(blog à finir et à corriger)
Ils nous prédisent tous que ça va péter, mes chers cinq lecteurs, mais, ils oublient de nous dire que c'est eux qui l'organisent pour pouvoir continuer à contrôler la planète. Si, les états, G20, G truc, G machin avaient vraiment agi pour contrôler les banques et les flux financiers dont les paradis fiscaux, au lieu de faire semblant en nous prenant pour des crétins, ils n'auraient pas pu nous préparer la plus grosse crise à venir, celle qui va laisser tous les citoyens sur le carreau et leur permettre de prendre directement, sans intermédiaire élus, le contrôle de nos vies.
Il va y avoir du sang, sauf que cela sera le nôtre !
Et, oui, que voulez-vous, mes chers lecteurs, lorsqu'en France nous avons eu comme président, un chef de bande, sarkozy et que nous avons actuellement, un petit bourgeois bedonnant, sans perspective pour la France que celle de se soumettre à la finance de Wall Street et de la City et des multinationales, cela donne de plus en plus de précarité pour les français.
(source : Infowars.com)
Et, tous, nous le disent tous !
(source : Express.be)
Ils nous prédisent tous que ça va péter, mes chers cinq lecteurs, mais, ils oublient de nous dire que c'est eux qui l'organisent pour pouvoir continuer à contrôler la planète. Si, les états, G20, G truc, G machin avaient vraiment agi pour contrôler les banques et les flux financiers dont les paradis fiscaux, au lieu de faire semblant en nous prenant pour des crétins, ils n'auraient pas pu nous préparer la plus grosse crise à venir, celle qui va laisser tous les citoyens sur le carreau et leur permettre de prendre directement, sans intermédiaire élus, le contrôle de nos vies.
Il va y avoir du sang, sauf que cela sera le nôtre !
Et, oui, que voulez-vous, mes chers lecteurs, lorsqu'en France nous avons eu comme président, un chef de bande, sarkozy et que nous avons actuellement, un petit bourgeois bedonnant, sans perspective pour la France que celle de se soumettre à la finance de Wall Street et de la City et des multinationales, cela donne de plus en plus de précarité pour les français.
(source : Infowars.com)
LORD ROTHSCHILD WARNS INVESTORS OF ‘MOST DANGEROUS GEOPOLITICAL SITUATION SINCE WWII’
Head of £2.3 billion trust says wealth preservation is the key
Lord Jacob Rothschild has warned investors that the world is mired in the most dangerous geopolitical situation since World War II.
The 78-year-old chairman of RIT Capital Partners, a £2.3bn trust, used the organization’s annual report to caution savers that the focus of the firm would be the preservation of shareholders’ capital and not short term gains.
Rothschild said that “a geopolitical situation perhaps as dangerous as any we have faced since World War II” has created a “difficult economic background” of which investors should be wary.
Rothschild, whose business associates include Warren Buffett and Henry Kissinger, blamed the fraught climate on, “chaos and extremism in the Middle East, Russian aggression and expansion, and a weakened Europe threatened by horrendous unemployment, in no small measure caused by a failure to tackle structural reforms in many of the countries which form part of the European Union”.
“RIT is popular among private investors thanks to its excellent track record and its conservative approach to conserving capital,” notes the Telegraph’s Richard Dyson. Rothschild and his daughter Hannah jointly own shares in the trust worth approximately £160m.
Rothschild’s warning follows reports from January’s Davos Economic Forum during which it was revealed that the wealthy are purchasing secret hideaways in remote locations in order to escape social upheaval and possible riots.
Economist Robert Johnson made headlines when he divulged that “hedge fund managers all over the world….are buying airstrips and farms in places like New Zealand because they think they need a getaway.”
Johnson cited income inequality and the potential for civil unrest and riots as the reason for the panic.
“A lot of wealthy and powerful people are quite afraid right now – they see us on an unstable trajectory,” said Johnson. “As the system doesn’t have proper resources, as it doesn’t represent people, things are getting more and more dangerous as say Ferguson, Missouri brings to bear.”
Realtors in New Zealand subsequently confirmed the flight to safety by the elite, noting that “paranoia” and concerns about personal safety and global crises were driving the trend.
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Paul Joseph Watson is the editor at large of Infowars.com and Prison Planet.com.
Et, tous, nous le disent tous !
(source : Express.be)
'L'économie mondiale est sur le point de disjoncter, et ce, pour 4 raisons'
David Stockman a travaillé comme directeur de l'Office of Management and Budget sous la présidence de Ronald Reagan. Peu de gens comprennent l'économie mondiale mieux que lui. Sur le blog financier Peak prospérité, Stockman affirme que l'économie mondiale se trouve désormais dans une phase de «crack-up » (« disjoncter ») et ce, pour ces quatre raisons:
1. Le nombre croissant d'actions désespérées de répression financière des banques centrales
Chaque semaine, une nouvelle banque centrale du monde abaisse ses taux d’intérêt jusqu’à les rendre négatifs pour tenter de faire repartir l’économie. Plusieurs pays ont mantenant des taux d'intérêt négatifs. Selon Stockman, cela ne pourra pas durer: les banques centrales ont perdu le contrôle et elles se sont engagées dans une course vers la chute, élaborant des théories de plus en plus contradictoires au fur et à mesure.
2. La volatilité et le désordre croissants sur les marchés financiers
Au cours des 3 derniers mois, les marchés boursiers se sont comportés comme des marins ivres. Mais derrière, ce ne sont qu’un paquet de robots et de traders qui font tout de ce qu’ils peuvent pour interpréter correctement les graphiques et les données. Le marché boursier est totalement déconnecté de l'économie réelle. Les taux d’intérêts sur les obligations souveraines sont devenus irrationnels, dit Stockman. Ils ne tiennent que par la seule promesse de Draghi que la BCE en achèterait massivement. Mais tous les pays européens sont pris dans le piège de la dette, les risques sont énormes. Ajoutez à cela la possibilité que l'euro ne survive pas. Bientôt, les banques centrales pourraient faillir, et le marché subira alors une sévère correction pour refléter les risques réels induits par toutes ces dettes, et les perspectives peu réjouissantes de l’économie mondiale.
3. La déflation mondiale et les cours mondiaux des matières premières
Les investissements sont maintenant suspendus, ce qui est susceptible de provoquer une énorme déflation sur les matières premières et les prix des produits industriels. Le minerai de fer ne vaut plus que 60 dollars, alors qu’il avait atteint un cours de 200 dollars à son apogée. Le Baltic Dry Index, qui décrit la vitalité du transport maritime, se trouve à son point le plus bas depuis le krach de Lehman Brothers, d’abord en raison d’une chute de la demande, mais aussi en raison d’une surcapacité provenant d’une construction excessive de vraquiers pendant la période où les banques centrales ont inondé le monde avec de l'argent bon marché.Jamais dans l'histoire, il n’y a eu un tel surplus d’investissements, et une telle surcapacité dans l'exploitation minière du minerai de fer, les vraquiers, les aciéries, les usines d'aluminium, et ainsi de suite ...
4. Une demande anémique en raison des montants de dettes
Selon McKinsey, la dette du monde s’élève désormais à 200.000 milliards de dollars, comparativement à 140.000 milliards de dollars au début de la crise. Depuis 2008, la dette totale mondiale a augmenté de 60.000 milliards de dollars. Mais au cours de la même période, le PIB mondial ne s’est développé que de 15.000 milliards de dollars, et il ne s’élève qu’à 70.000 milliards. Autrement dit, près de 60.000 milliards de dollars de dettes ont été générés grâce à l’impression de monnaie des banques centrales, alors qu’à peine 15.000 milliards de dollars de PIB supplémentaires ont été créés. Autant de dette nouvellement créée, pour un rendement aussi faible…
Enfin Stockman cite l'exemple de la Chine, qu’il qualifie de « stupéfiant ». En 2000, la dette du pays se montait à 2.000 milliards de dollars. Aujourd'hui, elle atteint 28.000 milliards de dollars. En 14 ans, la dette de la Chine a été multipliée par… 14. Nulle part dans l’histoire, on ne trouve un exemple aussi frappant, et il est peu probable qu’une économie largement guidée par un système étatique rigide ait pu générer 26.000 milliards de dollars de dette supplémentaire sans que cela s’accompagne d’inefficacités massives et d’erreurs multiples dans le système.
Au moment de la crise de 2008, la Chine se targuait d’un PIB de 5.000 milliards de dollars. Depuis cette époque, il a doublé, alors que la dette est passée de 7.000 milliards de dollars à 28.000 milliards de dollars. Le PIB n’a donc augmenté que de 5.000 milliards de dollars, alors que la dette, elle, a progressé de plus de 20.000 milliards de dollars.
« Ce sont des déformations extrêmes non tenables, si l’on peut employer ce mot, qui ne fait qu’hurler +Danger à l’approche!+. Le chaos est arrivé. Et sa résolution ne va pas être jolie jolie», conclut Stockman."
Eh, oui, mes chers lecteurs, les loups veulent soumettre les peuples avec la complicité de nos élus qui font semblant de pondre des lois pour cadre le système bancaire et qui en fait leur laisse faire leur petite cuisine. Résultat, catastrophe annoncée et lorsque le patron de la JP Morgan nous dit que l'obligation d'assurer un pourcentage de fond propre accélérera la crise, il nous prend pour des "GROS CONS !"
Mais, "MERCI, sarkozy et hollande !"
(source : Trends.be)
"Une nouvelle crise arrive, pire que la précédente"
Dans sa lettre annuelle aux actionnaires, Jamie Dimon s'inquiète des réglementations récentes du gouvernement américain qui engendreront une plus grande difficulté, pour les banques, à réagir efficacement lors de la prochaine crise financière.
"Certaines choses ne changent jamais", prétend le CEO dans sa lettre aux actionnaires qui compte 37 pages. "Une nouvelle crise arrive, et l'impact de celle-ci sera ressenti par les marchés financiers."
Dimon décrit comment les investisseurs réagissent habituellement en temps de crise. Ils veulent, le plus rapidement possible, se débarrasser de leurs actifs à problèmes et recherchent ensuite des valeurs refuges en achetant par exemple des obligations d'état américaines. C'est le phénomène classique de 'run-on-the-market'.
Des règles plus sévères, une pénurie d'effets financiers
D'après le grand patron de JPMorgan Chase, la prochaine crise sera, en plus, beaucoup plus volatile que la précédente, du fait que les règles sont devenues plus sévères pour les banques. Les mesures beaucoup plus sévères imposées aux banques en matière de capital et de liquidité mèneront à ce que ces mêmes banques ne seront plus à même de jouer leur rôle d'amortisseur en cas de chocs sur les marchés financiers. Car les banques hésiteront à prêter de l'argent et à émettre des actions, ce qui engendrera une menace de manque d'effets financiers, d'après Dimon.
En bref, lors de la prochaine crise, les banques en bonne santé auront tendance à resserrer les cordons de la bourse, en conséquence à la limitation de risques que les autorités ont estimé pouvoir leur laisser prendre.
En outre, Dimon souligne que les nouvelles règles rendent l'entrée possible sur le marché d' 'acteurs de crédits non-bancaires' susceptibles de profiter de la crise en prêtant de l'argent à des taux exorbitants.
Malgré la menace d'une nouvelle crise financière, Dimon annonce néanmoins des plans d'expansion. Il veut ainsi pénétrer de nouveaux marchés, avec l'ouverture en 2016 de quelques banques de détail.
(CNN/BO)
Sauf que, sauf que, mes chers lecteurs, l'organisation par les pays émergents d'un nouveau système financiers basé sur l'évitement du dollars va peut-être changer la donne avant qu'ils nous mettent tous sur la paille. Et, oui, pour éviter leur "CRISE", le dollars doit perdre sa position dominante et redevenir une des monnaies d'échange.
(source : Agenceecofin.com)
Mais, pour changer, passons à un peu d'histoire, l'histoire des occasions manquées.
(source : PluXactu.com)
Et, pour changer encore, cette réflexion d'évidence, "Ce n'est pas le premier changement climatique que connaît la planète, alors, pourquoi en faire tout un fromage ?"
(source : Esprit Sciences Métaphysiques)
Donc, comment, ont-ils fait à l'époque ?
Simple, ils se sont installés ou en agrandit les villes qui existaient en amont.
Sauf, qu'ils étaient moins nombreux et qu'à notre époque, cela risque d'être la bousculade !
Mais, passons au front mosanto.
(source : BioAlaune.com)
Et, dans la rubrique, "Il n'y a pas qu'aux States qu'on n'aime pas les pauvres !"
(source : 8E-Etage.FR)
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Sauf que, sauf que, mes chers lecteurs, l'organisation par les pays émergents d'un nouveau système financiers basé sur l'évitement du dollars va peut-être changer la donne avant qu'ils nous mettent tous sur la paille. Et, oui, pour éviter leur "CRISE", le dollars doit perdre sa position dominante et redevenir une des monnaies d'échange.
(source : Agenceecofin.com)
Le yuan chinois de plus en plus utilisé comme monnaie de règlement et de réserve en Afrique
(Agence Ecofin) - L’internationalisation du yuan chinois va crescendo grâce notamment aux étroites relations économiques entre l’empire du milieu et l’Afrique. Après le Ghana, le Nigeria, Maurice et le Zimbabwe, l’Afrique du Sud, pays le plus industrialisé du continent et premier partenaire commercial de la Chine en Afrique, vient de donner son feu vert à l’utilisation du billet rouge comme monnaie de règlement et de réserve.
Une première plate-forme d’échange entre le yuan et le rand sud-africain a été mise en place par les deux pays la semaine écoulée, à l’occasion de la visite du ministre chinois des affaires étrangères en Afrique du Sud. Cette plateforme permettra de faciliter les transactions entre les deux monnaies.
L’utilisation croissance du yuan comme monnaie de règlement et de réserve en Afrique s’explique essentiellement par le volume croissant des échanges commerciaux entre la Chine et le continent, qui a été multiplié par vingt depuis 2000, atteignant plus de 200 milliards de dollars en 2013, soit près de deux fois ceux avec les Etats-Unis.
Une bonne partie de ces échanges est libellée en yuan via l’Exim Bank, la banque chinoise d’import-export. Selon l’outil de suivi du RMB Swift, plus de mille banques dans 85 pays se servent déjà du yuan pour leurs transferts. La banque sud-africaine Standard Bank, dont la banque chinoise ICBC est actionnaire à hauteur de 20 %, autorise déjà les règlements commerciaux en yuan dans seize pays du continent et prévoit qu’au moins 50 % des échanges entre la Chine et l’Afrique seront libellés en yuan d’ici 2016.
La hausse des investissements chinois en Afrique devrait aussi contribuer à une internationalisation à marché forcée du yuan. En finançant directement ses investissements, la Chine renforce ses capacités monétaires, impose le yuan comme une monnaie étalon et affaiblit le dollar américain. De nombreuses banques centrales africaines, comme celle du Nigeria, ont d’ores et déjà l’équivalent de 10 % de leurs réserves en devises étrangères libellés en yuan.
Par ailleurs, la Chine va s’appuyer sur la future Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (AIIB) qu’elle a lancée pour accélérer la cadence de l’internationalisation de sa monnaie. Pékin, qui dispose de 3700 milliards de dollars de réserves en devises étrangères, souhaite en effet que les investissements financés par l’AIIB (50 milliards de dollars dès la première année), le soient en monnaie chinoise. 57 pays, dont l’Afrique du Sud et l’Egypte, font partie des membres fondateurs de cette nouvelle institution.
Selon une étude de la banque HSBC, les échanges en yuan devraient compter pour 50% des transactions réalisées par la Chine à l’étranger d’ici 2020, contre 20% seulement en 2014.
Mais, pour changer, passons à un peu d'histoire, l'histoire des occasions manquées.
(source : PluXactu.com)
L’étrange brevet de Tesla saisi par les Services secrets américains …
MERCREDI 22 AVRIL 2015
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Avec cette invention du génie TESLA dont le brevet fut confisqué par les Services Secrets étasuniens à l’époque. 120 ans après on en découvre toujours plus sur ce génie total qui a marqué l’histoire contemporaine. C’est surtout une news qui permettrait d’expliquer beaucoup de choses, notamment quant aux blacks programs US.
Nikola Tesla – l’homme qui, comme beaucoup le croient, fut presque enterré dans les affres de l’histoire , jusqu’à une récente flambée d’intérêt au cours des dernières décennies. Les inventions de Nikola Tesla et ses percées technologiques sont tellement incroyablement avancées, que beaucoup sont encore déconcertés par ce qu’il a inventé il y a plus de 120 années, qui viennent jusqu’a maintenant au service de la technologie publique.
Les rumeurs qui entourent l’homme sont presque aussi fascinantes que les faits – des histoires de rencontres extraterrestres et autres capacités psychiques étranges entourent la fable et le mythe qui composent l’image contemporaine que beaucoup ont de Nikola Tesla … et, parfois, c’ est- pour une bonne raison.
Récemment, Rise Earth a rapporté un brevet très, très intéressant que Tesla avait présenté, avec sa conception picturale – intitulé «Premiere soucoupe volante du monde » – et l’ illustration ressemble à un OVNI que vous verriez dans un film de Steven Spielberg – la partie la plus étrange ? Le brevet a été déposée il y a plus de 100 ans.
Nikola Tesla est considéré comme l’un des hommes les plus innovants et mystérieux qui ait jamais vécu.
Si Tesla n’avait pas fait des inventions et des recherches comme il le fit fait en son temps, notre technologie aujourd’hui serait bien moins avancée. Mais reste-t-il quelque chose de plus de Tesla ?
A-t-il en fait eu des contacts avec les aliens comme il l’a proclamé publiquement ? Il est l’un des inventeurs les plus étonnants que notre civilisation ait jamais connu et ses connaissances et idées allaient bien au-delà de ce qui a été connu à l’époque, Tesla était un génie, et ses inventions et idées n’ avait pas de limites.
Il y a plus de cent ans, au cours de la première décennie du XXe siècle, Tesla a déposé une demande de breveter pour un avion particulier, qu’il a appelé « la premier soucoupe volante au monde. »
Les méthodes utilisées dans la conception de la soucoupe volante correspondaient aux descriptions de ceux qui ont affirmés avoir vu un OVNI de l’intérieur: avec un condensateur discoïde d’une taille suffisante pour fournir une poussée suffisante pour voler, tandis que d’autres petits condensateurs destgnés à contrôler la direction de la soucoupe volante, à laquelle il a ajouté un système de stabilisation gyroscopique et un contrôle électrique « de pilotage ».
Fondamentalement, c’ est un avion extrêmement bien conçu, que nous pourrions réussir à construire aujourd’hui. Ou l’avons-nous déjà construit ? Qu’est-il arrivé à cette invention ? Pourquoi ne pas voler dans l’espace avec cette incroyable invention de Tesla?
Le dessin original
Alors que le brevet avait été accordé, l’OVNI ou plutôt appelé OVI car il avait été identifié par l’imagination insatiable de Tesla, avait un inconvénient: puisque l’avion n’avait pas sa propre source d’énergie, il avait besoin d’être alimenté par des tours de la transmission sans fil, des sources « d’énergie libre » de Tesla.
Le manque de financement a conduit à l’abandon du développement des tours, donc, finalement le projet a également sombré dans l’oubli, et l’OVNI ou plutôt l’OVI de Tesla n’a jamais été développé. Mais attendez… jamais ?
En fait, n’en soyez pas si sûr, car les Services Secrets américains ont pris tous les brevets appartenant à Tesla après sa mort «pour des raisons de sécurité nationale. »
Maintenant, si les idées de Tesla étaient si folles, comme certains les avaient classées, pourquoi le United States Secret Service a saisi les brevets pour des raisons de sécurité nationale? Hmmm ça laisse réfléchir à ce sujet pendant une minute.
Les idées du grand Nikola Tesla étaient incroyables et, mieux encore, en avance sur leur temps, beaucoup de ses inventions visaient à aider à la paix du monde grâce à l’accès à l’énergie libre, mais les gouvernements et les financiers de l’époque n’ont pas suivi les progrès de l’esprit de Tesla.
Des années plus tard, ses modèles révolutionnaires et ses projets technologiques ont été utilisés par les n.a.z.i.s (pas de la façon dont il l’avait imaginé), et maintenant nombreux de ses projets sont détenus par les services secrets, loin des yeux du public.
Source : yournewswire.com – resistanceauthentique
(source : Esprit Sciences Métaphysiques)
Héracléion, une cité égyptienne engloutie, retrouvée 1200 ans après
Héracléion, une cité égyptienne engloutie, retrouvée 1200 ans après
L’ancienne cité égyptienne Héracléion fut autrefois une légende, l’homme moderne la connaissait seulement grâce au mythe et aux anciens historiens.
Alors, quand l’archéologue sous-marin français Franck Goddio a découvert ses ruines en 2000, personne ne s’y attendait.
Cependant, malgré tous les obstacles, ils tombèrent sur la cité sous-marine décrépite mais magnifique et, avec elle, un aperçu de son passé glorieux.
Une cité perdue entre légende et réalité, Héracléion, également connue sous le nom de Thonis, était autrefois considérée comme un mythe.
Elle a connu des débuts légendaires, il paraît que Hélène et Paris de Troie y avaient été bloqués avant le début de la guerre de Troie. Il a même été dit que Hercules avait lui-même visité la cité, lui donnant son autre nom.
Les anciens historiens Hérodote, Diodore, et Strabon ont également mentionné la cité légendaire.
Pourtant, malgré sa forte présence dans l’histoire grecque, avant sa découverte en 2000, aucune trace de la ville n’avait été retrouvée. Jusque-là, les chercheurs n’étaient même pas sûrs que Héracléion et Thonis étaient une seule et même ville.
Cependant, avec la découverte relativement récente, les chercheurs ont acquis des connaissances dessus.
Cette cité anciennement prospère date du 12ème siècle avant JC, et a connu une période de richesse extraordinaire. C’était une ville portuaire, et tous les navires en provenance du monde grec devaient obligatoirement passer par elle. Elle a également eu une importance religieuse, probablement en raison de son temple d’Amon.
Au fil des ans, de nombreux tremblements de terre et inondations se sont abattus sur cette ville, avant qu’elle ne soit engloutie par la mer, probablement en l’an 700 après J.-C pendant 1200 ans.
Héracléion a une superficie globale de recherche de 11 par 15 km et se trouve près d’Alexandrie, en Egypte, dans la baie d’Aboukir. La fouille qui a duré 13 ans a déterré divers objets, dont…
Plus de 60 navires qui ont été enterrés sous l’argile épaisse du lit de la mer Des pièces d’or et des poids en bronze et en pierre De grandes statues de 16 pieds et des centaines de petites statues de dieux mineurs Des dalles de pierres inscrites en grec ancien et en égyptien ancien Plusieurs petits sarcophages en calcaire qui auraient contenu des animaux momifiés Des ancres pour plus de 700 navires
Après Héracléion, une cité égyptienne engloutie, retrouvée 1200 ans après voir aussi:
Simple, ils se sont installés ou en agrandit les villes qui existaient en amont.
Sauf, qu'ils étaient moins nombreux et qu'à notre époque, cela risque d'être la bousculade !
Mais, passons au front mosanto.
(source : BioAlaune.com)
Le Salvador bannit le Roundup de Monsanto et connaît des récoltes records
Le Salvador a tourné le dos aux grandes multinationales semencières et aux phytosanitaires pour favoriser la culture de graines locales. Depuis, le système agricole du pays aurait gagné en durabilité et en productivité.
En septembre 2013, le Salvador votait l’interdiction de 53 produits phytosanitairesà usage agricole. Parmi eux, ce grand pays producteur de café, coton, maïs et canne à sucre retirait du marché le Roundup (glyphosate), désherbant vedette de Monsanto, récemment classé “cancérogène probable” par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Pour protéger le patrimoine semencier salvadorien et assurer la production agricole, le gouvernement de l’ancien président Mauricio Funes lançait en 2011 le Plan pour l’agriculture familiale (FAP). À destination de quelque 400 000 familles d’exploitants, ce plan visait à revaloriser les semences locales et émanciper les petits producteurs des industriels des biotechnologies et de leurs OGM.
En crise, le système agricole était majoritairement dépendant des semences hybrides commercialisées par Monsanto, Pioneer et consort. Avant la mise en œuvre du FAP, 75 % du maïs et 85 % des haricots étaient importés selon le site d’information The Seattle Globalist. Et les plantes cultivées sur le territoire étaient majoritairement issues de graines OGM stériles, non adaptées aux territoires et à leurs particularités, forçant le recours aux intrants chimiques. Réaffirmant sa souveraineté alimentaire, le gouvernement a donc décidé de rompre avec les industries semencières internationales pour favoriser les graines locales.
L’État a alors investit plus de 18 millions de dollars afin de livrer 400 000 exploitants en maïs H-29, développé par le Centre national de la technologie agricole et forestière (CENTA). Le maïs présente l’avantage d’être une variété locale, mieux adaptée aux terres salvadoriennes et plus résistantes à la sécheresse.
Selon le site Natural Society, l’agriculture du Salvador serait en pleine expansion. Le pays aurait connu des récoltes records depuis qu’il a banni certains phytosanitaires.
Si le Salvador s’est détourné des grands groupes internationaux spécialisés dans les biotechnologies, des questions demeurent quant à la pérennité du Plan agricole du pays. Car le maïs H-29, bien que produit localement, est une variété hybride. Il a beau être mieux adapté au territoire du Salvador et nécessiter l’usage de moins d’intrant, il n’en est pas moins stérile.
Si le Salvador s’est détourné des grands groupes internationaux spécialisés dans les biotechnologies, des questions demeurent quant à la pérennité du Plan agricole du pays. Car le maïs H-29, bien que produit localement, est une variété hybride. Il a beau être mieux adapté au territoire du Salvador et nécessiter l’usage de moins d’intrant, il n’en est pas moins stérile.
Mise à jour : Suite à de nouvelles informations, l'article a été modifié le 22 avril 2015. La rédaction remercie Pierre-Alexis Rigaudière pour son éclairage et ses sources.
(source : 8E-Etage.FR)
LES CHÔMEURS, « PARASITES SOCIAUX » DE LA BIÉLORUSSIE, VICTIMES D’UN NOUVEL IMPÔT
Une nouvelle loi, adoptée par décret présidentiel début avril en Biélorussie, oblige dorénavant les chômeurs ne pouvant justifier d’un minimum de 183 jours d’activité sur une année à payer une taxe spéciale. Le pays demeure pourtant l’un des plus pauvres d’Europe. Aux prises avec une économie en berne, nombreux sont les Biélorusses qui dénoncent une mesure qu’ils considèrent comme une tentative de « criminalisation » du chômage. Une pétition en ligne demandant l’abrogation de la loi a d’ores et déjà recueillie plus de 30 000 signatures.
Comme « un retour en 1937 ». « Allez travailler de vous-même ou nous vous y obligerons ». C’est ainsi que Vital Yurchanka résume la loi sur « les parasites sociaux » adoptée au début du mois dans son pays. A cause d’elle, et à l’instar de tous les autres chômeurs du pays n’étant pas en mesure de justifier d’un minimum de 183 jours d’activité professionnelle imposable sur une année, il se voit maintenant obligé de s’acquitter d’un impôt annuel d’un montant de 227 euros (soit un peu plus de trois millions de roubles biélorusses).
Pourtant, il y a quelques années encore, tout semblait vouloir sourire à cet ancien entrepreneur de l’Est de la Biélorussie. Malgré tout, comme les emplois de nombreux biélorusses, la bonne santé de son commerce de chaussures n’aura pas résisté à la crise économique de 2014 — effet domino des sanctions imposées par l’Europe et les États-Unis à la Russie, partenaire économique privilégié de la Biélorussie, en conséquences de ses agissements en Ukraine.
A en croire les chiffres du IPM Research Centre, un think-tank indépendant« spécialisé dans thématiques économiques et sociales », le taux de chômage dans le pays n’aurait jamais été si haut. Il devrait atteindre dans les prochains mois un pic historique pour culminer aux alentours des 8 à 9 % de chômeurs.
Les statistiques officielles apparaissent drastiquement différentes. Elles donnent quant à elles le chiffre de 0,8 % de chômeurs au premier mars de cette année. Selon le site Internet d’information Belarus Digest, une si grande différence ne peut s’expliquer que par une méthode de comptage officielle « biaisée ». Cette dernière ne prendrait en compte que ceux – une toute petite partie des chômeurs – qui se sont inscrits au sein d’agences pour l’emploi.
Quoi qu’il en soit, ces conditions difficiles n’ont aucunement empêché le président biélorusse, Alexandre Loukachenko, de signer, début avril, un décret faisant des chômeurs biélorusses rien de moins que des « parasites sociaux ». La loi, censée avoir été adoptée dans le but de « stimuler les citoyens valides à s’engager dans le marché du travail et ainsi remplir leurs obligations constitutionnelles de participer au financement des dépenses de l’État », rappelle les heures les plus sombres de la période soviétique. Longtemps, le « parasitisme » y avait été considéré comme une infraction car au sein d’un État socialiste « chaque personne valide a le devoir de travailler et de contribuer à la construction d’une société communiste utopique ».
Quant à ceux dans l’incapacité de payer cet impôt annuel ? Ils seront tout simplement sanctionnés par des amendes supplémentaires, voire même, encourront, en dernier recours, une période de détention assortie de travaux communautaires. Selon le décret, seules certaines catégories de citoyens, bien spécifiques — soit les étudiants, les parents ayant la charge de trois enfants ou plus, les mineurs ainsi que les retraités —, ne sont pas concernées par cette loi.
Yurchanka, lui, ne fait partie d’aucune de ces catégories. C’est pour cela qu’il a décidé de lancer une pétition en ligne pour demander l’invalidation d’une loi qu’il juge inique et anticonstitutionnelle, sur le site américain Change.org. Il entend bien la porter à la connaissance des autorités dès qu’elle aura recueilli 35 000 signatures.
Son argument phare ? Un tel impôt serait contraire à la constitution du pays,« censée protéger les intérêts économiques des citoyens et bannir l’imposition de sanctions tel que le service communautaire sans condamnation explicite d’un tribunal ». Lundi 20 avril, la pétition de Yurchanka avait déjà recueillie 30 000 signatures.
Les réactions indignées ne se sont pas non plus fait attendre sur les différents réseaux sociaux. Un hashtag #придумайналогдлябеларуси, qui peut se traduire par #ToiAussiImagineUneNouvelleTaxePourLaBiélorussie invitant les utilisateurs du réseau social à se moquer ouvertement de l’initiative a d’ailleurs vu le jour sur Twitter.
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