jeudi 31 janvier 2013

(blog à finir et à corriger)

Et, dire que sur ces fringues, ils se font un bénéfice d'enfer......sur le sang des travailleurs du tiers monde.

(source : basta !")

Des marques françaises impliquées dans un nouveau drame au Bangladesh

Par Ivan du Roy (28 janvier 2013)
    Sept ouvrières sont mortes dans un nouvel incendie d’une usine textile au Bangladesh, le 26 janvier. Deux des ouvrières décédées étaient âgées de 15 et 16 ans. Elles travaillaient pour l’usine textile Smart Fashion, située à Dhaka, qui emploie environ 700 personnes. Au moment de l’incendie, l’usine était en train de produire des vêtements pour les marques françaises Sol’s et Fox & Scott, toutes deux basées à Paris, ainsi que pour la marque espagnole Lefties, qui appartient au groupe Inditex, propriétaire de Zara. Des membres d’une organisation internationale de défense des travailleurs (Institute for Global Labour and Human Rights) ont pu pénétrer dans l’usine sinistrée et relever les étiquettes des vêtements en cours de confection.

    Chacune des marques assure « respecter la liberté d’association et de négociation collective », ne pas recourir au travail forcé ni à des « horaires de travail excessifs ». L’entreprise Solo Invest, propriétaire de la marque Sol’s, est même adhérente de plusieurs chartes éthiques et codes de conduite. Les familles des ouvrières tuées seront probablement heureuses d’apprendre toute l’attention qui était portée à leurs conditions de travail…
    Solo Invest a notamment conclu des partenariats avec l’ONG états-unienne Wrap (Worldwide responsible accredited production) et l’association de commerce équitable Max Havelaar, qui labellise l’une de ses collections « bi-ethic ». Contacté par Basta !, Max Havelaar France ne disposait pas encore de ces informations.
    Fin novembre, 112 ouvrières avaient été tuées, brûlées vives dans un incendie d’une autre usine textile à Dakha. Le groupe Tuba, à qui appartenait l’usine, travaille notamment comme fournisseur pour les marques Auchan, C&A, Carrefour, Casino, Go Sport, Pimkie, Walmart. A qui le tour ?

    bbb

    mercredi 30 janvier 2013

    (blog à finir et à corriger)

    Hélas, mes cinq chers lecteurs, les banques vont continuer à voler l'argent des contribuables. Et, comme, toujours, le discours est : "Si, les banques coulent, l'économie réelle coule !"
    Ce qui n'est pas vrai puisque les banques accordent de moins en moins de crédit et sont, à mon avis, responsables d'un certain nombre de cessation d'entreprises en France.
    Maintenant, on nous sort que la faillite d'une banque italienne provoquerait un tsunami financier qui mettrait à mal l'économie européenne.
    Mais, dites-moi, mes chers lecteurs, "Quand cela s'arrêtera-t-il ?" "Quand nos dirigeants arrêteront d'arroser les banques avec notre argent en nous disant qu'il n'y en a plus pour faire fonctionner les hôpitaux ?"

    (source : les Moutons Enragés)

    Italie: une banqueroute de Monte dei Paschi menacerait l’Europe.

    Il n’est même plus utile de chercher les signes d’un effondrement à venir, ils en deviennent tellement nombreux et officiels que je fini par avoir l’embarras du choix!
    On savait que Monte dei Paschi, la grande banque de Sienne, la troisième d’Italie, était en difficultés. Mais ce n’est pas pour participer  à un des somptueux diners donnés dans le superbe Palazzo Salimbeni par cette institution que Mario Draghi s’est envolé ce soir pour l’Italie. Mont de Piété créé en 1472 par les magistrats siennois, elle a pour principal actionnaire une fundazione aussi prestigieuse que peu transparente. AXA en est le troisième actionnaire avec plus de 3% du capital.
    C’est au chevet de cette institution systémiquement importante pour l’Europe et le monde bancaires, que le Président de la BCE se rend, à en croire le Financial Times. Une réunion au sommet est en effet convoquée à Rome ce mardi. C’est que la faillite de la BMPS serait une catastrophe à plusieurs niveaux.
    sic…
    Les conséquences d’une faillite pour les banques, l’Italie, et l’Europe seraient létales
    • Elle entrainerait une faiblesse contagieuse des deux autres grandes banques italiennes, Unicredit et  Intesa San Paolo, ainsi que du réseau de caisses d’épargne du pays. Ce faisant, elle menacerait l’ensemble du secteur bancaire européen à travers le marché interbancaire et provoquerait une crise de liquidité. Parmi elles, un montant substantiel prêté à 1% à 3 ans au début de 2012 par la Banque Centrale Européenne. Ancien Gouverneur de la Banca d’Italia, Mario Draghi connaît parfaitement les fils qui lient les institutions bancaires de son pays avec l’Europe et le reste du monde.
    • Une panique entrainerait un effondrement des obligations souveraines italiennes qui s’étaient améliorées suite à l’engagement pris par la BCE de soutenir l’Italie et l’Espagne. Cet engagement a rassuré, mais n’a pas encore été exécuté. Face à un risque de 2.000 milliards d’euros de titres du Tesoro italien, la BCE pourrait se trouver elle-même en difficulté, vu son bilan déjà largement surexposé en créances bancaires de l’Europe du Sud.
    • L’affaire ne s’arrêterait pas à l’Italie : la France serait aux premières loges, et en particulier BNP Paribas, qui détient la Banca Nazionale del Lavoro, elle-même la quatrième banque du pays et qui célèbre son centenaire en 2013. Qui plus est, on voit mal comment un effondrement de la dette italienne n’affecterait pas d’autres pays européens, relançant une spéculation contre les obligations souveraines.
    Article complet: Le mond

    A part ça, pour revenir sur la BCE, qu'elle considère les manipulations de la Goldman Sachs sur les comptes de la Grèce comme secret défense grâce à son président, ancien dirigeant de cette même banque à la même époque signifie que nous avons à la tête de la BCE, une personne qui devrait être passible des tribunaux, à l'instar de ses patrons.
    Autrement, pourquoi, aurait-il demandé ce "secret".
    Si, il est honnête, pourquoi, il a fait ça ?
    Alors, dites-moi, messieurs les politiques européens, comment peut-on vous croire lorsque vous dites que vous êtes honnêtes ?
    Et, bien, moi, je vous le dit carrément, "VOUS ETES TOUS POURRIS !"
    Vous n'êtes pas d'accord, n'est-ce pas, madame la chancelière Merkel qui a accepté mario Draghi ?
    Je vous retourne le compliment.
    Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
    René.

    mardi 29 janvier 2013

    Salut aux socialistes du gouvernement français, vous oubliez de combattre les paradis fiscaux et de faire une vraie réforme bancaire en séparant les secteurs de la spéculation et de gestion des comptes et de crédit aux entreprises. Vous avez été acheté ou quoi ?

    Mes chers cinq lecteurs, ils modifient la nature et la remplaceront sans doute.
    Sans que nous soyons au courant et sans que nous puissions rien y faire.

    (source : Nature to share)

    La malédiction des huîtres génétiquement modifiées (OVM)


    On l'appelle huître "triploïde" ou plus poétiquement "huître des quatre saisons"... Vous l'avez sans doute déjà consommée sans le savoir, car elle représente une part importante de la production ostréicole. La triploïde a subi des manipulations chromosomiques importantes, la faisant passer de deux à trois paires de chromosomes et la rendant stérile. Pas très anodin... car, légalement, elle n'est pas un OGM mais un OVM, c'est-à-dire un organisme vivant modifié. 

    Danger pour la biodiversité 

    Face aux risques de prolifération de ces organismes manipulés, une réglementation plus contraignante devrait voir le jour... dans les prochaines années. "Il y a un véritable consensus de la communauté scientifique mondiale sur les risques liés aux OVM et sur l'importance d'une évaluation avant la mise sur le marché", explique Jean-Patrick Le Duc, du Muséum national d'histoire naturelle.

    "Aujourd'hui, ils ne sont pas assez évalués ni encadrés alors que l'on n'a aucun recul. Les cas des huîtres triploïdes ou du saumon transgénique - qui constitue désormais l'essentiel de l'offre du saumon d'élevage - sont emblématiques : on les a introduits massivement au risque de déséquilibrer complètement les écosystèmes, sans appliquer le principe de précaution. D'après moi, l'huître triploïde constitue un danger pour la biodiversité et l'hécatombe ostréicole qui sévit depuis 2008 pose la question de la fragilité de ces organismes modifiés."

    Maturité accélérée

    Développée depuis 15 ans au sein de l'Ifremer, l'huître triploïde a été initialement conçue pour augmenter la production durant l'été. Théoriquement stérile, elle ne produit pas de laitance (gamètes) entre mai et août et remplace donc avantageusement l'huître naturelle, laiteuse durant cette période de reproduction. La triploïde réserve un autre avantage de taille pour les producteurs : plutôt que se reproduire, elle met à profit son énergie pour grandir plus vite et arrive ainsi à maturité en deux ans contre trois bonnes années pour l'huître naturelle.

    "Pour fabriquer la triploïde, plusieurs méthodes se sont succédé", explique Jean-François Samain, ancien directeur de recherche à l'Ifremer. "La première technique nécessitait l'utilisation d'un produit mutagène au stade embryonnaire. En théorie, c'est sans risque, mais pour des produits destinés à l'alimentation humaine, je déconseille ce genre de procédés... Aujourd'hui, certaines écloseries (sites de reproduction des huîtres) l'utiliseraient encore. La deuxième méthode mise au point donnait des individus résistants, mais c'était un processus plus long. Aussi, en 2007, un troisième procédé plus rapide a vu le jour et prédomine aujourd'hui." À savoir : on crée une huître tétraploïde, dotée de quatre paires de chromosomes, sorte de super mâle qui féconde des millions de femelles diploïdes (deux paires de chromosomes).

    Risque de dissémination 

    Procédé coûteux et complexe, l'huître tétraploïde serait vendue 1 000 euros l'étalon aux écloseries et nécessite des installations hautement sécurisées pour éviter tout risque de dissémination de la précieuse semence. "Nous ne sommes pas à l'abri d'une manipulation malheureuse et un tel accident pourrait signer la fin des huîtres naturelles", s'inquiète Jean-François Samain. D'autant qu'il existerait des écloseries clandestines en France, notamment en Bretagne.

    Devant ce risque de dissémination, l'association des ostréiculteurs traditionnels a déposé une requête devant le tribunal administratif de Rennes contre l'Ifremer pour "développement de biotechnologies sans en mesurer les conséquences". Benoît Le Joubioux, qui dirige ce mouvement, souhaite que le principe de précaution soit appliqué et réclame des zones de préservation des huîtres naturelles, surtout après l'épisode de l'herpèsvirus, qui décime depuis plusieurs années tous les élevages. "En 2009, après le début de l'épidémie, l'Ifremer a constaté que la mortalité touchait surtout les triploïdes - jusqu'à 95 % des jeunes huîtres -, mais aujourd'hui on ne comprend plus rien ! L'épidémie s'est étendue à tout le bassin et il n'y a plus aucun repère, tout crève."

    La fin de l'huître naturelle ?

    Alors que les anti-triploïdes accusent les huîtres modifiées d'être moins résistantes et d'avoir ainsi propagé partout l'épidémie, les pro-triploïdes soutiennent qu'il s'agit d'un virus particulièrement virulent qui n'a rien à voir avec leur protégée. Au sein d'un milieu conchylicole divisé, les expertises se succèdent et les soupçons s'accumulent sur l'implication des nouvelles venues dans cette pandémie.

    L'huître modifiée sonnera-t-elle la fin du coquillage naturel ? Pour arrêter cette épidémie, les ostréiculteurs du bassin d'Arcachon demandent un moratoire afin de suspendre l'introduction des triploïdes dans la mer. En attendant, des consommateurs avertis la boudent déjà. En l'absence d'étiquetage, on la reconnaît à sa coquille qui rebique comme la proue d'un bateau, mais certains ostréiculteurs couperaient cette partie pour faire passer la belle incognito."

    Vous avez remarqué mes chers lecteurs, "Pas très anodin... car, légalement, elle n'est pas un OGM mais un OVM, c'est-à-dire un organisme vivant modifié. "
    Eh, oui, tout ça, passe à l'as, les saumons transgéniques, les forêts transgéniques et bientôt, les hommes transgéniques.
    Mais, au Mexique, le gouvernement pourrait agir pour que des millions de paysans ne se retrouvent dans la misère et.........aux Etats-Unis, transformant par la même la mixité ethnique de ce pays.
    Car, et, c'est là le paradoxe de Mosanto, cette société pousse des millions de mexicains à immigrer illégalement aux States. Pas sûr que cela plaise aux WASP.

    (source : ActuWiki)


    OGM au Mexique: Un crime contre le maïs paysan et indigène, un crime contre l’humanité

    (Mexico, 20 novembre 2012) Les multinationales Monsanto, DuPont et Dow attendent l’aval du gouvernement mexicain au cours des prochains jours pour semer 2,4 millions d’hectares de maïs transgénique au Mexique, une surface équivalente à la superficie du Salvador. La situation est des plus préoccupantes, le Mexique étant au cœur de la diversité du maïs dans le monde. Des milliers de variétés y sont cultivées dans les campagnes par les communautés paysannes et indigènes. De nos jours, le maïs est l’un des trois aliments les plus consommés au niveau mondial. Par conséquent, la contamination des maïs au Mexique par de dangereux OGM constitue une menace pour le monde entier.
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    Des milliers de variétés locales de maïs sont cultivées par les communautés paysannes du Mexique, chacune d’elles étant le produit de climats, sols, écosystèmes et cultures différents. C’est depuis le Mexique que le maïs fut exporté à travers le monde, devenant un aliment crucial pour nombre d’autres peuples, notamment au sud de l’Afrique, en Asie et dans toute l’Amérique Latine. Néanmoins, ces dernières décennies, le maïs a également attisé les convoitises de l’industrie et des multinationales. Ces dernières ont créé des variétés de maïs hybride dépendant d’agrotoxiques et autres intrants que les paysans et paysannes doivent acheter. Elles ont également créé des variétés de maïs transgénique qui à ce jour (2011) couvrent une superficie de 51 millions d’hectares dans le monde.
    « La situation est alarmante, car le gouvernement mexicain privilégie les multinationales au détriment du bien-être des paysans et de notre santé » a déclaré Alberto Gómez, de la Via Campesina au Mexique. « Cela fait vingt ans que le gouvernement mexicain met en péril notre souveraineté alimentaire en ouvrant l’agriculture au libre-échange, nous inondant de maïs bon marché de piètre qualité, et faisant sombrer dans la pauvreté des milliers de paysannes et paysans. Maintenant ils veulent nous empoisonner avec du maïs transgénique. Nous ne les laisserons pas faire.»
    De récentes études publiées en France démontrent que le maïs transgénique pourrait présenter de graves risques pour la santé. Ces risques ne sont pas évalués de façon adéquate. Dans le cadre de ces études, des rats nourris avec ce maïs présentaient de fortes incidences de cancer et leurs organes vitaux étaient endommagés. Au Mexique, ces entreprises cherchent notamment à semer la variété de maïs transgénique utilisée dans les études françaises, le maïs NK 603.
    Par ailleurs, les OGM sont contraires aux droits des paysannes et des paysans. « Les plantes transgéniques contaminent toutes les cultures paysannes, via des gènes brevetés par les multinationales, et empêchent ainsi les paysans d’utiliser leurs propres semences. Voilà pourquoi en Europe nous avons fait pression pour qu’aujourd’hui les lois interdisent les OGM dans nos campagnes et nos aliments. Les Européens et le reste du monde doivent soutenir le peuple mexicain dans sa résistance aux multinationales. Le bien-être du monde entier en dépend », a souligné Guy Kastler, de la Via Campesina en France.
    Les organisations de la Via Campesina du monde entier se joignent à la société civile et les paysans et paysannes mexicains qui s’opposent aux demandes de Monsanto et exigent leur rejet. La Via Campesina enjoint les organisations et les citoyens à mener des actions dans leur pays pour rendre compte de l’attitude irresponsable du gouvernement mexicain. « Il nous faut agir partout et condamner cette agression contre le maïs mexicain, qui est une agression contre l’humanité toute entière », soutient Francisca Rodríguez de la Via Campesina au Chili. « Les semences paysannes sont un trésor des communautés paysannes et indigènes. Ce sont les seules semences à nourrir le monde de façon saine et sans l’apport d’agrotoxiques. Ce sont les seules dont la diversité permet de s’adapter au changement climatique. On ne peut se permettre de perdre ces semences de maïs à cause de la contamination par les OGM.
    La Via Campesina appelle ses organisations à lancer un assaut d’envergure, à rester vigilant face à cette offensive et à mener des actions dans tous les pays : plaintes au siège des multinationales Monsanto, DuPont, Dow, et des gouvernements les soutenant ; plaintes devant des instances telles que la FAO ou la Convention sur la Diversité Biologique (CBD) des Nations Unies ; pressions sur les ambassades du gouvernement mexicain à travers le monde ; actions et manifestations ; diffusion d’informations via tous les canaux possibles. Les peuples du Mexique et les communautés paysannes résistent aux multinationales. Repoussons cette attaque contre la vie dans le monde entier!
    NON AU MAÏS TRANSGÉNIQUE! DEHORS MONSANTO!
    MONDIALISONS LA LUTTE, MONDIALISONS L’ESPOIR!
    Pour nous contacter: lvc-communication@viacampesina.org

    Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
    Bien le bonjour chez vous.
    René.

    Ps : Dormez bien, mes chers cinq lecteurs. (source : l'Express)


    Pesticides: les Français en ont plein le sang

    Par , publié le 
    Les Français ont plus de pesticides agricoles dans le sang que les Américains et les Allemands. C'est ce qui ressort d'une étude inédite de l'Institut national de veille sanitaire (INVS).
    Les Français devancent les Allemands et les Américains au concours de celui qui a le plus de pesticides dans le sang. Les concentrations biologiques de plusieurs substances chimiques ont été mesurées, entre 2006 et 2007, par l'Institut national de veille sanitaire, sur un échantillon représentatif de la population (2000 adultes pour les métaux, 365 pour le mercure, 400 pour les pesticides et les PCB): les trois conclusions qui en découlent sont alarmantes. 
    Si les niveaux de plomb, cadmium, mercure, arsenic organique, sont stables ou en baisse, les pesticides, eux, sont présents dans notre sang à des niveaux au moins trois fois plus élevés que dans celui des Américains ou des Allemands. Ces pesticides sont largement utilisés en agriculture, en horticulture et pour un usage domestique (idéaux pour se débarrasser des insectes à la maison, désherber les allées, protéger les plantes du jardin, en finir avec les tiques et les puces de nos animaux de compagnie, ou les poux chez l'enfant). 
    Par ailleurs, il va peut-être falloir apprendre à aimer les trous dans les vêtements ou changer la ventilation dans les toilettes. En effet, les substances que l'on retrouve dans les produits antimites ou les désodorisants pour toilettes, véhiculent d'autres types de pesticides, dits "organochlorés". Or, mauvaise nouvelle, le taux de ces produits chimiques dans notre sang est dix fois supérieur à celui trouvé dans le sang des Allemands! 
    Pire encore, les PCB. Malgré leur interdiction totale dès 1979, ils sont encore largement présents dans notre environnement. Ils se sont disséminés dans l'air, le sol, l'eau, les sédiments, contaminant les plantes, les animaux et enfin les hommes. Présents à l'époque dans les encres d'imprimerie et les adhésifs, le site du ministère de l'Ecologie rappelle qu'ils ont aussi été utilisés comme huile pour les transformateurs et les condensateurs, ainsi que dans certains radiateurs ou autres équipements électriques. Ils ont servi de lubrifiant dans les turbines et les pompes, le traitement du métal, les soudures, les peintures et les papiers autocopiants sans carbone.  
    Toujours selon cette étude, la concentration des PCB dans le sang des Français est plus élevée que chez nos voisins allemands et américains.  



    lundi 28 janvier 2013

    Salut à tous ceux qui veulent un changement. Organisons une économie parallèle et passons-nous d'eux. Peut-être que dans la prochaine lettre, je commencerais à vous donner des indications....si, je n'oublie pas.

    Mais que fait le gouvernement polonais, mes chers cinq lecteurs ?
    Mais, que fait-il,au nom de Dieu !
    Eh, bien, c'est simple, il va adopter l'euro incessamment sous peu.
    En pleine crise de la monnaie européenne, ça, c'est une riche idée.
    Avec une convertibilité désavantageuse, ça, c'est une idée plus que riche, mais, qui risque de plonger l'économie polonaise dans un marasme économique déplaisant et provoquera un mini tsunami de licenciements.
    A mon avis, la Pologne gagnerait à attendre, au moins cinq ans. Déjà, pour voir quels pays auront survécu. De toute façon, on ne s'intègre pas à un système en crise ou alors, on est "CON !"
    Cela, c'est la simple logique.
    Naturellement,si, vous écoutez les experts de l'un ou l'autre côté, européen ou polonais, ils vous diront, "Il faut y aller !"
    Mais, y aller où ? Dans le mur ?
    Cinq ans, je donne encore cinq ans pour savoir si l'euro tiendra ou disparaîtra.
    Pour l'instant, on fait de l'intervention de secours, mais, on n'intervient pas sur le fond.
    Simple exemple, les banques n'ont pas été bridées, malgré les promesses, d'un certain Hollande, notamment, qui a voulu faire croire le contraire, et qui par un effet de fric frac réglementaire leur a permis d'augmenter leur effet de levier spéculatif.
    Autre exemple, la dette qui ne pourra être contenue sans un abandon des souverainetés aux grands trusts financiers américains.
    Et, que l'on me dise pas que je mens parce que Goldman Sachs dirige par personne interposée la communauté financière européenne. Puisque le président de la Banque Centrale Européenne est un ancien de Goldman Sachs. Et, ce n'est pas le seul à un haut niveau bancaire en Europe.

    (source : Newsring)

    Un ancien de Goldman Sachs prend la tête de la Banque d’Angleterre

    Georges Osborne, le chancelier de l’Échiquier britannique, a annoncé lundi 26 novembre la nomination du Canadien Mark Carney, 47 ans et ex-banquier chez Goldman Sachs, au poste de gouverneur de la prestigieuse Bank of England (BoE). (...)"

    En tout cas, Goldman Sachs dicte sa loi à l'Europe.

    (source : les Moutons Enragés)

    CEJ : Le secret qui couvre Goldman Sachs et la BCE

    La Banque centrale européenne (BCE), dont le président Mario Draghi est un ancien de Goldman Sachs, a été autorisée par la Cour Européenne de Justice (CEJ) à conserver secrets des documents expliquant comment la Grèce a savamment camouflé sa dette. Avec l’aide (très) active de… Goldman Sachs. Tout va bien…
    Au nom du droit à l’information, selon lequel « tout citoyen de l’Union a un droit d’accès aux documents de la BCE« , l’agence de presse Bloomberg a demandé, en aout 2010, la divulgation de deux documents internes de la banque centrale. Il s’agissait de savoir si des membres de la BCE étaient informés de (voire impliqués dans) ces malversations, qui ont coûté des dizaines de milliards d’euros aux citoyens européens. La demande a été retoquée du tac au tac. Bloomberg a donc fait appel à la justice. Mauvaise pioche : le tribunal de première instance de la CEJ vient de lui répondre… sous forme de boutade :
    « La divulgation de ces documents aurait porté atteinte à la protection de l’intérêt public, puisqu’ils concernaient les politiques économiques de l’Union européenne et de la Grèce« . Un telle publication « aurait pu avoir des conséquences négatives sur l’accès, notamment de la Grèce, aux marchés financiers, et aurait pu affecter la conduite effective de la politique économique de la Grèce et de l’Union« , affirme l’arrêt.
    Mais, pourquoi, un tel secret ?
    Pour dissimuler la responsabilité des gens que la banque américaine place un peu partout dans le monde ?

    (source : actualités françaises.com, biographie de mario draghi)

    "De 2002 à 2005, Mario Draghi se verra au poste vice-président de la branche européenne de la banque d'affaires américaine Goldman Sachs. On lui reprochera à ce titre, d’avoir caché le déficit public de la Grèce.

    Il aurait utilisé des pratiques illégales contre une rémunération pour tronquer les écritures comptables. Mario Draghi n’a jamais reconnu les faits qui lui sont reprochés." 

    Et, me direz-vous, mes cinq chers lecteurs pourquoi cette différence ce date en l'entrée de la Gr§ce en 1981 et le poste de Mario Draghi en 2002, eh, ben, c'est la récompense.
    Alors, la question, est-ce que tous les dirigeants européens étaient au courants, et, si, ils étaient au courants, pourquoi, ils l'ont nommé comme président de la BCE.
    Alors, est-ce que les élus européens sont tous pourris ?
    Et, là, je mets les écologistes dans le même sac.
    Bien sûr, vous me direz, quel rapport avec la Grèce ?
    Simple, ce n'est plus le FMI ou la communauté européenne qui nous commande, c'est Goldman Sachs et les dix familles qui s'imaginent qu'ils sont les maîtres du monde.
    Oui, les maîtres du monde par rapport aux peuples chrétiens, bientôt russe, bientôt chinois ?
    A mon avis, les russes ne vont pas apprécier, ni, les chinois d'ailleurs.
    Pour l'instant, ils dirigent les States et l'Europe, l'Afrique, mais, pas encore le monde entier.
    Réfléchissez-y, mes chers cinq lecteurs.
    Et, à mon avis, les polonais devraient ne pas s'emmerder avec une zone euro qui n'est pas sûre. Parce que leur perte de niveau de vie va plonger grave, comme, elle a plongée pour nous.
    Bien le bonjour chez vous.
    René.

    dimanche 27 janvier 2013

    Salut à la justice équatorienne !
    "La cour d’appel de Lago Agrio dans le nord est de l’Equateur a confirmé la condamnation à 18 milliards de dollars de la Compagnie pétrolière Texaco, rachetée en 2001 par Chevron, pour pollution de plus d’un million d’hectares deforêt équatoriale. Plus de 30000 indigènes ont été affectés par cette pollution."
    (source : Regards Latinos)

    Ah, là, là, mes chers cinq lecteurs, Mittal va tenir les promesses faites au président français, François Hollande concernant le maintien de ses effectifs dans l'industrie sidérurgique.
    Hollande et son premier ministre avait donc raison de lui faire confiance.
    Pour ce faire, il liquide ses effectifs en Belgique pour maintenir ceux en France.
    Le croyez-vous ?
    Ca, c'est un vrai geste d'amitié envers la France. Vive Mittal !

    (source : Actuwiki)

    Belgique: ArcelorMittal crée un séisme en taillant dans ses effectifs

    Le sidérurgiste ArcelorMittal a provoqué un séisme en Belgique en annonçant jeudi la fermeture définitive de six installations de transformation et finition de l’acier (« phase à froid ») dans la région de Liège (est), qui affecteront 1.300 personnes.
    Un manifestant se tient à côté de pneus enflammés près du siège d'ArcelorMittal, à Flemalle, en Belgique
    Un manifestant se tient à côté de pneus enflammés près du siège d’ArcelorMittal, à Flemalle, en Belgique
    « Je crois qu’on est mort », « C’est foutu », « J’ai envie de mettre des gifles mais je me retiens »: à la sortie d’un comité d’entreprise extraordinaire convoqué dans la matinée par la direction, les « métallos » liégeois ne cachaient pas leur colère. Mais ils semblaient surtout sous le choc de l’annonce, qui concerne les 2/3 des 2.200 salariés de la phase à froid liégeoise, sans compter des milliers d’emplois indirects dans la région.
    Sous un ciel plombé, ils ont brûlé des pneus et des palettes de bois devant le siège de leur direction, sans provoquer d’incidents.
    Les syndicats ont immédiatement appelé à une grève générale sur les derniers sites encore ouverts du numéro un mondial de l’acier à Liège.
    « Comme les charbonnages »
    Ils craignent à présent la disparition totale, « comme pour les charbonnages », de la sidérurgie dans le bassin liégeois, où les premiers hauts-fourneaux ont vu le jour au XVIIIe siècle, a expliqué un responsable syndical, Daniel Camerini.
    Après cette restructuration, il ne devrait rester que quelque 800 « métallos » dans la région, alors qu’à son époque dorée d’avant le choc pétrolier des années 1970, la sidérurgie liégeoise employait plus de 40.000 personnes et qu’elle en comptait encore 5.000 en 2005.
    Le Premier ministre fédéral Elio Di Rupo devait faire part au PDG d’ArcelorMittal, Lakshmi Mittal, de l’ »incompréhension des autorités belges », lors d’une rencontre prévue dans l’après-midi en marge du Forum économique mondial (WEF) de Davos, en Suisse.
    « Nous soutenons les travailleurs et leurs familles. Les travailleurs et les autorités ont déjà fait beaucoup d’efforts pour maintenir l’activité d’ArcelorMittal dans notre pays », a-t-il expliqué.
    Face à cette crise, qui intervient quelques mois après l’annonce de la fermeture en 2014 de l’usine Ford de Genk, en Flandre, où 10.000 emplois directs et indirects vont être supprimés, M. Di Rupo a annulé un voyage prévu au Chili pour rentrer en Belgique.
    La stupeur est d’autant plus grande que le géant de l’acier, qui avait déjà annoncé en octobre 2011 la fermeture de sa « phase à chaud » liégeoise, avec à la clef la perte de près de 800 emplois directs, s’était engagé en novembre à investir 138 millions d’euros dans la phase à froid, un investissement qu’elle qualifiait à l’époque de « stratégique ».
    « Malheureusement, les perspectives économiques se sont détériorées davantage », affirme-t-il à présent, en pointant notamment les restructurations de ses clients du secteur automobile, parmi lesquels figure justement Ford Genk.
    Le sidérurgiste a donc « l’intention d’arrêter définitivement » un laminoir à chaud, un laminage à froid, deux lignes de galvanisation et deux lignes d’électrozingage.
    « Nous reconnaissons que cette annonce est très difficile pour les membres du personnel de Liège », a commenté Bernard Dehut, le PDG d’ArcelorMittal Liège.
    « Cynisme et lâcheté »
    Les organisations syndicales, qui réclament une « nationalisation » des outils d’ArcelorMittal pour relancer une sidérurgie intégrée (chaud + froid) à Liège, se tournent à présent vers le gouvernement wallon, qui pilote la politiqueéconomique dans la région francophone du sud du pays et qui est par ailleurs actionnaire minoritaire de la multinationale.
    Fustigeant le « cynisme et la lâcheté des dirigeants d’Arcelor », le chef du Parti socialiste (PS), Paul Magnette, a appelé « l’ensemble des responsables politiques et des forces vives à unir leurs forces pour permettre une reprise totale ou partielle des activités par un autre opérateur industriel, avec, le cas échéant, l’appui et l’engagement de la Wallonie ».
    L’exemple du site d’ArcelorMittal de Florange, en France, où une nationalisation a été envisagée avant d’être retoquée fin novembre par le gouvernement du socialiste Jean-Marc Ayrault, et où aucun repreneur privé n’a été trouvé, démontre toutefois les difficultés auxquelles seront confrontées les autorités belges pour relancer l’activité.
    Source : lamanchelibre.fr

    En fait, Mittal, comme je l'avais annoncé dans une lettre lointaine, veut rapatrier son activité dans son pays, l'Inde. En achetant les concurrents, il comptait tout simplement les supprimer.
    Le gouvernement Hollande s'est mis le doigt dans l'oeil et a trompé les ouvriers de la sidérurgie en annonçant avoir négocié pour les emplois.
    Comme, il l'a d'ailleurs annoncé pour Renault, le constructeur de voiture qui construit une usine en Chine et compte proposer à certains de ses employés de partir en Chine.

    Renault réduit ses effectifs de 14% en France : une partie des employés viendra travailler en Chine

    ( China.org.cn )


    Sauf, que la direction ne les a pas encore prévenu.
    Il est clair que comme Mittal, Renault, Peugeot et d'autres vont délocaliser toutes leurs chaînes de fabrication à l'étranger.
    Le gouvernement Hollande ne fait qu'avaliser cet état de fait.
    Et, si, moi, je le sais, c'est qu'il en a une claire conscience. Donc, il ment !
    Mais, passons, parce que cet posture est généralisé dans tout le secteur politique et économique.
    Par exemple, un petit moyen de gagner de l'argent qui étendu à d'autre champ peut créer des ravages.

    (source : idem)


    Les compagnies aériennes font payer la taxe CO2 pourtant suspendue

    Le gel de l’application de la taxe européenne sur les émissions de CO2 pour les vols intercontinentaux a permis aux compagnies aériennes de délester leurs clients de quelques euros en 2012 en imputant sur les billets un surcoût qu’elles n’ont pas déboursé.
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    La Commission européenne, très embarrassée par cette attitude « scandaleuse », a admis mardi ne pas avoir compétence pour intervenir dans une pratique commerciale entre les compagnies et leurs clients .
    « Si des compagnies décident d’imputer des coûts additionnels à leurs clients (sous prétexte d’acquitter la taxe carbone de l’UE), nous ne pouvons que demander la plus grande transparence sur les tarifs pratiqués », a déclaré Isaac Valero, porte-parole de la Commissaire en charge du Climat Connie Hedegaard.
    Une étude commanditée par l’organisation Transport et Environnement chiffre ce « profit d’aubaine » à 1,3 milliard d’euros réalisé en 2012 au dépens des clients des compagnies aériennes.

    Eh, oui, les compagnies aériennes, comme les banques qui se conduisent comme des usuriers, nous mentent.
    Par contre, en prenant un champ plus étendu, les dégâts pour la vie, simplement, peuvent être plus conséquents. Prenons la Grèce.
    Reprenons la lettre du 25 janvier :

    La Grèce aurait gonflé son déficit public sous l’oeil de Bruxelles pour justifier l’austérité

    Copyright Reuters
    Copyright Reuters
    Le patron et deux autres cadres de l’office des statistiques grecs ont fait l’objet mardi de l’ouverture d’une enquête judiciaire pour avoir gonflé artificiellement le déficit public de la Grèce pour l’année 2009. L’objectif: justifier auprès de l’opinion la cure d’austérité imposée par Bruxelles et le FMI en échange de l’aide pour faire face à la crise de la dette. (...)"

    Et, cette nouvelle provenant du FMI sur une simple erreur de calcul.

    (source : Agoravox)


    Le FMI s’est trompé. Pourtant Keynes en 1936 l’avait prévu

    L'Huma dans un bien petit article nous rapporte ces propos de l'économiste américain :
    "Ce que nous voulons simplement rappeler, c’est que les décisions humaines engageant l’avenir sur le plan personnel, politique ou économique ne peuvent être inspirées par une stricte prévision mathématique, puisque la base d’une telle prévision n’existe pas"
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    Alors reprenons le rapport d'Olivier Blanchard (photo) qui devraient à lui seul constituer une véritable révolution économique et financière. Pourtant il n'en sera rien. Les grands médias préféreront célébrer les bien autrement attractives déclarations d'acteurs multimilliardaires qui nous font pleurer sur leur misère ou celles d'éléphanteaux risquant l'euthanasie. L'Humanité et le Washington Post en ont parlé mais pas en première page ! France 2 hier soir l’a évoqué.
    Pourtant ce rapport d'Olivier Blanchard (document) est celui d'un économiste en chef duFMI. En quarante pages il nous apprend que l'austérité
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    Le rapport du FMI (en anglais)
    qui a été « scientifiquement » imposée à toute l'Europe par les plus hautes autorités économiques du monde et de l'Europe (c'est quoi la différence au fait ?) était une énorme erreur, une erreur éléphantesque. Que dit ce rapport ?
    - D'abord que le radical et sacro-saint désendettement et le retour indispensable à l'équilibre budgétaire sur lesquels reposent nos politiques viennent d'une erreur mathématique. Rien moins que cela !
    - Il nous apprend aussi que le modèle mathématique utilisé (mathématique donc incontestable) comportait une erreur au niveau du « multiplicateur fiscal » (sic).


    N'est-ce pas dantesquement grotesque et révélateur, mes chers lecteurs ?
    Voyons un peu, le gouvernement grec trafique les chiffres pour faire passer la pilule de l'austérité. Comme, il a trafiqué les chiffres avec Goldman Sachs pour intégrer le pays dans l'Europe.
    C'est donc une habitude des politiques grecs quelque soit leur couleur politique.
    Après, ils nous feront croire qu'il y a une vraie différence politique entre la droite et la gauche. C'est évident, la gauche trafique les chiffres pour entrer dans l'Europe, la droite pour l'austérité prônée par la commission européenne et le FMI.
    Sauf que si, nous reprenons, le FMI dit que les plans d'austérité de la Grèce, de l'Espagne, du Portugal et de l'Italie n'avait pas lieu d'être à cette intensité.
    Donc, réaction !
    Eh, bien, non, pas de réaction, la corde reste serrée autour du peuple grec et son gouvernement, les autres aussi, d'ailleurs, continue benoîtement d'appliquer les recettes prônées par ses partenaires avant l'aveu du FMI.
    Alors, pourquoi, cette souffrance imposée aux européens du sud.
    Eh, bien, parce que mes chers lecteurs, les multinationales, américaines entre autre, dont Goldman Sachs est actionnaire, n'ont pas fini de découper la Grèce en morceaux.
    N'oublions pas que Goldman Sachs, qui dans cette affaire frauduleuse du maquillage des comptes de la Grèce n'a pas été condamnée, "Trop gros pour être justiciable", s'est appropriée les réserves de gaz marines dont l'exploitation aurait permis à la Grèce de liquider sa dette. Et, pour des clopinettes !
    Alors, qui nous ment ?
    Alors, comme il faut agir, commençons à proposer des solutions. Souvenez-vous, mes chers lecteurs que depuis des années, je réclame que soit légiféré une loi instituant "UN CRIME" contre l'environnement.
    Une proposition se fait jour. (source : End ecocide in Europe)


    Mettre un Terme à l’Écocide en Europe

    L’Écocide est un acte causant des dommages importants à un ou plusieurs écosystèmes, ou la destruction ou la perte d’écosystèmes. Mettons un terme ensemble à l’Écocide en Europe !

    Quel est l’objectif ?

    Nous voulons que l’Écocide devienne un crime pour lequel des sociétés et des personnes peuvent être jugées responsables selon le droit pénal et le principe de la responsabilité supérieure. Nous souhaitons à travers L’Initiative Citoyenne Européenne obtenir que l’Écocide soit reconnu comme crime dans trois cas :
    • quand l’Écocide se produit sur le territoire européen (territoires maritimes y compris),
    • quand des entreprises européennes sont impliquées,
    • quand des citoyens européens (qui pourraient travailler pour des sociétés non-européennes) sont impliqués.
    En outre, l’accès au marché européen de produits issus d’un Écocide ne sera plus toléré car toute personne important de tels produits sera accusée de complicité d’Écocide.

    Comment cela fonctionne ?

    Grâce à l’Initiative citoyenne européenne, les citoyens européens peuvent faire appel à la Commission Européenne pour proposer une législation européenne: Une loi pour criminaliser l’Écocide en Europe.
    Si un million de citoyens signe notre appel, la Commission européenne aura le devoir d’étudier notre proposition de loi. Signer en ligne sera possible à partir de fin janvier 2013 ici !
    Pour en savoir plus, cliquez ici.
    Vous avez des questions ? N’hésitez pas à nous contacter à : info@endecocide.eu

    Vous n’êtes pas européen?

    Notre Initiative citoyenne européenne est née dans le sillon d’une proposition de Polly Higgins, une juriste internationale qui propose que le crime d’Écocide soit reconnu 5ème crime contre la Paix. L’Écocide deviendrait, de fait, illégal, dans le monde entier et tout contrevenant pourrait être jugé par la Cour Pénale Internationale.
    Regardez ici le discours de Polly: http://www.youtube.com/watch?v=8EuxYzQ65H4
    Si vous êtes intéressés par ce mouvement international, rejoignez: http://www.eradicatingecocide.com

    Pensez y mes chers lecteurs. Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte.
    Bien le bonjour chez vous.
    René.

    PS : (source : Commission Européenne, Agriculture et Développement Rural)


    Consultation en vue du réexamen de la politique européenne relative à l'agriculture biologique

    Titre

    Réexamen de la politique européenne relative à l'agriculture biologique – Consultation publique

    Domaine politique

    Agriculture

    Groupes cibles

    Tous les citoyens, organisations et autorités publiques concernés par un réexamen de la politique européenne relative à l'agriculture biologique sont invités à participer à cette consultation.

    Période de consultation

    15/01/2013 – 10/04/2013

    Objectif de la consultation

    Contexte – L'agriculture biologique dans l'UE
    L'agriculture et la production biologiques jouent un rôle économique important dans le paysage agricole européen. Elles peuvent offrir des débouchés commerciaux aux producteurs agricoles qui souhaitent répondre à la demande croissante de produits de qualité respectueux de l'environnementproducts.
    Dans le cadre de la politique agricole commune, la production biologique est soutenue par le budget, les politiques et la législation de l'Union européenne. Cette approche vise à renforcer la confiance des consommateurs, tout en créant les conditions d'une concurrence équitable entre les producteurs de produits biologiques dans les 27 États membres. Les dispositions relatives à la production biologique sont énoncées dans le règlement n° 834/2007 du Conseil  et lerèglement n° 889/2008 de la Commission .
    L'agriculture biologique n'utilise qu'une partie relativement limitée de la superficie agricole de l'Union européenne — environ 5 % — mais ce secteur est en pleine expansion du fait d'une demande en croissance constante. Avec la crise économique, les consommateurs continueront-ils de s'orienter vers un mode de vie plus durable et de privilégier les produits biologiques?

    Questions soulevées dans cette consultation
    Cette consultation permettra à la Commission européenne de recueillir vos avis sur la meilleure manière de développer l'agriculture biologique.

    Thèmes principaux:
    • Simplification du cadre juridique sans affaiblissement des normes
    • Coexistence des OGM et de l'agriculture biologique
    • Amélioration des systèmes de contrôle et des régimes d'échanges des produits bio
    • Impact des nouvelles règles d'étiquetage (en particulier l'utilisation désormais obligatoire du logo européen sur tous les articles bio produits dans l'UE: cela a-t-il accru la visibilité de ces produits?)

    Autres thèmes:
    • Plan d'action: en 2004, la Commission a lancé un plan d'action pour le développement de l’agriculture biologique en Europe, qui a donné un élan supplémentaire à ce secteur. Cette consultation est aussi l'occasion de recueillir les avis sur les domaines dans lesquels un nouveau plan d'action pourrait être nécessaire.
    • Contrôles: pour que le secteur se développe, il est essentiel de garantir son intégrité. Suite à plusieurs cas de fraude, il pourrait être nécessaire de renforcer les contrôles et de veiller à une application plus stricte de la réglementation.
    • Importations: un régime d'importation a été mis en place pour réglementer le commerce international des produits biologiques. Ce marché en pleine croissance évolue très vite; des lacunes sont donc à combler afin d'assurer le bon fonctionnement à long terme du marché des produits bio.

    Comment soumettre votre contribution?

    Nous invitons les particuliers, les organisations et les autorités publiques à apporter leur contribution.
    Afin de participer à cette consultation, nous vous invitons à répondre au questionnaire en ligne. Ce questionnaire fait le tour des questions liées à l'agriculture biologique. Si vous avez moins de 15 minutes à y consacrer, vous pouvez choisir de ne répondre qu'aux questions obligatoires.
    Après avoir rempli le questionnaire en ligne, n'oubliez pas de cliquer sur le bouton «Soumettre», faute de quoi vos réponses ne seront pas envoyées.
    La consultation est anonyme. Chaque réponse recevra un numéro de traitement choisi au hasard afin d'éviter de recueillir des données permettant d'identifier les répondants. Le maître du fichier certifie que les informations ci-dessus sont exactes et garantit que les résultats seront exploités sous une forme agrégée, rendant impossible l'identification individuelle des répondants au sein d'une catégorie de réponses.
    Les réponses au questionnaire ne seront pas rendues publiques, à l'exception des contributions supplémentaires reçues par le service responsable (voir ci-dessous). Sauf demande expresse, ces contributions seront publiées sur ce site web.

     

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    Information importante

    Langue
    Vous pouvez envoyer votre contribution dans n'importe quelle langue officielle de l'UE. Toutefois, afin de faciliter notre analyse et de permettre d'accéder facilement à toutes les contributions, nous vous serions reconnaissants d'utiliser l'anglais, ou à tout le moins de fournir un résumé dans cette langue.

    Registre de transparence européen
    Dans un souci de transparence, les organismes sont invités à publier toute information utile les concernant en s'inscrivant au registre de transparence et en souscrivant au code de conduite qui l'accompagne. Les contributions des organismes non enregistrés seront publiées séparément de celles des organismes enregistrés.

    Clause de non-responsabilité
    Veuillez noter que ce document a uniquement été élaboré à des fins d’information et de consultation. Il n'a pas été adopté ni approuvé en aucune manière par la Commission européenne, et ne doit pas être considéré comme l'expression des opinions du personnel de la Commission. Il ne préjuge en rien, ni n’annonce une position quelconque de la Commission sur les sujets traités. La Commission européenne ne garantit pas l’exactitude des informations fournies et décline également toute responsabilité quant à l’usage qui peut en être fait.

      

    Documents de référence


    Contact

    Service responsable:
    Commission européenne
    Direction générale de l'agriculture et du développement rural
    Unité H3 – Agriculture biologique

    Courriel:

    Adresse postale:
    Rue de la Loi 130
    B-1049 Bruxelles
    Belgique

    Nombre de réponses reçues à cette consultation

    -

    Résultats de la consultation et étapes ultérieures

    Cette consultation publique donne l'occasion aux parties prenantes et aux citoyens de faire part de leurs vues à la Commission dès les premières étapes de l'élaboration des politiques. Les services de la Commission publieront les résultats de la consultation sur ce site web.