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samedi 5 avril 2014
Salut à tous les citoyens américains qui se rendent comptent que leurs multinationales et la finance tue leur démocratie !
Au moins, il y a un pays qui protège ses citoyens ou alors, un pays où les citoyens ont encore la parole. Ainsi, le Chili a rejeté la loi Mosanto, cette même loi qui en Colombie amène l'armée à brûler les récoltes des paysans qui utilisent leurs propres graines.
Le Chili a repoussé la « loi Monsanto »quelques heures avant le séisme
Les opposants aux brevetage du vivant viennent de remporter une première bataille législative au Chili. Le gouvernement a annoncé le 17 mars la suspension du projet de loi de protection des obtentions végétales, rebaptisé « loi Monsanto ». Selon la présidente socialiste Michelle Bachelet, il s’agissait« d’impulser la recherche et le développement de nouvelles variétés végétales et d’améliorer la productivité agricole nationale », en protégeant davantage les obtenteurs de variétés. Comment ? Par lamise en place d’un certificat d’obtention végétale, c’est à dire un droit de propriété intellectuelle permettant au détenteur de la semence de récupérer des « royalties » lors de l’utilisation de sa variété (voir nos différents articles à ce sujet en France).
Mais un ample mouvement intitulé « Yo no quiero transgénicos en Chile » (« Je ne veux pas d’OGM au Chili »), appuyé par une trentaine d’organisations paysannes et écologistes, se mobilisent depuis plusieurs mois en faveur des semences libres de brevets et non transgéniques. Leur manifeste exprime clairement le rejet du projet de loi qui constitue selon eux une menace d’appropriation « de toutes les semences natives et paysannes », et « interdit l’échange de semences et le droit des paysans à disposer librement du produit de leur récolte ». Une pétition signée par plus de 2 millions de personnes a été envoyée aux sénateurs. Sous la pression citoyenne, le gouvernement a décidé de suspendre le projet, le temps de la réflexion.
« La société civile Chilienne travaille désormais à l’élaboration d’une nouvelle loi sur les semences qui permette d’avancer dans la direction de la souveraineté alimentaire », relève l’agence d’informations indépendante péruvienne Servindi. « La réglementation doit permettre la commercialisation de semences paysannes locales reconnaissant le rôle et l’autonomie des communautés dans la préservation des semences traditionnelles pour les champs et les potagers urbains ».
Les propositions citoyennes avancées soutiennent le moratoire sur les cultures transgéniques [1], exigent l’étiquetage des aliments contenant des OGM et encouragent la tenue dans chaque région du Chili de fêtes locales favorisant l’approvisionnement de la population en aliments issus de l’agroécologie. Le calendrier des discussions n’a pas encore été fixé, mais l’organisation internationale Via Campesina déclare rester vigilante et mobilisée aux côtés de la société civileChilienne.
Mais, voici, une information qui a tout l'air d'être véridique concernant la disparition des abeilles. Si, cela, s'avère vrai, il faut mettre en prison les dirigeants de mosanto et les fusiller !
(source : 24 Matin.ch)
La cause de la mortalité des abeilles enfin résolue!
L’Agroscope apporte la preuve que le syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles constaté depuis 1998 n’est pas dû aux pesticides.
Contrairement à ce que soupçonnait la majorité des apiculteurs, les produits phytosanitaires ne sont pas en cause. C’est un acte volontaire d’une firme américaine spécialisée dans les biotechnologies agricoles implantée à Morges depuis janvier 2004.
L’enquête qui a débuté au printemps 2002, suite à une plainte d’associations d’apiculteurs livre ses conclusions qui sont sans appel. Monsanto a organisé délibérément l’enlèvement puis l’extermination de l’Apis mellifera en Europe.
Les documents internes dérobés à la firme ainsi que des vidéos prises par la publication scientifique démontrent la stratégie machiavélique de la société. Une grande partie de ses 19’000 employés répartis dans plus de 60 pays infiltrait méthodiquement toutes les associations d’apiculteurs afin de poser des ruches piégées. La manoeuvre visait la mise en vente sur le marché dès 2015 d’un agent pollinisateur industriel nommé le Popo-265.
Monsanto, contacté par la rédaction, s’est refusé pour le moment à tout commentaire.
Mais, qu'est ce qu'ils ont ces financiers et industriels américains., L'un, jacob rotschild a une histoire de brevet avec les ingénieurs disparus avec le boeing de la malaysia airline et se retrouve unique propriétaire d'un brevet qui accentuera sa main mise sur la planète et voilà, les multinationales qui jouent les cinquièmes colonnes dans les pays partenaires des Etats-Unis avec, d'ailleurs avec la complicité de celui-ci.
Les multinationales américaines agissent dans ces pays comme en territoire ennemi.
Ils agissent pour détruire les structures des états démocratiques afin d'y imposer, ce qu'il faut le dire, leur DICTATURE !
Et, cela sous l'oeil bienveillant des gouvernements européens.
Normal, puisque les actionnaires de mosanto et de Goldman Sachs, et autres, sont les mêmes
Donc, les détenteurs de la DETTE !
Il serait temps que nos gouvernements réagissent.
Sauf qu'en France, la seule politique qu'à surgi dans le cerveau de notre grand président hollande, c'est nous soumettre encore plus à la finance prédatrice et aux multinationales encore plus prédatrice.
Mosanto a développé une semence qui résiste à l'aluminium et les chemtrails voulus par le gouvernement américain en inondent la planète par le biais des avions militaires et des vols commerciaux.
Elle est pas belle la vie ?
Un reportage de 22’ de Jean-Manuel Bertrand – Alban Poitevin – Matthias Julliand – Frédéric Rogliano. Montage : Sébastien Micaelli. Mixage : Frédéric Belin. De mystérieux filaments qui sortiraient des doigts, des boutons sur le visage, des plaques sur les mains, une extrême fatigue… Dans notre région et un peu partout dans le monde, des patients affirment avoir contracté une maladie étrange : celle des «morgellons». Le nom donné autrefois aux enfants victimes d’une affection de peau endémique, apparue au 17ème siècle dans le Languedoc. Cette maladie n’est toujours pas reconnue par la médecine officielle. Mais pour ces patients, elle existe. Et le coupable, ce sont les «chemtrails». Contraction de « chemical trails », le mot désigne les traînées laissées par les avions dans le ciel, traînées persistantes qui seraient polluantes et néfastes pour la santé. Certains parlent même d’épandages clandestins liés à de vastes programmes de géo ingénierie, des manipulations climatiques à très grande échelle… Une théorie en plein essor sur internet. Nouveau scandale écologique ou intox amplifiée par les réseaux sociaux ? Pour en savoir plus, nous avons rencontré des scientifiques, médecins, patients, responsables d’associations, météorologistes, spécialistes de l’aviation civile… Une enquête inédite sur ce nouveau phénomène. (voir la vidéo plus haut)
Mais, passons plutôt à une bonne nouvelle concernant la chenille processionnaire.
(source : l'Indépendant)
Chenilles processionnaires: l'écopiège conçu à Bages crée de l'emploi
Le 13 mars à 6h00 par Joëlle Vengud | Mis à jour il y a 11 heures
C'est en observant plus particulièrement les chenilles au moment de leur procession vers le sol pour enterrer les cocons, que l'idée est venue de les intercepter dans leur trajet sans aucun produit, de les faire descendre dans un sac empli de terre où elles iraient migrer pour se transformer et seraient prises au piège. Jocelyne décoratrice de métier et Christian sculpteur de vocation, se sont aperçus que ce processus ne variait pas, ils ont donc mis au point un écopiège il y a six ans, puis fondé leur société, à Bages La mésange verte, du nom de l'oiseau qui est un des rares prédateurs.
Partis du désir, tout d'abord, de protéger leur chien, puis plus avant de canaliser la chenille qui progresse sur le territoire, ils se sont intéressés à elle et aux risques qu'elle présente tant pour les humains allant de l'urtication à la crise d'asthme jusqu'aux problèmes oculaires assez sévères, que pour les animaux, même sans contact direct, avec des atteintes pouvant aboutir à la nécrose de la langue par exemple. Le système de défense de la chenille tient au poison contenu dans les poils urticants d'une poche qu'elle libère en cas de danger ou de stress et qui se plantent dans la peau, c'est souvent le fait de se gratter qui libère le produit qui ronge les muqueuses. Passionnés, Jocelyne et Christian continuent à faire de la recherche et du développement étudiant toutes les séquences de l'insecte, ils se sont rapprochés de l'INRA, qui a effectué des tests et dont une section spécialisée est devenue leur meilleur préconisateur.
Davantage d'effectifs en saison
Ce piège mécanique intéresse beaucoup, ainsi dans la commune de Bages, le responsable des services techniques en a pourvu les lieux publics. Pour la société, l'embauche de trois personnes a été nécessaire ainsi que l'augmentation de l'effectif en saison tout en fournissant de l'activité aux personnes des Esat et de la prison de Perpignan depuis 2 ans.
Victoire ! Sous la pression populaire, des médias alternatifs, et des réseaux sociaux, Obama refuse à Monsanto les pleins pouvoirs
Victoire !
Le Sénat Américain, devant la levée de boucliers des médias alternatifs et des réseaux sociaux, a refusé cette loi scélérate. qui donnait à Monsanto la possibilité de ne plus respecter les lois votées par le Peuple. Monsanto ne s’emparera donc pas des pleins pouvoirs. Jusqu'à la prochaine tentative ?...
Aux Européens de se réveiller, car le TTIP et son RDIE ne sont qu'une version non édulcorée de ce Monsanto Protection ACT.
WikiStrike
Obama Signs Monsanto Protection Act
This is the power of activism. Due to the spreading of awareness about this story through alternative media, this act was shut down by senate and is now no longer effective. It was officially labeled the Farmer Assurance Provision under Sec. 735 of the Senate.
Barack Obama recently signed a bill into law that was written by the billion-dollar corporation that will benefit from it. The Monsanto Protection Act allows Monsanto to override United States federalcourts on the issue of planting experimental genetically engineered crops all across the US. The government has no power whatsoever to stop Monsanto and other biotechnology corporations from planting and harvesting. After Obama signed H.R. 933, the provision was final, there can be no litigation against these corporations at all. Corrupt food corporations are now allowed to plant and sell their genetically modified organisms (GMOs) and genetically engineered (GE) seeds. It wasn’t long ago that Monsanto rejected multiple studies on GMO crop risk. We are seeing the power of the fact that multinational corporations own the government. Here is a bogus quote from the Monsanto corp.
Opponents of agricultural biotechnology have repeatedly filed suits against USDA on procedural grounds in order to disrupt the regulatory process and undermine the science-based regulation of such products. These lawsuits have also created tremendous resources constraints for USDA and have resulted in significant delays in approval of new, innovative products that will help growers provide Americans with an abundant and economical food supply while remaining competitive in the world market. Activist groups have made it clear they will continue to use the court system to challenge regulatory approvals of corn, soybean and other biotechnology derived crops, and have openly stated their intention to use litigation as a way to impede the availability of new technology to growers and consumers - Monsanto Corp
To reiterate, this new law forces the USDA to approve all GMO planting permits desired by the Monsanto corporation and other biotech firms no matter what. Is this really a democracy? As large corporations are able to ultimately make decisions, the government just exists to give people the illusion that they make the decision. Barack Obama did not make this decision, the Monsanto corporation did. So who owns the Monsanto corporation then?
The Monsanto corporations major shareholder is Fidelity Investments, The Vanguard Group and State Street Corporation. All of these are major financial institutions. These three financial corporations have their hands in all industries and all major corporations that govern them. These three corporations also own ALL of the major biotechnology companies that manufacture GMOs like Amgen, Genentech, and Genzyme. Doesn’t that seem strange to you. Here we have major multinational corporations that are owned by major financial institutions. The major multinational corporations influence the government, and the major financial institutions own the corporations. So here we have a case of major financial institutions owning the government. We must then ask, who owns the major financial institutions? That’s easy, the federal reserve does. You have to look at the owners and creators of the money supply, which usually leads to a few families like the Rothchild’s and Rockefeller’s.
How much longer will we allow these ‘people’ to control our food supply? How much longer will we let them control medical research, the energy and financial industry? Why have we given our power away to a small group of people and the corporations they run? What is their history? What have they been involved in? How did this happen? Maybe these facts will push you to do your own research. The current human experience is one that is not resonating with many people, we are all waking up. Our consciousness is shifting, and awakening to new truths is playing a large role in shifting our perception. Shifting our perception alone is a starting point to creating global change. We are also recognizing that the key to change is love, peace, cooperation and acceptance. Nobody is forcing you to do anything, you always have a choice, and that includes the choices you make when it comes to your food.
Les opposants aux brevetage du vivant viennent de remporter une première bataille législative au Chili. Le gouvernement a annoncé le 17 mars la suspension du projet de loi de protection des obtentions végétales, rebaptisé « loi Monsanto ». Selon la présidente socialiste Michelle Bachelet, il s’agissait « d’impulser la recherche et le développement de nouvelles variétés végétales et d’améliorer la productivité agricole nationale », en protégeant davantage les obtenteurs de variétés. Comment ? Par lamise en place d’un certificat d’obtention végétale, c’est à dire un droit de propriété intellectuelle permettant au détenteur de la semence de récupérer des « royalties » lors de l’utilisation de sa variété (voir nos différents articles à ce sujet en France).
Victoire !
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