler ces germes est désignée par le sigle NSB4 (niveau de sécurité biologique 4).

Pourquoi donc ce silence absolu sur la présence de ce laboratoire — français — à Wuhan ? Là où est apparu ce virus !
Les Français sont bien conscients qu’ils sont manipulés sur ce sujet comme sur bien d’autres. Mais là on touche à la vie. Alors pourquoi cet écran de fumée ? Est-ce parce-qu’il ne faut pas ébranler le commerce mondial ? Nous évoquions dans notre article du 1er février 2020 la complicité de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) qui aurait fusionné avec l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce) :


C’est en effet l’Organisation Mondiale de la Santé qui a décrété le 30 janvier 2020 l’urgence internationale et dans le même temps la continuation du commerce international : « L’épidémie constitue une urgence de santé publique de portée internationale », mais tout de suite après : « Il ne s’agit pas d’un vote de défiance à l’égard de la Chine ». L’OMS « s’oppose en fait à toute restriction des voyages ou du commerce avec la Chine. » L’OMC (Organisation Mondiale du Commerce) aurait pu tout aussi bien publier ce communiqué.
Autrement dit : pas question de froisser la Chine ! On met les personnes en quarantaine, mais pas les porte-conteneurs et leurs milliards de produits en route vers nos ports.
Pendant l’épidémie, le business mondialisé doit continuer !
Georges Gourdin

Addendum du 19 février 2020 : c’est pourtant bien vrai, mais chut !

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