(blog à finir et à corriger)
Bon, alors, mes chers cinq lecteurs, la position dominante des Etats-Unis, à cause de la rapacité de sa finance et de ses multinationales, se voit peu à peu rogner.
Mais, soyons sûrs que pour préserver leur position, ils vont se battre, en bon français, ils vont provoquer des conflits sanglants un peu partout dans le monde.
En ce moment, c'est le Venezuela et la Russie qui sont dans leur collimateur.
Concernant, la Russie, les sanctions n'ont pas soulevé les foules sur la place rouge à Moscou.
En Argentine, la pénurie des denrées alimentaires n'a pas encore provoqué la chute du gouvernement.
(source : Le Contrarien Matin)
Bon, alors, mes chers cinq lecteurs, la position dominante des Etats-Unis, à cause de la rapacité de sa finance et de ses multinationales, se voit peu à peu rogner.
Mais, soyons sûrs que pour préserver leur position, ils vont se battre, en bon français, ils vont provoquer des conflits sanglants un peu partout dans le monde.
En ce moment, c'est le Venezuela et la Russie qui sont dans leur collimateur.
Concernant, la Russie, les sanctions n'ont pas soulevé les foules sur la place rouge à Moscou.
En Argentine, la pénurie des denrées alimentaires n'a pas encore provoqué la chute du gouvernement.
(source : Le Contrarien Matin)
La Russie moins dépendante vis-à-vis des systèmes de paiement internationaux
C’est une volonté forte de la Russie mais également de la Chine de disposer de ses propres moyens de paiement électroniques afin de ne pas dépendre des États-Unis. Résultat, même Visa a annoncé qu’elle allait collaborer avec le nouveau système de paiement russe.
Charles SANNAT
© Sputnik. Vladimir Trefilov
Un système national de cartes de paiement a été mis en place en Russie pour sécuriser les opérations effectuées à l’intérieur du pays à l’aide des cartes bancaires Visa et MasterCard.
À partir du 1er avril, les règlements effectués sur le territoire russe à l’aide des cartes bancaires Visa et MasterCard seront traités par le Système national de cartes de paiement (NSPK) mis en place pour contrer toute tentative de couper la Russie du marché mondial des opérations bancaires.
Les experts estiment que les détenteurs de ces cartes en Russie ne s’apercevront pas de ce changement important.
Une tâche ambitieuse a été confiée à l’équipe chargée de créer le NSPK : réaliser un projet d’envergure dans les plus brefs délais.
« Cette tâche a été remplie à merveille », estime Andreï Emeline, président du Conseil national du marché financier.
La présidente du Conseil national des paiements, Alma Obaïeva, a pour sa part attiré l’attention sur la complexité technologique de ce processus qui réunit de nombreux acteurs financiers. Elle espère que toutes les procédures techniques seront accomplies par les systèmes Visa et MasterCard courant avril.
« Un mois suffira pour remplir une tâche aussi grandiose à l’échelle nationale. D’ici début mai, le traitement des cartes bancaires internationales sera effectué conformément aux exigences formulées par la législation en vigueur et aux paramètres technologiques requis en termes de facilité et de fiabilité », a déclaré Mme Obaïeva.
La plus grande banque russe, Sberbank, a annoncé son intention d’achever au cours de la première quinzaine d’avril toutes les procédures nécessaires pour que les opérations réalisées à l’aide de MasterCard soient traitées par le système NSPK. Une autre banque importante du pays, VTB 24, s’est déclarée prête à effectuer ce type de traitements à partir du 1er avril et ce, pour les cartes Visa et MasterCard.
En mars dernier 2014, les groupes américains de cartes bancaires Visa et MasterCard ont cessé sans préavis leurs prestations aux clients des banques russes Rossia et SMP, ainsi que de leurs filiales sanctionnées par les États-Unis et l’Union européenne. Plus tard, ces restrictions ont été levées pour les clients de toutes les banques concernées à l’exception de la banque Rossia.
Fin avril 2014, la Douma (chambre basse du parlement russe) a adopté un projet de loi prévoyant la mise en place en Russie d’un système national de cartes de paiement (NSPK) appelé à sécuriser les règlements pratiqués à l’intérieur du pays.
Et, oui, mes chers lecteurs, la position dominante du dollars s'en va à vau l'eau, et d'ailleurs, de la faute de la finance et des multinationales américaines qui s'imaginent reproduire dans le monde entier ce qu'elles font subir au peuple américain et aux autres.
Un pays comme la Chine a choisi de se protéger et vu ce que les américains font en Ukraine et tentent de mettre en place contre la Russie, elle a plutôt intérêt. Elle a déjà ses propres prédateurs nationaux, inutile qu'elle s'en rajoute d'autres en plus.
(source : L'Echelle de Jacob)
Effondrement du « monde américain » : La « grande fuite » des amis des USA vers l’Asie
VENDREDI 03 AVRIL 2015
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Malgré les efforts déployés par l’administration Obama pour entamer un virage vers l’Asie, la Chine a malgré tout la primeur, qui a réuni autour de sa banque d’investissements les alliés les plus proches de Washington, estime le journaliste américain Wayne Madsen.
La France, l’Italie, l’Espagne, les Pays-Bas et l’Allemagne ont décidé de suivre l’exemple du Royaume-Uni, l’un des premiers à avoir annoncé son intention de se joindre à la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (BAII). Même le dernier bastion du néo-conservatisme américain en Asie, l’Australie, selon le journaliste, sera attiré par la Chine. Le premier ministre australien Tony Abbott a en effet annoncé que son pays « voudrait en savoir davantage sur les mécanismes de gestion » de la BAII, révélant que l’Australie pourrait être le dernier des alliés des USA à oser « désobéir » aux mises en garde de Washington.
Wayne Madsen constate que la « grande fuite » des acolytes de l’Amérique dans le camp de la BAII a provoqué une réaction au plus haut niveau: le secrétaire américain au Trésor Jacob Lew s’est rendu en Chine. La raison officielle de cette visite? S’entendre avec les autorités chinoises pour renoncer à la retenue de la croissance du yuan, ce qui « aiderait l’économie mondiale ». En réalité, d’après le journaliste, ce voyage était un geste de désespoir. Hormis la BAII, la Banque de développement des Brics gagne également en importance, tandis que les appels lancés par USA à leurs alliés, qui demandent de s’en tenir au format classique d’intercommunication financière dans le cadre de la Banque mondiale, du Fonds monétaire international et de la Banque asiatique de développement, n’ont plus d’effet.
Le transfert du contrôle sur les flux financiers de Wall Street et de la City aux nouveaux fonds et banques de développement à Pékin ou Shanghai est un fait accompli annihilant les efforts des USA pour préserver l’ordre établi, souligne le journaliste américain.
Tout le monde commence à reconnaître que le « monde américain » cède la place au « monde chinois », qui dispose du soutien des Brics et des nouveaux partenaires de Pékin dans le cadre de la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures, conclut Wayne Madsen."
Par contre, l'exemple islandais que devrait suivre les citoyens américains pour se libérer des banquiers de la FED qui leur ont "fabriqué" une dette colossale.
(source : LEMATIN.CH)
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(source : LEMATIN.CH)
L'Islande veut révolutionner le système monétaire
La proposition est étudiée dans un rapport signé par un parlementaire du Parti du progrès (centriste, au pouvoir), Frosti Sigurjonsson. Cet entrepreneur et économiste avait déjà été l'un des artisans du processus d'annulation de la dette immobilière des ménages lancé en mai, afin de rétablir les finances du grand nombre d'Islandais étranglés par des emprunts contractés avant la crise financière de 2008.
Sa proposition, à la demande du Premier ministre Sigmundur David Gunnlaugsson, tente de rompre avec un système qui a entraîné l'île dans une succession de crises financières. D'après une étude de quatre économistes de la banque centrale publiée lundi, le pays en a connu "plus de 20" depuis 1875, les crises "graves" arrivant "tous les quinze ans en moyenne".
Pour M. Sigurjonsson, le problème vient de l'emballement du crédit chaque fois que l'économie accélère. La Banque centrale d'Islande n'arrive pas à l'endiguer et il dégénère en inflation, prise de risque exagérée et spéculation, menace de faillites bancaires et interventions étatiques coûteuses.
En Islande comme dans toutes les économies de marché modernes, la banque centrale contrôle la création de monnaie en pièces et billets, mais pas toute la création de monnaie, qui intervient dès qu'une banque commerciale accorde un crédit. Elle ne peut que tenter de l'influencer par ses outils de politique monétaire.
La proposition est de mettre fin au privilège concédé à des acteurs privés, en faveur d'une architecture dirigiste appelée "système de monnaie souveraine". La banque centrale déterminerait le rythme de la création monétaire en fonction des besoins perçus de l'économie.
"Le pouvoir de créer la monnaie est maintenu séparé de celui de décider comment cette monnaie nouvelle est utilisée", a souligné M. Sigurjonsson. Et "comme pour le budget de l'État, le Parlement débattra de la proposition du gouvernement pour l'allocation de la nouvelle monnaie".
Les banques garderaient la gestion des comptes et moyens de paiement, ainsi que la fonction d'intermédiaires entre épargnants et emprunteurs.
Le sort de la proposition reste incertain car le premier ministre n'a pas donné d'avis définitif. "Les conclusions seront une contribution importante à la discussion à venir, ici et ailleurs, sur la création et la politique monétaires", a-t-il déclaré dans un communiqué.
(AFP/Le Matin)
Créé: 01.04.2015, 18h11
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