mercredi 25 septembre 2019

(C'est marrant comme la NASA s'attaque au changement climatique depuis que trump la refinancer avec son programme de conquête de la Lune et de Mars alors qu'elle végétait et que la pertinence de son existence même se posait. Et, comme par hasard, ça correspond sous un habillage scientifique à ce que pense trump. note de rené)

La NASA admet que les changements climatiques sont dus aux modifications de l'orbite terrestre

Publié par wikistrike.com sur 24 Septembre 2019, 13:33pm
La NASA admet que les changements climatiques sont dus aux modifications de l'orbite terrestre
Depuis plus de 60 ans, la NASA sait que les changements qui se produisent dans les modèles météorologiques planétaires sont entièrement naturels et normaux. Mais l'agence spatiale, pour quelque raison que ce soit, a choisi de laisser le canular du « réchauffement climatique anthropique » persister et se propager au détriment des libertés fondamentales de chaque être humain.
C'est en 1958, pour être précis, que la NASA a pour la première fois observé que des changements dans l'orbite solaire de la Terre et des modifications de l'inclinaison de son axe sont responsables de ce que les climatologues appellent aujourd'hui le « réchauffement » (ou « refroidissement », selon leur intention du jour). En d'autres termes, les humains sont impuissants à réchauffer ou refroidir la planète en conduisant des 4x4 ou en mangeant du bœuf.

Mais jusqu'à présent, la NASA a échoué à rétablir les faits pour ce qu'ils sont et a plutôt choisi de rester les bras croisés à observer les libéraux/démocrates paniquer face à un monde censé prendre fin dans 12 ans à cause d'un excès de production bovine ou de pailles en plastique.
Cependant, la vérité ressemble bien plus aux travaux de l'astrophysicien serbe Milutin Milankovitch — qui a donné son nom à la théorie astronomique des changements climatiques, aussi appelée Théorie Milankovitch. Cette théorie permet d'expliquer comment les variations saisonnières et latitudinales du rayonnement solaire, qui touchent la Terre de différentes manières et à différents moments, exercent le plus grand impact sur les changements climatiques de la planète. C'est pourquoi des libéraux un peu dérangés et obsédés par le climat ont maintenant commencé à prétendre qu'il ne nous reste que dix-huit mois avant que la planète ne meure d'un excès de dioxyde de carbone ou CO2.

Les deux images ci-dessous permettent d'en illustrer le propos. La première montre une excentricité orbitale de la Terre quasi nulle, et la seconde une excentricité orbitale de la Terre de 0,07. Ce changement d'orbite est représenté par la forme excentrique et ovale de la deuxième image, qui a intentionnellement été exagérée dans le but de montrer le changement massif de distance qui se produit entre la Terre et le Soleil, selon que ce dernier se trouve au périhélie ou à l'aphélie.
 
variation in orbital eccentricity
© Robert Simmon/NASA
variation in orbital eccentricity
© Robert Simmon/NASA
Comme spécifié par Hal Turner dans son émission radiophonique :
« Même l'excentricité maximale de l'orbite terrestre de 0,07 serait impossible à représenter à la résolution d'une page Web. Même ainsi et à l'excentricité actuelle de 0,017, la Terre est 5 millions de kilomètres plus proche du Soleil au périhélie qu'à l'aphélie. »
Le Soleil est le plus grand facteur affectant le climat terrestre

Quant à l'obliquité terrestre, ou son changement d'inclinaison axiale, les deux images ci-dessous illustrent à quel point la Terre peut se déplacer à la fois sur son axe et sur son orientation rotationnelle. Aux inclinaisons plus élevées, les saisons terrestres deviennent beaucoup plus extrêmes, tandis qu'aux inclinaisons plus basses, elles deviennent beaucoup plus douces. Il en va de même pour l'axe de rotation de la Terre qui, selon l'hémisphère pointé vers le Soleil pendant le périhélie, peut avoir un impact considérable sur les extrêmes saisonniers entre les deux hémisphères.
variation in axial obliquity
© Robert Simmon/NASA
Variation de l'obliquité axiale
precession
© Robert Simmon/NASA
Précession
Milankovitch a été en mesure — à partir de ces différentes variables — de mettre au point un modèle mathématique global lui-même capable de calculer les températures de surface de la Terre en remontant dans le temps, et la conclusion est simple : le climat de la Terre est en constante évolution et a toujours fluctué, sans que la faute puisse en être imputable aux êtres humains ou à leurs activités.

Ignoré pendant près d'un demi-siècle, le modèle présenté pour la première fois par Milankovitch n'a reçu l'approbation de ses pairs qu'en 1976, lorsqu'une étude publiée dans la revue Science est venue confirmer son exactitude et sa conformité en regard de diverses périodes de changements climatiques qui se sont produits au cours de l'histoire.

En 1982, six ans après la publication de cette étude, le National Research Council de la National Academy of Sciences des États-Unis a adopté la théorie de Milankovitch comme exacte et fidèle à la réalité, en déclarant que :
« ... les variations orbitales demeurent le mécanisme de changement climatique le plus minutieusement étudié à l'échelle de dizaines de milliers d'années et constituent de loin la plus flagrante incidence d'un effet direct du changement d'exposition aux rayons solaires sur la basse atmosphère de la Terre. »

 

Commentaire : Selon le Professeur Gervais dans un précédent Focus :
« Les observations récentes sont dérangeantes pour les modèles de climat ; sans doute parce qu'ils se refusent à prendre en compte un cycle de soixante ans de la température globale de la planète pourtant documenté sur cent trente ans. Ce cycle se décompose en phases montantes, descendantes, en plateaux, chacun d'une quinzaine d'années. [...] Ainsi, en 2013, la superficie de la banquise arctique a présenté un déficit estival limité, très inattendu pour les alarmistes. Mais, tout au long de l'année, la superficie de banquise antarctique, elle, a présenté un excédent du même ordre, et même un record absolu confirmé par la NASA ! »

Si nous devions tout résumer en une simple phrase mettre un point final à tout ceci, ce serait : Le Soleil est le plus grand facteur en capacité d'influencer les phénomènes météorologiques et climatiques sur Terre. Selon la position de la Terre par rapport au Soleil à un moment donné, les conditions climatiques vont considérablement varier et même créer des anomalies radicales en mesure de défier tout ce que les humains pensaient savoir sur le fonctionnement de notre planète.

Mais plutôt que de se rallier à cette réalité fidèle, exacte et reconnue, les « climatologues » d'aujourd'hui, rejoints par des politiciens de gauche et des média grands publics complices, insistent sur le fait que ne pas recourir aux sacs réutilisables des supermarchés et ne pas avoir de véhicule électrique détruit la planète si rapidement que la seule solution réside dans une imposition absolue d'imposer des taxes climatiques mondiales.

 

Commentaire : Selon István Markó :
« Dilapider des milliards d'euros pour des modèles mathématiques qui sont faux et ne peuvent rien prédire, c'est ridicule. Cet argent dépensé pour rien devrait être utilisé pour régler de vrais problèmes de pollution. Par exemple le sixième continent, ce gigantesque agglomérat de déchets qui flotte dans le Pacifique, pourquoi on ne le nettoie pas ? On pourrait aussi nettoyer et repeupler nos rivières, assainir nos sols, transformer des chancres industriels en cités où il ferait bon vivre. Ce serait bien plus utile que de s'acharner sur ce malheureux CO2, que nous produisons tous lorsque nous expirons et qui ne nous a rien fait. »

 

Et selon un commentateur de l'émission radiophonique de Hal Turner :
« Le débat sur le changement climatique n'a rien à voir avec la science. Il s'agit d'une manœuvre des pouvoirs en place et des élites visant à imposer des contrôles politiques et économiques sur la population.

Et c'est un moyen supplémentaire — un parmi tant d'autres — pour diviser la population en deux, avec une partie qui mord à l'hameçon du réchauffement climatique anthropique et une autre qui le conteste, selon le sempiternel "diviser pour mieux régner". »
Vous pouvez lire le rapport complet de l'émission radiophonique de Hal Turner via ce lien.

Source de l'article : 
Natural News
Traduction : Sott.net

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