mardi 19 mai 2015

(blog à finir et à corriger)

Aujourd'hui, on commence fort mes cinq chers lecteurs !

(Source ; France Culture

Le grand marché transatlantique Syndiquer le contenu

« Quelque chose doit remplacer les gouvernements, 

et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate 

pour le faire. » 

Ces mots confiés par David Rockefeller au magazine américain Newsweek, le 1 février 1999, fournissent la clé pour comprendre ce qui se passe depuis une trentaine d’années et qu’on appelle « mondialisation néolibérale ».  Déléguer au secteur privé la maîtrise des choix ou, pour l’exprimer à la manière pudique de journaux comme Le Monde ou Les Echos, « redéfinir le périmètre de l’Etat », c’est l’objectif du patronat et des milieux financiers.
Cet objectif, est en passe d’être atteint avec le projet intitulé « Partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement ».  Derrière les termes anodins pour désigner un accord classique de libre-échange se cache un projet d’une ampleur radicalement différente.
En effet, le 14 juin 2013, les gouvernements de l’Union européenne, ont demandé à la Commission européenne de négocier avec les Etats-Unis la création d’un grand marché transatlantique. Confier aux firmes privées la possibilité de décider des normes sociales, sanitaires, alimentaires, environnementales, culturelles et techniques, c’est désormais l’objectif des firmes transnationales et des gouvernements d’Europe et des USA dont ils sont l’instrument politique.
C’est ce que révèle ce livre qui décrypte les 46 articles du mandat de négociation confié par les 28 gouvernements de l’UE à la Commission européenne. Un mandat dont le texte officiel, frappé du sceau du secret, n’existe qu’en anglais.
(sOurce : mediapart)

ET SI LES FIRMES PRENAIENT LE POUVOIR ?

 |  PAR RAOUL MARC JENNAR
Entretien publié dans le numéro 417 de novembre 2013 de la revue Silence (http://www.revuesilence.net)
. 1 - L'Union européenne et les Etats-Unis discutent actuellement d'un Partenariat transatlantique pour le commerce et l'investissement (PTCI ou TTIP en anglais).  Cet accord vise à la "suppression des barrières non-tarifaires" au commerce. Qu'est-ce qui est visé par cela ? Quel rapport avec l'OMC ?
Dans le jargon, on désigne par « barrières non-tarifaires », les dispositions constitutionnelles, les législations, les réglementations, les normes sociales, sanitaires, phytosanitaires, alimentaires, environnementales ou techniques qui sont jugées par les entreprises étrangères comme des mesures visant à protéger le marché intérieur contre la concurrence extérieure et qui limitent l’accès des marchandises, des investissements, des services ainsi que l’accès aux marchés publics nationaux, régionaux ou locaux. L’objectif de tout accord de libre échange entre des Etats, c’est d’obtenir l’alignement sur la norme la plus basse, voire la suppression de toute norme.  Mais on se trouve en présence d’un projet qui va bien au-delà d’un accord de libre échange. Il s’agit d’appliquer les accords de l’OMC et même d’aller au-delà, comme c’est expressément formulé dans le mandat de négociation confié à la Commission européenne par les Gouvernements : Art. 3 : « L’Accord prévoit la libéralisation réciproque du commerce des biens et des services ainsi que des règles sur les matières ayant un rapport avec le commerce avec un haut niveau d’ambition d’aller au-delà des engagements actuels de l’OMC. »
• 2 - Selon des documents rendus publics par des députés Verts et Gauche unitaire, une nouvelle fois, le risque est que le commerce puisse passer outre les lois de protections sociales ou environnementales. Jusqu'où cela peut-il aller ?
Le mot commerce est un paravent qui cache une réalité bien plus grave. Non seulement, on veut créer la possibilité de remettre en questions les normes sociales, environnementales, alimentaires et sanitaires en vigueur chez nous ; non seulement on veut soumettre à la concurrence toutes les activités de services et donc marchandiser la sécurité sociale, la santé, l’éducation et d’autres activités de services déjà mises à mal par les politiques européennes (eau, gaz, électricité, transports), mais l’intention est de soumettre les Etats à un mécanisme d’arbitrage devant lequel les firmes privées pourront agir contre ces normes. Ce qui se prépare, c’est rien moins que le transfert de la définition de la norme au secteur privé. C’est une véritable révolution conservatrice dont nos gouvernements se font les complices tout à fait conscients, si j’en juge par les propos d’une conseillère de notre ministre du Commerce qui écrit qu’il faut « prendre acte de la tendance à la délégation de la règle au privé » Ce qui est en train de s’accomplir, c’est le rêve de David Rockefeller qui déclarait en février 1999 à Newsweek : « Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l'entité adéquate pour le faire. » 
Ceci peut paraître énorme pour des Européens peu familiers des négociations au sein de l’OMC. D’ailleurs, il y a dix ans, lorsque je présentais ces négociations, en particulier l’accord général sur le commerce des services (AGCS) avec son complément sur la libéralisation des services financiers, le plus souvent on me traitait d’alarmiste. « C’est trop gros ; cela ne se fera jamais », voilà ce qu’on m’objectait alors. Mais les politiques de démantèlement du droit du travail et des services publics, de dérégulations massives, de mise en concurrence de tous contre tous, voulues par nos gouvernements et confiées à la Commission européenne, s’inscrivent toutes dans le cadre des accords de l’OMC. On en voit aujourd’hui les effets.
Face à cet abandon par nos gouvernements successifs de tout ce qui a été construit dans les domaines de la démocratie, du social, du sanitaire, de l’environnemental, il est impératif de s’insurger. Sinon, nous passerons sous le joug d’un nouveau principe : « tous les pouvoirs émanent des firmes privées ».
 3 - Qui décide de lancer ce genre de négociations et quels sont les processus démocratiques qui peuvent permettre de s'y opposer ?
 Ce sont les gouvernements. En l’occurrence, celui des USA d’une part et, d’autre part, les gouvernements de l’UE, dont le nôtre, qui ont décidé, le 14 juin, l’ouverture des négociations. Aucun parlement national n’a été consulté. L’opposition à ce projet, par les voies institutionnelles, ne peut se faire qu’au moment de la ratification. Les Parlements nationaux et le Parlement européen pourront dire oui ou non au texte que l’UE et les USA auront signé.
Avant cette signature, la Commission européenne, négociateur unique, devra soumettre le résultat de la négociation aux Etats membres qui donneront ou non le feu vert pour signer.  Il y a donc une responsabilité première des gouvernements, tenus informés des étapes de la négociation.
En dehors de cette approche institutionnelle, il y a la mobilisation populaire. Elle a fonctionné en 1997-1998 contre le projet d’Accord Multilatéral sur l’Investissement (AMI, qu’on retrouve intégralement dans la négociation actuelle). Elle s’impose aujourd’hui. Car, une fois connue l’ampleur de ce qui est en négociation, il deviendra quasiment impossible pour le gouvernement de justifier cet abandon de la souveraineté populaire aux firmes privées.
(Entretien avec Raoul Marc Jennar par Michel Bernard)

Tout ceci, mes chers lecteurs est d'une logique infernale, parce que posez-vous la question qui aujourd'hui n'est pas le VRP (voyageur représentant placier) des multinationales et de la finance ?
Réponse : Tout le monde !
Les docteurs et les psychiatres qui sont devenus des officines pour vendre les produits de l'industrie pharmaceutiques, font des conférences et des articles payés par les mêmes, font des voyages de loisirs camouflés en congrès financés par les mêmes et tirent de multiples avantages de cette relation qui au final détruit la santé de leurs patients.
Les experts des différentes organisations gouvernementales ou internationales dont les propositions de lois ou de modifications des réglementations sont souvent écrit à la virgule par la bureaucratie des multinationales ou de la finance et qui se retrouvent à des postes importants dans ces mêmes organismes privés, sans compter des avantages en cours de carrière.
Les politiques, notamment américain qui mendient des subsides du monde industriels et financiers en échange de leurs âmes.
Et, au final, les présidents de nos républiques, Europe-USA qui en fin de carrière font des conférences très généreusement payées par ceux à qui ils ont rendu service en cours de mandat.

(source : ICI radio-Canada.ca)

Le couple Clinton a gagné 25 millions de dollars pour des discours

Mise à jour le vendredi 15 mai 2015 à 21 h 48 HAE
Hillary et Bill ClintonHillary et Bill Clinton  Photo :  GI/Getty Images/Steve Pope
L'ancienne secrétaire d'État des États-Unis, Hillary Rodham Clinton, et son mari, l'ancien président Bill Clinton disent avoir obtenu plus de 25 millions de dollars américains pour avoir prononcé plus d'une centaine de discours dans des conférences entre janvier 2014 et mai 2015.
Lui, par exemple, Clinton, c'est à Wall Street qu'il 
a rendu le plus de services. 

Alors, quand sa femme dans le cadre de sa campagne électorale critique wall street, elle se fout de la "gueule" des américains ! 

(source : Mondialisation.ca)
(...) "2- En deuxième lieu, considérons l’abrogation de la loi américaine dite « Glass-Steagall », en 1999, par le gouvernement Clinton.
Dans les années 90, en effet, les plus grandes banques américaines lancèrent, au coût de 300 millions de dollars, une campagne publique afin de faire abroger la loi bancaire dite Glass-Steagall, en place depuis la Grande Dépression des années 30. Cette importante loi, laquelle datait de 1933, servait de rempart contre la spéculation financière, en empêchant les grandes banques de spéculer avec l’argent des dépôts bancaires assurés par l’État. Plus précisément, elle rendait illégale toute amalgamation entre des banques d’affaires spécialisées dans les souscriptions risquées de valeurs mobilières et des banques commerciales habilitées à recevoir du public des dépôts assurés.
C’était, cependant, sans compter sur l’influence de grands banquiers, dont certains occupaient des postes stratégiques dans l’administration de Bill Clinton, tel Robert Rubin, ministre des finances (1995-1999) et un ancien co-président (1990-1992) de la grande banque d’affaires américaine Goldman Sachs. Ceux-ci prétendaient que les choses avaient beaucoup changé depuis la Grande Dépression et que les limites imposées par la loi Glass-Steagall sur leurs activités bancaires les empêchaient de créer et de vendre aux investisseurs de nouveaux produits bancaires, non seulement aux États-Unis mais partout dans le monde, et que cela nuisait à leur compétitivité à l’échelle internationale.
Au début, le gouvernement Clinton se montra réfractaire à l’idée de mettre la hache dans une loi qui avait empêché un retour aux abus bancaires d’avant la Grande Dépression et qui avait si bien servi l’économie américaine pendant si longtemps. Cependant, d’énormes pressions politiques s’exercèrent sur le gouvernement américain du temps, venant tant de l’intérieur que de l’extérieur du gouvernement, de sorte que le président Bill Clinton opposa finalement sa signature, le 12 novembre 1999, afin de modifier la loi Glass-Steagall. Il le fit en ratifiant une nouvelle loi bancaire américaine, baptisée « loi Gramm-Leach Bliley », des noms du président de la commission bancaire sénatoriale Phil Gramm (R-Texas), du président du Comité bancaire de la Chambre des Représentants James Leach (R-Iowa), et du Représentant Thomas Bliley (R) de la Virginie.
La nouvelle législation bancaire américaine permettait aux banques commerciales, aux banques d’affaires, aux sociétés de valeurs mobilières et aux compagnies d’assurance de se fusionner, mais sans accorder à l’organisme de réglementation, la ‘Security and Exchange Commission’ (SEC), ou à tout autre organisme de réglementation financière d’ailleurs, le pouvoir de réglementer les nouveaux conglomérats bancaires.
Les super grandes banques et les grandes sociétés d’assurance ne perdirent guère de temps à tirer profit de la nouvelle dérèglementation. Des « chaînes financières à la Ponzi » apparurent, comme elles étaient apparues dans le passé, et comme on était en droit de s’attendre qu’elles réapparaissent.
C’est ainsi que les nouveaux géants bancaires « innovèrent » avec de nouveaux produits financiers dits « dérivés », lesquels se sont avérés être très toxiques et sont devenus une cause sous jacente importante de la crise financière des « subprimes » de 2007-09.
Ce que nous savons, par ailleurs, c’est que la crise financière de 2007-2008 a entraîné des pertes de revenu et de patrimoine qui se sont chiffrés dans les billions de dollars pour les familles américaines, et elle a forcé le gouvernement américain à subventionner à coup de centaines de milliards de dollars les super grandes banques, afin de les empêcher de faire faillite. Il en ait résulté un énorme transfert de richesse de la population en général vers le secteur bancaire, en plus d’affaiblir l’économie américaine pour des années à venir."(...)

Alors, ne croyez-vous pas, mes chers lecteurs, que la dernière phase, puisqu'aux Etats-Unis, tous les fonctionnaires du département d'état et des ministères viennent de la finance ou des multinationales et les élus ne sont plus que leur chambre d'écho, ne soit la prise de pouvoir ?
Rassurez-vous, ils vous laisseront des élections soi-disantes libres puisque les candidats de l'un ou de l'autre bord de toute façon sont leurs affidés parce qu'il leur faut cette mascarade d'apparence pour que la majorité avalent la soupe tout en laissant une minorité consciente d'opposants parquée dans un corset "démocratique" de contrainte aptes à neutraliser n'importe quelle action de leur part.
Alors, y allons-nous, y allons-nous pas .
Nous n'irons pas, si, nous nous réveillons, mais, à mon avis, ceux qui réussiront, sont ceux qui s'opposeront à l'américan way of life, d'abord.
A bon entendeur salut !
Mais, passons pour voir comment aux Etats-Unis, ils respectent le droit du citoyen.

(source : Reporterre)

Au Wyoming, recueillir des données sur la pollution devient illégal

18 mai 2015 
 

   

Le gouverneur du Wyoming, aux Etats-Unis, a fait adopter la Data Process Bill, qui rend illégal de« recueillir des données sur l’état de l’environnement » hors des limites de la ville, par exemple la pollution des cours d’eau causée par les eaux de ruissellement provenant des fermes et des ranchs.
Pour l’association Western Watersheds Project, qui se bat pour la pureté de l’eau, l’État cherche ainsi à dissimuler le fait que la plupart des cours d’eau sont contaminés par la bactérie E. coli, qui peut causer de graves problèmes de santé et qui est présente à des concentrations violant les normes de qualité de l’eau énoncées par le Clean Water Act de l’État fédéral.
- Source : Slate

Tiens, tiens, cette loi passe sous silence la pollution des nappes phréatiques pour l'exploitation du gaz et pétrole de schiste. Pourtant, c'est les compagnies pétrolières qu'elle protège. 
Utiliser les autres pour dissimuler ses propres méfaits, c'est très fort de la part de ces compagnies.
Pourtant, il y aurait de quoi causer !

(source : Association Santé Environnement France)

(...) En mars 2009, l’EPA[5] entamait pour la première fois une enquête sur la qualité de l’eau, dans le village de Pavilion, Wyoming, où l’extraction du gaz schiste est en cours. Les conclusions de l’enquête ont confirmé que l’eau de 11 des 17 puits des résidents contenait entre autres du 2-butoxyéthanol (hautement cancérigène), de l’arsenic, du cuivre et d’autres métaux. En 2010[6], le ministère fédéral de la santé avait interdits aux résidents de Pavilion de boire l’eau de leurs puits ou d’aérer leur maison après avoir pris leur douche ! (...)

Mais, un jour, mes chers lecteurs, il faudra savoir exactement ce que nos gouvernements ont inventé comme crimes pour nous faire penser que le président syrien El Assad est un dictateur sanguinaire à éliminer absolument quitte à armer et à financer des pires que lui. N'oublions pas l'Irak, la Lybie, Poutine traité de malade mental, le président égyptien avant de le remplacer par une copie conforme, exct, exct, exct.
Et, pour changer, dans la rubrique, "Qu'est-ce qu'on rigole en Ukraine !"

(source : Sputnik)

L légion étrangère pour l’Ukraine

© Sputnik. Sergei Starostenko
OPINION
(mis à jour 13:13 18.05.2015) URL courte
Alexandre Vassiliev
Règlement de la situation en Ukraine (2039)
64844
Les autorités ukrainiennes envisagent d’ouvrir officiellement aux étrangers l'accès aux postes militaires.
La Rada suprême (le parlement ukrainien) a approuvé en première lecture ce projet de loi par 257 voix. Les auteurs du projet de loi affirment que c'est le seul moyen de légaliser les étrangers qui font partie des bataillons punitifs qui opèrent dans le Donbass.
Toujours d'après eux, c'est un des moyens de réduire le manque de recrutement et d'économiser sur les indemnités pour invalidité et pour les familles des soldats tués. C'est une des causes officielles. Mais la raison réelle de l'apparition de cette initiative est le fait que les Ukrainiens ne veulent pas lutter contre leurs concitoyens. Comme on le sait la mobilisation récente a échoué.
De plus, ce document ne correspond pas à la constitution ukrainienne. Mais ce n'est pas un véritable obstacle pour les autorités kiéviennes qui se permettent de corriger voire réécrire la loi fondamentale du pays. Mais il y a une chose qu'il est impossible de corriger — les accords de Minsk. Cependant, on peut considérer ce document comme une tentative de les éluder.
L'existence de forces étrangères est une chose habituelle pour certaines régions du monde. Par exemple, au Vatican il y a des troupes suisses depuis cinq siècles. Est-ce que telle pratique est applicable en Ukraine? On a demandé Arnaud Dotézac, spécialiste de géopolitique, directeur de la rédaction du magazine Market, édité à Genève de commenter cette initiative:
Arnaud Dotézac. Cette décision n'est pas une surprise. Déjà l'année dernière, en avril 2014, il y avait des articles dans la presse ukrainienne expliquant que des généraux voulaient ouvrir les rangs de l'armée à des citoyens étrangers.
Dans ce domaine il y a deux aspects: celui de l'organisation militaire et puis il y a un volet géopolitique. Dans le premier volet il n'y a rien d'original, par exemple, la France, a créé sa légion étrangère en 1831 sous Louis Philippe 1er, l'Angleterre a une légion étrangère, en Russie en janvier de cette année est apparu un décret qui a confirmé la possibilité d'avoir des citoyens étrangers dans l'armée russe etc.
Donc, ça, c'est quelque chose qui se conçoit dans les relations militaires. Mais il y a un aspect effectivement géopolitique. Si on lit la loi, il y a l'article 446 qui en gros blanchit les mercenaires. C'est intéressant puisque jusqu'à maintenant le fait d'avoir des armes de guerre entre les mains, c'est toujours un délit en Ukraine et avoir des troupes étrangères sur le sol nécessite à chaque fois une loi. La loi en question nous raconte qu'on va vraisemblablement intégrer des corps qui sont déjà présents illégalement sur le sol ukrainien.
De plus, les États qui soutiennent l'Ukraine aujourd'hui ne pourraient pas à cause de leur propre loi livrer de matériel militaire à des armées non-régulières. On envoie ici le signal qu'il est possible d'avoir une préparation à des livraisons de matériel militaire plus lourd. On voit donc bien que c'est une loi de régularisation.
Il y a une question de gestion des troupes parce qu'il y a beaucoup de témoignages qui expliquent que les Ukrainiens ne veulent pas tirer sur les Ukrainiens; on voit qu'il y a des difficultés dans l'opération de mobilisation. Mais la résolution de cette question de gestion ne va pas résoudre tous les problèmes en termes de quantité. En revanche, on peut résoudre des problèmes militaires en termes de qualité, c'est-à-dire que l'armée ukrainienne pourra instantanément absorber, par exemple, des forces spéciales d'un pays étranger, prêtes à l'emploi. Ce n'est pas un signal positif pour la paix.


Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/opinion/20150518/1016120197.html#ixzz3aa2ZsQb0



Sérieux, si, le peuple ne veut plus tirer sur le peuple à part les bataillons nazis coupables de crimes contre l'humanité protégés par Washington, revenons au moyen âge où les rois se payaient des régiments de mercenaires qui violaient, tuaient, éventraient les femmes enceintes et pillaient joyeusement.
Pour l'instant, je ne vois que deux gouvernements dignes de la plume Shakespeare dans le sang et la dérision, celui de Corée du Nord et le gouvernement ukrainien.

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