Bonjour, mes chers cinq lecteurs, un petit mot.
Un avis sur les élections régionales en France qui a positionné le front national comme le premier parti de France devant la droite classique, les républicains, et le parti socialiste, actuellement détenteur du pouvoir exécutif.
D'abord, un constat en 2012, les français ont tourné le dos au gouvernement de droite de nicolas sarkozy en faveur des socialistes, en prenant malheureusement pour argent comptant les promesses fallacieuses de son candidat, françois hollande.
Une fois au pouvoir, celui-ci a fait la même politique que son prédécesseur, sarkozy, une politique sarkozienne sans sarkozy. Il s'est tourné du côté de la finance internationale en racontant des bobards à ses électeurs pour leur faire croire que ce retournement de veste allait leur rendre le travail et la joie de vivre. Mais, c'est le travail qui disparaît et la croissance ne fait pas parti du carnet d'adresse de la mondialisation dont les socialistes sont d'ardents défenseurs, finance oblige.
Que cela soit au niveau national ou international, le gouvernement nous fait passer des contrats d'armements en faveur d'états en lien avec le terrorisme islamiste comme des victoires de l'industrie française alors que les entreprises continuent de disparaître ou de migrer vers les pays étrangers.
D'un autre côté, la posture de coller à la politique américaine et le jusqu'au boutisme de notre ministre des affaires étrangères n'a fait qu'accentuer l'incohérence de la politique étrangère française qui en plus coûte des marchés et des emplois à la France.
Au niveau national, la déstructuration programmée des services publics comme préparation du pays à l'intégration à la zone de libre échange Europe-Etats-Unis marque les espritks, surtout, si un black-out sur les négociations est imposé à la presse et aux élus nationaux ou européens.
La crise des migrants et le terrorisme islamiste accentue encore plus la détérioration de la visibilité de la politique gouvernementale. L'insécurité est ressentie comme générale, d'autant plus que des militants islamistes annoncent à grand cris que l'Europe sera musulmane ou ne sera pas.
D'un autre côté, le manque d'initiative et de volonté du gouvernement pour défendre le peuple français par rapport aux diktats d'experts européens dont les décisions s'imposent même aux élus européens et aux gouvernements nationaux, au point que certains pays de l'Europe sont réduits à la misère, semble être la preuve que le gouvernement français est d'accord pour une dissolution des peuples dans un creuset culturel commun européen qui n'existe pas (à l'image du melting pot américain ?).
Ces quelques facteurs et l'impression que l'on nous verse une soupe où l'identité française, chrétienne, est considérée à la limite comme un facteur dévalorisant au point que l'Europe et le gouvernement français considère la vague de migrants comme une chance pour l'industrie, choque les français.
Des discours de politiques français et allemands certifiant que la vague migrante est une chance pour l'économie alors que le chômage frappe durement les français sont à l'image de nos élus, déconnectés du terrain.
Pas de travail, de moins en moins de protection sociale, une opposition de la société civile pointée comme réactionnaire en rapport à l'évolution nécessaire et souhaitée vers une mondialisation sans contraintes favorable uniquement à la finance internationale et aux multinationales, un monde où le seul intérêt du citoyen est de subir en silence.
Une mondialisation qui conduit à ce que les prérogatives des états s'estompent en faveur d'une Europe dont les prérogatives s'estomperont à leur tour dans les règles législatives imposées par l'accord de libre échange avec les Etats-Unis.
Bref, pour les français, l'insécurité est devenue générale et personne, à part les financiers n'en sont à l'abri.
Tenter de circonscrire l'intérêt des élections régionales à leur seul dimension locale par pur but électoraliste a été une nouvelle erreur du parti socialiste. Les électeurs qui se sont tournés vers le front national ont agi par ras-le-bol et en situant leur vote dans perspective nationale.
Désormais, appeler à une union de tous les partis dits "à gauche" sans faire de concessions sur les politiques tenues jusqu'à présent ne risque pas de mobiliser les abstentionnistes, 50%, dont pas mal de déçus comme votre serviteur.
Les partis dits "de gauche" qui décideront d'aller vers cette union ne feront que confirmer qu'ils ne sont que, au final, des faires valoirs d'un gouvernement "socialiste" qui applique une politique de droite dure qui ne tient pas compte de l'intérêt du citoyen et méprise le sentiment d'être français de ces mêmes citoyens qui au bout de la chaîne sont des électeurs.
Le président français a trop menti et ses différents gouvernements se sont dé-crédibilisés à tel point que le front national risque longtemps de rester le "premier parti politique de France".
A bon entendeur, salut !
René.
Un avis sur les élections régionales en France qui a positionné le front national comme le premier parti de France devant la droite classique, les républicains, et le parti socialiste, actuellement détenteur du pouvoir exécutif.
D'abord, un constat en 2012, les français ont tourné le dos au gouvernement de droite de nicolas sarkozy en faveur des socialistes, en prenant malheureusement pour argent comptant les promesses fallacieuses de son candidat, françois hollande.
Une fois au pouvoir, celui-ci a fait la même politique que son prédécesseur, sarkozy, une politique sarkozienne sans sarkozy. Il s'est tourné du côté de la finance internationale en racontant des bobards à ses électeurs pour leur faire croire que ce retournement de veste allait leur rendre le travail et la joie de vivre. Mais, c'est le travail qui disparaît et la croissance ne fait pas parti du carnet d'adresse de la mondialisation dont les socialistes sont d'ardents défenseurs, finance oblige.
Que cela soit au niveau national ou international, le gouvernement nous fait passer des contrats d'armements en faveur d'états en lien avec le terrorisme islamiste comme des victoires de l'industrie française alors que les entreprises continuent de disparaître ou de migrer vers les pays étrangers.
D'un autre côté, la posture de coller à la politique américaine et le jusqu'au boutisme de notre ministre des affaires étrangères n'a fait qu'accentuer l'incohérence de la politique étrangère française qui en plus coûte des marchés et des emplois à la France.
Au niveau national, la déstructuration programmée des services publics comme préparation du pays à l'intégration à la zone de libre échange Europe-Etats-Unis marque les espritks, surtout, si un black-out sur les négociations est imposé à la presse et aux élus nationaux ou européens.
La crise des migrants et le terrorisme islamiste accentue encore plus la détérioration de la visibilité de la politique gouvernementale. L'insécurité est ressentie comme générale, d'autant plus que des militants islamistes annoncent à grand cris que l'Europe sera musulmane ou ne sera pas.
D'un autre côté, le manque d'initiative et de volonté du gouvernement pour défendre le peuple français par rapport aux diktats d'experts européens dont les décisions s'imposent même aux élus européens et aux gouvernements nationaux, au point que certains pays de l'Europe sont réduits à la misère, semble être la preuve que le gouvernement français est d'accord pour une dissolution des peuples dans un creuset culturel commun européen qui n'existe pas (à l'image du melting pot américain ?).
Ces quelques facteurs et l'impression que l'on nous verse une soupe où l'identité française, chrétienne, est considérée à la limite comme un facteur dévalorisant au point que l'Europe et le gouvernement français considère la vague de migrants comme une chance pour l'industrie, choque les français.
Des discours de politiques français et allemands certifiant que la vague migrante est une chance pour l'économie alors que le chômage frappe durement les français sont à l'image de nos élus, déconnectés du terrain.
Pas de travail, de moins en moins de protection sociale, une opposition de la société civile pointée comme réactionnaire en rapport à l'évolution nécessaire et souhaitée vers une mondialisation sans contraintes favorable uniquement à la finance internationale et aux multinationales, un monde où le seul intérêt du citoyen est de subir en silence.
Une mondialisation qui conduit à ce que les prérogatives des états s'estompent en faveur d'une Europe dont les prérogatives s'estomperont à leur tour dans les règles législatives imposées par l'accord de libre échange avec les Etats-Unis.
Bref, pour les français, l'insécurité est devenue générale et personne, à part les financiers n'en sont à l'abri.
Tenter de circonscrire l'intérêt des élections régionales à leur seul dimension locale par pur but électoraliste a été une nouvelle erreur du parti socialiste. Les électeurs qui se sont tournés vers le front national ont agi par ras-le-bol et en situant leur vote dans perspective nationale.
Désormais, appeler à une union de tous les partis dits "à gauche" sans faire de concessions sur les politiques tenues jusqu'à présent ne risque pas de mobiliser les abstentionnistes, 50%, dont pas mal de déçus comme votre serviteur.
Les partis dits "de gauche" qui décideront d'aller vers cette union ne feront que confirmer qu'ils ne sont que, au final, des faires valoirs d'un gouvernement "socialiste" qui applique une politique de droite dure qui ne tient pas compte de l'intérêt du citoyen et méprise le sentiment d'être français de ces mêmes citoyens qui au bout de la chaîne sont des électeurs.
Le président français a trop menti et ses différents gouvernements se sont dé-crédibilisés à tel point que le front national risque longtemps de rester le "premier parti politique de France".
A bon entendeur, salut !
René.
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