NORVEGE : Vaccinée de force avec le Gardasil
via les Moutons Enragés
Cela n’est même plus à prouver même si cela n’a pas été reconnu officiellement, nous en avons parlé sur ce blog à plusieurs reprises, le GARDASIL est potentiellement dangereux et ses effets secondaires peuvent être catastrophiques. Au Canada, il a été déclaré que ce vaccin était sécuritaire et qu’il présentait plus d’avantage que d’inconvénients, ce qui n’empêche pas que chaque année, le nombre de victimes de ce vaccin augmente, victimes non-reconnues bien évidement, il ne faudrait pas faire perdre de l’argent à ce laboratoire pharmaceutique! Mais cela pourrait changer d’ici peu, avec un peu d’espoir, il y a une bonne nouvelle dans le domaine comme vous pourrez le découvrir dans la suite de l’article.
NORVEGE : Vaccinée de force avec le GardasilPar la maman de Caroline Stine-Marie Buer Hasvold, 14 décembre 2015« Je n’ai jamais consenti à faire administrer le Gardasil à ma fille »Caroline est née en 2000, et elle a maintenant 15 ans. Ma fille est très sociable, pleine d’énergie. Elle fait du vélo, elle joue football avec ses amis. Elle a toujours eu bon appétit.La seule information que nous avons eue lorsque le vaccin Gardasil a été proposé était le fait qu’il pouvait causer des symptômes semblables à la grippe, mais qui n’étaient que temporaires comme c’est le cas pour les autres vaccins pour enfants.Malgré le fait que j’avais expressément pris la précaution d’écrire une note dans son journal de classe, précisant que si Caroline ne voulait pas recevoir le vaccin, on NE DEVAIT PAS le lui administrer, Caroline fut maintenue par une infirmière, tandis qu’une autre lui administrait le vaccin !Quelques jours plus tard, la moitié du visage de Caroline fut paralysé. Elle fut immédiatement admise à l’hôpital local où des tests furent effectués. Rien ne fut cependant décelé. Je leur ai expliqué que j’étais certaine que le Gardasil était la cause de ses problèmes, mais ils ne voulurent pas m’écouter.Ce fut le seul examen auquel Caroline fut soumise depuis l’administration du vaccin. Nous n’avons pas eu de suivi dans la suite parce que les médecins de l’hôpital n’arrêtaient pas de dire que ses problèmes étaient psychologiques. Ils soutenaient que les symptômes étaient apparus six mois après le décès de la grand-mère de Caroline. C’était donc la douleur que Caroline avait éprouvée au décès de sa grand-mère qui avait déclenché tous ses problèmes ! Faut-il dire que Caroline n’avait reçu que la première des trois injections recommandées.Aucun médecin n’a voulu écouter. Ils ont prétendu que Caroline a besoin d’une thérapie psychologique pour le chagrin qu’elle a éprouvé après le décès de sa grand-mère. Elle n’a donc plus passé de tests ou suivi quelque traitement que ce soit vu que ces thérapeutes ne voulaient pas nous croire.Aujourd’hui, elle souffre de douleurs dans tout le corps et ne demande qu’une seule chose : pouvoir dormir. Elle se sent tout le temps malade. Elle peut à peine faire l’une ou l’autre petite chose. Elle a des problèmes de mémoire, des palpitations cardiaques, des douleurs atroces au niveau thoracique, ainsi que des difficultés respiratoires. Elle souffre aussi de maux de tête et n’a guère d’appétit.Le seul fait de se rendre à la salle de bains la fatigue énormément. Ses jambes trop faibles lui rendent la marche ou le vélo quasiment impossible. La plupart du temps elle est clouée au lit.Elle va à l’école quand ses jambes le lui permettent. Quand elle est trop faible, je la conduis en voiture. A l’école, elle ne trouve guère de soutien et de compréhension. Ce printemps, elle a dû s’absenter plus de huit jours. Sa cote finale n’a été que de 2 ! En automne, elle a dû s’absenter 15 jours. Il lui faut beaucoup de temps pour étudier et faire ses devoirs parce qu’il lui est très difficile de se concentrer, vu qu’elle souffre constamment et se sent très fatiguée, à la fois mentalement et physiquement. Elle ne voit plus très bien d’un œil.Caroline s’accrochant à l’espoir !Caroline a été accusée par ses professeurs d’être paresseuse, ce qui ajoute à sa souffrance et est déchirant pour nous car nous savons à quel point elle souffre et quelles difficultés il lui faut surmonter. Si seulement ses professeurs pouvaient prendre conscience à quel point elle est malade pour pouvoir la comprendre un peu mieux.Certains parents nous disent que nous ne devrions pas parler des risques du Gardasil parce que ces personnes croient que le vaccin prévient le cancer du col de l’utérus. Mais nous avons appris que la preuve de cette protection contre le cancer du col de l’utérus ne sera disponible avant plusieurs années.L’infirmière qui a administré le vaccin à notre fille contre sa volonté est venue à la maison et nous a recontactés plusieurs fois. Elle nous a expliqué qu’elles étaient extrêmement inquiètes parce que nous pourrions effrayer d’autres parents et, en quelque sorte, les empêcher de faire le vaccin. Elle nous a aussi dit que nous NE DEVIONS PAS mentionner le vaccin quand nous évoquions les problèmes de santé de notre fille.Nous n’entendons guère parler de cas d’autres filles qui, en Norvège, auraient souffert après le Gardasil, mais il existe des milliers de rapports de cas semblables dans d’autres pays et nombre de ces cas présentent les mêmes symptômes que Caroline.Nous sommes très reconnaissants que l’histoire de Caroline soit en cours de publication pour que cette information puisse atteindre de nombreuses personnes et les avertir des dangers possibles de ce vaccin.Je commence à perdre espoir pour le futur de Caroline parce qu’elle devient de plus en plus malade. Il est possible que des infections dues au HPV entrainent le décès de certaines personnes, mais la chose est-elle certaine pour toutes ces personnes infectées ? Tout ce que je sais c’est que de loin j’aurais préféré voir ma fille profiter de son adolescence plutôt que de passer toutes ces années à me tracasser pour son futur.Je vous en supplie, ne permettez pas que vos enfants soient les cobayes d’un vaccin qui a déjà ruiné les vies de tant de personnes.Trouvé sur Alterinfo
Et comme annoncé, cela pourrait changer avec un peu d’espoir en France, une bonne nouvelle est tombée, un procès contre ce vaccin a commencé, enfin!
Le vaccin contre le cancer du col de l’utérus, préconisé en France pour les jeunes filles, est encore sur la sellette. Derniers démêlés.Le 22 novembre 2013, Marie-Océane Bourguignon, âgée alors de 17 ans, portait plainte avec son avocat bordelais, Me Jean-Christophe Coubris, contre le laboratoire Sanofi Pasteur MSD et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) pour « violation d’une obligation manifeste de sécurité et méconnaissance des principes de précaution et [de] prévention ». Au cœur de la procédure : le vaccin Gardasil, contre certains papillomavirus responsables du cancer du col de l’utérus. C’est après sa vaccination que Marie-Océane a développé une encéphalomyélite aiguë dissimulée.PublicitéEntre-temps, 35 autres plaintes sont déposées. Même cause, mêmes effets ou presque. Mais la justice ne l’entend pas de la même manière. « Le 26 octobre 2015, relate Me Coubris, le procureur de la République de Bobigny m’a fait savoir que toutes les plaintes étaient classées sans suite, au motif qu’aucune pathologie n’est scientifiquement reconnue comme ayant un lien avec le vaccin. »Un juge d’instruction
La famille Bourguignon, alors même que la jeune Marie-Océane est stabilisée physiquement, a décidé de poursuivre le combat contre ce vaccin. Me Coubris a déposé une plainte vendredi, avec constitution de partie civile, « pour atteinte involontaire à l’intégrité de la personne humaine », contre le directeur général des laboratoires Sanofi et le directeur général de l’ANSM. « Cette plainte permettra de désigner un juge d’instruction, qui ouvrira une enquête, reprend l’avocat de la jeune fille. Je vais pouvoir demander notamment que soient nommés des experts, qui auront pour mission d’apprécier la probité du vaccin et ses éventuels effets indésirables. »Depuis sa mise sur le marché, le Gardasil fait l’objet de nombreuses controverses. En France, il n’est pas obligatoire, mais très conseillé. En France, la vaccination est recommandée par le Haut Conseil de la santé publique chez les jeunes filles entre 11 et 14 ans, avec un rattrapage possible jusqu’à 19 ans.Le cancer du col de l’utérus est le 11e cancer en termes d’incidence chez la femme en France. Près de 3 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année dans le pays, et le nombre de décès liés à ce cancer est de 1 000 par an. L’ANSM a déclaré en septembre que les vaccins contre les infections à papillomavirus (HPV) n’entraînaient « pas d’augmentation du risque global de survenue de maladies auto-immunes ». Cela, suite à une étude avec l’Assurance-maladie menée sur plus de 2 millions d’adolescentes.Article en intégralité sur Sud-Ouest
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