lundi 2 mai 2016

Les experts indiens en matière de Santé s’interrogent sur le Programme Universel de Vaccination

Par Catherine J. Frompovich, 27 avril 2016 (Extraits) via Initiative Citoyenne
Des experts indiens s'interrogent sur le programme de vaccination
L’adoption d’un vaccin pentavalent (5 valences dans un seul vaccin) par le système de Santé indien a provoqué une grande inquiétude, d’autant plus que « régulièrement un ou plusieurs enfants meurent après avoir reçu le vaccin pentavalent… Pourtant, bien que le nombre de décès ne cesse d’augmenter, il a été annoncé que le vaccin pentavalent allait être introduit dans 3 autres états… »[1]

Le vaccin 5 en 1 comprend les valences suivantes : diphtérie, coqueluche, tétanos, hépatite B, Haemophilus Influenzae type B (Hib). Il semble que le vaccin hépatite B soit mis en question. Il ne protégerait pas les bébés des infections. - Intéressant ! En conséquence, les parents refusent de faire vacciner leurs enfants et les taux de vaccination ont chuté de façon spectaculaire – 25% au cours des 4 dernières années.

Les experts indiens de Santé, le Dr Amitav Banergee, le Dr Arun Gupta, le Dr BM Hgde, le Dr JP Dadhich, le Dr Jacob Puliyel, le Dr KP Kushawa, le Dr Ritu Priya, le Dr SK Mittal, le Dr S. Srinivasan ainsi que le Dr Vikas Bajpai ont écrit une lettre au cabinet du Premier Ministre indien [2].

L’étude menée par l’Institut des Sciences Médicales Sanjay Gandhi de Lucknow, ainsi que par l’Institut National de la Nutrition à Hyderabad, et reprise par deux éditoriaux dans le Journal Indian Paediatrics a soulevé plusieurs questions ayant trait au Programme Universel de Vaccination. Le Dr T. Jacob John a noté dans son éditorial que la fréquence des infections chroniques était similaire chez les vaccinés comme chez les non vaccinés – environ 0,15%. Le vaccin contre l’hépatite B est donc complètement inutile dans cette population. Le professeur Jacob John observe en outre que les résultats immunologiques et épidémiologiques du déploiement du vaccin anti-haemophilius influenza (HIb) ne sont pas surveillés comme ils devraient l’être et a conclu :

« En bref, des vaccins coûteux qui ont peu d’utilité sont distribués sans suivi par rapport aux bénéfices ou aux dommages, alors qu’ils peuvent causer des effets secondaires graves et des décès. En dépit des tentatives officielles de nier ces problèmes, il en résulte que le public est en train de perdre confiance dans tout le programme de vaccination. »

Ces dix experts de Santé ont exprimé leurs inquiétudes et ont formulé la même demande que celle de nombreux autres experts de Santé : une transparence au sein de l’organisation indienne qui pourrait donner le feu vert à l’utilisation de tel ou tel vaccin en Inde. Le cas de l’Inde, je signale, n’est ni unique, ni le seul en ce qui concerne la transparence.

D’après mes recherches sur les vaccins et les politiques de Santé depuis des décennies, j’ai pu constater qu’en matière de vaccins, chaque pays s’en réfère à la pseudo-science du CDC et de la FDA américaine. Il faut que tout cela s’arrête, tout spécialement quand on observe tant de fraude scientifique, quand les effets secondaires sont minimisés ou cachés aux organismes de santé et au public. Selon moi, il s’agit souvent très clairement de FRAUDE !

L’un des médecins, Jacob Puliyel, a soulevé la question de la participation et des conflits d’intérêts de la Fondation Bill et Melinda Gates ! Il semblerait que la Fondation soit impliquée dans de nombreux problèmes ayant trait aux programmes de vaccination de pays étrangers. Je me demande pourquoi ! – Eh bien, Il y a plusieurs années en Inde, 47.500 enfants ont été paralysés ; il y a eu aussi quelques morts après avoir reçu le vaccin polio par voie orale de la Fondation Gates [3], comme ce fut rapporté en 2013. Malgré cela, les responsables gouvernementaux n’ont toujours pas appris la leçon ; ils n’ont toujours pas appris que les vaccins pouvaient nuire !

En ce qui concerne le vaccin contre l’hépatite B, le Conseil Indien de la Recherche Médicale (ICMR) a, en 2014, réalisé une étude sur les bénéfices du vaccin. Les recherches ont montré qu’après 10 ans de vaccinations contre l’hépatite B, il n’y avait aucune différence entre les enfants qui avaient reçu le vaccin et ceux qui n’avaient pas été vaccinés ! La seule différence, pourrais-je ajouter, est que ceux qui ont reçu le vaccin contre l’hépatite B pourraient peut-être un jour souffrir des problèmes suivants :

  • Polyneuropathie inflammatoire auto-immune
  • Sclérose en plaques
  • Arthrite chronique
  • Autisme
  • Paralysie de Bell [4]

Le choc anaphylactique et la mort subite du nourrisson sont cependant des réactions plus immédiates qui poussent les médecins à soupçonner et à accuser les parents ou les soignants d’avoir exercé des violences physiques ou à les accuser du syndrome du bébé secoué.

Il semble que les responsables indiens de la Santé remettent en question l’efficacité  du vaccin Hib. Ils ont effectué plusieurs études et ont constaté « qu’il y avait plus de cas de pneumonies chez les enfants vaccinés, comme le déclare le Dr Puliyel. La même étude a été répétée au Bengladesh avec des résultats similaires. » Cela, je dois dire, n’est pas inhabituel, étant donné que les enfants vaccinés représentent un risque (pourcentage) plus élevé de contracter les maladies pour lesquelles ils ont été vaccinés. La chose a été démontrée par diverses données démographiques, y compris aux Etats-Unis.

Ce qui suit devrait représenter un signal d’alarme pour tous les habitants de l’Inde :

« Il ne s’agit pas d’un problème de pertinence, mais bien de risques pour les enfants auxquels on administre un mélange de cinq valences dans un seul vaccin comme dans le vaccin pentavalent. Trois décès ont été rapportés au Sri Lanka quand le vaccin pentavalent y a été introduit. Les décès ont probablement été causés par le vaccin étant donné que l’on n’a pu trouver d’autres raisons », comme le précisent des médecins critiques tel que le Dr Puliyel.

Les experts semblent avoir bafoué les normes standards de classification des effets secondaires des vaccinations. Ceci a été exposé dans un article publié par un groupe de critiques du British Medical Journal.

Quand le vaccin fut introduit en Inde en 2011, il a été limité à un seul état, le Kérala. Au cours de la première année, 12 décès ont été rapportés chez des enfants vaccinés. Le premier décès s’est produit le tout premier jour après la vaccination chez un enfant qui avait toujours été en bonne santé. [1] (…)

Le problème des vaccins en Inde a suscité l’inquiétude des responsables de la Santé depuis que les taux de vaccinations sont en baisse. Et cela, ils n’en veulent pas.

Le Professeur Dr Jacob John souligne que :

« Le programme de vaccination dans notre pays est aussi imparfait que les autres programmes de soins de santé. Il s’écarte des soins préventifs de santé qui supposeraient une surveillance des maladies, de leurs causes pour pouvoir mériter le nom d’une véritable prévention.

La façon dont nous vaccinons en Inde laisse beaucoup à désirer, comme l’a souligné le Dr Jacob Puliyel. La vaccination est destinée à la prévention des maladies, mais en Inde on ne vérifie pas si les vaccins préviennent les maladies dans la communauté. Il s’agit d’établir une « surveillance de santé publique », Mais en Inde, on ne suit pas ce principe. En Inde, les soins de santé et la vaccination constituent des espèces de rituels sans fondements raisonnables. » [1]

La vaccination, un rituel sans fondements raisonnables est une bonne façon de décrire ce que beaucoup qualifient de « croyance religieuse dans le dogme de la vaccination ». Cette croyance stipule dogmatiquement que les vaccins sont sûrs, indépendamment du fait qu’aucune étude n’a jamais été entreprise, soit rétrospectivement, soit en cours, sur l’interaction et/ ou les événements indésirables de l’administration de valences multiples en un seul vaccin. Surtout quand il s’agit d’administrer jusqu’à neuf valences à la fois à un nourrisson de moins de 25 livres !

Le Dr Puliyel résume les programmes de vaccination non seulement en Inde, mais aussi dans d’autres pays quand il prétend :

« Nous n’avons pas de programme pour « le contrôle des maladies transmissibles de l’enfance», alors que nous avons un système parfaitement organisé pour la livraison de vaccins. On distribue les vaccins comme s’il s’agissait de véritables rituels, et cela sans mesurer avec précision les résultats et sans étudier soigneusement chaque cas d’échec vaccinal. 

Il semble que les dirigeants du Ministère Indien de la Santé soient incroyablement stupides ou dépourvus de compassion. Peut-être même les deux. » [1]

Je soutiens les commentaires du Dr Puliyel : ils peuvent apparemment être appliqués à tous les pays qui mettent en œuvre des programmes de vaccination de masse en suivant les directives américaines du CDC ou de la FDA manifestement influencés par les intérêts de Big Pharma et les mandats des organismes fédéraux.

Après avoir pris conscience des effets néfastes sur la santé des vaccins contre le HPV, certains pays ont pris la décision de ne plus recommander officiellement ces vaccins. L’Inde et le Japon ont suspendu leur recommandation des vaccins contre le HPV. [5]

Il est temps qu’une véritable évaluation des aiguilles empoisonnées soit réalisée.

Références:

Source : Activist post

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