lundi 13 avril 2015

(blog à finir et à corriger)

Tiens, donc, mes chers cinq lecteurs, ces gens-là nous veulent trop de bien !

(source : Moins de biens, plus de liens)




Monsanto

Monsanto et bio, c’est un oxymore !
Quelles sont les intentions ?
Racheter les fabricants de produits naturels, et les couler pour occuper la niche ?
Se refaire une image proprette ?
Les paris sont ouverts
(et pas tout vert même si on est dans le bio)
Ok !  je sors….

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De plus en plus d’agriculteurs ont recours à des produits naturels, dits de biocontrôle, pour réduire l’usage de produits chimiques.
Ce qui aiguise l’appétit de Monsanto.

Météo monsanto, semences monsanto, assurances monsanto

Météo monsanto, semences monsanto, assurances monsanto

Les grands de l’agrochimie comme Monsanto s’intéressent de plus en plus aux solutions de « lutte biologique » dans les champs, sous le regard inquiet du ministre de l’Agriculture qui veut préserver le savoir-faire français dans ce domaine.

Pour réduire l’usage de produits chimiques (pesticides, herbicides, fongicides) et doper les productions végétales, de plus en plus d’agriculteurs ont recours à des produits naturels dits de biocontrôle. Loin du purin d’orties, il s’agit de solutions difficiles à produire à grande échelle comme des insectes (les coccinelles mangent les pucerons, le trichogramme lutte contre la pyrale du maïs…), des champignons, bactéries ou phéromones.

L’américain Monsanto place ses pions


De quoi aiguiser l’appétit des fabricants de produits phytosanitaires qui se lancent dans le secteur. En 2012, l’allemand Bayer s’est ainsi emparé de l’américain AgraQuest, spécialiste des pesticides biologiques. La même année, son compatriote BASF a acheté Becker Underwood, qui produit et vend des technologies de semences enrobées de micro-organismes.

Le suisse Syngenta est quant à lui présent sur ces produits depuis 25 ans avec Bioline mais « depuis deux ans, ils le développent très fort », commente Charles Vaury, secrétaire général d’IBMA, association qui regroupe tous les acteurs du biocontrôle en France.

En décembre, l’américain Monsanto a lui aussi posé ses pions, en s’alliant au danois Novozymes, numéro un mondial des enzymes alimentaires et industrielles.

Il faut dire que c’est un marché juteux, qui affiche des croissances à deux chiffres. Selon Monsanto, l’industrie des produits biologiques agricoles représente aujourd’hui environ 2,3 milliards de dollars par an (1,6 milliard d’euros).

Demain des géants du biocontrôle ?


L’arrivée de ces géants inquiète Stéphane Le Foll. « Face aux géants de la chimie, il faut qu’on crée des géants du biocontrôle », ambitionne-t-il.

Car dans ce domaine, la France a une longueur d’avance avec une vingtaine de petites et moyennes entreprises très innovantes sur le sujet comme Goëmar (qui travaille avec des algues notamment), Biotop (fabrication industrielle d’insectes auxiliaires de culture) ou encore Agrauxine qui a mis au point un bio-fongicide contre les maladies du bois de la vigne.

« La France a un atout très fort sur le biocontrôle », assure Charles Vaury. Et le secteur emploie déjà plus de 4.000 personnes dans l’Hexagone, selon lui.

« Comme les groupes tels que Monsanto ont une surface financière plutôt importante, ma crainte, c’est qu’ils viennent avaler ceux qui sont en train de créer des choses nouvelles », explique le ministre de l’Agriculture.

« Je sens énormément d’appétit des grands groupes. Ça bruisse de rumeurs », confirme Charles Vaury.
Exclusive: Facebook censors pictures of children rallying against GMOs during global March Against Monsanto

« Une démarche cosmétique ou véritable ?


Dans ce contexte Stéphane Le Foll a décidé de réunir en mars tous les acteurs français du biocontrôle. « Je veux voir ce qu’on peut faire pour mieux se coordonner, pour mieux se soutenir, pour leur apporter un relais au niveau international », détaille le ministre qui souhaite faire de la France un leader du biocontrôle et de l’agroécologie.

« Il faudrait que cette réunion se traduise en actes concrets », plaide le secrétaire général d’IBMA France.

Car pour les acteurs du biocontrôle, le temps presse et le secteur est en passe de se structurer. « Biotop est trop isolé, il faut voir comment on peut tisser des alliances en France ou à l’étranger. Si on peut rester indépendant c’est mieux mais c’est pas sûr qu’on y arrive », déclareThierry Blandinières, patron d’InVivo, propriétaire de la PME drômoise.

Le porte-parole de Monsanto en France, vante lui les atouts d’être adossé à une grosse structure. Par exemple, « aucune petite entreprise ne peut mettre sur le marché un OGM en raison des coûts de mise sur le marché et de recherche et développement », souligne-t-il.

Agro-alimentaire, environnement et nouvel ordre mondial: le système judiciaire à la botte donne carte blanche à Monsanto


« On a vu Monsanto racheter des sociétés pour les couler », craint pour sa part un expert du secteur ayant requis l’anonymat. « Est-ce que la démarche de ces grands groupes est cosmétique ou véritable ? », s’interroge-t-il.




Bon, mes chers lecteurs, concernant le nouveau désordre mondial organisé par les States et qui pensent-ils leur permet de garder le contrôle sur la planète, cela part plutôt à vau l'eau.
L'OMS qui pointe le roundup de mosanto comme "probablement cancérigène, la Chine et les émergents qui s'organise pour se passer du dollars dans les transactions commerciales et la nouvelle banque de développement chinoise à laquelle tout le monde se rallie, sauf, les States qui râlent.
Ben, peut-être que tous prévoient que le dollars va se péter la margoulette, même peut-être avant l'euro, alors, c'est "SAUF QUI PEUT !"

(source : Le Contrarien Matin)



chine

La BAII accepte cinq autres membres fondateurs potentiels

Nouveaux adhérents pour cette nouvelle concurrente de la banque mondiale lancée par la Chine. Tout le monde y adhère ou presque, laissant les Américains seuls. Désespérément seuls.
Charles SANNAT
BEIJING, 12 avril (Xinhua) – La Hollande, le Brésil, la Finlande, la Géorgie et le Danemark ont été approuvés en tant que membres fondateurs potentiels de la Banque asiatique d’Investissement pour les Infrastructures (BAII), a annoncé dimanche le ministère chinois des Finances.
Cela portera le nombre de fondateurs potentiels à 46, a indiqué le ministère dans un communiqué publié sur son site Web.
Les membres fondateurs auront le droit d’élaborer des règles pour la banque. Des pays qui ont demandé à rejoindre la BAII après le 31 mars seront des membres ordinaires ayant uniquement le droit de vote, et auront moins la parole dans le processus d’élaboration des règles. La liste des membres fondateurs sera finalisée le 15 avril.
La BAII vise à financer les projets d’infrastructures en Asie tels que les routes, les chemins de fer et les aéroports. Elle devrait être établie d’ici la fin de l’année."


Par contre, un pays qui ne pourra adhérer à la BAII, c'est bien l'Ukraine.
Le gouvernement préfère tuer ses propres concitoyens, réduire les salaires, les pensions et retraites diverses, vendre ses meubles plutôt que négocier afin de réduire l'impact de l'austérité sur la vie de ses concitoyens.
Bientôt, les ukrainiens ne pourront même plus tirer leur argent des banques, comment vont-ils faire pour manger, piller les magasins ?

(source : idem)

ukraine insurgés

L’Ukraine en défaut de paiement technique

Standard & Poor’s a dégradé vendredi la note souveraine de l’Ukraine et juge qu’un défaut de paiement sur la dette en devise étrangère de l’Ukraine est désormais presque inévitable.
Pourtant, on se demande ce que font le FMI et l’Union européenne pourtant si prompts à pousser l’Ukraine (de Kiev) dans son bellicisme à l’égard de la Russie et de sa population russophone.
Il est particulièrement étrange de voir que personne ne semble venir en aide à l’Ukraine qui serait donc acculée à la faillite sans soutien financier de l’Occident.
Je me pose une question. La Grèce va-t-elle rester dans l’Europe et l’Ukraine tournée vers Moscou ? Peut-on échanger, dans un nouveau Yalta, la Grèce contre l’Ukraine ?
Suite au prochain épisode, et c’est passionnant !
Charles SANNAT
Une hryvnia qui brûle© Sputnik. Alexander Demyanchuk
Selon Bloomberg, le comité des créanciers privés qui contrôlent près de 50 % des obligations d’État ukrainiennes, pour plus de 10 milliards de dollars, a refusé d’effacer une partie de la dette de Kiev. L’absence d’accord avec les détenteurs de dette signifie que l’Ukraine est techniquement en défaut de paiement.
Le fonds d’investissement américain Blackstone, conseiller des créanciers privés de l’Ukraine, a publié sa recommandation de ne pas effacer une partie de la dette ukrainienne, rapporte l’agence Bloomberg.
Un vote sur la restructuration de la dette de Kiev aura lieu ce vendredi.

La ministre ukrainienne des Finances Natalia Jaresko, ancienne du département d’État américain et ex-directrice d’un fonds d’investissement, a antérieurement appelé les créanciers ukrainiens à effacer la dette de Kiev qui s’élève à 15 milliards de dollars. La restructuration de la dette est la seule possibilité d’encourager la relance économique en Ukraine. Kiev doit se mettre d’accord avec ses créanciers sur l’allègement de sa dette d’ici deux mois, sans quoi le pays risque de ne pas recevoir la deuxième tranche d’aide du Fonds monétaire international (FMI).
Selon 22 analystes du service financier de Bloomberg, Kiev se retrouvera en défaut de paiement s’il ne restructure pas sa dette et ne reçoit pas de nouveaux crédits. L’agence de notation financière Moody’s a dégradé la note de crédit de l’Ukraine en catégorie hautement spéculative et Kiev risque de se retrouver en catégorie de « défaut ». Certains experts estiment que l’Ukraine se trouve déjà en défaut de paiement technique. Selon Alexandre Razouvaïev, directeur du département d’analyse du courtier de devises Alpari, le terme de restructuration signifie déjà le défaut technique. « La restructuration est un terme plus édulcoré signifiant le défaut. Tous les détenteurs de dette ukrainienne, y compris la Russie, essuieront des pertes sérieuses », a indiqué M.Razouvaïev.
Mme Jaresko a elle aussi reconnu de fait que Kiev était en défaut de paiement technique. L’Ukraine doit rembourser 750 millions de dollars d’euro-obligations le 27 avril prochain. « Payer cette somme et mener des négociations avec les créanciers n’a aucun sens. C’est impossible du point de vue psychologique et ça ne s’inscrit pas dans la balance des paiements », a indiqué le ministre des Finances. Cependant, certains experts espèrent que la dette ukrainienne sera restructurée. Le défaut de paiement ne répond pas aux intérêts des créanciers qui ont investi des sommes importantes en Ukraine."


Et, un rappel quand même pour les citoyens américains, il ferait mieux de faire comme l'Islande et récupérer le droit d'émettre leur propre dollars que leur vend la FED, consortium de banques privées qui grâce à la dette a toujours soumis le gouvernement américain.
Faite ça, et une conséquence induite sera que le problème d'un état palestinien se résolvera, par exemple.

(source : Inform'action)

Un changement radical dans l'histoire de la finance moderne: l'Islande veut redonner le monopole de la création de monnaie à sa banque centrale


lllll

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