(blog à finir et à corriger)
Alors, mes chers cinq lecteurs, les nazis ukrainiens, cela n'existe pas ?
Pourtant, ils sont là et tentent de saboter les derniers accords de Minsk grâce aux livraisons d'armes américains ?
(source : les Brindherbes engagés)
Bien, bien, soyez assuré, mes chers lecteurs, que le gouvernement américain va nous servir la soupe, "La Russie attaque l'Ukraine", pourtant l'ambassadeur américain connaît bien les nazis ukrainiens puisqu'il a insisté pour que le représentant de "Secteur droit", un mouvement nazi soit nommé au ministère de la défense.
Mais, passons, parce qu'en attendant les banques too big to fail continue à nous organiser la prochaine crise qui cette fois-ci laissera les peuples sur le carreau et leur permettra de prendre le contrôle total des états.
(source : le Contrarien Matin)
A part cela, une opinion sur le rôle néfaste de la FED et l'organisation du nouveau désordre mondial par les States. Eh, oui, mes chers lecteurs, c'est la réalité, l'ONU blablate sur le nouvel orde mondial et par derrière la FED américaine ou les banquiers qui la composent organisent le désordre politique, économique, humanitaire pour mettre la main sur les états.
(source : Voltairenet.org)
En attendant, le camp anglo-saxon, USA, Canada, Angleterre, lorsqu'il ne peut ni compter sur l'ONU pour laver son linge sale, ni, sur l'Union Européenne qui pourtant en fait beaucoup en Ukraine, engage les troupes.
(source : Sputnik)
Read more: http://sputniknews.com/europe/20150414/1020859736.html#ixzz3XHMu0rQ3
L'objectif final, mes chers lecteurs, étant d'exclure l'Union Européenne du dépeçage final de l'Ukraine. Et, d'ailleurs, nous pouvons considérer que la crise ukrainienne marque la fin réel de la deuxième guerre mondial et la fin de la shoah comme instrument de stigmatisation des personnes critique envers Israël puisque même les juifs "aident" les mouvements néo-nazis en Ukraine. Tous d'ailleurs ayant une double nationalité, ukrainiene-israélienne ou israélienne-américaine.
Comme nombre de députés français, ce qui à mon avis pose un problème constitutionnel, car, on ne peut avoir deux nationalités en étant un élu français.
Mais, passons.
Alors, mes chers cinq lecteurs, les nazis ukrainiens, cela n'existe pas ?
Pourtant, ils sont là et tentent de saboter les derniers accords de Minsk grâce aux livraisons d'armes américains ?
(source : les Brindherbes engagés)
LA GUERRE AU DONBASS EST REPARTIE
Confirmé par Kiev.
Le Secteur Droit néonazi lance ses bataillons à l’assaut de la République populaire du Donetsk (RPD). Il s’agit d’une violation flagrante, par Yaroch et ses joyeux lurons, du fragile cessez-le-feu obtenu à Minsk 2 .
Adieu, Minsk II ! Via l’OSCE:
Tant le représentant des Forces armées ukrainiennes que le représentant de la Fédération de Russie au Centre commun de contrôle et de coordination (CMCD) ont dit à l’OSCE que la partie ukrainienne (avec le bataillon de volontaires du Secteur droit) avait lancé, tôt ce matin, une poussée offensive sur la ligne de front vers Zhabuki, contrôlé par la RPD, à 14 km au nord-ouest de Donetsk), mais l’OSCE na pas été en mesure de vérifier cela.
L’OSCE a observé un affrontement armé intensif en cours avec l’utilisation de chars, d’artillerie lourde, de lance-grenades automatiques, mortiers, mitrailleuses lourdes et des armes légères (ALPC). Depuis son arrivée à 9:35 h jusqu’à 15:00 h, l’OSCE a constaté et enregistré 1 166 explosions, causées principalement par l’artillerie et les frappes d’obus de mortier. Les enquêteurs de l’OSCE ont évalué que des armes d’un calibre supérieur à 100 mm ont été utilisés par les deux parties au cours des combats.
Les diplomates s’activent pour trouver un moyen
d’arrêter le conflit de blâmer la Russie…
Le 12 avril 2015 – Source Russia Insider
Traduit par jj, relu par Diane pour le Saker Francophone
Mais, passons, parce qu'en attendant les banques too big to fail continue à nous organiser la prochaine crise qui cette fois-ci laissera les peuples sur le carreau et leur permettra de prendre le contrôle total des états.
(source : le Contrarien Matin)
« Pour le patron d’une banque allemande, nous sommes dans la mère de toutes les bulles »
Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
C’est une déclaration que j’avais conservée précieusement et sur laquelle je souhaitais revenir car force est de constater que ces derniers temps, les langues se délient un peu et l’optimisme de façade qu’il convient d’afficher se lézarde alors que les mauvaises nouvelles s’accumulent.
Voici ce que vient de déclarer le patron de la plus grosse banque régionale allemande
Pour Hans-Jörg Vetter, le président de la banque allemande LBBW (Landesbank Baden-Württemberg), tenez-vous bien :
« Les risques ne sont plus pris en compte dans les cotations. Et ces investisseurs ne sont pas payés pour les risques qu’ils prennent. Cela s’applique à toutes les classes d’investissements. Les marchés boursiers et obligataires se trouvent maintenant dans la mère des bulles. Cela ne durera pas toujours. Et pas pendant très longtemps. Je ne peux pas dire quand cela va commencer à se déliter, mais à un moment donné, cela va se déliter à nouveau. »
Une banque déjà sauvée… il sait de quoi il parle !!
Avec 266 milliards d’euros d’actifs en gestion et 11 000 employés, c’est la plus grande « Landesbank » d’Allemagne dont le siège est à Stuttgart. Vetter a été nommé en 2009 pour ni plus ni moins sauver cette banque qui était en faillite virtuelle et bénéficiera de fonds publics pour assurer son redémarrage dans le cadre d’une nationalisation pure et simple.
Alors le Vetter, il sait de quoi il parle quand on parle de risque et de faillite bancaires."
A part cela, une opinion sur le rôle néfaste de la FED et l'organisation du nouveau désordre mondial par les States. Eh, oui, mes chers lecteurs, c'est la réalité, l'ONU blablate sur le nouvel orde mondial et par derrière la FED américaine ou les banquiers qui la composent organisent le désordre politique, économique, humanitaire pour mettre la main sur les états.
(source : Voltairenet.org)
Comment les États-Unis ont substitué Wall Street aux Nations unies
Jadis, le Conseil de sécurité des Nations unies pouvait prendre des sanctions à l’encontre de personnes, de groupes ou d’États qui menaçaient la paix mondiale. Mais aujourd’hui, Washington utilise le vocable de « sanctions » pour masquer ses agressions économiques contre ceux qui lui résistent. Bien sûr, les « sanctions » unilatérales des États-Unis sont illégales en droit international. Il ne s’agit en réalité que d’embargos, forme moderne des sièges militaires.
RÉSEAU VOLTAIRE INTERNATIONAL | MEXICO (MEXIQUE)
- Alastair Crooke
Lors du Forum d’Istanbul, Alastair Crooke a offert un entretien d’une grande profondeur géostratégique à Yonca Poyraz Doğan, qui tient la rubriqueMonday Talk dans le quotidien turc Today’s Zaman, pour l’édition en anglais [1].
Alastair Crooke a été fonctionnaire de haut rang dans le MI6, avant d’être conseiller en politique extérieure de l’Union européenne et du sénateur états-unien George Mitchell ; il dirige actuellement le groupe de réflexionConflicts Forum, qui a son siège à Beyrouth.
Citoyen britannique, Crooke est également l’auteur de l’ouvrage Résistance, l’essence de la révolution islamiste [2], et il approfondit ici des thèmes déjà développés par Juan C. Zarate, l’ancien vice-assistant de W. « Baby » Bush, dans son livre La guerre du Trésor : déclenchement d’une nouvelle ère de guerres financières [3] ; il reprend aussi le stratège financier James Rickards, qui avait présenté un exposé [4] à l’International Institute for Strategic Studies de Londres ; je m’étais moi-même basé sur leurs travaux pour offrir une conférence à l’Institut de Recherches Economiques de l’UNAM il y a deux ans.
Alastair Crooke explique donc en détail la nouvelle hégémonie US en termes de financiarisation de l’ordre global, à une époque où l’ordre international dépend plus du contrôle de la Réserve fédérale et du Trésor des USA que de l’Onu. Sa lecture géo-financière rend patente la suprématie du dollaro-centrisme de Wall Street par-dessus l’ordre légal caduc de l’Onu ; en effet le système de l’hégémonie du dollar n’a pas besoin de la dépendance US par rapport à l’Onu, et en laisse le contrôle au secrétariat au Trésor, contrôlé à son tour par David Steve Cohen, ce qui explique le fait que les instruments militaires sont devenus moins accessibles à l’administration états-unienne pour des raisons de politique extérieure. En effet, qui surveille donc le vigilant D. S. Cohen ?
Crooke considère que les USA et Wall Street sont parvenus à contourner l’Onu pour imposer leur ordre global « basé sur un système dollaro-centré » au moyen de « l’instrumentation de la position US comme contrôleur de toutes les transactions en dollars, ce qui permet de se passer de tous les vieux outils (sic) de la diplomatie et de l’Onu. »
À son avis, « le monopole de la devise de réserve est devenu l’instrument unilatéral US, déplaçant l’action multilatérale de l’Onu, tandis que les USA réclament que soit sous leur juridiction toute transaction formulée en dollars, partout dans le monde.
Jusqu’où les monétaristes de la Réserve fédérale et du Trésor US poussent-ils le mépris pour l’agonisante Onu ?
Aujourd’hui les USA ne tiennent plus compte de l’ordre international structuré autour de l’Onu et de son corpus de lois internationales, et ils tendent à imposer leurs « sanctions économiques pour faire pression sur certains (sic) pays. » Les sanctions économiques des USA se sont substituées aux lois internationales, tandis que la pléiade des financiers monétaristes israélo-anglo-saxons prend la place de la vieille garde des juristes de l’Onu.
L’année dernière, on a calculé que les transactions globales en dollars US correspondaient à un minimum de 65 % de l’échange de biens et de services, pourcentage qui a dû augmenter avec l’effondrement de l’euro et la guerre des devises qui a provoqué des dévaluations abruptes, depuis le yen japonais jusqu’au real brésilien.
Il faut souligner une coïncidence inédite : les chefs du colossal contrôle financier des USA, sont trois israélo-américains : David Steve Cohen, le surveillant en chef, Jack Lew, le secrétaire au Trésor, et Janet Yellen, gouverneur de la Réserve fédérale. Un énorme pouvoir financier…
David Steve Cohen est l’équivalent dans le Mexique néolibéral actuel, du point de vue opérationnel, d’Alberto Bazbaz Sacal, celui qui a négligé de porter son regard sur les pots-de-vin internes dans son Unité de Renseignement financier, du secrétariat aux Impôts, mais ne connaît aucune réprimande pour autant, et qui a ignoré la fraude étrange de Ficrea.
Quelles sont les chances de succès du nouvel ordre financier global imposé par Wall Street et les USA ?
La cosmogonie de Crooke est géo-financière : elle applique la géopolitique des finances aux grandes puissances, en particulier à la Chine et à la Russie, qui ont noué une alliance pour contrer la guerre financière entre les USA et la Russie, véritable conflit géostratégique qui se déploie en Ukraine, d’où émergera le Nouvel ordre mondial, ce qui est la thèse de notre blog [5].
Après la rude correction infligée par la banque israélo-anglo-saxonne à l’Iran, comme le signale le livre de Juan Zarate, et maintenant la guerre géo-financière contre la Russie, dans ses quadruples modalités, sanctions, effondrement du rouble et du pétrole, fuite massive de capitaux, le « système du pétrodollar qui cotise en dollars l’or noir, se trouve blessé à mort », selon Crooke, qui considère que la Chine a compris que la Russie constitue le premier domino ; si la Russie tombe, la Chine se retrouvera en première ligne. C’est pourquoi elles cherchent ensemble à créer un système financier parallèle (sic) déconnecté du système financier occidental, qui inclut la réplique du Swift et des entités comme la Banque de Développement Asiatique face au FMI.
Il faut encore ajouter la création de la nouvelle Banque de développement des BRICS et leur mini FMI lors du sommet de Fortaleza au Brésil, tellement important à mon avis qu’il a déclenché la fureur contre la Russie en Ukraine quelques jours plus tard (il faut comprendre dans ce cadre l’attentat contre le vol de la Malaysia Airlines, commis par les oligarques ukrainiens liés à l’OTAN).
Alastair Crooke signale que c’est la Chine, et non pas le FMI, qui est en train de sauver le Venezuela, l’Argentine et la Russie tandis que leurs devises s’effondrent, et il rapporte que la Chine se faisait déjà du souci pour le rouble à la mi-décembre, ce qui l’a poussée à intervenir pour arrêter la chute.
Les tendances financières sont favorables à la Chine, qui est en train de déplacer le FMI et la Banque mondiale et qui opère comme « barrière face à un système financier qui se trouve pris dans un virage dramatique pour évoluer et se distancer du contrôle occidental », ce qui touche de près le Proche-Orient et ses flux financiers provenant du pétrole.
Il annonce « la fin du système du pétrodollar pour recycler les revenus pétroliers de Wall Street », alors que la chute du prix du pétrole a créé subitement d’immenses turbulences financières qui ont mis en danger le système financier global.
Le long texte de l’entretien avec Crooke est fascinant : il révèle qui sont derrière les salafistes du groupe DAESH / ISIS / ISIL et nous fait comprendre comment l’effondrement artificiel des prix du pétrole a pour but de faire du tort à l’Iran et de faire pression sur la Russie pour leur faire changer d’attitude envers le président Baschar al Assad de Syrie, processus dans lequel les dérivés financiers de Wall Street ont joué un rôle décisif, comme ils le font maintenant avec les métaux précieux, en particulier l’or et l’argent.
Traduction
Maria Poumier
Maria Poumier
Source
La Jornada (Mexique)
La Jornada (Mexique)
En attendant, le camp anglo-saxon, USA, Canada, Angleterre, lorsqu'il ne peut ni compter sur l'ONU pour laver son linge sale, ni, sur l'Union Européenne qui pourtant en fait beaucoup en Ukraine, engage les troupes.
(source : Sputnik)
Canada will announce on Tuesday the deployment of over 100 troops to Ukraine as part of a training mission.
MOSCOW (Sputnik) – Canada’s Prime Minister Stephen Harper and Defense Minister Jason Kenney will announce on Tuesday the deployment of over 100 troops to Ukraine as part of a training mission, according to national media.
Most of the contingent, to be sent in mid-May, will be housed at Western Ukraine’s city of Yavoriv, the Globe and Mail reported.
Canadians will reportedly provide Kiev troops with expertise in countering explosives, and give guidance on logistics and military policing. How long Canada’s soldiers will remain in the war-torn country was not specified.
In late 2014, Canada's former defense minister, Rob Nicholson, suggested expanding cooperation with Kiev and sending Canadian military police officers to train Ukrainian colleagues. The initiative was suspended in February amid escalating violence in eastern Ukraine.
The United States and the United Kingdom are providing Kiev forces with military training, in addition to other non-lethal aid. The two countries reportedly sent military instructors to Ukraine in March for training sessions.
News of foreign training missions in Ukraine comes amid increasingly frustrating attempts to maintain the fragile ceasefire in the country between Kiev and pro-independence forces of the country's southeast.
The conflict, started in April 2014, has killed over 6,000 people, according to UN estimates.
Read more: http://sputniknews.com/europe/20150414/1020859736.html#ixzz3XHMu0rQ3
L'objectif final, mes chers lecteurs, étant d'exclure l'Union Européenne du dépeçage final de l'Ukraine. Et, d'ailleurs, nous pouvons considérer que la crise ukrainienne marque la fin réel de la deuxième guerre mondial et la fin de la shoah comme instrument de stigmatisation des personnes critique envers Israël puisque même les juifs "aident" les mouvements néo-nazis en Ukraine. Tous d'ailleurs ayant une double nationalité, ukrainiene-israélienne ou israélienne-américaine.
Comme nombre de députés français, ce qui à mon avis pose un problème constitutionnel, car, on ne peut avoir deux nationalités en étant un élu français.
Mais, passons.
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