dimanche 13 avril 2014

Salut à tous ceux qui contemple ce monde en folie. Rassurez-vous, moi, aussi, les bras m'en tombent.

Bon, pour aujourd'hui, je dispose encore d'un ordinateur.
Alors, mes chers lecteurs, le gouvernement des Etats-Unis poussé par les multinationales américaines a fini par pousser à bout d'autres états.
Finalement, peut-être, finiront-elles par ne pas dominer la planète.

(source : Sott.net)


Bizarro Terre

Russie et la Chine annoncent découplage commerce Dollar - La fin pour les Etats-Unis est proche

Russie vient de baisser une autre bombe, annonçant non seulement le découplage de son commerce du dollar, mais aussi que son commerce d'hydrocarbures sera à l'avenir être réalisée en roubles et en monnaies locales de ses partenaires commerciaux - plus en dollars - voir Voix de la Russie

le commerce de la Russie dans les hydrocarbures s'élève à environ un billion de dollars par an. D'autres pays, notamment les BRICS et BRCIS-associés (BRICSA) pourraient bientôt emboîter le pas et unir leurs forces avec la Russie, l'abandon de la «pétro-dollar» comme unité de négociation pour le pétrole et le gaz. Cela pourrait s'élever à des dizaines de milliers de milliards de perte pour la demande de pétro-dollars par an (PIB US à environ 17 milliards de dollars - Décembre 2013) -. Laissant une brèche importante dans l'économie des États-Unis serait un euphémisme Ajouté à cela est la déclaration aujourd'hui par Appuyez sur la télévision de la Russie - Chine rouvrir l'ancienne Route de la Soie comme une nouvelle route commerciale reliant l'Allemagne, la Russie et la Chine, ce qui permet de se connecter et de développer de nouveaux marchés le long de la route, en particulier en Asie centrale, où ce nouveau projet apportera économique et politique stabilité, et dans les provinces de l'Ouest de la Chine, où "nouveaux domaines" de développement seront créés. La première sera la Nouvelle Zone de Lanzhou dans le nord-ouest la province du Gansu en Chine, l'une des régions les plus pauvres de la Chine.



"Lors de sa visite à Duisburg, le président chinois Xi Jinping a fait un coup de maître de la diplomatie économique qui va directement à l'encontre de l'effort du Washington néo-conservateur faction d'apporter une nouvelle confrontation entre l'OTAN et la Russie." ( appuyez sur TV, 6 Avril, 2014)

«Utilisation du rôle de Duisburg, le plus grand port intérieur du monde, une plaque tournante du transport historique de l'Europe et du centre de l'industrie de l'acier de la Ruhr en Allemagne, il a proposé que l'Allemagne et la Chine coopèrent sur ​​la construction d'une nouvelle" Silk économique route »entre la Chine et l'Europe. Les conséquences pour la croissance économique à travers l'Eurasie sont énormes."
Curieusement, les médias occidentaux ont jusqu'ici été insensible à ces deux événements. Il semble que le désir d'étendre la fausseté de notre illusion occidentale et de l'arrogance - aussi longtemps que le silence peut supporter. Allemagne, le moteur économique de l'Europe - la quatrième économie du monde (US $ 3,6 trillions PIB) - à l'extrémité ouest de les nouveaux axes commerciaux, seront comme un aimant géant, attirer d'autres partenaires commerciaux européens de l'Allemagne à la Nouvelle Route de la Soie. Ce qui ressemble à un gain futur pour la Russie et la Chine, également mise sur la sécurité et la stabilité, serait une perte mortelle pour Washington . Par ailleurs, les BRICS se préparent à lancer une nouvelle monnaie - composé d'un panier de leurs monnaies locales - à être utilisé pour le commerce international, ainsi que pour une nouvelle monnaie de réserve, le remplacement de la dette monté dollar plutôt inutile - un exploit accueil pour le monde. Avec les nouveaux BRICS (A) monnaie viendra un nouveau système de règlement des paiements internationaux, remplaçant les échanges SWIFT et IBAN, brisant ainsi l'hégémonie de la monnaie infâme privée et manipulateur d'or, la Banque des règlements internationaux (BRI ) à Bâle en Suisse - aussi appelé la banque centrale de toutes les banques centrales. Pour être sûr - la BRI est une entreprise privée pour institution sans but lucratif, a été créé dans le début des années 1930, au milieu de la grande fusion ralentissement économique du 20e siècle.La BRI a été formé précisément à cette fin - de contrôler le système monétaire du monde, avec la FED a également privé et les banksters de Wall Street -. L'incarnation de la propriété non réglementée privé La BRI est connu pour contenir au moins une demi-douzaine de réunions secrètes par année, en présence de l'élite du monde, décider du sort des pays et des populations entières. Leur disparition serait un nouveau développement positif. Comme la nouvelle route de système commercial et monétaire auront prise, d'autres pays et nations, autant dans les griffes de la dépendance des États-Unis, se précipiteront vers le «nouveau système», isoler progressivement militaro-industriel économie de Washington (sic) et sa machine à tuer de l'OTAN. Cela économique Sea Change peut apporter l'empire à genoux, sans répandre une goutte de sang. Une zone d'un nouvel espoir pour la justice et plus d'égalité, une renaissance des États souverains, peut aube et tourner la spirale de l'obscurité dans une spirale de lumière. Peter Koenig est un économiste et ancien personnel de la Banque mondiale.Il a beaucoup travaillé dans le monde entier dans les domaines de l'environnement et des ressources en eau. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, la Voix de la Russie et d'autres sites Internet. Il est l'auteur de Implosion - fiction basée sur des faits et sur ​​30 ans d'expérience dans le monde entier. . 

Au lieu de faire chier les peuples de la planète, le gouvernement des States feraient mieux de s'occuper de protéger ses propres citoyens des méfaits des multinationales pétrolières notamment qui au Wyoming ont peut-être réveillé avec les mini séismes dû à l'extraction de gaz de schiste, la caldera de Yellowstone.

(source : Wikistrike)

JEUDI 10 AVRIL 2014
Les USA retirent 50 missiles de leur arsenal nucléaire, ceux de la région du parc Yellowstone 


748d2fc3b99f325061b2aac5933bac84.jpgUne nouvelle intriguante en provenance du Yellowstone qui fait décidément beaucoup parler de lui en ce moment. Les USA ont pris la décision de retirer son arsenal nucléaire situé dans la région du supervolcans.
Cette décision gouvernement accentue les spéculations sur son réveil imminent et il est vraisemblable que certaines infos ne parviennent pas au grand public.

Marc Bildermann pour WikiStrike


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The U.S. will keep its current force of 450 land-based nuclear missiles but remove 50 from their launch silos as part of a plan to bring the U.S. into compliance with a 2011 U.S.-Russia arms control treaty, the Pentagon said Tuesday.
The resulting launch-ready total of 400 Minuteman 3 intercontinental ballistic missiles would be the lowest deployed ICBM total since the early 1960s.
The decisions come after a strong push by members of Congress from the states that host missile bases - North Dakota, Wyoming and Montana - to not eliminate any of the silos from which the missiles would be launched. Fifty silos will be kept in “warm” status - empty of missiles but capable of returning to active use.
Sen. John Tester, a Montana Democrat, called the Pentagon’s announcement “a big win for our nation’s security and for Malmstrom Air Force Base,” home of the 341st Missile Wing with 150 Minuteman 3 missiles.
“ICBMs are the most cost-effective nuclear deterrent, and keeping silos warm is a smart decision and the kind of common sense Montanans expect from their leaders,” Tester said.
The decision to put 50 of the missiles in storage but not eliminate any of their launch silos meant the Pentagon had to make steeper reductions in the Navy’s sea-based nuclear force in order to comply with the New START, or Strategic Arms Reduction Treaty, by 2018. The Navy will reduce the number of deployed and non-deployed submarine-launched ballistic nuclear missiles to 280 from the current 336.
The Navy has 14 Ohio-class submarines armed with missiles but only 12 will count as deployed because two will be undergoing long-term maintenance at a given time during the 10-year lifeof the New START treaty. The Navy is embarking on a multi-billion dollar program to build a replacement for the current fleet.
The other “leg” of the U.S. nuclear force, the Air Force strategic bombers, will be trimmed from the current deployed total of 93 to 60, with an additional six available in a non-deployed status. The 60 will be comprised of 19 B-2 stealth bombers and 41 B-52H Stratofortress heavy bombers.
Thus the administration will remain within the New START limit of 700 deployed strategic nuclear weapons with 400 ICBMs, 240 sub-launched missiles and 60 bombers. Russia already is well below the 700-deployed weapon limit; at the most recent reporting period, last October,Russia had 473; the U.S. had 809.
The 400 deployed ICBMs would be the lowest total since 1962, according to a history of the force by Hans Kristensen, a nuclear weapons expert at the Federation of American Scientists. He says the U.S. had 203 deployed ICBMs in 1962, with the force expanding rapidly to 597 the following year and topping 1,000 in 1966. It has been between 550 and 450 since 1991.
The Obama administration spent months figuring out how to apportion the reductions required to comply with the New START treaty. In the meantime, the ICBM force came under heavy scrutiny for a variety of problems, including low morale, leadership failures and in estigations over exam-cheating and drug use among launch officers.
Some question the value of retaining ICBMs, although President Barack Obama has committed to keeping them as part of the nuclear “triad” of forces that can be launched from land, sea and air. In addition to the 450 ICBM silos currently in use, the Air Force has four at Vandenberg Air ForceBase, Calif., used only for test launches. They will remain.
The Pentagon said Tuesday it probably will cost about $300 million to implement all the announced changes required to comply with New START by 2018. About two-thirds of the cost will be for altering some of the missile tubes aboard Navy submarines so they can no longer launch ballistic missiles.
The nuclear sub fleet is far more costly to operate than either the land-based missiles or the bombers, but its strategic advantage is the relative invulnerability of the submarines while at sea, and thus their ability to survive a first strike.
The New START treaty also requires both Russia and the U.S. to reduce to 1,550 the number of nuclear warheads associated with the deployed missiles and bombers. The Pentagon has not spelled out how it will do that, but analysts have said they believe the breakdown will be: 1,090 warheads aboard subs, 400 on land-based missiles and the 60 bombers counting as one warhead each.
Obama announced last summer that the U.S. would be ready to reduce its total warheads by another one-third, to about 1,100, in a new round of negotiations with Russia. But there is scant chance of that happening anytime soon, especially with the crisis over Russian intervention in Ukraine.


Et, pendant ce temps, au Québec, ils continuent à supprimer tous les acquis sociaux.

(source : Le Hufffington.post)

RECEVEZ LES NOUVELLES DE JACQUES LÉTOURNEAU

Les «vautours» sont déjà sur la branche

Publication: 12/04/2014 09:04

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Les députés élus le 7 avril n'ont pas encore fini de célébrer leur victoire que, déjà, les «vautours» se posent sur les branches autour de l'Assemblée nationale, attirés par l'odeur de réformes qui augmenteraient le rapport de force du patronat devant les travailleuses et les travailleurs et qui ratatineraient les fonctions fondamentales de l'État. Le Conseil du patronat (CPQ) vient de publier sa plateforme 2014-2017 qui ne laisse aucun doute sur les espoirs qu'il fonde sur le nouveau gouvernement libéral.
Tout y passe : Code du travail, normes du travail, dispositions anti-briseurs de grève, cotisations syndicales, santé et sécurité du travail, régimes de retraite, programmes sociaux, services publics. Tous les acquis des 50 dernières années qui ont établi un minimum de droits et une plus grande équité sont revus, voire abolis. Comme si ce qui définit le Québec moderne, tel que nous le connaissons, jouait en défaveur des patrons, des banquiers, des entrepreneurs et des commerçants.
Le CPQ dit notamment rechercher «souplesse et flexibilité» dans l'organisation du travail, alors que les entreprises multiplient déjà les emplois précaires et les recours à la sous-traitance ainsi qu'aux agences de placement. C'est indécent, d'autant plus que le Canada figure deuxième parmi les 10 pays étudiés par KPMG en Europe, en Amérique du Nord et l'Australie, où les coûts d'exploitation des entreprises sont les moins élevés. Toujours selon cette étude, Québec et Montréal se classent d'ailleurs respectivement au premier et au troisième rang parmi plus de 20 grandes villes du nord-est des États-Unis et du Canada à cet égard.
Nous savons pourtant que ce que d'aucuns qualifient de «modèle québécois», avec les lois ouvrières et les programmes sociaux qui ont permis au Québec de se sortir des dernières crises mieux que n'importe quel autre État en Amérique du Nord, n'est pas sans faille sur les questions d'emploi, de conditions de travail et de services publics accessibles. Nous voyons bien, aussi, que la richesse qui est créée ici n'est pas équitablement partagée.

Quelle «réconciliation» ?
Le soir de sa victoire, le premier ministre Philippe Couillard a appelé à la « réconciliation ».Nous estimons que cette réconciliation doit se faire avec l'idée d'un État social, qui est porté vers l'avenir, et avec la classe moyenne, celle des travailleuses et des travailleurs, des plus démunis de notre société, et non seulement avec une certaine droite économique qui, comme le CPQ, cherche à obtenir plus de déréglementations, de libre-échange et à diminuer le rôle de l'État.
En campagne électorale, Philippe Couillard a parlé de création d'emplois. Mais de quels emplois s'agit-il ? Il y a de plus en plus d'emplois atypiques et précaires. Ce n'est pas ce que nous voulons. Nous aspirons à des emplois de qualité avec des conditions de travail et un salaire décents.
Le PLQ a aussi parlé de relance de l'économie. De quel type d'économie est-il question ici, au juste ? D'une économie qui fonce tête baissée dans le développement du pétrole et du Plan Nord, sans étude ni consultation, ou plutôt d'une économie qui est respectueuse des enjeux environnementaux et du développement durable ? Il devra répondre à ces questions.

Le recul de la gauche politique...
Le soir du 7 avril, la gauche politique a indéniablement reculé à l'Assemblée nationale, tout comme le projet d'indépendance, malgré l'élection de députés progressistes du Parti québécois et de Québec solidaire. Près de 65 % de l'électorat qui s'est exprimé a voté pour le PLQ et la CAQ.
Des énergies doivent sans attendre être déployées pour réformer le mode de scrutin afin de permettre à tous les points de vue de trouver leur place à Québec. Le bipartisme n'existe plus depuis longtemps et la proportionnelle permettrait de favoriser un plus haut taux de participation aux élections.
Le résultat électoral aurait-il pu être différent si le PQ, QS et Option nationale s'étaient alliés, lors de l'appel qui leur avait été lancé au Congrès de la convergence nationale, au printemps 2013, afin de favoriser le vote souverainiste et de bloquer l'élection de candidatures libérales et caquistes ?
Enfin, nous ne pouvons aussi que déplorer le recul de la place des femmes à l'Assemblée nationale, qui est passée du tiers au quart de la députation.

... mais pas une défaite pour le mouvement syndical
Le mouvement syndical québécois fait face à de grands défis. Attaqué sur sa pertinence, voire sur sa légitimité, par des chantres de la droite et du patronat, et ce, depuis les dernières années, il devra inviter ses membres à se serrer les coudes pour affronter la tourmente qui s'annonce. Les travailleuses et les travailleurs de la construction en négociation dans les secteurs industriel, commercial et institutionnel, voient actuellement leurs conditions de travail menacées par l'ampleur des demandes des entrepreneurs.
Dans quelques mois, le renouvellement des conventions collectives des 500 000 employé(e)s de l'État sera une autre occasion où la solidarité devra être sans faille.
Au-delà de ces négociations majeures, dans tous les milieux de travail, qu'ils soient du secteur privé ou public, les syndicats devront débattre avec leurs membres de l'importance de maintenir un État social fort et s'engager à améliorer les conditions d'existence des travailleuses et des travailleurs et de la population en général. Devant la voracité des «vautours», c'est là notre défi."

De toute façon, c'est clair mes chers lecteurs, ils veulent faire partout ce qu'ils ont réussi en Grèce.

(source : Libération)

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La grande purge de la Grèce en quatre graphiques
FLORENT LATRIVE 11 AVRIL 2014 À 12:38

DÉCRYPTAGE
Le gouvernement se réjouit d'avoir pu emprunter 3 milliards d'euros sur les marchés. Un signe positif très ténu alors que le pays vit un cauchemar social depuis cinq ans.
C’est une nuance positive sur fond de drame social: ce jeudi a marqué le retour de la Grèce sur les marchés financiers internationaux. Le pays est parvenu à vendre pour 3 milliards d’euros d’obligations à cinq ans, une première alors qu’aucun investisseur ne voulait prêter au pays depuis le début de la crise. «Les marchés internationaux ont exprimé d’une façon incontestable leur confiance dans l’économie grecque, l’avenir de la Grèce et la capacité de la Grèce à sortir de la crise», a claironné le Premier ministre Antonis Samaras, qui veut voir là le signe d’une sortie de crise possible, alors que la chancelière allemande Angela Merkel est en visite ultrasymbolique à Athènes ce vendredi.
Parmi les signaux mis en avant par le gouvernement pour se réjouir: un retour prévu à la croissance en 2014, avec 0,6% d’augmentation du PIB en ligne de mire, un budget en excédent primaire (hors charge de la dette). Et  cet emprunt de 3 milliards, donc, pourtant très modeste à l’échelle des 240 milliards d’euros prêtés par l’Union européenne et le Fonds monétaire international depuis 2010 pour soutenir le pays. Des éléments positifs qui ne sauraient masquer la violence de la purge subie par le pays depuis 2008. Six ans d’une descente aux enfers illustrée ici en quatre indicateurs.
UN TAUX DE CHÔMAGE EN HAUSSE CONTINUE
C’est l’indicateur le plus net de la souffrance grecque: le taux de chômage s’est envolé depuis 2008, quasiment multiplié par 4 et affichant le plus fort taux de l’Union européenne. Les nombreuses faillites et les faibles investissements expliquent cette poussée du chômage. Tout comme la réduction du nombre de fonctionnaires, difficile à chiffrer précisément.
UN PIB EN BERNE
Année après année, le PIB grec a plongé, symbole de la façon dont le pays s’enfonçait dans la crise. 2014 devrait marquer le retour de la croissance, avec 0,6% espéré par le gouvernement. Un taux encore bien insuffisant pour escompter réduire le chômage.
UNE DETTE QUI S’ENVOLE
Malgré les prêts accordés (240 milliards de l’Union et du FMI)  et les abandons de créances du privé (plus de 100 milliards), rien à faire: la dette publique grecque atteint des niveaux impressionnants, à plus de 177% du PIB - la France dépasse à peine les 90%. Un niveau jugé insoutenable et que personne n’imagine possible à rembourser, sauf à empêcher tout retour à la croissance ou à plonger un peu plus le pays dans la misère. A terme, il y a donc des chances qu’il faille en passer par un effacement d’une partie de cette dette.
LE REVENU DES GRECS EN BAISSE
C’est la courbe qui met en lumière la chute des revenus des Grecs, à la fois sous l’effet du chômage et la réduction des salaires, dans le privé comme dans le public.



Des fois, mes chers lecteurs, je me demande ce que veulent ceux qui contrôlent le gouvernement américain......UNE GUERRE ?

(source : Les Moutons Enragés)

Obama menace la Russie et l’OTAN

Voilà un article qui justifierait tout sentiment d’anti-américanisme! Mais il est vrai qu’à ce niveau là, les dirigeants et services américains, spécialisés dans la trahison de leurs citoyens comme de leurs partenaires diplomatiques, n’aident pas vraiment… Orgueil et suffisance, et nos dirigeants continuent à s’aplatir devant eux? Affligeant! 
russia_usa_400x233Le régime Obama a envoyé simultanément des menaces à la Russie qu’il est en train de se mettre à dos et à ses alliés européens de l’OTAN, sur lesquels il compte pour soutenir des sanctions contre la Russie. Cela ne peut que mal tourner.
Même les Étasuniens, qui vivent dans un environnement médiatique complètement contrôlé le savent : les Européens, les Sud-Américains et les Chinois sont furieux que la National Stasi Agency (NSA) espionne leurs communications. L’affront de la NSA contre la légalité, la Constitution des États-Unis et les normes diplomatiques internationales est sans précédent et pourtant, l’espionnage continue tandis que le Congrès se tourne les pouces et trahit le serment qu’il a fait de défendre la Constitution des États-Unis.
À Washington, le charabia de la branche exécutive au sujet de la « sécurité nationale » suffit pour remettre en cause la loi statutaire et les obligations constitutionnelles. Voyant que la Maison-Blanche, le Congrès et les tribunaux fédéraux sont impuissants et incapables de maîtriser l’État policier, l’Europe occidentale a décidé de créer un système de communication européen excluant les entreprises étasuniennes afin de protéger la vie privée des citoyens européens et les communications gouvernementales de la Stasi de Washington.
Le régime Obama, voulant désespérément s’assurer qu’aucun individu et aucun pays ne passe a travers les mailles de son filet d’espionnage, a dénoncé l’intention de l’Europe occidentale de protéger la confidentialité de ses communications comme étant une « violation des lois du commerce ».
Le représentant étasunien du commerce a négocié des « accords commerciaux » secrets en Europe et en Asie, immunisant les entreprises américaines contre les lois des pays qui signent ces accords. Il a brandi la menace de pénalités à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) si le réseau de communications européen exclut les entreprises étasuniennes qui servent d’espions à la NSA. Dans toute son arrogance, Washington a dit à ses alliés les plus nécessaires : si vous ne laissez pas la NSA vous espionner, nous utiliserons l’OMC pour vous sanctionner.
Voilà. Le reste du monde a désormais la meilleure raison de sortir de l’OMC et d’éviter les « accords commerciaux » transpacifique et transatlantique. Ces accords n’ont rien à voir avec le commerce. Le but de ces « accords commerciaux » est d’établir l’hégémonie de Washington et des entreprises étasuniennes sur les autres pays.
Dans une arrogante démonstration du pouvoir de Washington sur l’Europe, le représentant du commerce étasunien a averti les alliés de Washington : « Le représentant du commerce va surveiller attentivement le développement de telles propositions », visant à créer un réseau de communication européen séparé. http://rt.com/news/us-europe-nsa-snowden-549/
Washington se fie à la chancelière allemande, au président français et au premier ministre britannique pour que la servitude envers Washington passe devant la confidentialité des communications de leurs pays.
Le gouvernement russe a réalisé que participer au système monétaire lié au dollar étasunien, signifie que la Russie est ouverte au pillage des banques et des entreprises occidentales ou des individus qu’elles financent, que le rouble est vulnérable à la spéculation à la baisse dans les marchés de change, et que la dépendance au système de paiement international étasunien expose la Russie à des sanctions arbitraires imposées par le « pays exceptionnel et indispensable ».
Pourquoi le gouvernement russe a mis tant de temps pour comprendre que le système de paiement en dollar met les pays sous la férule de Washington? Cela est intrigant. Peut-être en raison du succès de la propagande étasunienne de la guerre froide? Cette propagande dépeignait les États-Unis comme étant le phare, le grand expert des droits humains l’opposant à la torture, le garant de la liberté, le défenseur des petits, l’amoureux de la paix et le grand bienfaiteur du monde. Cette image a survécu même lorsque le gouvernement étasunien empêchait la montée de tout gouvernement représentatif en Amérique latine et qu’il mettait en ruine une demi-douzaine de pays en les bombardant.
Les Russes émergeant du communisme se sont naturellement alignés à l’image propagandiste de la « liberté étasunienne ». On a complètement négligé le fait que les États-Unis et l’Europe étaient aussi corrompus et avaient également du sang sur les mains. Durant les années de propagande antisoviétique, Washington assassinait des femmes et des enfants européens et blâmait les communistes. La vérité a vu le jour lorsque l’ancien président italien Francesco Cossiga a révélé publiquement l’Opération Gladio, une opération terroriste sous fausse bannière menée par la CIA et le renseignement italien pendant les années 1960, 1970 et 1980. Gladio ciblait des femmes et des enfants européens afin de blâmer les communistes et ainsi empêcher les partis communistes européens de faire des gains électoraux. Il s’agit de l’une des opérations sous fausse-bannière les plus connues de l’histoire, ayant entraîné des confessions extraordinaires de la part des services de renseignement italiens.
Maintenant que le gouvernement russe comprend que la Russie doit quitter le système du dollar afin de protéger sa souveraineté, le président Poutine a fait des accords pétroliers en roubles et sous forme de troc avec la Chine et l’Iran. Cependant, Washington s’oppose à ce que la Russie abandonne le système de paiement international en dollar. Zero Hedge, une source d’information plus fiable que les médias écrits et audio-visuels étasuniens, rapporte que Washington a menacé la Russie et l’Iran que tout accord pétrolier conclu dans une autre devise que le dollar mènerait à des sanctions des États-Unis.
L’objection de Washington à l’accord irano-russe a clairement démontré à tous les gouvernements que Washington utilise le système de paiement international basé sur le dollar comme moyen de contrôle. Pourquoi des pays devraient accepter un système international de paiement qui empiète sur leur souveraineté? Que se passerait-il si au lieu d’accepter passivement le dollar comme moyen de paiement international, les pays le laissaient tout simplement tomber? La valeur du dollar s’effondrerait ainsi que le pouvoir de Washington. À titre de réserve monétaire mondiale, le dollar confère à Washington le pouvoir de payer ses factures en imprimant de l’argent. Sans ce pouvoir, les États-Unis ne pourraient pas maintenir leur posture militaire agressive ou leurs pots-de-vin aux gouvernements étrangers pour donner leurs ordres.
Washington ne serait qu’un autre empire déchu, dont la population a de la difficulté à joindre les deux bouts, alors que le 1%, comprenant les mégariches, fait concurrence avec ses yachts de 200 pieds et ses fontaines à 750 000 dollars. L’aristocratie et les serfs. Voilà ce que sont devenus les États-Unis, retournés à l’ère féodale.
Ce n’est qu’une question de temps avant que l’on reconnaisse universellement que les États-Unis sont un État failli. Espérons qu’on le réalise avant que les arrogants habitants de Washington ne fassent exploser le monde à la poursuite de l’hégémonie.
Les actions provocatrices de Washington contre la Russie sont inconscientes et dangereuses. Le gouvernement russe trouve suspect le déploiement de forces aériennes, terrestres et navales de l’OTAN aux frontières de la Russie, en violation du traité Russie-OTAN de 1997 et de la convention de Montreux, surtout parce que ce déploiement est justifié par les mensonges voulant que la Russie soit sur le point d’envahir la Pologne, les États baltes et la Moldavie, en plus de l’Ukraine.
Ces mensonges sont évidents. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a demandé des explications à l’OTAN déclarant : « Nous attendons non seulement des réponses, mais des réponses entièrement basées sur le respect des règles sur lesquelles nous nous sommes entendus. »
Anders Fogh Rasmussen, la marionnette de Washington installée à la tête de l’OTAN comme homme de paille, n’est pas plus en charge de l’OTAN que je ne le suis. Sa réponse accroîtra certainement les craintes des Russes. Rasmussen a en effet rejeté la demande d’explication du ministre russe la qualifiant de « propagande et de désinformation ».
De toute évidence, nous sommes témoins de tensions croissantes causées par Washington et l’OTAN. Ces tensions s’ajoutent à celles qui se faisaient sentir depuis le coup d’État de Washington en Ukraine. Ces actions imprudentes et dangereuses ont totalement détruit la confiance du gouvernement russe en l’Occident et nous conduisent vers une guerre mondiale.
Les manifestants de Kiev, appelés à descendre dans les rues par les ONG de Washington, n’ont pas réalisé que leur stupidité a mis le monde sur la voie de l’apocalypse.

Et, j'en ai marre qu'ils nous mentent tout le temps !

(source : Ria novosti)

International

Ukraine/troupes russes: les photos de l'Otan faites en août 2013 (Moscou)

Les photos satellite de l'Otan montrant des troupes russes massées à la frontière ukrainienne
21:09 10/04/2014
MOSCOU, 10 avril - RIA Novosti
Les photos satellite de l'Otan montrant des troupes russes massées à la frontière ukrainienne ont été faites en août 2013, a annoncé jeudi à RIA Novosti un officier haut placé de l'état-major général des forces armées russes.
"Sur les photos publiées par l'Otan, on voit des troupes de la Région militaire sud en train de participer aux manœuvres tenues l'été dernier, y compris à proximité des frontières ukrainiennes", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.
Il commentait ainsi la mise en ligne sur le site de l'Otan de photos satellite censées  démontrer que la Russie aurait déployé des effectifs supplémentaires forts de 30.000 à 40.000 hommes le long de sa frontière avec l'Ukraine.
A l'été 2013, l'armée russe a réellement effectué des manœuvres dans la Région militaire sud, y compris des exercices de troupes d'artillerie, ainsi que l'exercice international d'envergure Fraternité d'armes 2013 dont une étape s'est déroulée au mois d'août."















































Pour finir, dans la rubrique santé :

(source : anarchymedia.e-monsite.com)


Selon une série d’études publiées dans « Science de la vie », l’artémisinine, de la « Douce vermouth » du dérivé « d’Artemisia Annua », utilisée en herbologie chinoise depuis plus de 2 000 ans, réduirait les cellules cancéreuses du poumon jusqu’à 28%. Et combiner avec le fer, cette plante incroyable tue 98% des cellules cancéreuses en seulement 16 heures. Elle n’attaque sélectivement que les «mauvaises» cellules, sans affecter les tissus sains.
Déjà reconnue comme un remède antipaludéen puissant et contre la fièvre, son plus ancien usage formulé par écrit figure dans un texte appelé: Recettes pour cinquante-deux maladies (chinois traditionnel : 五十二病方 ; pinyin : Wǔshí’èr Bìngfāng) datant de 168 av. J.-C. et découvert, parmi d’autres textes ayant traits à 283 traitements médicaux différents, dans une tombe mise à jour sur le site de Mawangdui.
«En général, nos résultats montrent que l’artémisinine arrête le facteur de transcription ‘ E2F1′ et intervient dans la destruction des cellules cancéreuses du poumon , ce qui signifie qu’elle présente un moyen de transcription selon lequel l’herbe contrôle la croissance des cellules cancéreuses de la reproduction », a-t-on indiqué dans la conclusion des recherches menées dans le laboratoire du cancer à l’Université de Californie .
La Revue des Sciences de la Vie a présenté une étude de l’Université de Washington, menée par les Drs Narenda Singh et Henry Lai. Jusqu’à présent, cette étude est la plus vaste faite sur l’artémisinine aux États-Unis.
En utilisant une radiation de nature résistante au rayonnement des cellules du cancer du sein (qui avaient aussi une forte propension à accumuler le fer), l’artémisinine a fait ses preuves avec un taux de 75 % de destruction du cancer après seulement 8 heures et presque 100% de taux de destruction en seulement 24 heures.
Les dépôts de fer dans les cellules cancéreuses étaient faits avec des récepteurs spécifiques pour aider la division cellulaire. Les cellules normales ont également ces récepteurs mais les cellules cancéreuses en ont la plus grande quantité et en fonction de cela, les cellules cancéreuses peuvent être une cible de combinaison de fer et d’artémisinine.
De nombreuses expériences ont été menées jusqu’à présent et elles ont toutes prouvé que l’artémisinine combiné avec le fer pouvait effectivement détruire le cancer, et que cet extrait avait été utilisé en Chine depuis des milliers d’années comme remède contre le paludisme.
Le parasite du paludisme ne peut pas survivre en présence d’artémisinine car il est riche en fer. Les bio-ingénieurs Henry Lai et Narendra Singh de l’Université de Washington ont été les premiers scientifiques à le découvrir.
Le Dr Len Saputo appelle l’artémisinine une « bombe intelligente pour le cancer »
Dans cette vidéo en anglais, ce scientifique parle de ce sujet en concluant que «l’artémisinine et des composés transportant du fer marqué d’artémisinine pourraient être développés en de puissants médicaments anticancéreux ».

A bientôt.
René.

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