MOSANTO, L'HISTOIRE
(source : Freewiseman.wordpress.com)
(source : Freewiseman.wordpress.com)
L’histoire complète de Monsanto, « La société la plus maléfique au monde »
De toutes les méga-sociétés folles furieuses, Monsanto a largement surpassé ses rivales, remportant le titre glorieux de la « société la plus maléfique sur Terre » !
Non contente de siéger simplement sur son trône de mort au sommet d’une montagne de cadavres, elle continue de mettre au point de nouveaux moyens scientifiquement innovateurs pour nuire à la planète et à ses habitants.
Non contente de siéger simplement sur son trône de mort au sommet d’une montagne de cadavres, elle continue de mettre au point de nouveaux moyens scientifiquement innovateurs pour nuire à la planète et à ses habitants.
Comme pour les vrais champions du mal, elles ne s’arrêteront pas avant…eh bien, qu’on les arrête ! Mais qu’est Monsanto et comment est-elle devenue si incroyablement maléfique ? Je pense que la meilleure manière de démarrer ce périple est de retourner vers les profonds et glauques égouts de son sinistre passé, alors munissez-vous d’un en-cas et de boissons sans OGM et allons-y.
1901 : La société est fondée par John Francis Queeny, membre des Chevaliers de Malte, avec derrière lui 30 ans d’expérience dans l’industrie pharmaceutique ; il épouse Olga Mendez Monsanto, dont le nom deviendra celui de la société, Monsanto Chemical Works. La société produit au début de la saccharine de synthèse, qui est vendue à Coca-Cola comme édulcorant artificiel.
Le gouvernement savait déjà que la saccharine était un poison et il lui fit un procès pour stopper sa fabrication mais le perdit en cour d’appel, ouvrant ainsi la Boîte de Pandore Monsanto qui commença à empoisonner le monde avec ce soda.
Le gouvernement savait déjà que la saccharine était un poison et il lui fit un procès pour stopper sa fabrication mais le perdit en cour d’appel, ouvrant ainsi la Boîte de Pandore Monsanto qui commença à empoisonner le monde avec ce soda.
Années 20 : Monsanto étend son activité aux produits chimiques industriels et aux médicaments, devenant le plus gros fabricant mondial d’aspirine, l’acide acétylsalicylique (toxique, bien sûr). C’est aussi l’époque où les choses commencent à se précipiter horriblement pour la planète avec l’introduction de leurs polychlorobiphéniles (les PCB).
« Les PCB étaient vus comme une merveille chimique par l’industrie, un liquide visqueux résistant aux fortes températures et à la dégradation et ayant des applications presque illimitées. Les PCB sont aujourd’hui considérés comme l’une des plus graves menaces chimiques pour la planète. Largement utilisés comme lubrifiants, fluides hydrauliques, huiles de coupe, revêtements imperméables et produits d’étanchéité, ce sont des carcinogènes potentiels et on les retrouve impliqués dans des maladies de la reproduction, de la croissance et du système immunitaire. Le centre mondial de fabrication des PCB était l’usine Monsanto aux abords de St Louis dans l’Illinois, qui possède le plus fort taux de morts fœtales et de naissances prématurées de l’état. »(1)
Bien que les PCB aient été finalement interdits après 50 ans de dégâts, ils existent toujours dans le sang et les cellules des animaux et de l’homme à travers le globe. Des documents présentés plus tard au tribunal ont montré que Monsanto était parfaitement conscient des effets meurtriers, mais l’a criminellement caché au public pour conserver le filon des PCB !
Années 30 : Création de sa première semence de maïs hybride et extension de la fabrication de détergents, savons, produits de nettoyage industriels, caoutchouc synthétique et plastiques. Oh oui, tous toxiques bien sûr !
Années 40 : Ils démarrent la recherche d’uranium, qui servira pour la première bombe atomique du Projet Manhattan, qui sera larguée ensuite sur Hiroshima et Nagasaki, tuant des centaines de milliers de japonais, coréens et militaires américains et en empoisonnant des millions d’autres.
La société poursuit sans relâche ses folies meurtrières en créant des pesticides pour l’agriculture qui contiennent la mortelle dioxine, source d’empoisonnement de la nourriture et des réservoirs d’eau. Il fut découvert ensuite que Monsanto avait omis de dévoiler que la dioxine était utilisée dans un large éventail de leurs produits, ils auraient sinon été obligés de reconnaître qu’elle avait créé un enfer écologique sur Terre.
Années 50 : S’alignant de près avec la Compagnie Walt Disney, Monsanto crée plusieurs attractions au Disney’s Tomorrowland (« le pays de demain »), qui exposent la gloire des produits chimiques et des plastiques. Leur « Maison du futur » est entièrement faite de plastique toxique non biodégradable comme ils l’avaient affirmé. Quoi ? Monsanto a menti ? J’en suis scandalisé !
« Après avoir attiré un total de 20 millions de visiteurs entre 1957 et 1967, Disney fit raser la maison, mais découvrit que ce ne serait pas sans mal. Selon le Monsanto Magazine, les boulets de démolition rebondissaient sur la fibre de verre et les matériaux en polyester armé. Chalumeaux, marteau-piqueurs, tronçonneuses et pelleteuses se montrèrent impuissants. On attacha finalement des élingues tractées pour décoller petit à petit des éléments de la maison qui seront évacués ensuite par camion. » (2)
Années 60 : Monsanto, avec son complice criminel, la société Dow Chemical, produit l’Agent Orange dont la dioxine est l’un des composants, qui sert à l’invasion américaine du Vietnam. Résultats ? Plus de 3 millions de personnes contaminées, mort d’un demi-million de civils vietnamiens, un demi-million de bébés vietnamiens qui naissent avec des malformations de naissance et des milliers de vétérans américains qui souffrent ou meurent encore aujourd’hui de ses effets !
Monsanto est de nouveau traîné en justice et des mémos internes révèlent qu’ils connaissaient les effets mortels de la dioxine de l’Agent Orange quand ils l’ont vendu au gouvernement. Bien que ce soit scandaleux, Monsanto est autorisé à présenter sa propre « recherche » qui concluait que la dioxine était inoffensive et ne présentait un quelconque risque de santé. Satisfait, le tribunal se rallie à Monsanto et classe l’affaire. Il apparaît plus tard que Monsanto a présenté des études mensongères et que la vraie recherche concluait que la dioxine tuait très efficacement.
Un autre mémo plus tardif publié dans un tribunal en 2002 admettait « que les preuves validant la persistance de ces composants et leur présence universelle en tant que résidus dansl’environnement sont incontestables…des pressions du public et juridiques pour les éliminer afin d’éviter une contamination mondiale sont inévitables. La question fait boule de neige. Où allons-nous à partir d’ici ? Les alternatives : mettre la clé sous la porte ; s’en débarrasser autant que possible et ne rien faire d’autre ; tenter de continuer l’activité ; avoir des produits alternatifs. » (3)
Monsanto devient partenaire de I.G. Farben, fabricant de l’aspirine Bayer et des produits chimiques d’Hitler qui ont exterminé des millions de gens durant la seconde guerre mondiale. Ensemble, les deux sociétés utilisent leurs compétences communes du génocide pour introduire un autre produit neurotoxique mortel, l’aspartame, dans l’alimentation. Quand des questions font surface concernant la toxicité de la saccharine, Monsanto exploite cette opportunité pour amener un autre de ses poisons mortels à un public peu méfiant.
Années 70 : Un partenaire de Monsanto, G.D.Searle, publie une centaine de fausses études internes qui déclarent que l’aspartame est inoffensif, alors que la propre recherche de la FDA [Food and Drug Administration, Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux] révèle clairement que l’aspartame entraîne des tumeurs et de grands trous dans le cerveau des rats, avant de les tuer. La FDA commande une enquête chez G.D. Searle pour « avoir sciemment dénaturé des études, avoir caché les faits matériels et fait de fausses déclarations » concernant la sécurité de l’aspartame.
Searle, pendant ce temps, désigne stratégiquement un initié haut placé de Washington, Donald Rumsfeld, qui servit comme secrétaire de la défense durant les présidences de Gerald Ford et George W. Bush, pour qu’il devienne PDG. Le but premier de la société est que Rumsfeld utilise son influence politique et sa vaste expérience des affaires pour mettre la FDA dans sa poche.
Quelques mois plus tard, Samuel Skinner reçoit « une offre qu’il ne peut refuser« , se retire de l’enquête et démissionne de son poste d’avocat pour aller travailler comme juriste chez Searle. Cette tactique mafieuse retarde le procès assez longtemps pour que la prescription soit prononcée et que l’enquête soit abandonnée abruptement et commodément.
Années 80 : Au beau milieu des recherches incontestables révélant les effets toxiques de l’aspartame et alors que le Dr Jere Goyan, commissaire à la FDA, était sur le point de signer une pétition pour l’interdire légalement sur le marché, Donald Rumsfeld téléphone à Ronald Reagan le lendemain de son entrée en fonction pour obtenir une faveur. Reagan vire ce Goyan peu coopératif et nomme le Dr Arthur Hayes Hull directeur de la FDA, qui va faire rapidement pencher la balance en faveur de Searle et le NutraSweet est approuvé pour la consommation humaine dans les produits secs. La suite est tristement ironique, car Reagan, connu pour son goût des bonbons et sucreries souffrira ensuite d’Alzheimer durant son second mandat, l’un des nombreux et horribles effets de la consommation d’aspartame.
Le but réel de Searle était cependant de voir l’aspartame approuvé comme édulcorant des sodas car des études exhaustives révélaient qu’à des températures dépassant 30°C, il « se décompose en toxines nommées Diketopiperazines, alcool méthylique et formaldéhyde« , devenant bien plus léthal que sous sa forme en poudre !
L’Association Nationale des Buveurs de Soda proteste violemment au départ, craignant de futures poursuites judiciaires des consommateurs malades chroniques ou tués en buvant le poison. Quand Searle peut démontrer que l’aspartame liquide, bien qu’incroyablement létal, entraîne une addiction beaucoup plus importante que la cocaïne, l’association est convaincue que les profits de la vente de sodas contenant de l’aspartame qui grimpent en flèche compenseraient toute responsabilité dans l’avenir. Avec ça, la cupidité est gagnante et les consommateurs de soda peu méfiants le paient de leur santé.
Coca-Cola est de nouveau le premier sur les rangs (vous vous souvenez de la saccharine?) et commence dès 1983 à empoisonner les buveurs de Coca Light avec l’aspartame. Comme prévu, les ventes s’envolent car les gens deviennent éperdument accro au doux poison en canette et tombent malades. Le reste de l’industrie des sodas, satisfaite de ce qu’elle voit emboîte rapidement le pas, oubliant fort à propos toute ses réticences du début pour l’aspartame comme produit chimique mortel. Il y a de l’argent à gagner, beaucoup d’argent et c’est tout ce qui compte vraiment pour eux de toutes façons !
En 1985, sans s’émouvoir outre mesure des relents de corruption et des multiples accusations de recherche frauduleuse réalisée par Searle, Monsanto achète la société et installe une nouvelle filiale pour l’aspartame qu’il nomme NutraSweet Company. Quand des multitudes de scientifiques et de chercheurs indépendants continuent d’avertir sur les effets toxiques de l’aspartame, Monsanto passe à l’offensive, soudoie l’Institut National du Cancer et fournit ses propres études personnelles frauduleuses pour que l’Institut confirme que le formaldéhyde ne provoque pas de cancer, de façon à garder l’aspartame sur le marché.
Les effets connus de l’ingestion d’aspartame sont : « manie, rage, violence, cécité, douleurs articulaires, fatigue, prise de poids, angine de poitrine, coma, insomnie, torpeur, dépression, acouphènes, faiblesse, spasmes, irritabilité, nausées, surdité, pertes de mémoire, éruptions cutanées, vertiges, maux de tête, AVC, anxiété, palpitations, évanouissement, crampes, diarrhée, panique, inflammation buccale. Les maladies déclenchées comprennent le diabète, la sclérose en plaques, le lupus, l’épilepsie, le Parkinson, les tumeurs, les fausses couches, la stérilité, la fibromyalgie, la mort du nourrisson, l’Alzheimer… » Source : FDA (5)
De plus, 80 % des plaintes faites à la FDA sur les additifs concernent l’aspartame, qui se retrouve aujourd’hui dans plus de 5000 produits dont les sodas light et non-light et les boissons pour sportifs, les gommes à mâcher, les desserts glacés, les cookies, les gâteaux, les vitamines, les boissons lactées, les thés instantanés, les cafés, yogourts, aliments pour bébés et de très nombreux autres ! Lisez les étiquettes de près et n’achetez pas tout ce qui contient de cet horrible tueur !
Avec toutes ces morts et maladies, le comparse de la FDA, Arthur Hull, démissionne en butte à la corruption et il est immédiatement embauché par le cabinet des relations publiques de Searle en tant que consultant scientifique expert. Non, ce n’est pas une plaisanterie ! Monsanto, la FDA et de nombreuses agences de régulation de santé gouvernementales sont les mêmes personnes ! Il semble que la seule condition préalable pour devenir commissaire de la FDA est d’avoir passé du temps soit à Monsanto soit dans l’un des cartels pharmaceutiques du crime organisé.
Années 90 : Monsanto dépense des millions pour mettre en échec la législation nationale et fédérale qui refuse à la société du Mal de continuer à déverser de la dioxine, des pesticides et autres poisons cancérigènes dans les réseaux d’approvisionnement en eau potable. Quoi qu’il en soit, ils vont au tribunal d’innombrables fois pour avoir rendu malades des ouvriers d’usine, les habitants des zones environnantes et entraîné des malformations congénitales chez les bébés.
Avec leurs coffres remplis des milliards de bénéfices, débourser 100 millions de dollars de dommages et intérêts n’est pas cher payé pour faire des affaires et grâce à la FDA, au Congrès et à la Maison Blanche, les affaires restent très bonnes. Si bonnes que Monsanto est poursuivi en justice pour avoir donné du fer radioactif à 829 femmes enceintes lors d’une étude pour voir ce qui se passerait.
En 1994, la FDA criminellement approuve encore une fois la toute dernière monstruosité de Monsanto, l’hormone de croissance bovine synthétique [qu’on injecte aux vaches pour augmenter leur production de lait], produite à partir de bactéries E. Coli génétiquement modifiées, malgré une communauté scientifique manifestement scandalisée par ses dangers. Bien sûr, Monsanto prétend que du lait rempli de pus, bourré d’antibiotiques et d’hormones est non seulement sain, mais en fait bon pour nous !
Encore pire, les exploitations laitières qui refusent d’utiliser ce pus toxique pour leurs vaches et étiquettent leurs produits comme « sans hormone de croissance » font l’objet de poursuites judiciaires par Monsanto, affirmant que c’est une concurrence déloyale par rapport aux rivaux qui l’utilisent. Ce que dit Monsanto en essence, c’est « Ouais, nous savons que l’hormone de croissance rend les gens malades mais ce n’est pas correct d’avertir qu’elle ne se trouve pas dans vos produits« .
L’année suivante, la diabolique compagnie commence à fabriquer des céréales génétiquement modifiées tolérantes à leur herbicide toxique, le Roundup. De l’huile de colza, des graines de soja, du maïs et du coton BT, tous Roundup Ready, commencent à envahir le marché, annoncés comme étant des alternatives plus saines à leur concurrents biologiques sans OGM. La propagande a apparemment fonctionné car aujourd’hui plus de 80 % du colza du marché provient de leur variété d’OGM.
L’année suivante, la diabolique compagnie commence à fabriquer des céréales génétiquement modifiées tolérantes à leur herbicide toxique, le Roundup. De l’huile de colza, des graines de soja, du maïs et du coton BT, tous Roundup Ready, commencent à envahir le marché, annoncés comme étant des alternatives plus saines à leur concurrents biologiques sans OGM. La propagande a apparemment fonctionné car aujourd’hui plus de 80 % du colza du marché provient de leur variété d’OGM.
Les quelques produits OGM que vous devez définitivement éviter dans votre alimentation sont le soja, le maïs, le blé et l’huile de colza, bien que plusieurs experts en santé « naturelle » prétendent que cette dernière soit une huile bonne pour la santé. Avec ses OGM, ce n’est pas le cas, mais vous la trouverez polluant de nombreux produits dans les rayons des épiceries.
Comme ces céréales GM ont été créées pour « s’auto-polliniser« , elles n’ont pas besoin de la nature ou des abeilles. C’est comme d’avoir un rapport sexuel avec vous-même pour faire un bébé. Oui, Monsanto veut gâcher aussi ce plaisir. Mais toute plaisanterie à part, il existe un très sombre agenda à ce sujet et c’est d’exterminer mondialement la population d’abeilles.
Monsanto sait que les oiseaux et surtout les abeilles perturbent leur monopole par leur capacité à polliniser les plantes, créant ainsi naturellement des aliments en dehors de l’agenda de domination totale de la compagnie. Quand les abeilles tentent de polliniser une plante ou une fleur GM, elle s’empoisonne et meurt. En fait l’effondrement des colonies d’abeilles est attesté et se produit depuis l’introduction des céréales GM.
Pour contrer les accusations selon lesquelles ils auraient délibérément généré ce génocide en cours des abeilles, Monsanto rachète diaboliquement Beeologics, la plus grande firme de recherches sur les abeilles qui se consacrait à l’étude du phénomène d’effondrement des colonies et dont les recherches fouillées accusaient le monstre comme étant le premier coupable ! Et ensuite leur discours devient, « les abeilles, quelles abeilles ? Tout va pour le mieux ! » De nouveau je n’invente pas, à mon grand regret !
Au milieu des années 90, ils décident de redorer leur société maléfique en se spécialisant dans le contrôle de l’approvisionnement mondial de nourriture par des moyens artificiels biotechnologiques pour empêcher la poule aux œufs d’or, le Roundup, de perdre des parts de marché face à des herbicides compétitifs moins toxiques. Vous voyez, le Roundup est si toxique qu’il extermine les céréales sans OGM, les insectes, les animaux, la santé humaine et l’environnemen tout à la fois. Vraiment très efficace ! [Lire à ce sujet cet article sur les études du Pr Séralini]
Comme les cultures Roundup Ready sont conçues pour être de toxiques pesticides se faisant passer pour des aliments, elles ont été bannies de l’Union Européenne, mais pas en Amérique ! Existe-t-il un quelconque lien entre cela et le fait que les américains, malgré le coût élevé des soins de santé et les difficultés pour y accéder, sont collectivement les gens les plus malades dans le monde ? Bien sûr que non !
Tel était le plan de Monsanto depuis le début, toutes les céréales ne venant pas de chez eux seraient détruites, obligeant les agriculteurs à n’utiliser que ses semences terminator. Et Monsanto s’est assuré que les agriculteurs qui refusaient d’entrer dans le circuit soient expulsés ou poursuivis en justice quand les graines terminator apportées par le vent empoisonnaient les terres cultivées en biologie.
Ce qui a donné à la société un monopole virtuel car les semences terminator et le Roundup travaillent en collaboration et les cultures OGM ne peuvent survivre dans un environnement non-chimique, obligeant les agriculteurs à acheter les deux.
L’étape suivante était de dépenser des milliards pour racheter mondialement autant de compagnies semencières que possible et les transformer en sociétés vendant des semences terminator dans le but d’éliminer les concurrents et de supprimer les aliments biologiques de la face de la terre. Selon Monsanto, toute l’alimentation doit être sous leur total contrôle et génétiquement modifiée, sinon elle n’est pas comestible !
Ils font semblant d’être choqués par les critiques de la communauté scientifique remettant en question le fait que des céréales génétiquement modifiées à base de gènes d’animaux malades, (porcs, vaches, araignées, singes, poissons), et de vaccins et virus soient sains à consommer. La réponse à cette question est manifestement un très grand « jamais de la vie ! »
On pourrait penser que la société est si fière de ses aliments GM qu’elle en sert à ses employés, mais ce n’est pas le cas. En fait, Monsanto a interdit de servir des aliments GM dans les cafétérias de ses propres employés. Réponse peu convaincante de Monsanto « Nous laissons la liberté de choix« . Il faut entendre, « nous ne voulons pas tuer notre personnel ».
C’est tout à fait d’accord par contre de forcer les nations pauvres et les américains à consommer ces monstruosités modifiées comme moyen de mettre fin à la famine, il est sûr que les morts n’ont pas besoin de manger ! Je parie que dans l’esprit de la plupart des gens actuellement, Monsanto s’oriente clairement vers un eugénisme et un génocide, et pas de fournir des aliments qui nourrissent le monde. Comme dans la Belle au Bois Dormant de son coéquipier Disney, la méchante sorcière donne aux gens la pomme GM qui les fait dormir éternellement !
Années 2000 : Monsanto contrôle désormais la plus grande part du marché mondial des OGM. Le gouvernement américain dépense de son côté des millions pour financer l’épandage aérien du Roundup, entraînant une dévastation environnementale massive. Poissons et animaux meurent par milliers les jours suivant les épandages pendant que le taux de maladies respiratoires et de morts par cancer flambe. Mais tout ceci n’étant considéré que comme une coïncidence exceptionnelle, les épandages se poursuivent donc. Si vous pensiez que la FDA et Monsanto sont les mêmes personnes, vous pouvez maintenant ajouter le gouvernement à cette liste déplorable.
Le monstre continue à grossir : Monsanto fusionne avec Pharmacia & Upjohn, puis les sépare de son entreprise de chimie et se requalifie société agricole. Oui, c’est exact, une entreprise de produits chimiques dont les composants ont dévasté l’environnement, tué des millions de gens et la vie sauvage pendant des années veut nous faire croire aujourd’hui qu’elle produit des aliments sains et nutritifs qui ne décimeront plus les gens. C’est extrêmement difficile à vendre, c’est pourquoi ils continuent à grossir par le biais de fusions et de partenariats secrets.
DuPont étant une corporation trop importante pour permettre une fusion, ils forment à la place un partenariat discret où chacun est d’accord pour laisser tomber les actions mutuelles en justice et commencer à partager les technologies d’OGM pour un bénéfice mutuel. Pour dire les choses simplement, ensemble ils seraient trop puissants et trop liés politiquement pour que rien ne les empêche de posséder un monopole virtuel sur l’agriculture ; « contrôlez la nourriture & vous contrôlez les peuples ! »
Tout n’est pas rose quand même, car le monstre est régulièrement condamné à des amendes de 100 millions de dollars pour avoir causé des maladies, des malformations chez les enfants et des morts en déversant illégalement tout leur PCB dans les nappes phréatiques et en mentant continuellement sur la sécurité de ses produits – la routine, quoi, en quelque sorte.
Le monstre s’acharne souvent et s’avère résistant à abattre, car il commence à déposer defutiles plaintes contre les agriculteurs qu’ils accusent de violer les brevets des semences terminator. Virtuellement dans tous les cas, des semences non voulues sont emportées par le vent sur les terres des agriculteurs par les exploitations voisines où sont semées des graines terminator. Non seulement ces terribles graines détruisent les cultures des agriculteurs, mais les procès les mènent à la faillite, pendant que la Cour suprême annule en première instance les règlements et se rallie à chaque fois à Monsanto.
Le monstre commence en même temps à faire déposer des brevets pour des techniques d’élevage de porcs, affirmant que des animaux élevés plus ou moins selon leurs brevets leur en donnerait la possession. Ce dépôt de brevet est si vague qu’il est devenu évident qu’ils voulaient prétendre que tous les porcs élevés dans le monde enfreindraient leur brevet.
Le terrorisme mondial s’étend à l’Inde, avec plus de 100.000 agriculteurs qui sont en faillite à cause de mauvaises récoltes, avec certains qui se suicident en buvant du Roundup pour que leurs familles puissent toucher une assurance-vie. Le monstre répond en tirant parti de la situation, en alertant les médias sur un nouveau projet d’assistance aux petits agriculteurs indiens qui consiste à offrir les choses-mêmes qui ont entraîné au départ des récoltes ratées dans le pays ! Le média Forbes nomme ensuite Monsanto « société de l’année ». Ignoble, mais vrai.
Encore plus inquiétant est que Whole Foods [chaîne de distribution de produits], une corporation qui se qualifie comme biologique, naturelle et écologique, s’avère tout sauf cela. Ils refusent de soutenir la proposition 37, mesure d’étiquetage des OGM en Californie que Monsanto et ses copains OGM ont finalement aidé à mettre en échec.
Pourquoi ? Parce que Whole Foods a « couché » longtemps avec Monsanto, garnissant secrètement ses rayons de cochonneries hors de prix, bourrées de pesticides, d’hormones de croissance bovine, et d’antibiotiques, qu’une publicité mensongère nommait « naturelles et biologiques ». Ils refusent donc bien sûr l’étiquetage obligatoire qui les feraient paraître comme « Whole Frauds » et « Whore Foods » [jeu de mots intraduisible, frauds signifiant mensonges et whore, putains, NdT], ce qu’ils sont en réalité !
Quand cependant plus de 20 compagnies biotechnologiques dont WalMart, Pepsico et ConAgra ont rencontré la FDA dans l’optique de lois d’étiquetage obligatoire, ceci après avoir combattu becs et ongles pour mettre la Proposition 37 en échec, Whole Foods voit une opportunité de sauver la face en devenant la première chaîne d’épicerie à annoncer un étiquetage obligatoire de leurs OGM…en 2018 ! Merci quand même. Putains.
Et si on pense que ses confrères se sont soudainement achetés une conscience, réfléchissez à deux fois. Ils réagissent simplement au tollé public pour la mise en échec de la Proposition 37 en fabricant des lois trompeuses sur l’étiquetage des OGM pour contourner un changement réel, conservant ainsi un statu quo intact.
S’ajoutant au massacre mondial, Monsanto et ses partenaires criminels, Archer Daniels Midland, Sodexo et Tyson Foods écrivent et sponsorisent la Loi sur la Modernisation de la Sécurité Alimentaire : HR 875. Cette « loi » criminelle donne à l’agriculture industrielle un monopole virtuel pour surveiller et contrôler toute la culture alimentaire partout, y compris dans les potagers privés, et délivrer de sévères pénalités et peines de prison pour ceux qui n’utilisent pas de produits chimiques et d’engrais. Le président Obama a décidé que cela semblait raisonnable et a donné son approbation.
Avec cette loi, Monsanto proclame que seuls les aliments GM sont sains et biologiques et que les plantes des potagers répandant potentiellement des maladies, ils doivent donc disparaître pour la sécurité du monde. Si manger les saloperies de pesticides GM est leur vision d’une alimentation saine, j’aimerais penser que le reste du monde est assez intelligent pour s’en passer.
Comme d’autres révélations sont tombées concernant ces réelles intentions du géant maléfique, Monsanto a concocté une loi ridicule, la HR 933, qu’Obama a signé machinalement en la faisant voter aussi. Cette loi déclare que quelle que soit la nocivité des cultures OGM de Monsanto et l’étendue des dévastations qu’elles infligent au pays, les tribunaux fédéraux américains ne peuvent empêcher nulle part la poursuite de leurs cultures quel que soit l’endroit choisi. Oui, Obama a signé une clause qui met Monsanto au-dessus des lois et les rend encore plus puissants que le gouvernement lui-même. On peut se poser la question de savoir qui est vraiment en charge du pays parce que ce n’est certainement pas le gouvernement !
Puis arrive pourtant un point critique quand une corporation devient trop maléfique et qu’elle engendre une réaction ferme ! De nombreux pays continuent de faire des procès à Monsanto pour crimes contre l’humanité et a totalement interdit leurs produits, les invitant à « dégager et rester dehors ! »
Le monde a commencé à prendre conscience que le monstre ne veut pas simplement un contrôle de la production mondiale au nom du profit. Non, il devient clair qu’après plus d’un siècle de mort et de destruction le but premier est de détruire la santé de l’humanité et de l’environnement, transformant le monde en un enfer sur terre mon-satanique !
Une recherche sur le nom lui-même révèle une origine latine, ce qui signifie « mon saint », ce qui peut expliquer pourquoi les critiques en parlent comme de « Mon Satan ». Une version conspirationniste intéressante est que les franc-maçons et autres sociétés ésotériques ont attribué des nombres à chaque lettre de notre système d’alphabet basé sur le latin. Avec ce système numérologique, que donne Monsanto ? Mais voyons, 6-6-6, bien sûr !
Sachez que tout n’est pas perdu. Le mal perd toujours à la fin une fois qu’il est exposé à la lumière de la vérité comme cela se passe maintenant. Le fait que le gouvernement mené par le bout du nez par Monsanto trouve nécessaire de promulguer une législation désespérée pour protéger celui qui le dirige réellement prouve ce point. Chassé de partout ailleurs, les États-Unis sont la dernière place de Monsanto, façon de parler.
Même ici nombreux sont pourtant ceux qui ont commencé à riposter en manifestant et en rejetant les monstruosité OGM, choisissant de faire pousser leur nourriture et d’acheter aux paysans locaux plutôt que dans les chaînes d’épicerie commanditées par Monsanto.
Les gens qui s’éveillent commencent aussi à se rendre compte qu’ils ont été trompés par des arnaqueurs et que les criminels du gouvernement fédéral ont été pervertis par trop de pouvoir, la mainmise et la cupidité, ce qui a engendré la création d’une bête monstrueuse incontrôlable.
Et comme les gens votent contre en choisissant de ne pas acheter les poisons OGM, les branches de Monsatan sont peu à peu, lentement mais sûrement, tranchées, jusqu’à donner le dernier coup d’épée en plein dans son cœur de noirceur. C’est ce qui mettra fin pour de bon à son règne de terreur !
Références:
(1,3) http://bestmeal.info/monsanto/company-history.shtml(2) http://www.sourcewatch.org/index.php/Monsanto(4,5) http://www.pfnh.org/article.php?id=65
Article original en anglais: Waking Times
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire