(blog à finir et à corriger)
Eh, bien, mes chers cinq lecteurs, saluons la candidature d'hillary Clinton à la course pour la présidentielle.
Evidemment, déjà s'annonce les mises de fonds en faveur de la candidate. Sachez qui sont les donateurs et vous saurez à qui, elle devra des services qui de toute façon iront à l'encontre des intérêts des citoyens américains.
(source : Strategic Culture Foundation)
Mais, parlons de l'Union Européenne qui prépare la signatures des accords du TAFTA. De plus en plus vite, nos gouvernements trahissent leur peuple. En France, le premier ministre valls ou vlad le fait avec la loi macron. Il liquide le service hospitalier public, nous obligeant ainsi à nous faire soigner dans le privé....pour ceux qui le peuvent.
Et, l'UE autorise la brevétisation du vivant et condamne les semences traditionnelle à terme.
(source : Les Moutons Enragé
De toute façon qu'attendre de l'UE ne fait pas que cela, elle fait, "Tout pour les multinationales, que le citoyen ferme sa "Gueule !"
(source : Bastamag)
DÉNI DE DÉMOCRATIE
L’Europe ouvre grande la porte aux lobbies favorables aux gaz de schiste
PAR OLIVIER PETITJEAN 15 AVRIL 2015
Poster
Ajouter
A+
A-
Imprimer
Partager sur Facebook
Partager sur Twitter
Partager sur Delicious
Partager sur Google+
La Commission européenne vient d’officialiser la création d’un groupe d’experts chargés de collecter des informations sur l’exploitation des gaz de schiste et sur d’éventuelles méthodes d’extraction moins polluantes. Le tout dans un esprit d’« échange d’idées équitable et équilibré », assure Bruxelles. Problème : la grande majorité de ces « experts » sont liés à l’industrie pétrolière et gazière, favorable aux gaz de schiste. Et de l’aveu même d’un de ses membres, ce groupe d’experts financé sur fonds publics aura pour but de rendre l’attitude des citoyens européens plus « pragmatique » et « favorable » aux gaz de schiste.
Malgré l’opposition massive des citoyens européens au gaz de schiste, la Commission européenne persiste dans la direction opposée. Après avoir exempté ces activités d’études d’impact environnemental spécifiques, elle met en place aujourd’hui un « réseau » d’experts largement dominé par les industriels et les gouvernements favorables au gaz de schiste. Les Amis de la terre Europe et le Corporate Europe Observatory, basé à Bruxelles, publient aujourd’hui une étude sur la composition de ce réseau, dont l’intitulé « Carte blanche for fracking » laisse présager le faible niveau d’indépendance de ces « experts ».
Sur 60 « experts » déjà nommés, 40% travaillent pour des entreprises comme Total, GDF Suez ou Shell, directement impliquées dans le gaz de schiste, ou pour des lobbies du secteur pétrolier et gazier, comme l’Union française des industries pétrolières (UFIP). Jean-Louis Schilansky, par ailleurs président du « Centre de documentation sur les hydrocarbures non conventionnels », le lobby récemment créé par les entreprises françaises intéressées au développement du gaz de schiste, en fait par exemple partie [1]. Les représentants de la société civile, en revanche, se comptent sur les doigts d’une main : ils ne sont que cinq ! Le reste est constitué soit de scientifiques dont la majorité est liée financièrement à l’industrie, soit de représentants de bureaux publics de recherche géologique, dont les intérêts sont souvent étroitement liés à ceux des promoteurs du gaz de schiste. Au total, 70% des membres de ce réseau ont des liens financiers avec l’industrie pétrolière et gazière...
« Renverser l’attitude défavorable envers le gaz de schiste »
Quel rôle joueront-ils ? Le « réseau européen scientifique et technologique européen sur l’extraction des hydrocarbures non conventionnels » [2] a pour mission officielle de collecter des informations sur les développements du gaz de schiste en Europe et d’évaluer les technologies utilisées pour les extraire. Ces experts seront ainsi chargés d’étudier les méthodes de fracturation hydraulique et ses alternatives éventuelles – pour l’instant totalement chimériques.
Ce réseau devra travaillé, selon la Commission, dans un esprit d’« échange d’idées équitable et équilibré ». L’une des cinq personnes désignées par la Commission pour présider les groupes de travail du « réseau », le Polonais Grzegorz Pieńkowski, se montre plus franc : « La mise en place [de ce réseau] est un pas en vue de renverser l’attitude défavorable ou soupçonneuse envers le gaz de schiste qui prévaut en Europe en une attitude plus pragmatique et, en dernière instance, favorable », explique-t-il dans un entretien avec un magazine professionnel
La Commission européenne s’est déjà retrouvée sous le feu des critiques pour avoir mis en place des groupes d’experts dominés par les intérêts industriels, que ce soit dans le domaine des OGM, des perturbateurs endocriniens, de la régulation de la finance, ou de la pollution de l’air. Ce qui ne l’empêche pas de récidiver aujourd’hui avec les gaz de schiste et la fracturation des sols. Elle a directement sélectionné les cinq présidents des groupes de travail : on y retrouve deux représentants d’entreprises pétrolières et gazières (CoconoPhillips et Cuadrilla), deux représentants de gouvernements pro-gaz de schiste (Royaume-Uni et Pologne) et le Français François Kalaydjian, employé de l’Institut français du pétrole [3], une organisation de recherche française liée à l’industrie et connue pour ses prises de positions favorables aux énergies fossiles.
Passage en force
Au final, une large majorité des membres du réseau, soit en personne soit à travers les entreprises, gouvernements et organisations qu’ils représentent, se sont déjà fait remarquer par leurs prises de position favorables au gaz de schiste ou par leur opposition à des régulations trop strictes de ces activités. Interpellé par les associations, le Joint Research Center (JRC), dont la mission est de coordonner les groupes d’experts de la Commission européenne, se contente de jouer avec les mots : comme il ne s’agit pas d’un groupe officiellement chargé de « conseiller » la Commission, mais seulement de rassembler des informations, il ne serait pas sujet aux normes d’équilibre et d’indépendance requises pour les autres groupes d’experts. De sorte que le JRC ne voit « aucune raison de modifier les règles ou la structure des groupes de travail ou leurs présidents ».
« Sous couvert de mettre en place un ‘réseau scientifique et technologique’, la Commission utilise des fonds publics pour créer un lobby favorable à l’industrie pétrolière et gazière, dénoncent les Amis de la terre Europe et le Corporate Europe Observatory. Ce qui est particulièrement inquiétant, c’est que malgré l’opposition massive du public, la Commission cherche une nouvelle fois à faire entrer discrètement le gaz de schiste par la porte de derrière, en essayant de faire en sorte que la question ne soit pas ‘si’ l’Europe veut la fracturation hydraulique, mais ‘comment’. »
Olivier Petitjean
Photo : Forages d’exploitation de gaz de schiste aux États-Unis / CC Simon Fraser University
- Pour consulter le rapport « Carte blanche for fracking » (en anglais)
Et, reparlons des constructions des grands barrages qui fleurissent en Afrique de l'est, en Ethiopie pour irriguer les terres confisquées au profit des multinationales de l'agro-alimentaire et maintenant en Egypte avec le Soudan.
Mais, dites-moi, mes chers lecteurs, quelqu'un leur a-t-il dit qu'ils avaient du soleil ?
(source : Jeune Afrique)
Le cabinet d'études français BRL Ingénierie a été choisi pour mesurer l'impact de la construction du barrage Grande Renaissance sur les ressources en eau du Nil, a appris "Jeune Afrique". Un bon point pour l'Éthiopie qui entretient de solides relations avec cette entreprise depuis plus de quinze ans.
Vous savez le soleil, mes chers lecteurs, qui fournit gratos de l'énergie.
(source : Actu Environnement)
(source : Actualié Environnement)
« Une foule record » dans les rues pour dire non aux sables bitumineux
La Marche Action Climat attire 25 000 écologistes dans le Vieux-Québec
462 PARTAGEZ SUR FACEBOOK
41 PARTAGEZ SUR TWITTER
AUTRES
ELISA CLOUTIER
Samedi, 11 avril 2015 10:13
MISE à JOUR Samedi, 11 avril 2015 10:13
La Marche Action Climat a attiré une «foule record» dans les rues du Vieux-Québec hier, pour convaincre les premiers ministres provinciaux et territoriaux de cesser l’expansion des sables bitumineux.
Selon les organisateurs, près de 25 000 écologistes, issus d’une soixantaine d’organismes environnementaux, politiques, syndicaux ainsi que des Premières Nations, ont marché dans le calme, dans le but d’«envoyer un message clair» aux élus canadiens. Les policiers n’ont d’ailleurs rapporté aucun débordement.
«Oui au climat, non à TransCanada!» scandaient les marcheurs, dont certains avaient fait la route depuis Toronto et l’Ouest Canadien pour dénoncer le projet d’oléoduc Énergie Est, qui consisterait à transporter du pétrole albertain jusqu’à un port pétrolier au Québec.
« Thermomètre humain »
Devant les milliers de manifestants qui s’étaient vêtus de rouge pour former un thermomètre humain autour de la fontaine de Tourny, le directeur principal d’Equiterre, Steven Guilbeault, a rappelé l’importance des enjeux climatiques.
«Au cours des 30 dernières années, les températures ont été au-dessus des moyennes chaque mois, mais pourtant, il y en a qui voudraient que l’on continue de s’enfermer dans une logique pétrolière et nous disons non!» a-t-il lancé devant une foule bruyante.
Le président de la CSN, Jacques Létourneau, a critiqué le premier ministre québécois pour son «à-plat-ventrisme» devant le gouvernement fédéral. «On n’acceptera pas que le Québec devienne la voie de passage des sables bitumineux!» a-t-il lancé.
Même son de cloche du côté de la députée de Vachon et candidate à la chefferie du Parti québécois, Martine Ouellet. «Le Québec peut être un leader mondial dans l’électrification des transports, mais le gouvernement libéral n’est pas très proactif», a-t-elle indiqué.
Régis Labeaume écorché
Le maire Labeaume était aussi visé par la porte-parole de STOP oléoduc, Anne-Céline Guyon. «La mairie niaise avec le projet d’usine de biométhanisation, c’est un projet qui pourrait être mis en place», a-t-elle indiqué.
« Ce n’est que le début »
Les organisateurs étaient «agréablement surpris» de la réponse des milliers de manifestants venus à Québec pour se faire entendre, alors qu’ils s’attendaient à accueillir entre 5000 et 8000 marcheurs.
«C’est le plus gros rassemblement jamais vu à Québec pour l’environnement», a mentionné l’organisatrice de la marche, Marie-Eve Leclerc.
Au total, une centaine de bénévoles coordonnaient l’événement, qui s’est déroulé sans accrocs. Les organisateurs se sont dits «extrêmement satisfaits» de l’événement, qui, selon eux, a attiré quelque 25 000 manifestants.
«Ce n’est que le début de ce que l’on veut montrer aux élus!» a ajouté Mme Leclerc, sans vouloir donner plus de détails sur d’éventuels mouvements citoyens à venir.
Rencontre à Québec
Par ailleurs, invités par le premier ministre Philippe Couillard, les premiers ministres provinciaux et territoriaux seront à Québec mardi, pour discuter des façons de réduire les émissions de gaz à effet de serre."
Et, dans la rubrique, "Quelle liberté aux States ?"
(source : Gopthedailydose.com)
Man Sentenced to 30 Days for Catching Rain Water on Own Property Enters Jail
By Dylan - Jul 3, 2014 1793 190
SHARE Facebook Twitter
Harrington Jail 1_0
Gary Harrington, the Oregon man convicted of collecting rainwater and snow runoff on his rural property surrendered Wednesday morning to begin serving his 30-day, jail sentence in Medford, Ore.
“I’m sacrificing my liberty so we can stand up as a country and stand for our liberty,” Harrington told a small crowd of people gathered outside of the Jackson County (Ore.) Jail.
Several people held signs that showed support for Harrington as he was taken inside the jail.
Harrington was found guilty two weeks ago of breaking a 1925 law for having, what state water managers called “three illegal reservoirs” on his property. He was convicted of nine misdemeanors, sentenced to 30 days in jail and fined over $1500 for collecting rainwater and snow runoff on his property.
The Oregon Water Resources Department, claims that Harrington has been violating the state’s water use law by diverting water from streams running into the Big Butte River.
But Harrington says he is not diverting the state’s water — merely collecting rainwater and snow melt that falls or flows on his own property.
Harrington has vowed to continue to fight the penalty, stating that the government has become “big bullies” and that “from here on in, I’m going to fight it.”
nnnnn
Eh, bien, mes chers cinq lecteurs, saluons la candidature d'hillary Clinton à la course pour la présidentielle.
Evidemment, déjà s'annonce les mises de fonds en faveur de la candidate. Sachez qui sont les donateurs et vous saurez à qui, elle devra des services qui de toute façon iront à l'encontre des intérêts des citoyens américains.
(source : Strategic Culture Foundation)
WORLD |
Hillary Clinton – the ‘Liberal’ Puppet for War
Finian CUNNINGHAM | 14.04.2015 | 00:00 |
Hillary Clinton this week launched her bid for the US presidential elections in 2016. Among the copious coverage in Western media was the small but highly significant detail: her presidential campaign will have a war chest of $2.5 billion. The former US Senator and Secretary of State is said to have a personal net worth of between $50-100 million. However, if she is selected by the Democratic party to make a run for the White House most of her presidential campaign will be bankrolled by corporations and super-wealthy backers like financier George Soros through his Democracy Alliance foundation. That alone tells where her political loyalties and priorities lie.
It is an indication of how warped US politics has become when Hillary Rodham Clinton is lambasted by Republicans as a «liberal».
Clinton voted for both the Afghanistan and Iraq wars in 2001 and 2003 under George W Bush during her time in the Senate – wars that killed more than one million people and whose nefarious legacy persists for the Central Asia and Middle East regions.
Later as Secretary of State in the Obama administration, Clinton pushed for the US-NATO destabilisation of Syria through covert support of terrorist proxies – a dirty war that still rages on. And she earnestly advocated the US-NATO bombing of Libya, also in 2011, which resulted in the overthrow and murder of Muammar Gaddafi and turned that once stable prosperous country into an ongoing cesspit of internecine violence. Publicly, she gloated about the horrific video-lynching of Gaddafi with the sickening joke: «We came, we conquered, he died».
It was Clinton who also takes responsibility for ratcheting up the current US aggression towards Russia. Back in March 2009, she was photographed jokingly presenting Russian Foreign Minister Sergei Lavrov with a mock «reset button». That was supposed to herald a new era of partnership between Washington and Moscow. The reset button was quickly jettisoned by the US. Nearly three years later in December 2012, Clinton changed course sharply when she denounced the incipient Eurasian Economic Union (EEU) between Russia, Belarus and Kazakhstan as «the re-Sovietisation» of the region.
Clinton said back in 2012 of the EEU: «There is a move to re-Sovietise the region. It won’t be called that but make no mistake about it. We know what the goal is and we are trying to figure out effective ways to slow it or prevent it».
By the end of 2013, Washington had figured out a way to thwart Vladimir Putin pursuing neighbourly relations, by instigating an illegal coup in Ukraine to usher in a Neo-Nazi regime. That regime has waged a war of aggression on Russia’s western border for the past year that has resulted in thousands of civilian deaths and more than one million refugees, invoking memories of the Ukrainian-assisted Nazi holocaust of the Second World War.
Therefore the only thing «liberal» about Clinton’s political record is liberal use of naked American state violence and lawlessness in pursuit of policy objectives.
On launching her presidential credentials at the weekend, Clinton’s Republican rivals or would-be rivals immediately fired the brickbats, accusing the 67-year-old former First Lady of being a «Washington insider» and the «embodiment of all that is wrong» in US politics. It’s a charge that easily sticks. Clinton has become a household name ever since her husband, Bill, became president for two terms back in 1993. The couple may have been «dead broke» when they left the White House, but they have made up for it ever since through their corporate-funded Clinton Foundation, thus joining the wealthy elite that resides and operates in the Washington Beltway.
Among the donors to the Clinton Foundation, a supposedly humanitarian concern, are foreign governments, including the despotic royal rulers of Saudi Arabia and Qatar, who between them have donated over $20 million even while she was working at the State Department between 2009-2012. Only the wilfully gullible could believe that such largesse did not influence Clinton’s decision-making as Secretary of State, or in the future if she becomes president of the US.
The unintended irony of Clinton’s Republican detractors, who include rabid rightwing Senators Marco Rubio and Ted Cruz, as well as the maverick Senator Rand Paul, is that every single one of them will have to spend similar amounts of cash in their anticipated presidential campaigns.
Indeed, any other contender for the race to the White House will likewise have to find billions of dollars to fund their campaign. That is a paramount necessity. All of them will have to court the favours of corporate donors and wealthy individuals. In that regard, all American presidential candidates are by definition «Washington insiders». They are all beholden to Wall Street banks, the mega corporations of the military-industrial complex, the oil companies, the Israeli and Saudi lobby and the financial aristocracy personified by Soros and others.
So, in substance, there is no difference between any of the American presidential candidates, whether they are Democrat or Republican. All are bought-and-paid-for by the top one per cent of super-rich in American society.
What will emerge is a contest over perception and image-making. Already Clinton’s campaign-launch shows that she has has invested in slick advertising techniques to sell her image. Her campaign video features a diverse collection of «ordinary Americans» who tell of their hopes for success in personal and work matters. Clinton appears in the two-minute video for only half the allotted time. She is seen standing outside a suburban home (rather than her own two palatial mansions) and she tells viewers: «Everyday Americans need a champion, and I want to be that champion».
Clinton’s campaign over the next year is expected to focus on improving the economic benefits to working families and on the issue of income inequality, which has exploded in the US. How Clinton proposes to address those problems remains to be seen. She is said to be an advocate of increasing the minimum wage and for helping working mothers with childcare financial aid.
Such policy measures are tokenism given the scale of chronic wealth inequality that has been building over past decades across the US. It is reckoned that the top richest 400 individuals now possess wealth equivalent to the bottom half of the entire US population – or some 155 million Americans.
Nobel winning economist Joseph Stiglitz has called the US a «failed economy» in which inequality has become a structural condition.
But any politician in Washington who puts forward structural remedies for a structural problem will have no chance of entering the presidential campaign, never mind winning it. One such remedy to systematic inequality in the US is to introduce a thorough progressive tax system that comprehensively redistributes wealth from the financial oligarchy to the wider population. Decades of policy favouritism to the rich – under both Republicans and Democratic administrations alike – must be reversed.
However, such a campaign ticket would simply not happen. It is not so much that the wider American public would not rally to such a call. They most likely would. But in the anti-democratic, plutocratic system that is the US, it is simply the case that any potential contender with a structural remedy would be excluded from even getting near the race starting line by the corporate funding machine.
The financial oligarchy that pays for all presidential candidates is not a turkey that votes for Christmas. It will make sure that all the candidates – who need to raise billions of dollars to have any chance of entering the contest – do not in anyway threaten the privileges of the one per cent.
Incumbent president, Barack Obama, is a case in point. He cynically used the emotional plea of «Yes, we can make a change» when he ran for election in 2008 as the first African-American. Since then Obama has emerged as a dutiful servant of Wall Street and big business, as well as the Pentagon corporations, «earning» in the process a personal net worth of $ 5-10 million.
Clinton is likewise playing on the emotional appeal to Americans to vote for the «first female president». In other words, the «hope and change» nostrum is reprised all over again.
However, if American voters fall for that chimera, they will inevitably end up bitterly disappointed – again. America’s social, political and economic collapse is structural. The disease is a symptom of the historical demise of capitalism into a parasitic speculative, moribund system. No one in Washington can offer an effective solution because of the ring-fencing through Big Money. Hillary Clinton and all her rivals from America’s two main parties are hermetically sealed-in to ensure the one per cent are not in any way threatened with radical overhaul. That’s why the system is in terminal collapse. It has no way of correcting itself.
Americans will see no change under a Hillary Clinton presidency except for further deterioration in their social conditions. The rest of the world, and Russia in particular, can be sure that Clinton will pursue more of the same militaristic aggression that characterised her four-year stint as Washington’s top diplomat.
Whether described as «liberal», «conservative» or «hawk» – all American presidential candidates are the same in practice. Puppets for sale.
|
Tags: Middle East US Clinton |
Mais, parlons de l'Union Européenne qui prépare la signatures des accords du TAFTA. De plus en plus vite, nos gouvernements trahissent leur peuple. En France, le premier ministre valls ou vlad le fait avec la loi macron. Il liquide le service hospitalier public, nous obligeant ainsi à nous faire soigner dans le privé....pour ceux qui le peuvent.
Et, l'UE autorise la brevétisation du vivant et condamne les semences traditionnelle à terme.
(source : Les Moutons Enragé
L’Europe autorise les brevets sur les semences naturelles !…
Et, reparlons des constructions des grands barrages qui fleurissent en Afrique de l'est, en Ethiopie pour irriguer les terres confisquées au profit des multinationales de l'agro-alimentaire et maintenant en Egypte avec le Soudan.
Mais, dites-moi, mes chers lecteurs, quelqu'un leur a-t-il dit qu'ils avaient du soleil ?
(source : Jeune Afrique)
Le français BRL Ingénierie va mesurer l'impact du barrage de la Renaissance sur les eaux du Nil
- mardi 14 avril 2015 10:58 PAR
- PIERRE BLAISE
Mots clés:
Elles étaient trois finalistes, parmi les sept entreprises présélectionnées par l'Éthiopie, l'Égypte et le Soudan, en octobre dernier, pour le délicat contrat d'évaluation de l'impact du barrage éthiopien Grande Renaissance sur le volume des eaux du Nil. De ces trois sociétés, toutes soutenues par un des pays impliqués, c'est finalement au cabinet d'études français BRL Ingénierie, appuyé par l'Éthiopie, qu'a été confiée la mesure des conséquences de cette infrastructure sur les ressources en eaux et la production électrique de ces pays ainsi que celle des conséquences socio-économiques transfrontalières du projet.
La construction de ce barrage avait provoqué de vives réactions en Égypte. En effet, elle requiert le détournement des eaux du Nil bleu (l'un des principaux affluents du Nil) et le remplissage d'un réservoir de 70 milliards de mètres cubes d'eau, dont Le Caire redoute les effets sur le débit du Nil et sur l'agriculture égyptienne.
Propositions
L'étude confiée à BRL Ingénierie entre dans le cadre d'un accord tripartie dévoilé en mars 2015 par Addis Abeba, Khartoum et Le Caire. Selon nos informations, la société française a remporté ce contrat, d'un coût de 4 millions de dollars, en proposant un projet d'une durée plus longue que ce que prévoyait l'appel à propositions (11 mois au lieu de 5) et plus complet techniquement (avec la participation de 15 experts).
BRL devra cependant sous-traiter 30 % de l'étude au cabinet hollandais Deltares, soutenu par le Soudan. L'offre du cabinet français Artelia, qui avait les faveurs du Caire, s'est fait retoquer sur des aspects techniques.
Points
La victoire de BRL Ingénierie semble donc un nouveau point marqué par l'Éthiopie. L'entreprise française, installée dans le pays depuis 1998, y est déjà impliquée dans de gigantesques projets d'aménagements, comme celui portant sur l'irrigation de 14 000 hectares de terres à proximité du Lac Tana, où le Nil Bleu prend sa source.
À son inauguration, prévue après 2017, le barrage Grande Renaissance sera le plus grand d'Afrique, avec une puissance de 6 000 mégawatts. Son coût est estimé selon les autorités éthiopiennes à 4,2 milliards de dollars.
Vous savez le soleil, mes chers lecteurs, qui fournit gratos de l'énergie.
(source : Actu Environnement)
Maroc : la première centrale thermo-solaire sera en service en 2015
La première centrale solaire thermodynamique (CSP) du Maroc, baptisée "Noor 1", sera mise en service en 2015 près de Ouarzazate, a confirmé le 19 octobre à l'AFP Mustapha Bakkoury, président de l'Agence nationale de l'énergie solaire (Masen).
D'un montant de plus de 600 millions d'euros, la centrale, avec capteurs cylindro-paraboliques, a été construite par le consortium conduit par le Saoudien Acwa Power. D'une puissance de 160 mégawatts (MW), elle aura également une capacité de stockage de 3 heures "à pleine puissance". Les premiers kilowattheures devraient être injectés au réseau électrique national à partir d'août 2015, a indiqué M. Bakkoury en mars dernier.
Il s'agit de la première phase de la réalisation du parc solaire de Ouarzazate, avec une capacité de production portée à terme à 500 MW.
Les centrales thermo-solaires "Noor 2" (de 150 à 200 MW de puissance prévue) et "Noor 3" (100 à 150 MW) doivent entrer en construction début 2015 pour la seconde phase du projet. Un appel d'offres a été lancé, dont le résultat sera communiqué "avant la fin de l'année", a précisé M. Bakkoury. Sept sociétés ont été pré-qualifiées, dont des groupes français et espagnols. Une troisième phase du projet fera l'objet d'une annonce "dans les prochaines semaines".
Ce parc s'inscrit dans le cadre du Plan solaire marocain, lancé en novembre 2009. Ce plan prévoit la construction d'une capacité de production électrique utilisant l'énergie solaire de 2GW entre 2015 et 2019 sur cinq sites : Ouarzazate, Ain Bni Mathar, Foum Al Oued, Boujdour et Sebkhat Tah. Le Maroc souhaite d'ici 2020, couvrir 42% de ses besoins énergétiques grâce aux énergies renouvelables (solaire, éolien, hydraulique).
D'un montant de plus de 600 millions d'euros, la centrale, avec capteurs cylindro-paraboliques, a été construite par le consortium conduit par le Saoudien Acwa Power. D'une puissance de 160 mégawatts (MW), elle aura également une capacité de stockage de 3 heures "à pleine puissance". Les premiers kilowattheures devraient être injectés au réseau électrique national à partir d'août 2015, a indiqué M. Bakkoury en mars dernier.
Il s'agit de la première phase de la réalisation du parc solaire de Ouarzazate, avec une capacité de production portée à terme à 500 MW.
Les centrales thermo-solaires "Noor 2" (de 150 à 200 MW de puissance prévue) et "Noor 3" (100 à 150 MW) doivent entrer en construction début 2015 pour la seconde phase du projet. Un appel d'offres a été lancé, dont le résultat sera communiqué "avant la fin de l'année", a précisé M. Bakkoury. Sept sociétés ont été pré-qualifiées, dont des groupes français et espagnols. Une troisième phase du projet fera l'objet d'une annonce "dans les prochaines semaines".
Ce parc s'inscrit dans le cadre du Plan solaire marocain, lancé en novembre 2009. Ce plan prévoit la construction d'une capacité de production électrique utilisant l'énergie solaire de 2GW entre 2015 et 2019 sur cinq sites : Ouarzazate, Ain Bni Mathar, Foum Al Oued, Boujdour et Sebkhat Tah. Le Maroc souhaite d'ici 2020, couvrir 42% de ses besoins énergétiques grâce aux énergies renouvelables (solaire, éolien, hydraulique).
Bon, à part cela, le traffic d'arme, vous connaissez ?
Quand la Belgique laisse faire le traffic en faveur des djihadistes lybiens.
(source : le Vif.be)
Et, pedant ce temps au Québec, Canada la foule se mobilise contre le pétrole de sable bitumineux alors qu'un compagnie pétrolière américaine attaque le gouvernement du Québec sur sa décision d'interdire le gaz de schiste dans le lit du fleuve Saint Laurent en s'appuyant sur les accords de libre échange de l'Alena.
Quand la Belgique laisse faire le traffic en faveur des djihadistes lybiens.
(source : le Vif.be)
Trafic d'armes de l'aéroport d'Ostende vers la Libye
Les avions qui relient toutes les deux semaines Ostende, sur la côte belge, à la Libye, ont souvent transporté des armes illégales. L'information provient de sources africaines, et des experts des Nations Unies auraient également déjà exprimé de tels doutes, indique mercredi Het Laatste Nieuws.
Les sources libyennes qui témoignent du trafic appartiennent au camp du gouvernement reconnu par la communauté internationale. Selon celles-ci, les armes sont destinées à la coalition d'islamistes opposée au gouvernement.
Le Boeing 747 parti la semaine dernière d'Ostende pour la Libye aurait ainsi transporté différentes sortes de munitions et de l'artillerie antiaérienne légère. Les mêmes sources ne sont en revanche pas en mesure de préciser l'origine des armes prises à bord. Elles pointent toutefois le fait que les avions ostendais atterrissent, en-dehors de la Libye, également régulièrement aux Emirats arabes unis, un pays dont il a récemment été montré qu'il est le point de départ d'armes destinées au territoire libyen.
Les Nations Unies ont également déjà émis des suspicions à propos d'Ostende. Des inspecteurs ont découvert en fin d'année dernière des "objets suspects" sur des bons de chargement. Ils ont demandé des explications aux autorités belges, qui leur ont rétorqué qu'elles avaient inspecté un avion pour la Libye, dans lequel aucun produit interdit n'avait été trouvé."
Et, pedant ce temps au Québec, Canada la foule se mobilise contre le pétrole de sable bitumineux alors qu'un compagnie pétrolière américaine attaque le gouvernement du Québec sur sa décision d'interdire le gaz de schiste dans le lit du fleuve Saint Laurent en s'appuyant sur les accords de libre échange de l'Alena.
(source : Actualié Environnement)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire