samedi 11 avril 2015

(blog à finir et à corriger)

Ben, quoi, mes chers cinq lecteurs, les américains en auraient-ils marre de se faire "baiser" par la propagande des multinationales de l'agro-alimentaire et de l'industrie pharmaceutique qui leur enjoignent le comment mieux vivre, comment mieux se soigner et mieux se vivre en tant que citoyen américain.
Ils commencent à faire attention à ce qu'ils mangent, nom de Dieu !
Mais, voilà, ce n'est pas fini !
Maintenant, il faut changer vos règles électorales qui font des States, la nation la plus corrompue au monde, par exemple, en faisant comme en France, c'est l'état qui donne une enveloppe pour financer la campagne en fixant un plafond maximum. Ce qui éviterait que les entreprises de la Silicon valley ou tout autre soient obligées de verser de l'argent pour la future campagne d'un élu lorsqu'elles sollicitent son intervention.
Disons-le tout net, le mode électif amércain a généré un système  politique et public maffieux !
Amasser de l'argent des entreprises, des milliardaires, des maffieux officiels et autres pour une campagne électorale fait de l'élu un pion de tous ces gens-là contre l'intérêt du citoyen lambda.
Il faut aussi, que le peuple américain brise le bi-partisme entre démocrate et républicains et présente systématiquement à toutes les élections des candidats qui défendent les intérêts locaux au niveau local et national au niveau national.
Et, au niveau national, des candidats qui annoncent vouloir supprimer le mode de financement des campagnes électorales.
Et, naturellement, arrêter de "bouffer" de la merde et prendre les médicaments dangereux ou bidons que leur impose l'industrie pharmaceutique qui cherche désormais à empoisonner leurs enfants.
Déjà, cela sera un bon début !

(source : le Monde)



La « junk food » perd du poids

LE MONDE |  • Mis à jour le  |Par 
Des géants de l’agroalimentaire en difficulté, des supermarchés boudés par une partie de la population, l’Amérique entamerait-elle sa révolution alimentaire ?


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Le taux d’obésité moyen chez les adultes américains est de 34,9 %, et deux tiers (68,5 %) sont en surpoids ou obèses. L’Américain moyen pèse 11 kilos de plus qu’en 1960 (rapport du Trust for America’s Health, septembre 2014). En dépit de tous les efforts et de toutes les campagnes, il ne baisse pas et la disparité entre les Noirs (47,8 %) les Hispaniques (42,5 %) et les Blancs (32,6 %) persiste.
A tel point que la Food and Drug Administration (FDA), l’Autorité américaine des médicaments, vient d’autoriser la commercialisation d’un implant électrique agissant sur les nerfs contrôlant l’appétit : le Maestro Rechargeable System. Trop de gras, trop de sucre, trop de sel, trop de soda, trop de produits triturés par l’industrie agroalimentaire, on connaît les causes de cette épidémie, née aux Etats-Unis et touchant de plus en plus de pays au même rythme que la diffusion de la « junk food made in USA ».
Il existe pourtant des raisons d’espérer si l’on consulte les bilans des grandes entreprises de la malbouffe, qui connaissent toutes des difficultés. Kellogg’s, le géant des céréales, a vu ses ventes de morning food chuter de 5,7 % et la baisse de ses activités a entraîné une réduction de la main-d’œuvre de 7 % depuis 2013.

LES PROFITS DE KRAFT FOODS ONT BAISSÉ DE 62 %

Les profits de Kraft Foods, autre major de l’industrie agroalimentaire, ont baissé de 62 %, et ses ventes de 6,6 % dans le secteur des plats et desserts préparés : « 2014 a été une année difficile et décevante », a constaté John T. Cahill, directeur général de la marque. ConAgra, qui contrôle Chef Boyardee, le roi du spaghetti en boîte, a réduit sérieusement ses prévisions pour 2015 et viré son directeur général.
« Il existe une méfiance croissante du public à l’égard des grandes marques de l’agroalimentaire auxquelles il a fait si longtemps confiance », constate, dans Fortune, Denise Morrison, la directrice de Campbell Soup, qui ajoute : « Le dialogue avec le public est de plus en plus compliqué dès qu’il s’agit de nourriture. »
De fait les Américains, auxquels on explique depuis des décennies que faire la cuisine est une tâche ingrate à laquelle on doit consacrer le moins de temps possible grâce aux denrées industrielles toutes prêtes, sont en train de se rapprocher des produits frais et des casseroles.
La santé est le motif principal de cette évolution, mais un changement de comportement plus profond est également sensible. Les travaux de David Katz et Samuel Meller, de l’université de Yale, démontrant qu’un « régime d’aliments peu transformés, proches de la nature, essentiellement à base de végétaux, est définitivement associé au maintien en bonne santé et à la prévention des maladies » n’ont fait qu’encourager cette tendance.

UNE CONCURRENCE NOUVELLE

A l’image des grands groupes de l’alimentation, les supermarchés connaissent également une certaine désaffection et doivent faire face à une concurrence nouvelle. Selon une récente enquête du ministère de l’agriculture américain, on compte désormais 8 268 farmer markets (« marchés de producteurs ») sur l’ensemble du territoire. Une croissance de 180 % depuis 2006.


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Les profits de Kraft Foods, autre major de l’industrie agroalimentaire, ont baissé de 62 %, et ses ventes de 6,6 % dans le secteur des plats et desserts préparés.

Même phénomène avec les food hub, ces plates-formes regroupant les petits producteurs pour les mettre en contact avec le marché, qui ont grossi de 280 % depuis 2007. Si l’on ajoute la multiplication des jardins scolaires, les programme d’échange ferme-école, encouragés notamment par Michelle Obama et Alice Waters, la vice-présidente de Slow Food, très actif aux Etats-Unis, c’est peut-être le début d’une révolution alimentaire américaine.
Et comme dans toute révolution, elle a ses extrémistes. Depuis 1997, un nouveau désordre du comportement alimentaire a été identifié par le docteur Steven Bratman, adepte des médecines alternatives en Californie. Il l’a désigné sous le nom d’orthorexie (du grec orthos, « correct », et orexis, « appétit ») nerviosa. Elle n’est pas encore classée officiellement comme trouble du comportement alimentaire et se caractérise par une obsession à ne manger qu’une nourriture saine, la plus pure possible, indemne de toute contamination industrielle.
Ceux qui en souffrent consacrent une énergie et un temps considérables à la recherche de produits frais et naturels, « au point de restreindre leur alimentation en fonction de leur avis personnel sur les aliments qui sont vraiment purs », selon Ursula Philpot de l’université de Leeds (Grande-Bretagne). On les rencontre dans des mouvements baptisés « clean »« raw » ou « paléo ». Ce sont les junkies de la bouffe saine et ils apparaissent au moment où la junk food décroche. Etonnant, non ?


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/m-gastronomie/article/2015/04/09/la-junk-food-perd-du-poids_4612616_4497540.html#JRf2QWif5L3biVqI.99



Et, dans la rubrique, "Ils entassent du fric, donc, ils en ont rien à foutre !"

(source : Le Nouveau Paradigme)

L'acidité des océans pourrait entraîner la fin de l'humanité

Publié le 11 Avril 2015

~~Ni bombe nucléaire, ni fonte des glaces: l'extinction de l'humanité pourrait provenir de l'acidité des océans. C'est ce qu'une nouvelle étude tend à démontrer.


Des gens profitent de températures estivales au bord de l'Océan à Capbreton, près de Bayonne, le 18 octobre 2014
Des gens profitent de températures estivales au bord de l'Océan à Capbreton, près de Bayonne, le 18 octobre 2014
afp.com/Iroz Gaizka
Le monde du silence continue lentement de dépérir. Selon une récente étude menée par une équipe de l'Université d'Edimbourg, la situation est plus qu'alarmante. En cause, l'acidification des océans. Autrement dit, la forte concentration de dioxyde de carbone qui continue toujours de croître, alors que l'océan ne peut en ingérer qu'une certaine quantité. 
 
Un phénomène qui s'est déjà produit il y a 252 millions d'années à cause d'énormes éruptions volcaniques. Plus de 90% des espèces animales marines et plus des deux tiers des espèces terrestres avaient alors été rayées du globe.  

En 250 ans, l'acidité des océans a déjà augmenté de 30%

Les récentes recherches scientifiques tendent à prouver que nous sommes sur la même pente. Cette fois-ci, l'augmentation des gaz à effet de serre générée par les activités humaines est responsable. Selon Matthew Clarkson, géophysicien à l'Université d'Edimbourg, les résultats "sont préoccupants".  
En 2008, le projet EPOCA (Projet européen sur l'Acidification des Océans) révélait déjà que l'acidité des océans avait augmenté de 30% en 250 ans, depuis le début du développement industriel. Concrètement, cette évolution est constatée sur la faune marine. Les coquillages et les coraux se dissolvent progressivement. Le carbonate, leur principal composant, est rongé par l'acide des océans.  

Une chaîne alimentaire bouleversée

Une évolution qui menace toute la chaîne alimentaire, dont l'homme fait partie. Or la pêche nourrit 820 millions de personnes dans le monde, selon la FAO (Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture). En 2012, un Français consommait en moyenne plus de 33 kg de produits aquatiques, selon FranceAgriMer
Si la dernière grande extinction, dite de Permien Triasique, s'est étendue sur 60 000 ans, l'acidification des océans a joué un rôle majeur dans l'extinction de l'humanité. Il a en effet entraîné une perte massive d'oxygène et une hausse importante des températures. 
http://www.lexpress.fr/

vvvv

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