mardi 6 décembre 2016

(Vous ne me ferez pas croire qu'il n'y pas de relation de cause à effet, soros débloque 10.000 millions de dollars pour bloquer la nomination de trump avec le reniement de leurs paroles de quelques 15 grands électeurs, pour l'instant, nombre suffisants pour une remise en question. Et, pendant ce temps, que fait la mère clinton, elle ne fait pas parler d'elle, elle attend comme une araignée dans sa toile. note de rené)


Soros débloquera 10 millions de dollars pour les anti-Trump 

© AFP 2016 THOMAS PETER

INTERNATIONAL 17:13 24.11.2016URL courte643660299 

George Soros se dit très préoccupé face à une série d’attaques contre les migrants et les minorités nationales qu’il lie au nom de Donald Trump. Dix millions de dollars, voilà le prix qu’il est prêt à payer afin de lutter contre la «rhétorique incendiaire» du président élu. Cependant, Soros n’est-il pas lui-même à l’origine de ces troubles? 

Le multimilliardaire George Soros octroiera 10 millions de dollars de sa fortune personnelle pour la lutte contre les « crimes motivés par la haine ». M. Soros lie le regain récent de ce type de crimes à la « rhétorique incendiaire » utilisée par le président élu des États-Unis Donald Trump, lit-on dans le New York Times. La moitié de cette somme, soit cinq millions de dollars, sera débloquée par sa société à but non lucratif Open Society Foundations cette semaine. Selon les journalistes, le multimilliardaire affirme avoir pris cette décision « dans le contexte d’une série d’attaques contre les migrants et les minorités nationales, qui a commencé dès le 8 novembre », le jour des élections présidentielles aux États-Unis.  

Le journal cite les propos de George Soros, qui s’est déclaré « profondément ému » par des centaines de messages diffusés ces derniers jours à propos de crimes haineux commis aux États-Unis, notamment des croix gammées peintes sur des voitures et des murs de bâtiments. Fait curieux, le sujet des « crimes haineux » défraie la chronique des médias libéraux américains depuis la fin de la semaine dernière, soit juste après la rencontre entre le fondateur d’Open Society Foundations avec les représentants de l’aile gauche des démocrates liés à des organisations de minorités raciales. Cette rencontre a eu lieu le 14 novembre. « Étant donné que le milliardaire participe rarement aux sessions de l’alliance démocratique et se joint rarement à ses activités officielles, ceci peut signifier qu’il tente d’investir dans l’opposition à M. Trump » a écrit à ce moment le journal américain Politico. Dans les rangs de Soros, on commence à parler des premières tranches réparties en subventions s’élevant à 150 000 dollars et destinées à financer des initiatives « anti-trump ». Rappelons que certains médias, y compris le journaliste Pete Hegseth, avaient auparavant soupçonné George Soros lui-même d’avoir mobilisé des « manifestants professionnels » pour organiser des protestations contre le nouveau président élu. 




Présidentielle US: un grand électeur du Texas refuse de voter Trump 

© REUTERS/ Mike Segar

INTERNATIONAL 08:48 06.12.2016(mis à jour 16:37 06.12.2016) URL courte384402460 

«Je suis ici pour élire un président et non un roi»: après avoir soutenu Donald Trump, un grand électeur républicain du Texas a publiquement retiré son soutien au vainqueur de la présidentielle. Un grand électeur républicain de l'Etat du Texas, Chris Suprun, a refusé de se prononcer en faveur de Donald Trump, annonce le site Fox News. Auparavant, Chris Suprun soutenait Donald Trump, avant de changer d'avis. «  Je suis ici pour élire un président, et non un roi  », a-t-il déclaré. M. Suprun a indiqué avoir reçu des centaines de lettres et d'appels téléphoniques le priant de ne pas voter pour Donald Trump. «  On me disait que si Donald Trump était élu, son caractère changerait et qu'il ressemblerait à un président. Mais ce n'est pas le cas  », a expliqué Suprun. 

Ce refus public de soutenir Donald Trump donne au grand électeur la possibilité de se retirer du vote, le Parti républicain ayant suffisamment de temps pour le remplacer. Le 8 novembre, jour de l'élection présidentielle aux Etats-Unis, Donald Trump a obtenu 306 voix de grands électeurs contre 232 pour Hillary Clinton. Le vote des grands électeurs, qui officialisera définitivement la victoire du candidat républicain, aura lieu le 19 décembre. Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join »

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Rappel.

Comment les démocrates intimident les grands électeurs républicains aux États-Unis 

© REUTERS/ Lucas Jackson

INTERNATIONAL 12:02 05.12.2016(mis à jour 12:28 05.12.2016) URL courte182724045 


Ce n’est pas la première fois que des grands électeurs se plaignent de pressions provenant des partisans d’Hillary Clinton. Et il ne s'agit pas uniquement de messages menaçants, les opposants de Donald Trump s'adonnant à une véritable «terreur politique»…  

Le Bureau fédéral d'investigation américain (FBI) devrait commencer à vérifier les activités du Parti démocrate en raison des menaces proférées à l'encontre des grands électeurs, ainsi que d'une source obscure de financement des manifestations antirépublicaines, écrit le chroniqueur de l'Observateur, Austin Bay. La pression sur les grands électeurs, selon le journaliste, a atteint des formes inouïes. Selon le média, les opposants à Donald Trump ne se bornent pas à des menaces et pratiquent une « terreur politique », brisant des fenêtres et attaquant les « indésirables ». « J'ai été menacé plusieurs fois de mort et tout cela afin que je vote pour Clinton », s'exclame un grand électeur du Michigan, cité par le journaliste. En outre, le journaliste est persuadé que les manifestations antirépublicaines à travers tout le pays ont été parfaitement orchestrées. Ainsi, l'auteur se réfère aux activités de Robert Creamer, ancien membre du camp de Clinton, qui avançait l'idée d'utiliser des provocateurs lors des rassemblements contre les partisans de Donald Trump.  

Bien qu'il soit très difficile de savoir qui est le « sponsor » de tels événements, il faut prendre en considération que la coordination des manifestations à travers le pays exige des investissements financiers importants, indique Austin Bay, faisant allusion au Parti démocrate.  

Le 19 décembre, le vote des grands électeurs dans chaque État américain définira qui sera le prochain président des États-Unis. Formellement, les électeurs peuvent donner leur voix à n'importe quel candidat, mais de facto ils élisent presque toujours le candidat annoncé. Les changements de dernière minute sont extrêmement rares, car toute voix donnée à un autre candidat tire un trait sur la carrière politique du délégué « malhonnête ». Malgré de nombreux sondages et des prévisions qui misaient sur une victoire d'Hillary Clinton, le candidat républicain Donald Trump a remporté l'élection présidentielle du 8 novembre avec 279 grands électeurs contre 228 pour sa rivale démocrate. Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join »

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