samedi 18 avril 2015

(blog à finir et à corriger)

Mais, oui, mes chers cinq lecteurs, ils se portent bien, même si des banques font faillite, mettant les petits épargnants sur le carreau, pour eux, c'est toujours Bizance !

(source : Politis)

1 000 milliards de dollars : distribution record à Wall Street


C’est un nouveau record. En 2015, les entreprises cotées à Wall Street s’apprêtent à verser 1 000 milliards de dollars (943 milliards d’euros) sous forme de dividendes ou de rachats d’actions à leurs actionnaires, selon le calcul de plusieurs cabinets d’analyse.
1 000 000 000 000 de dollars, soit l’équivalent du tiers du PIB français (2 902 M en 2014). C’est 10 % de plus que l’année dernière (902 M).
Les 500 plus grosses sociétés américaines distribueront ainsi 400 milliards de dollars en dividendes et 600 milliards de dollars en rachats d’actions pour satisfaire – et retenir – leurs actionnaires, au détriment des investissements dans l’économie réelle.

Les grands patrons inquiets

Même le patron du numéro un mondial de la gestion d’actifs, BlackRock, s’est inquiété mardi dans une lettre ouverte de cette générosité, reprochant aux grandes entreprises leur frilosité à investir et leur court-termisme. «  [Elles] envoie[nt] un message décourageant sur la capacité d’une entreprise à utiliser ses ressources à bon escient », regrette Laurence Fink. Début avril, c’était le PDG de la banque JPMorgan Chase, Jamie Dimon, qui tirait la sonnette d’alarme (lire sur Challenges.fr).

Les fonds activistes

Cette politique qui couvre d’or les actionnaires est accentuée par le chantage des « fonds activistes » qui mettent publiquement la pression sur les entreprises pour faire monter les enchères boursières. Exemple récent : Vincent Bolloré, premier actionnaire de Vivendi, a dû accepter d’augmenter de 2,7 milliards d’euros les dividendes distribués à ses actionnaires d’ici à 2017 après deux semaines d’intenses pressions du fonds américain PSAM, qui détient... 0,8 % du géant français des médias.
Vincent Bolloré déclarait le 9 avril avoir cédé, « même s’il en résulte de moindres marges de manœuvre » pour investir. Dans cette affaire, la victime n’est pourtant pas le milliardaire breton. Il obtient dans ce deal le soutien de PSAM pour l’adoption du système prévu par la « loi Florange », doublant le droit de vote des actionnaires présents depuis au moins deux ans. Bolloré double ainsi son emprise sur le groupe dont il détient 12,01 % du capital."

Et, enfin une réaction concernant la situation ukrainienne, le président français ou devrais-je dire, le petit bourgeois français devenu président pourrait en tirer un enseignement.

(source : Les Moutons enragés)

Le centre Simon Wiesenthal condamne la célébration des collaborateurs nazis en Ukraine et l’interdiction du communisme

Mort au fascisme, affiche soviétique de la seconde guerre mondiale.
En Ukraine, la junte pro-UE de Kiev vient de faire adopter par le parlement la loi 2558 qui vise à interdire le communisme et réprimer les communistes ainsi qu’à glorifier dans le même temps les combattants fascistes alliés des nazis durant la seconde guerre mondiale.
Dans un communiqué du 12 avril, censuré par les grands médias « libres » occidentaux, le centre Simon Wiesenthal condamne fermement cette loi fasciste. Rappelons que derrière la junte de Kiev, soutenue à bout de bras par l’Union Européenne et les USA qui l’ont mise en place lors du coup d’état d’Euromaidan l’année dernière, USA et UE sont également à condamner. En Ukraine comme dans l’ensemble du système capitaliste, il est encore fécond le ventre de la bête immonde. Que l’on soit ou non communiste, et le centre Simon Wiesenthal ne saurait être qualifié de bolchévique, il faut en ces circonstances se souvenir des vers du pasteur Niemoler.


Le centre Simon Wiesenthal condamne les décisions prises par le parlement ukrainien de mettre à égalité le Nazisme et le Communisme et de reconnaître les collaborateur nazis locaux comme des « combattants de la liberté »

soviétique libération camp de concentration« le vote d’une interdiction contre le nazisme et le communisme consiste à mettre à égalité le régime le plus génocidaire de l’histoire humaine avec le régime qui a libéré Auschwitz et contribué à mettre fin au règne de terreur du Troisième Reich  » a déclaré le Dr Efraim Zuroff, directeur pour les affaires d’europe de l’est au centre Wiensenthal.
« Dans le même esprit, la décision d’honorer les collaborateur nazis locaux et de les gratifier d’aides spéciales convertie les hommes de main de Hitler en héros en dépit de leur participation active et zélée dans le meurtre de masse de juifs innocents. Ces tentatives de réécrire l’histoire, qui sont répandues à travers les ex-pays socialistes en Europe de l’Est, ne pourront jamais effacer les crimes commis par les collaborateurs nazis de ces pays, et ne font que clairement prouver qu’ils manquent clairement des valeurs occidentales qu’ils prétendent avoir embrassé à travers leurs transition vers la démocratie » ajoute-t il
Le Centre Simon Wiesenthal se destine à la préservation de la mémoire de l’Holocauste et s’occupe de questions contemporaines, comme le racisme, l’antisémitisme, le terrorisme et le génocide.

vvv

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