Bonjour, mes chers cinq lecteurs, aujourd'hui, occupons-nous un peu des élections en France.
Nos ou plutôt les candidats qu'ils soient de droite, de gauche ou de l'extrême qui eux à part causer n'ont pas de programme, proposent des licenciements massifs dans la fonction publique, une augmentation généralisée du temps de travail camouflée sous de soi-disantes négociations par secteur et un recul de l'âge de la retraite, excepté pour leurs postes, évidemment.
Tout ça pour relancer l'économie pour atteindre dans le meilleur des cas 2 misérables point de croissance, preuve d'un dynamisme économique retrouvé.
Malheureusement, désormais, la croissance est un mythe qui s'est conscrit dans une période de reconstruction et de domination technologique américaine avec pour résultante le plein emploi.
Raison pour laquelle, des agents économique, certaines banques notamment, songent à déclencher un autre conflit mondial qu'elles imaginent de faible intensité.
Par conséquent, sans reconstruction mondiale; pas de croissance qui permette le plein emploi surtout dans une conjoncture de surplus de productivité et d'absence de pouvoir d'achat.
Car, avec leur politique, nous nous retrouvons dans un cas de figure où le pouvoir d'achat se délite posant un axiome simple, "Un niveau de consommation faible, des stocks qui s'accumulent, des entreprises qui font faillite ou délocalise (entreprises nomades), en plus, sans soutien des banques, un taux d'embauche faible ou inexistant".
Et, en attendant, elles, nos élites politiques super-intelligentes, nous proposent de réduire drastiquement la masse salariale du pays, de dégrader les conditions de travail, d'en allonger le temps sans compensation salariale et tout cela pour rembourser une dette dont le montant est tel qu'il augmente automatiquement indépendamment de tout apport nouveau devenant in-remboursable.
Un piège dans lequel nous ont enfermé pompidou et giscard d'estaing à l'époque.
Par conséquent, nos candidats servent la dette, disons plutôt les banques que sarko a sauvé en laissant l'état exsangue (malgré ses mensonges habituels) et non la France et les français.
Alors, plutôt que se démettre et démettre le pays au profit des banques, ils feraient bien de nous expliquer, comment ils font faire pour imposer une solution aux banques, après, on pourra discuter de leur programme, stupide au point, que tous le reprennent dans les grandes lignes.
Et, si, ils cherchent des espace à conquérir ou à reconquérir, il y a l'environnement et l'espace, de si vastes horizons et il doit y en avoir d'autres, cela dépend de l'angle ou l'on se place.
A bon entendeur.
René.
La Suède passe à la journée de travail de 6 heures ! Un vrai succès pour les salariés et les patrons
© Ints Kalnins Source: Reuters
De plus en plus d'entreprises suédoises sont en train d'adopter la journée de travail de 6 heures, au lieu des 8 conventionnelles. Le but ? Rendre les salariés plus efficaces sur un temps plus court et leur permettre de mieux profiter de leur famille
Maison de retraites, hôpitaux, constructeurs automobiles...ils sont de plus en plus nombreux les patrons suédois à sauter le pas et à raccourcir allégrement la journée de travail-type de leurs employés. C'est ce que rapporte le site Sciencealerte.com qui explique que l'idée est de parvenir finalement à en faire plus en moins de temps tout en gardant de l'énergie pour vivre une vie de famille épanouie.Ainsi, l'entreprise Toyota de Göteborg -la deuxième plus grande ville du pays- qui a fait la bascule il y a plus de 13 ans a constaté un turn-over réduit dans ses équipes, un personnel plus heureux et une meilleure rentabilité !
Même constat chez Filimundus, une start-up basée dans la capitale qui a introduit la journée de six heures l'année dernière, tout comme chez Fast Company qui se réjouit de ce changement. «Rester concentré sur une tâche spécifique de travail pendant huit heures est un énorme défi. Pour faire face, nous alternons les tâches et faisons des pauses pour rendre la journée de travail plus supportable. Et dans le même temps, nous éprouvons des difficulté à gérer notre vie privée en dehors du travail» constate Linus Feldt, le PDG de l'entreprise, pour qui la journée de 8 heures est tout sauf réellement efficace.
Et ce patron de détailler ses techniques pour rendre le travail plus efficient en un temps plus court: la consultation des réseaux sociaux n'est plus autorisée pendant le temps de travail, les «distractions» en tout genre sont également éliminées et les réunions réduites au strict minimum. Le tout afin de garder de l'énergie pour après !
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