mardi 8 novembre 2016

Bonjour, mes chers cinq lecteurs.

D'abord, un constat, concernant l'élection aux States, personne ne s'est occupé des machines électroniques à voter truquées. Juste ça.
Par rapport à la France et à Jean-Luc mélenchon, candidat à l’élection présidentielle en France.
On nous a raconté trop d'histoires, on nous a trop pris pour des cons pour que nous ne soyons pas méfiants quant-aux discours grandiloquents qui lèvent en nous une vague d'espérance, encore une nouvelle vague, serais-je tenté de dire.
Depuis, quelques temps, nous en sommes réduits à élire le moins pire qui s'avère avec le temps une simple marionnette de ceux qui détiennent le patrimoine de la France, les banques et la finance internationale (hedges funds). Plus de 40 milliards d'intérêts à payer par an et notre gouvernement se gargarise de pouvoir disposer sur les marchés de taux minimes ou même de taux négatifs. 
Malheureusement, un taux, même de 0,N% sur des milliards s'additionne pour aboutir à des centaines de millions d’intérêt à payer cash. 
La dette n'est plus maîtrisable, elle s’auto-nourrit en quelque sorte et augmente exponentiellement automatiquement sans que les banques n’aient même plus à intervenir. L’état est devenu l’otage de ses créanciers le transformant en une simple chambre d'enregistrement de leur désidératas.
L’état est en faillite depuis plusieurs d’année et les gouvernements n’ont de solution que vendre les biens publics et plier l’échine devant la volonté de la commission européenne de liquider tous les services publics.
Soyons clairs, « La France est à vendre » comme la Grèce, même, si la méthode d’appropriation diffère. 
Alors, vouloir nous faire croire que tout peut changer, je veux bien et je trouve l’idée de l’avènement d’une sixième république pour balayer la racaille qui nous gouverne et qui se goberge sur notre dos en liquidant les acquis sociaux de toutes les générations précédentes, excellente.
Mais, l’avènement d’une démocratie parlementaire dont la tâche serait de rediscuter le fonctionnement de l’Union Européenne, c’est nous prendre pour des idiots.
Les accords de libre échange Ceta et Tafta nous mettent en situation d’extrême urgence et je ne vois pas comment, un mouvement composé de syriza, podemos et la France insoumise pourrait mettre à mal un système si bien verrouillé.
Pour ce faire, il faut rester encore un certain temps avec un régime présidentiel fort qui seul pourra nous faire sortir de l’Union Européenne, seule manière de nous dépêtrer des zones de libre échange signées par l’UE, mais, plus par un pays qui la quitterait.
La méthode de Jean Luc mélenchon est la mauvaise à cause d’une possible paralysie parlementaire qui se perdrait dans des débats sans fin. Elle nous condamne à rester dans l’Union Européenne et à subir les débats collatéraux du Ceta et du Tafta.
Il faut sortir et pas nous faire le coup de hollande en nous disant la finance est mon ennemi et en allant à la city confirmer son allégeance. Dans le cas de mélenchon se serait nous faire penser que cela change en nous faisant un cinéma «nouvelle constituante» pendant que les nouvelles législations nous engluent dans le filet.
Regardons ce qu’il se passe au sujet du brexit et de la manière dont le peuple anglais risque de se faire flouer. Si, mélenchon ne se prononce pas clairement sur une sortie de l’Europe, alors, l’Upr  de françois asselineau me semble le parti le plus à même d’accomplir cette tâche.

A bon entendeur, salut.

rené

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