(blog à finir et à corriger)
Dites-moi, mes chers cinq lecteurs, y-a-t'il un congressiste américain qui va élevé sa voix pour dénoncer l'obligation des vaccins aux States.
Que nenni, car, leur campagne électorale sont financés par les laboratoires pharmaceutiques !
Et, cela, même, si, de plus en plus de preuves s'accumulent pour dénoncer la dangerosité des adjuvants intégrés dans les vaccins.
Au final, "LEUR" médecine tu !
(source : Initiative citoyenne)
Bon, mes chers lecteurs, je vous rebalance un autre article un peu long sur les méfaits de
(source : OpeNews.eu)
Et, lorsque je vous disait, mes chers lecteurs que les solutions sont dans la bio-diversité, en tout cas pour nos problèmes de santé. Que les plantes, comme en Amazonie ou dans les forêts de Nouvelle Guinée sont une source, même pour nous assurer une longévité, sauf que, sauf que, la forêt amazonienne disparaît, celle de Bornéo agonise et que la bio-diversité en général nous abandonne à l'industrie pharmaceutique qui désormais nous empoisonne.
(source : Daily geek show)
Dites-moi, mes chers cinq lecteurs, y-a-t'il un congressiste américain qui va élevé sa voix pour dénoncer l'obligation des vaccins aux States.
Que nenni, car, leur campagne électorale sont financés par les laboratoires pharmaceutiques !
Et, cela, même, si, de plus en plus de preuves s'accumulent pour dénoncer la dangerosité des adjuvants intégrés dans les vaccins.
Au final, "LEUR" médecine tu !
(source : Initiative citoyenne)
18 avril 2015
Devant le parlement d'état de Californie, à Sacramento :
Impressionnante manifestation pour le droit des parents et la LIBERTE VACCINALE
Parmi tous les intervenants au micro, retenons le discours de Laura Hayes.
Laura Hayes est la maman de 3 enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins. L’un d’eux est gravement handicapé à vie. Laura déploie toutes ses forces pour dénoncer l’inefficacité, les dangers des vaccinations, ainsi que toute la corruption qui soutient ce système. Elle dénonce notamment le projet de loi SB277 qui risque de priver les parents de leurs droits et de rendre les vaccinations obligatoires.
« C’est aujourd’hui un jour sombre dans l’histoire de la Californie. Des parents sont venus de tous les coins du pays pour s’opposer à la tyrannie médicale. Nos droits fondamentaux sont menacés par les mêmes personnes que nous avons élues pour protéger ces droits ! Si nous perdons le droit de pouvoir décider de ce qui peut ou non rentrer dans notre corps, quel droit nous reste-t-il ?
Si le projet de loi SB277 est adopté, la police pourra, contre notre volonté, prendre nos enfants pour les faire vacciner de force par des médecins qui ont fait le serment d’Hippocrate et qui ont juré de « d’abord ne pas nuire ». Ces médecins sont légalement et éthiquement obligés d’obtenir des parents un consentement libre, volontaire et éclairé pour tout acte médical, y compris les vaccinations.
Comment diable a-t-on pu en arriver là ? Je vais vous le dire : tout a commencé par des mensonges. On nous a fait croire que les vaccins étaient efficaces et sans danger pour tout le monde.
Le MENSONGE que les vaccins sont les seuls responsables de l’éradication de certaines maladies.
LE MENSONGE que les vaccins ont été parfaitement testés séparément ou en combinaison avec d’autres vaccins.
LE MENSONGE que les compagnies pharmaceutiques n’exercent aucune influence corruptrice sur les agents du gouvernement.
LE MENSONGE que la recherche sur les vaccins ne comporte aucune fraude.
LE MENSONGE que la fausse recherche reflète la vérité.
LE MENSONGE que les ingrédients des vaccins sont sans danger.
LE MENSONGE qui nie le camouflage des liens qui existent entre les vaccins et les innombrables dommages qui handicapent le développement et nuisent à la santé de nos enfants.
LE MENSONGE qui veut nous faire croire que les médecins respectent le consentement libre et éclairé avant de procéder aux vaccinations.
LE MENSONGE que l’on suit scrupuleusement la santé des enfants avant et après la vaccination.
LE MENSONGE que l’on enregistre et tient compte de tous les effets secondaires et handicaps qui font suite à la vaccination.
LE MENSONGE qui veut faire croire que l’on s’occupe parfaitement de ceux qui ont été victimes des vaccinations.
LE MENSONGE qui veut nous faire croire que la sécurité est une priorité absolue, alors qu’aucun médecin et aucune compagnie pharmaceutique ne peuvent être tenus responsables pour quelque dommage vaccinal que ce soit ou pour des décès après vaccinations.
LE MENSONGE qui veut nous faire croire que les médecins rapportent tous les échecs et les accidents post-vaccinaux.
LE MENSONGE qui veut nous faire croire que les compagnies pharmaceutiques nous disent la vérité.
LE MENSONGE qui veut nous faire croire que les compagnies pharmaceutiques agissent selon les principes de l’éthique quand il s’agit de vaccins en dépit des procès qui leur ont été faits et ont représenté des amendes de millions et de milliards de dollars.
LE MENSONGE qui veut nous faire croire que les dommages vaccinaux sont rares.
LE MENSONGE qui veut nous faire croire que les vaccins ne peuvent ni endommager la santé, ni tuer.
LE MENSONGE que les vaccins ne provoquent jamais l’autisme, des convulsions, des problèmes d’apprentissage, de l’asthme, des allergies qui peuvent parfois s’avérer mortelles, la mort subite du nourrisson, le cancer, le diabète, l’arthrite rhumatoïde juvénile, des paralysies et autres problèmes.
Tout cela nous ferait penser que les vaccins seraient la toute première cause de « coïncidences » au monde !
Des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. C’est comme cela que nous en sommes arrivés au point où les législateurs estiment avoir le droit de mépriser les éléments sur lesquels fut fondée notre constitution, la liberté religieuse, la liberté de penser, de croire et de pratiquer, le droit de s’en référer au code international d’éthique, comme celui de Nuremberg qui interdit les traitements et procédures médicales forcées de quelque nature qu’ils soient, y compris les vaccinations.
Nos législateurs semblent aussi penser qu’ils peuvent violer les droits sacrés des parents, ainsi que le droit d’insister pour que tous les parents se soumettent à une pratique passe-partout qui est connue pour avoir endommagé, handicapé des vies ou même entraîné la mort. Nous devons demander à ces législateurs sur quel droit constitutionnel ils s’appuient pour nous obliger à injecter à nos enfants des neurotoxines connues, des cancérigènes connus, des ingrédients connus pour endommager et détruire les systèmes nerveux et immunitaires, des ingrédients susceptibles de perturber, et de progressivement détruire le tractus intestinal des enfants, ces ingrédients que vous, sénateurs et membres de l’Assemblée ne pourriez jamais autoriser dans votre tasse de café matinal. Et nous devrions tolérer que ces produits soient injectés dans le corps de nos enfants !
Quelle est l’autorité morale ou légale qui vous donne le droit de rendre obligatoires des procédures médicales qui peuvent comporter des risques de handicaps graves, définitifs et même entraîner la mort ?
Vous n’avez ni le droit, ni l’autorité pour forcer des parents à jouer à la roulette russe avec leurs enfants.
On nous dit que tous doivent être vaccinés pour protéger les personnes immunodéprimées. C’est là vraiment l’éléphant dans le living que l’on s’arrange pour ne pas voir.
Comment et pourquoi avons-nous aujourd’hui autant d’enfants et de jeunes adultes classés dans les immunodéprimés ? Serait-il possible que tous les vaccins qu’ils ont reçus, parfois depuis le ventre de leur mère, ensuite le jour même de la naissance, puis à des intervalles réguliers, alors que leur barrière hémato-encéphalique était largement ouverte, que leur système immunitaire n’était pas mature, les aient rendus incapables de faire barrage aux toxines et aux virus contenus dans les vaccins. Se pourrait-il que ces personnes soient aujourd’hui immunodéprimées à cause des vaccins qu’elles ont reçus ? Et maintenant, les législateurs proposent de rendre obligatoires la vaccination des enfants jusqu’à ce que chacun de ceux-ci devienne définitivement malade ? […]
Il y a aussi des personnes qui ont reçu des vaccins à virus vivants qui sont devenues contagieuses et qui répandent les maladies mêmes contre lesquelles elles ont été vaccinées.
Il y aura toujours un risque pour les personnes immunodéprimées, un risque pour tout le monde. Ceci ne veut pas dire que tout le monde doit être contraint de prendre des risques qui soi-disant doivent contribuer à leur protection. Il n’appartient pas au gouvernement de prendre pareille décision.
Les décisions de santé qui comportent des risques doivent être prises par les parents. Ce sont eux qui connaissent le mieux leurs enfants, leur véritable état de santé, qui savent aussi qu’il existe de très nombreuses manières de protéger et maintenir la santé de leurs enfants.
Absolument personne n’a le droit d’évaluer la vie d’un enfant par rapport à celle d’un autre.
Je suis la maman d’un enfant dont la santé a été gravement handicapée par les vaccins. Il a maintenant 21 ans. C’est en fait un petit garçon dans le corps d’un homme adulte. Il dépend entièrement des autres; il n’a pas pu faire ses études; il n’est pas capable de gagner sa vie et de vivre de manière indépendante. Il ne se mariera jamais, n’aura jamais d’enfants. On lui a volé la possibilité d’avoir une vie normale et indépendante parce qu’il a été empoisonné et handicapé par les vaccins. Il n’y a pas eu de consentement éclairé; on n’a pas voulu reconnaître qu’il avait perdu ses aptitudes, que son comportement était devenu bizarre après chaque série de vaccinations.
On n’a jamais reconnu qu’il avait reçu un minimum de 2.375 microgrammes de mercure neurotoxique, qu’il avait aussi reçu de l’aluminium neurotoxique, du formaldéhyde, de l’antigel, des cellules animales, des virus et des protéines pouvant provoquer des allergies, ainsi que des cancérogènes connus.
Aucune agence gouvernementale n’a assuré le suivi par rapport à ces dommages vaccinaux pour éviter que pareil drame ne se reproduise chez d’autres enfants.
Il est l’une des victimes des vaccinations non enregistrées, non dédommagées, ignorées qui ensemble constituent la véritable épidémie vaccinale.
Il y a effectivement une crise urgente de santé publique à travers tout le pays, et il ne s’agit ni de rougeole, ni d’oreillons ni de varicelle. Ce sont effectivement les dommages vaccinaux qui constituent cette grave crise de santé.
Merci à tous d’être venus aujourd’hui pour aider à mettre un terme à cette folie vaccinale, à ce fascisme médical, à cette tyrannie oppressante, à tout ce mal.
Quand il existe des risques, le choix doit obligatoirement s’imposer. Il s’agit du choix des parents.
Ci-dessous, une capture d'écran du site internet spécialement créé par les défenseurs des libertés fondamentales contre ce projet de texte législatif en Californie... soutenez-les, réagissez et écrivez vous aussi aux sénateurs locaux dont les mails sont indiqués sur ce site, si jamais vous parlez anglais. Il faut qu'ils sachent qu'ils vont se couvrir de honte de façon irréversible s'ils prêtent leur complicité à pareilles mesures inqualifiables!!
Bon, mes chers lecteurs, je vous rebalance un autre article un peu long sur les méfaits de
(source : OpeNews.eu)
Le Luxembourg a passé des accords secrets avec 340 multinationales ! #Luxleaks #Carlyle #Juncker #UE
Des accords fiscaux secrets entre le Luxembourg et 340 multinationales, dont Apple, Amazon, Ikea ou Pepsi, afin de minimiser leurs impôts, sont révélés jeudi par 40 médias internationaux s’appuyant sur des documents obtenus par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ).
Ces accords, passés entre 2002 et 2010, représentent des milliards d’euros de recettes fiscales perdues pour les Etats où ces entreprises réalisent des bénéfices, selon l’ICIJ et ses médias partenaires, dont Le Monde en France, The Guardian au Royaume-Uni, leSüddeutsche Zeitung en Allemagne, l’Asahi Shimbun au Japon.
Des milliards d’euros d’économies chaque année
Dans son enquête de six mois baptisée «Luxembourg Leaks» ou «LuxLeaks», l’ICIJ a eu accès à 28.000 pages de documents de «tax ruling» montrant comment des grandes entreprises «s’appuient sur le Luxembourg et ses règles fiscales souples, mais aussi sur les déficiences de la réglementation internationale, pour y transférer des profits afin qu’ils n’y soient pas taxés, ou très faiblement», écrit Le Monde.
Les groupes concernés – sont cités notamment Apple, Amazon, Verizon, AIG, Heinz, Pepsi, Ikea ou les Français Axa et Crédit agricole – réalisent ainsi des milliards d’euros d’économies chaque année grâce à la création d’une filiale, d’une holding ou au déplacement d’un siège social sur le territoire du Grand-Duché. Avec pour but de payer le moins d’impôt possible.
«Le Luxembourg garde ces accords fiscaux secrets» et «ne le notifie pas à ses partenaires européens» bien qu’il soit «mis au courant, de fait, par ces multinationales, de leur stratégie d’évitement de l’impôt», poursuit Le Monde. Les documents obtenus par l’ICIJ ont été établis entre 2002 et 2010 par le cabinet d’audit et de conseil PricewaterhouseCoopers (PwC), «qui les a rédigés et en a négocié les termes avec l’administration luxembourgeoise», ajoute le quotidien français.
Le lien Jean-Claude Juncker ( nouveau président de la Comission Européenne) :
Bruxelles aussi, l’affaire fait du bruit. La position de Jean-Claude Juncker, nouveau chef de la Commission européenne mais aussi Premier ministre du Luxembourg à l’époque où ces accords ont été signés, est des plus délicates, alors que l’UE a lancé une enquête sur les pratiques fiscales du grand-duché. Juncker peut-il enquêter sur lui-même ?, interroge la Süddeutsche Zeitung.
Les révélations de « LuxLeaks » sur les pratiques d’évasions fiscales mises en place au Luxembourg au profit de diverses multinationales plongeront-elles l’ancien premier ministre du Grand-Duché 1995-2013) aujourd’hui président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, dans le spleen qu’il a traversé lorsqu’il fut chassé du pouvoir ?La mauvaise gestion des services de renseignements avait coûté à ce dinosaure de la politique son poste de chef du gouvernement luxembourgeois en 2013. Choqué, il aurait passé 48 heures sans passer un seul coup de fil, dit-on, fumant cigarette sur cigarette. Prendre la tête de la Commission lui avait offert un second souffle. Mais voilà que le passé le rattrape.
Compléments en fin d’articles : #UE #CreationUE #UEdesLobbies #Juncker #CIA #Carlyle (#911 / #BUSH / #Laden)
EXPLORE THE DOCUMENTS: LUXEMBOURG LEAKS DATABASE
ICIJ’s Luxembourg Leaks investigation is based on a confidential cache of secret tax agreements approved by Luxembourg authorities, that provide tax-relief for more than 340 companies around the world. These private deals are legal in Luxembourg.
In this interactive application ICIJ has created a visual and searchable database of 548 tax rulings that have been approved by Luxembourg officials with a stamped and signed confirmation letter. In addition, ICIJ is publishing 16 other documents — such as corporate tax returns — related to companies in Luxembourg.
Leaked Documents Expose Global Companies’ Secret Tax Deals in Luxembourg
Contributors to this story: Margot Williams, Edouard Perrin, Emilia Díaz-Struck, Delphine Reuter,Frédéric Zalac, Harvey Cashore, Lars Bové, Kristof Clerix, Julia Stein, Titus Plattner, Mario Stäuble, Minna Knus-Galán, Matthew Caruana Galizia, Rigoberto Carvajal, Christoph Lütgertand Neil ChenowethThe landlocked European duchy has been called a “magical fairyland” for brand-name corporations seeking to drastically reduce tax bills.Pepsi, IKEA, FedEx and 340 other international companies have secured secret deals from Luxembourg, allowing many of them to slash their global tax bills while maintaining little presence in the tiny European duchy, leaked documents show.These companies appear to have channeled hundreds of billions of dollars through Luxembourg and saved billions of dollars in taxes, according to a review of nearly 28,000 pages of confidential documents conducted by the International Consortium of Investigative Journalists and a team of more than 80 journalists from 26 countries.Big companies can book big tax savings by creating complicated accounting and legal structures that move profits to low-tax Luxembourg from higher-tax countries where they’re headquartered or do lots of business. In some instances, the leaked records indicate, companies have enjoyed effective tax rates of less than 1 percent on the profits they’ve shuffled into Luxembourg.The leaked documents reviewed by ICIJ journalists include hundreds of private tax rulings – sometimes known as “comfort letters” – that Luxembourg provides to corporations seeking favorable tax treatment.The European Union and Luxembourg have been fighting for months over Luxembourg’s reluctance to turn over information about its tax rulings to the EU, which is investigating whether the country’s tax deals with Amazon and Fiat Finance violate European law. Luxembourg officials have supplied some information to the EU but have refused, EU officials say, to provide a larger set of documents relating to its tax rulings.Today ICIJ and its media partners are releasing a large cache of Luxembourg tax rulings – 548 comfort letters issued from 2002 to 2010 – and reporting on their contents in stories that will be published or broadcast in dozens of countries. It’s unclear whether any of these documents are among those still being sought by EU investigators, but they are the kinds of documents that go to the heart of the EU’s investigation into Luxembourg’s tax rulings.The leaked documents reviewed by ICIJ involve deals negotiated by PricewaterhouseCoopers, one of the world’s largest accounting firms, on behalf of hundreds of corporate clients. To qualify the companies for tax relief, the records show, PwC tax advisers helped come up with financial strategies that feature loans among sister companies and other moves designed to shift profits from one part of a corporation to another to reduce or eliminate taxable income.The records show, for example, that Memphis-based FedEx Corp. set up two Luxembourg affiliates to shuffle earnings from its Mexican, French and Brazilian operations to FedEx affiliates in Hong Kong. Profits moved from Mexico to Luxembourg largely as tax-free dividends. Luxembourg agreed to tax only one quarter of 1 percent of FedEx’s non-dividend income flowing through this arrangement – leaving the remaining 99.75 percent tax-free.“A Luxembourg structure is a way of stripping income from whatever country it comes from,’’ said Stephen E. Shay, a professor of international taxation at Harvard Law School and a former tax official in the U.S. Treasury Department. The Grand Duchy, he said, “combines enormous flexibility to set up tax reduction schemes, along with binding tax rulings that are unique. It’s like a magical fairyland.”FedEx declined comment on the specifics of its Luxembourg tax arrangements. Other companies seeking tax deals from Luxembourg come from private equity, real estate, banking, manufacturing, pharmaceuticals and other industries, the leaked files show. They include Accenture, Abbott Laboratories, American International Group (AIG), Amazon, Blackstone,Deutsche Bank, the Coach handbag empire, H.J. Heinz, JP Morgan Chase, Burberry, Procter & Gamble, the Carlyle Group and the Abu Dhabi Investment Authority.For their part, Luxembourg’s officials and defenders say the landlocked nation’s system of private tax agreements is above reproach.“No way are these sweetheart deals,” Nicolas Mackel, chief executive of Luxembourg for Finance, a quasi-governmental agency, said in an interview with ICIJ.“The Luxembourg system of taxation is competitive – there is nothing unfair or unethical about it,” Mackel said. “If companies manage to reduce their tax bills to a very low rate, that’s a problem not of one tax system but of the interaction of many tax systems.”Less than 1 percent
Disclosure of the leaked documents comes at a sensitive time for Luxembourg, a nation with a population of less than 550,000. Amid the EU probe of Luxembourg’s tax deals, former Luxembourg Prime Minister Jean-Claude Juncker is in his first week in office as president of the European Commission, one of the most powerful positions in the EU.Juncker, Luxembourg’s top leader when many of the jurisdiction’s tax breaks were crafted, has promised to crack down on tax dodging in his new post, but he has also said he believes his own country’s tax regime is in “full accordance” with European law. Under Luxembourg’s system, tax advisers from PwC and other firms can present proposals for corporate structures and transactions designed to create tax savings and then get written assurance that their plan will be viewed favorably by the duchy’s Ministry of Finance.“It’s like taking your tax plan to the government and getting it blessed ahead of time,” said Richard D. Pomp, a tax law professor at the University of Connecticut School of Law. “And most are blessed. Luxembourg has a very user-friendly tax department.”The private deals are legal in Luxembourg but may be subject to legal challenge outside the country if tax officials in other nations view them as improper.Luxembourg’s Ministry of Finance said in a statement that “advance tax decisions” are “well established in many EU member states, such as Germany, France, the Netherlands, the U.K. and Luxembourg” and that they don’t conflict with European law as long as “all taxpayers in a similar situation are treated equally.”PwC said ICIJ’s reporting is based on “outdated” and “stolen” information, “the theft of which is in the hands of the relevant authorities.” It said its tax advice and assistance are “given in accordance with applicable local, European and international tax laws and agreements and is guided by a PwC Global Tax Code of Conduct.”In its statement PwC said media do not have “a complete understanding of the structures involved.” While the company can’t comment on specific client matters, it rejects “any suggestion that there is anything improper about the firm’s work.”ICIJ and its media partners used corporate balance sheets, regulatory filings and court records to put the leaked tax rulings in context. News organizations that have worked together on the six-month investigation include The Guardian, Süddeutsche Zeitung and NDR/WDR in Germany, the Canadian Broadcasting Corporation, Le Monde, Japan’s Asahi Shimbun, CNBC, Denmark’sPolitiken, Brazil’s Folha de S. Paulo and others.U.S. and U.K. companies appeared more frequently in the leaked files than companies from any other country, followed by firms from Germany, Netherlands and Switzerland. Most of the rulings in the stash of documents were approved between 2008 and 2010. Some of them were first reported on in 2012 by Edouard Perrin for France 2 public television and by the BBC, but most of the PwC documents have never before been analyzed by reporters.The files do not include tax deals sought from Luxembourg authorities through other accounting firms. And many of the documents do not include explicit figures for how much money the companies expected to shift through Luxembourg.Experts who’ve reviewed the files for ICIJ say the documents do make it clear, though, that the companies and their advisors at PwC engaged in aggressive tax-reduction strategies, using Luxembourg in combination with other tax havens such as Gibraltar, Delaware and Ireland.The documents show that:
- The Pepsi Bottling Group Inc., a New York-based unit of PepsiCo, used subsidiaries in Luxembourg to arrange a series of loans among sister companies that allowed the bottler to reduce its tax rate on its $1.4 billion purchase of a controlling interest in JSC Lebedyansky, Russia’s largest juice maker. At least $750 million of the money involved in the Russian deal traveled through a Luxembourg subsidiary named Tanglewood, before landing in a Pepsi subsidiary in Bermuda. Luxembourg acted as a tax-reducing conduit as the profits moved from Russia to Bermuda.
- New York-based Coach Inc.set up two Luxembourg entities to move €250 million in Hong Kong earnings in 2011, an amount it expected to approach €1 billion by 2013. One Luxembourg entity acted as an internal corporate bank, allowing much of the luxury goods maker’s Asian operating earnings to glide through a series of foreign entities in the form of interest payments on money the company loaned itself. Filings in Luxembourg showed that in 2012, the company paid €250,000 in taxes on €36.7 million in earnings channeled into Luxembourg – a rate of well under 1 percent.
- IKEA has used Luxembourg as part of a tax-savings strategy almost as complicated as the retail chain’s ready-to-assemble furniture. IKEA operates through two independent groups of companies: IKEA Group, which controls most of the 364 iconic IKEA big-box stores and Inter IKEA Group, which oversees franchise operations. Inter IKEA’s structure includes a Luxembourg holding company, a Luxembourg finance company, a Liechtenstein foundation and a Swiss finance arm. Leaked documents show IKEA’s Luxembourg operations opened the Swiss subsidiary in 2009 to outsource part of their financing operations to yet another low-tax jurisdiction, allowing the company to save taxes both in Luxembourg and in Switzerland.
- Belgium’s richest family, the billionaire de Spoelberch dynasty, obtained a private tax ruling from Luxembourg in 2008. The de Spoelberch clan, part of the country’s old nobility and close to the royal family, holds a big stake in ABInbev, the world’s biggest brewer whose labels include Budweiser, Stella Artois, Corona and Beck’s. The records indicate the de Spoelberch’s routed €2 billion through Ireland and then Luxembourg, reducing taxes with each step. The only sign of Luxembourg companies controlled by the family appears to be a small letter box at an address that lists nearly 190 other companies.
- Even the Canadian government got a private Luxembourg tax ruling. In 2008, the Public Sector Pension Investment Board, which manages pensions for all Canadian federal employees, including the Royal Canadian Mounted Police, bought real estate in Berlin. The pension board set up Luxembourg companies that helped it sidestep German land transfer taxes. A complex internal loan structure allowed the board to pay minimal taxes in Luxembourg on income from the German properties. The investment board has a Luxembourg office – a place where desks can be rented by the month and where two employees watch over $600 million in European investments.
The Canadian pension board and Inter IKEA both said their tax planning complies with all laws and regulations. The Canadian fund argues that because it has tax-exempt status in Canada, it ultimately gained “no tax advantage” by routing investments through Luxembourg. Inter IKEA said its total effective corporate income tax rate is currently around 14 percent.Pepsi, Coach and an accountant for the de Spoelberch family’s Luxembourg holdings declined to comment on the specifics of their tax arrangements.“This is the first time really that we’ve seen inside the workings of Luxembourg as a tax haven,” said Richard Brooks, a former U.K. tax inspector and author of the book The Great Tax Robbery, who was hired by ICIJ to help review some of the leaked documents. “The countries . . . that are losing money, they don’t know about it, don’t know how it operates at all.”Gilded Age
Last month, in the Gilded Age splendor of New York’s private Metropolitan Club, Pierre Gramegna, Luxembourg’s minister of finance, tried to woo the Wall Street crowd with some premier cru wine and a little levity. He told assembled financiers that he wanted to dispel the myth that his tiny country is nothing more than a tax haven: “Luxembourg is not an offshore place. I say it loud and clear.”What he got back was hearty round of laughter.In the wake of the EU’s probe of its tax practices, Luxembourg officials continue to bristle at their nation’s tax haven label. The country, a founding member of the EU, boasts of being a multi-lingual nation in the heart of Europe with a business-friendly and stable government. Once primarily a steel-maker and manufacturer, Luxembourg has transitioned into a financial center rivaling London, New York or Hong Kong. With $3.7 trillion in assets under management by banks and other institutions, Luxembourg is second only to the U.S. as a global investment center.More than 170 of the Fortune 500 companies have a Luxembourg branch, according to Citizens for Tax Justice, a nonprofit research and advocacy group. A total of $95 billion in profits from American corporations’ overseas operations flowed through Luxembourg in 2012, the most current statistics from the U.S. Bureau of Economic Analysis show. On those profits, corporations paid $1.04 billion in taxes to Luxembourg – just 1.1 percent.Other tax havens, Ireland for example, openly advertise rock-bottom corporate tax rates of 12.5 percent. Luxembourg instead maintains a statutory tax rate of 29 percent, but the leaked files show that the duchy has routinely approved tax rulings that whittle down what counts as taxable income to practically nothing. This can drop Luxembourg’s effective tax rate deep into single digits.PwC sells Luxembourg as a place with “flexible and welcoming authorities” who are “easily contactable” and offer a “quick decision-making process”Less than 30 percent of the tax deals in the leaked documents include a specific figure for the amount of money that companies said they planned to “invest” through the Luxembourg agreements. The total for those deals was roughly $215 billion between 2002 and 2010. The figure would likely grow to several hundred billion dollars if projected investments in other deals in the leaked PwC documents were included. And the overall figure for money shuffled through Luxembourg as the result of confidential tax agreements would grow even larger if tax deals arranged through other accounting firms were included.PwC’s letters seeking special tax rulings were usually 20 to 100 pages long. They detail various financial strategies and then specify the tax treatment the accountants expect to get for their clients – suggesting, for example, that dividends be treated as tax-free interest.The leaked tax rulings indicate that negotiations were conducted in private meetings between PwC accountants and Luxembourg tax officials. PwC’s written proposals were often approved the same day they were submitted.The deals can be so complex that PwC accountants frequently include “before” and “after” diagrams to illustrate how money flows from subsidiary to subsidiary and across different countries and tax havens. The leaked records show that Luxembourg’s 2009 tax deal for Illinois-based Abbott Laboratories – which makes arthritis drugs and Ensure meal replacement shakes – features 79 steps including companies in Cyprus and Gibraltar. Abbott projected it would invest as much as $50 billion via Luxembourg.A spokesperson for Abbott declined comment.In a 2009 presentation, PwC highlights Luxembourg as a place with “flexible and welcoming authorities” who are “easily contactable” and offer a “readiness for dialogue and quick decision-making process.”Most of the leaked tax rulings were approved and signed by the same tax official, Marius Kohl, now retired. Sometimes known in tax circles as “Monsieur Ruling,” Kohl was described by one Belgian newspaper as “the guardian of the only door through which companies can enter the fiscal paradise of Luxembourg.” During his time as head of a Luxembourg agency called Sociétés 6, Kohl oversaw the approval of thousands of tax agreements, personally signing as many as 39 in the course of a single day. The Wall Street Journal has reported that since Kohl retired in 2013, it can take up to six months for a tax ruling to be approved.A woman who answered the phone at Kohl’s home told an ICIJ reporter that he wasn’t interested in talking. In a recent interview with The Wall Street Journal, Kohl said: “The work I did definitely benefited the country, though maybe not in terms of reputation.”When a Journal reporter asked whether the prices that companies’ Luxembourg affiliates charged sister companies outside the country for the use of intellectual property and other services were accurate, Kohl licked his thumb and held it in the air.“There was no way to verify it,” he said.Financial Power
Luxembourg’s economy benefits from a growing cadre of lawyers, accountants, and financiers who are hired to appear before the tax authorities. PwC, for example, said in 2013 that it had more than 2,300 employees in Luxembourg and that it expected to add another 600 in 2014.Sprawling office parks of high-rise towers, not unlike those outside of Dallas or in northern Virginia, bustle with energy. Construction cranes dot the skyline. The International Monetary Fund reports that Luxembourg has the planet’s highest economic output per capita – $112,473 per person in 2013, more than double the United States ($53,001), France ($44,099) and the United Kingdom ($39,372).“Luxembourg is not what people think it is when you think of a tax haven,’’ Mackel, CEO of Luxembourg for Finance, said. “We make steel and car components and have a logistics industry. Our financial center is diverse with first class funds, insurance, corporate finance and Europe’s leading stock exchange. Luxembourg is about much more than this one issue they try to make of it.’’Still, Luxembourg has many ways to cut tax bills not always seen elsewhere. For example, some 80 percent of royalties on earnings from intellectual property – software copyrights, patents and trademarks, for instance – are exempt from taxes.Corporations that have established toeholds in Luxembourg have made use of financial instruments that shift money around the map to play one country’s tax rules against another. This might be, for instance, a hybrid debt instrument that allows profits to move out of a high-tax EU country to a Luxembourg entity. The profits are treated as interest payments in Luxembourg, where they can be deducted from taxes. In the parent company’s country, they can be treated as dividends and eligible for a tax exemption.The EU recently banned the use of hybrid loans that exploit tax mismatches between country tax systems for companies headquartered in Europe. Luxembourg and other EU members have until the end of 2015 to enact the ban into law within their own borders.As in many tax havens, a Luxembourg office can be just a mailbox. Office buildings throughout the city are filled with brand-name corporate nameplates and little else. Some have offices and no visible employees. One building at 5 Rue Guillaume Kroll is home to more than 1,600 companies; another at 2 Avenue Charles de Gaulle houses roughly 1,450; and a building at 46A Avenue J.F. Kennedy is home to at least 1,300, according to an ICIJ analysis of Luxembourg’s corporate registry.These companies can represent big bucks. From the U.S. alone, direct investment into Luxembourg in 2013 was $416 billion, according to the U.S. Bureau of Economic Analysis. Of that, the vast majority, $343 billion, was in the form of holding companies, which are vehicles to hold securities and financial assets rather than to create local jobs. In fact, Luxembourg represents a tiny fraction of 1 percent – 0.13 percent in 2010 – of all overseas jobs with American companies, indicating it is a place that houses money more than it provides employment.In 2011 Luxembourg passed new rules requiring that Luxembourg-based companies that serve as internal banks for larger corporate structures station a majority of their managers and board members in the Grand Duchy. It’s unclear how these rules are enforced and the Ministry of Finance did not respond to ICIJ’s questions about mailbox companies in Luxembourg.EU probe
Luxembourg’s freewheeling ways are gaining it few friends in nearby Brussels, the EU’s headquarters.The European Commission, the administrative arm of the EU, is investigating whether Luxembourg’s tax rulings for Amazon and Fiat Finance constitute illegal state aid, violating rules that bar EU members from offering deals to one company that are not available to all.“In the current context of tight public budgets, it is particularly important that large multinationals pay their fair share of taxes,” Joaquín Almunia, the commission’s vice president for competition policy until last week, said earlier this year in announcing EU probes into tax practices in Ireland, The Netherlands and Luxembourg.Reuters reported in 2012 that Amazon’s Luxembourg arrangements allowed it to have an average tax rate of 5.3 percent on overseas income from 2007 to 2011. Amazon company filings show that in 2013 the on-line merchant reported revenues of $20 billion from its European operations, which are channeled primarily through Luxembourg.The commission’s Amazon probe focuses on one of the online retailer’s key companies in Luxembourg, Amazon EU S.à.r.l., which handles services to Amazon’s European customers.The commission argues that a generous 2003 tax ruling by Luxembourg authorities allows Amazon EU S.à.r.l. to funnel millions of euros in tax-deductible royalties each year to yet another Amazon company in Luxembourg, a limited partnership that is tax exempted. This tax break and others like it allow Amazon to pay little in taxes in the Grand Duchy on its European sales.The leaked PwC documents show that in 2009 Amazon EU S.à.r.l. reported more than €519 million in royalty expenses while the limited partnership Amazon Europe Holding Technologies SCS had an influx of the same amount “based on agreements with affiliated companies.” Thanks to the royalty expenses and other deductions, Amazon EU S.à.r.l. posted a taxable profit of just €14.8 million and paid €4.1 million in taxes in Luxembourg.A spokesman for Amazon said the company “has received no special tax treatment from Luxembourg—we are subject to the same tax laws as other companies operating here.”As EU authorities are pushing their corporate tax probes, a leading multinational group, the Organization for Economic Cooperation and Development, has proposed a new set of rules that would bar companies from using many common practices to shift profits into tax havens. Approval of the OECD’s proposals, however, is uncertain and years away.Gramegna, Luxembourg’s finance minister, said in an interview with ICIJ in New York that “the European Commission is entitled, by treaty, to look after fair competition and at state aid. They decided to look into Amazon. We are telling the European Commission that everything we’ve done has been within the general principles of the European Union and the OECD.”Adding a political twist to the Brussels probes is Juncker’s rise to the presidency of the European Commission. As Luxembourg’s prime minister, he signed into law the provision that allows companies to write off 80 percent of royalty income from intellectual property.In a speech in July in Brussels, Juncker promised to “fight tax evasion and tax dumping. … We will try to put some morality, some ethics, into the European tax landscape.” But he alsorecently told German television: “No one has ever been able to make a convincing and thorough case to me that Luxembourg is a tax haven. Luxembourg employs tax rules that are in full accordance with European law.”At a press conference two weeks ago, Juncker promised he wouldn’t try to influence regulatory cases involving Luxembourg: “I won’t abuse my position in order to pressure commissioners to make different decisions regarding Luxembourg than they would regarding similar cases.”Many observers are skeptical Luxembourg and its allies will give up the country’s flexible tax regime without a battle.Jürgen Kentenich, chief tax fraud investigator in the German city of Trier, which lies near the border with Luxembourg, worries that big companies and their accountants will keep finding ways to take advantage of the deals offered by Luxembourg and other financial havens, while smaller companies and average taxpayers are left to make up the what’s lost in tax revenues.“It’s always the same story,” he said in an interview with ICIJ’s partner, the Canadian Broadcasting Corporation. Accounting firms are always coming up with fresh ways to cut tax bills “and lawmakers and tax authorities are always behind, always chasing.”
Et, lorsque je vous disait, mes chers lecteurs que les solutions sont dans la bio-diversité, en tout cas pour nos problèmes de santé. Que les plantes, comme en Amazonie ou dans les forêts de Nouvelle Guinée sont une source, même pour nous assurer une longévité, sauf que, sauf que, la forêt amazonienne disparaît, celle de Bornéo agonise et que la bio-diversité en général nous abandonne à l'industrie pharmaceutique qui désormais nous empoisonne.
(source : Daily geek show)
Des scientifiques découvrent la vertu prodigieuse d’une plante rare qui détruit les tumeurs cancéreuses
Les chercheurs du monde entier essayent de trouver une arme pour détruire le cancer. La solution pourrait bien venir des plantes ! En effet, des scientifiques australiens ont extrait une molécule d’une graine capable de nécroser les tumeurs. On vous en dit plus sur cette révolution issue de la nature.
Des scientifiques de Brisbane appartenant au laboratoire pharmaceutiqueQBiotics ont découvert les étonnantes propriétés anticancéreuses d’une baie de l’arbre australien appelé Blushwood tree (littéralement « arbre au bois rouge » de nom scientifique Hylandia dockrillii) endémique auplateau d’Atherton situé à l’extrême nord de l’État de Queensland en Australie.
D’après ces chercheurs, cette molécule serait efficace par application et surtout par injection dans la tumeur. Elle permettrait de remplacer unechimiothérapie et lutterait efficacement contre de nombreux cancers comme les mélanomes, le cancer du sein, le cancer des poumons et le cancer de la prostate. En effet, elle est très efficace contre les tumeurs solides et localisées, il n’y a aucune preuve qu’il soit efficace contre les cancers métastatiques.
Les premiers tests ont d’abord été portés sur des chiens, des chats, des chevaux puis sur des diables de Tasmanie, ces marsupiaux carnivores décimés par une épidémie de cancer de la face. Des essais précliniques sur des souris viennent d’être réalisés par un établissement indépendant, l’institut de recherche médicale QIMR Berghofer. Les résultats publiés dans la revue scientifique Plos One se sont révélés positifs et la régression de la tumeur est durable dans 70 % des cas.
La molécule que renferme cette graine a été baptisée EBC-46, elle active la protéine kinase C (PKC) comme le fait le célèbre ester de phorbol (PMA) mais l’EBC-46 est beaucoup plus rapide et agit en seulement quelques heures contre plusieurs semaines pour une chimiothérapie classique. Dr Glen Boyle du QIMR Berghofer explique que le composé fonctionne de trois façons : tuant la tumeur, coupant son approvisionnement en sang et activant le système immunitaire pour qu’il nettoie la zone concernée.
QBiotics a obtenu l’approbation éthique pour commencer les essais humains. S’ils s’avèrent aussi positifs que les précédents sur les animaux, la recherche portera alors sur une manière de synthétiser le EBC-46 et il faudra apprendre à cultiver le Blushwood tree partout dans le monde.
Cette découverte est très encourageante et pleine d’espoir ! Au bureau, on félicite les scientifiques qui ont isolé ce composé miracle malgré son extrême rareté. On a hâte de connaître les résultats des tests humains et on espère qu’ils seront positifs. Et vous, pensez-vous que la nature nous offrira l’arme qui viendra à bout du cancer ?"
En attendant, aux States où la finance a jeté des dizaines de milliers de gens à la rue avec l'histoire des intérêts variables sur l'achat d'habitation, maintenant, ils voudraient qu'ils crèvent et dégagent du paysage.
C'est ça, la société qu'admire sarko l'ancien président français et que voudrait nous imposer valls, l'actuel premier ministre français.
Déjà que le président de la JP Morgan nous annonce une crise plus dure que la précédente du fait que les fonds propres des banques ne serviront pas à rembourser les comptes courants, alors que nos gouvernements n'ont rien fait réellement pour cadrer les banques, je vous le dis mes chers lecteurs, "Il y quelque chose de pourri au royaume du Danemark.
(source : Countercurrentnews.com)
Woman Fined For Feeding The Homeless Tells Police: ‘This Is My Church and This Is How I Pray’
Joan Cheever was recently stopped and cited by police for the “crime” of feeding the homeless. But this a San Antonio woman accused police of infringing on her free exercise of religion, which requires her to feed the homeless.
Cheever said that she received a citation Tuesday for literally nothing other than feeding the homeless. She now faces a penalty that could reach up to $2,000.
But Cheever told the officers who arrived at the scene to ticket her, that she has “a legal right to do this.”
Police officer Mike Marrota disagreed. To him, whatever the state says, goes… even if it contradicts the Constitution that he swore to uphold.
Cheever told Texas Public Radio, that when Officer Marrota asked what she meant by that statement, she cited the state’s own Religious Freedom and Restoration Law, which reaffirms her Constitutional right to religious liberty. Since her religion tells her that it is an obligation to feed the homeless, citing her for doing so is a violation of the Constitution, as well as the Religious Freedom and Restoration Law.
“I have a law degree, I gave them, memorandums of law telling them why they can’t do this,” Cheever explained to Mic.
“I don’t believe that the anti-gay use of Religious Freedom and Restoration Law was appropriate,” she explained further. That’s because she claims religions to not require people to not serve people they disagree with. But they do, however, require them to feed the homeless.
That’s part of the reason why Cheever started a nonprofit called The Chow Train.
“With me and the chow train, I don’t care if you’re gay or straight, Jew Buddhist, Communist, Christian, the only thing we care about is, are you hungry,” she said.
The 501(c)(3) organization serves food to San Antonio’s homeless population every Tuesday. But the cops were not moved by the religious act of charity. They “said ‘Ma’am, if you want to pray, go to church.'”
She quickly retorted: “I was raised Catholic, I still consider myself Catholic. This is my church and this is how I pray.”
The officers were again unmoved. They cited Cheever for serving food without a permit.
As it turns out though, she did have a permit that is up to date and valid. That permit says she absolutely can serve food. She showed a copy to the officers.
“They didn’t really know what to charge me with,” she added.
Officer Marrota didn’t back down. He basically said “tell it to the judge,” saying that she could present this permit in court on June 23.
(Article by Reagan Ali)
Mais, il n'y a pas que l'Amérique qui craint, l'Europe abandonne sous l'injection des banquiers et du patronat sa protection sociale.
(source : Trends.be)
La pauvreté et l'exclusion sociale menacent 125 millions d'Européens
S'acheter une voiture, faire réparer les fuites de son toit ou aller chez le dentiste : pour des millions d'Européens, ces dépenses sont difficiles, voire impossibles à assumer.
Eurostat publiait le 16 avril les tout premiers chiffres de la pauvreté en Europe de 2014. Seules les statistiques de trois pays ont pour l'instant été dévoilées : celles de l'Autriche, de la Hongrie et de la Lettonie. Pour les deux derniers, les nouvelles semblent plutôt bonnes. Le risque de pauvreté ou d'exclusion sociale y a baissé de 2,4 points de pourcentage. Mais il reste malgré tout très élevé. Plus d'un tiers de la population serait ainsi concerné. En 2013, dans toute l'Europe, la moyenne était à 24,5%, le pays le plus touché étant la Bulgarie et ses 48%, et le moins touché l'Islande, avec 13%.
Un cinquième de la population en situation de privation
Derrière ces chiffres se cache une réalité souvent méconnue. Celle de 125 millions d'Européens qui vivent dans une situation de risque de pauvreté ou de privation matérielle sévères. Parmi eux, on trouve surtout des femmes, de jeunes adultes, des étrangers, des chômeurs, ou des personnes peu éduquées. D'autres facteurs jouent aussi, comment le nombre d'enfants dépendants du foyer, ou la situation familiale. Ainsi, d'après un rapport d'Eurostat publié il y a quelques mois, plus de la moitié des personnes vivant dans un foyer unipersonnel ou monoparental, avec des enfants dépendants serait touchée par ce risque.
Ce même rapport révèle que nous sommes encore loin des objectifs fixés par l'Union Européenne dans son opération "Europe 2020". Depuis son instauration il y a cinq ans, le programme qui devait mettre 20 millions d'habitants à l'abri du risque de pauvreté n'a pas vraiment fait avancer les choses. Pire encore, dans la plupart des États membres, le risque a augmenté entre 2008 et 2013.
Pour mieux rendre compte de la situation de ces populations démunies, Eurostat a mené toute une série d'études statistiques sur le terrain. L'agence y a avant tout étudié le rapport aux privations matérielles. Un peu moins d'une dizaine de critères ont été retenus, parmi des produits jugés très utiles voire indispensables au bien-être par la plupart des Européens. Un cinquième de la population serait considérée en situation de privation d'après l'étude, qui se focalise sur l'Union Européenne.
Le logement et la santé, deux priorités
La qualité de l'habitation regroupe plusieurs des critères. Eurostat a cherché à évaluer "la capacité des gens à s'offrir un habitat adapté, de qualité décente, et dans un environnement sûr". Les résultats sont pour le moins éloquents. 17% de la population vivrait actuellement dans des logements surchargés par exemple. Le taux le plus faible revient à la Belgique, avec 1,6%. Lorsque la maison n'est pas trop petite, elle est malheureusement bien souvent de mauvaise qualité. Le problème le plus fréquent serait lié à l'isolation : fuites dans la toiture, humidité sur les murs, les sols, pourriture autour des portes. 15,1% des personnes interrogées ont cité cet aspect en premier lieu. Viennent ensuite les problèmes liés à l'environnement, comme les nuisances sonores ou l'insécurité. Sur le point du logement, il y a de quoi se montrer optimiste. Depuis 2008, ces chiffres baissent constamment (même si 2,7% des logements ne sont toujours pas équipés de toilettes). Globalement, en dépit des problèmes, les Européens se disent très majoritairement satisfaits de leur chez-soi. Les personnes âgées seraient d'ailleurs les premières à le revendiquer.
Vient ensuite le problème de la santé. Au quotidien, l'alimentation pose toujours problème. Parmi les personnes en risque de pauvreté, un quart se disent incapables d'avoir un repas comportant une viande, un poisson ou un équivalent végétarien tous les deux jours. En Europe de l'Est, ce chiffre grimpe très vite, pour atteindre souvent la moitié de cette population. A titre d'exemple, si le taux n'est qu'à 3,7% au Luxembourg, il atteint des sommets en Bulgarie, avec 82,7%.
Autre difficulté, celle à se soigner. Du côté des enfants, à partir de l'âge de trois ans, les taux sont plutôt bons, c'est-à-dire supérieurs à 80% en moyenne. Au niveau de la population globale, les résultats sont en revanche très contrastés. Le taux d'insatisfaction peut atteindre 23,9% chez les plus de 65 ans. Ce sont principalement des femmes qui se plaignent de leur état de santé et de leur accès aux soins. Cependant, comme le rappelle Eurostat dans son rapport, il faut rester méfiant vis à vis de ces chiffres, qui pourraient aussi trouver une explication dans l'augmentation de l'espérance de vie. Les coûts élevés des soins restent une barrière rédhibitoire pour 2,2% des Européens, et pour 4,6% d'entre eux lorsqu'il s'agit de soins dentaires. Là encore, ces chiffres varient beaucoup en fonction des pays, et surtout, des systèmes de remboursement des soins de santé qui y sont mis en place.
Les jeunes plus exposés au risque de pauvreté
Le rapport révèle aussi que près de 40% des personnes risquant la pauvreté ou l'exclusion sociale seraient incapables de faire face à certaines dépenses financières. Pour les femmes vivant seules, le pourcentage grimpe jusqu'à 50%. Dans les foyers monoparentaux, on atteint même 68%. Se payer des vacances loin de chez soi, une semaine par an, est alors devenu impossible pour près de la moitié de ces Européens. Un dixième d'entre eux ne peut s'acheter une voiture, un vingtième un ordinateur, un centième une machine à laver. 0,3% n'espèrent pas non plus pouvoir se munir d'un téléviseur couleur.
Globalement, les jeunes sont plus touchés par ces problèmes que les personnes âgées, exception faite de quelques pays dont fait partie la Belgique. Cela pourrait expliquer qu'ils soient toujours plus nombreux à rester vivre chez leurs parents, jusqu'à plus de trente ans parfois. Ils seraient toujours 48,2% âgés de 18 à 34 ans à privilégier ce mode de vie, par choix, mais aussi bien souvent par obligation. Un taux largement boosté par la Slovaquie, où 95,8% des 18/24 ans dorment toujours sous le toit familial.
La crise économique n'a rien arrangé à ces chiffres, et l'exemple de la Grèce est à ce titre révélateur. 73,1% de sa population estimait au moment de l'enquête avoir quelques ou beaucoup de difficultés à joindre les deux bouts. La moyenne européenne, elle n'excédait pas les 30%... Il reste donc encore un peu de travail d'ici 2020.
vvv
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