Salut à tous mes amis. Sommes-nous restés fidèles à nos rêves de jeunesse ?
Hélas, mes chers cinq lecteurs, ils continuent à détruire la planète au nom du dieu Mosanto.
Seulement, la disparition de l'humidité de l'Amazonie peut avoir des conséquences sur l'accélération de la fonte des glaciers dans les Andes. Andes dont les sources et rivières font le fleuve Amazone.
Car, dites-vous bien, mes chers lecteurs, que tout est lié, l'humidité de la zone influe sur la stabilisation des glaciers andins.
L'accélération de la déforestation accélère donc la fonte des glaciers. D'où des catastrophes climatiques a finir qui va balayer les futures cultures OGM de Mosanto.
Mais, également balayer les hommes et les villes et villages, sans compter les populations indiennes.
Leur progrès est destructeur, mais, ils ne voient que le profit à court terme.
(source : Radio-Canada.ca)
Hélas, mes chers cinq lecteurs, ils continuent à détruire la planète au nom du dieu Mosanto.
Seulement, la disparition de l'humidité de l'Amazonie peut avoir des conséquences sur l'accélération de la fonte des glaciers dans les Andes. Andes dont les sources et rivières font le fleuve Amazone.
Car, dites-vous bien, mes chers lecteurs, que tout est lié, l'humidité de la zone influe sur la stabilisation des glaciers andins.
L'accélération de la déforestation accélère donc la fonte des glaciers. D'où des catastrophes climatiques a finir qui va balayer les futures cultures OGM de Mosanto.
Mais, également balayer les hommes et les villes et villages, sans compter les populations indiennes.
Leur progrès est destructeur, mais, ils ne voient que le profit à court terme.
(source : Radio-Canada.ca)
Une zone grande comme le
Royaume-Uni détruite dans
la forêt amazonienne
Mise à jour le mercredi 5 décembre 2012 à 0 h 33 HNE
La forêt amazonienne au Brésil Photo : alessandroiryna, iStockphoto
La déforestation de l'Amazonie a détruit
une superficie presque aussi grande que
le Royaume-Uni en 10 ans, ont annoncé
les agences environnementales
des gouvernements de la région
mardi.
une superficie presque aussi grande que
le Royaume-Uni en 10 ans, ont annoncé
les agences environnementales
des gouvernements de la région
mardi.
L'étude, préparée par le Réseau d'information de l'Amazonie,
a été rendue publique en Bolivie. Elle montre
que près de 240 000 kilomètres carrés
de la forêt tropicale humide d'Amazonie
ont été dévastés depuis 10 ans.
a été rendue publique en Bolivie. Elle montre
que près de 240 000 kilomètres carrés
de la forêt tropicale humide d'Amazonie
ont été dévastés depuis 10 ans.
Les principales causes de la destruction
de la forêt amazonienne sont
les coupes de bois illégales,
la construction d'autoroutes, les activités
minières, agricoles et d'élevage,
la construction de barrages
hydroélectriques ainsi que les
forages gaziers et pétroliers.
de la forêt amazonienne sont
les coupes de bois illégales,
la construction d'autoroutes, les activités
minières, agricoles et d'élevage,
la construction de barrages
hydroélectriques ainsi que les
forages gaziers et pétroliers.
Quelque 63 % des 6,1 millions
de kilomètres carrés de la
forêt amazonienne se trouvent
sur le territoire brésilien,
et 80,4 % de la déforestation
constatée entre 2000 et 2010
s'est produite dans ce pays,
affirme l'étude. Le Pérou est
responsable de 6,2 % de la
déforestation, tandis que la
Colombie arrive troisième,
avec une proportion de 5 %.
de kilomètres carrés de la
forêt amazonienne se trouvent
sur le territoire brésilien,
et 80,4 % de la déforestation
constatée entre 2000 et 2010
s'est produite dans ce pays,
affirme l'étude. Le Pérou est
responsable de 6,2 % de la
déforestation, tandis que la
Colombie arrive troisième,
avec une proportion de 5 %.
L'étude souligne toutefois
un point positif : le rythme
de la déforestation au Brésil
et dans les autres pays de
la région, à l'exception de
la Colombie et de la Guyane
française, a ralenti pendant
les 10 années couvertes
par l'étude.
un point positif : le rythme
de la déforestation au Brésil
et dans les autres pays de
la région, à l'exception de
la Colombie et de la Guyane
française, a ralenti pendant
les 10 années couvertes
par l'étude.
Le Réseau d'information de
l'Amazonie regroupe 11
agences de surveillance de
l'environnement dans huit
pays d'Amérique du Sud et
en Guyane française,
qui se partagent la vaste
forêt amazonienne.
l'Amazonie regroupe 11
agences de surveillance de
l'environnement dans huit
pays d'Amérique du Sud et
en Guyane française,
qui se partagent la vaste
forêt amazonienne.
La forêt amazonienne est
considérée comme
l'une des plus importantes
défenses naturelles
contre le réchauffement
climatique, grâce à
sa capacité d'absorber
de grandes quantités
de dioxyde de carbone.
considérée comme
l'une des plus importantes
défenses naturelles
contre le réchauffement
climatique, grâce à
sa capacité d'absorber
de grandes quantités
de dioxyde de carbone.
Associated Press
Mais, passons. Parce qu'en attendant notre président de la république française continue de jouer au con avec son premier ministre qui est parti pour accumuler les foyers de tensions..
(source : les Moutons Enragés)
Ah, là, là, mes chers lecteurs, mais, pourquoi, aucun média contrôlé par le patronat ne parle de l'Islande ?
Cela déplairait-il au marché financier ?
Et, pourquoi, l'Argentine a nationaliser une compagnie pétrolière espagnole et que la France, pour plaire au patronat, n'a pas nationalisé l'acérie de Florange appartenant à Mittal ?
Que de questions, que de questions, mon dieu !
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.
Mais, passons. Parce qu'en attendant notre président de la république française continue de jouer au con avec son premier ministre qui est parti pour accumuler les foyers de tensions..
(source : les Moutons Enragés)
L’Islande va très bien, merci…
5 décembre 2012 | Posté par benji sous Argent et politique |
Il est temps que les autorités politiques européennes demandent une consultation aux élites
islandaises pour apprendre comment se sortir du trou dans lequel elles ont
collé le vieux continent.
Plaignons les pauvres hommes politiques européens. Pas de fin de
semaine où ils ne se retrouvent à Bruxelles pour mettre la dernière main au
énième plan de sauvetage de la Grèce qui a besoin de 30 ou 40 milliards d’euros
de plus, pas de jour où la presse économique ne publie l’écart des taux entre
l’Allemagne ou l’Espagne et où nous n’apprenions que le chômage fait un nouveau
bond plus haut en France.
Aujourd’hui, et grâce à cette machine à détruire l’Europe qu’est
l’euro, nous avons cinq pays européens qui n’ont plus accès aux marchés
financiers, des dettes étatiques qui continuent à exploser trois ans
après le début de la crise, un taux de chômage dans l’Europe du sud qui frôle
les 25%, un taux de chômage des jeunes de 25 ans qui dépasse les 50%, des PNB
en chute libre, l’émergence d’un parti ouvertement raciste en Grèce, des
tendances à la sécession de certaines provinces en Espagne (Catalogne, Pays
Basque) ou en Italie…
Devant ce désastre inimaginable, qui ne cesse de s’aggraver et
qu’ils ne peuvent plus nier, les réactions de nos hommes politiques européens
ne bougent pas d’un iota.
1.Démanteler l’euro et retourner aux monnaies nationales serait un
désastre encore plus grand, vous disent ceux qui ont créé l’euro contre toute
logique économique. Ils se sont trompés sur tout depuis vingt ans.
Pourquoi donc les croire sur ce coup là ? De mon côté, j’en doute très
fortement. Après tout, je n’ai pas d’exemple dans l’histoire d’un monstre
technocratique mis à mort sans que cela ne se traduise par une envolée de la
croissance économique et des marchés financiers, le capital pouvant circuler à
nouveau en fonction de la rentabilité marginale de ce même capital, mais soit…
À mon humble avis, il vaut mieux la fin de l’horreur qu’une horreur sans fin
(proverbe allemand).
2.
La solution de laisser faire le
marché pour retourner à l’équilibre ne marche pas comme chacun le sait. La
seule chose qui fonctionne, c’est un marché « dirigé et encadré » par
des gens compétents et altruistes, c’est-à-dire eux, et pour cela, il est bien
normal qu’ils disposent de privilèges et de pouvoirs exorbitants et surtout
qu’ils ne soient pas soumis aux foucades d’un électorat qui ne comprend rien à
rien.
Et c’est là qu’il faut introduire l’Islande.
Pendant que la Grèce faisait faillite dans le sud, à peu près au
même moment, l’Islande plongeait dans le nord. Et je ne sais pas si le lecteur
a remarqué, mais personne, absolument personne, ne parle de l’Islande, et pour
cause : elle va très bien ! Et elle va très bien parce que le pays a fait face
à ses problèmes de façon démocratique et en ayant recours aux marchés plutôt
qu’à des technocrates…
Qu’ont fait les Islandais pour s’en sortir ? C’est tout simple,
ils ont fait ce qu’avaient fait avant eux la Suède en 1992, la Corée en 1998 et
bien d’autres avant et après eux…
Revenons sur l’année 2008-2009 en Islande. Une croissance
bancaire débridée a amené le pays à la faillite. Les banques islandaises ayant
emprunté de façon déraisonnable aux banques de certains autres pays (Allemagne,
Grande-Bretagne) pour financer une expansion totalement folle se retrouvent
dans une situation désespérée lorsque les banques étrangères exigent le
remboursement des prêts.
Les autorités élues prennent le conseil du FMI et commencent à
mettre au point un programme d’ajustement qui forcerait les Islandais à
reconnaitre ces dettes et donc les maintiendrait en esclavage pour 15 ans,
selon la formule habituelle du FMI qui refuse toujours de reconnaitre la
responsabilité du prêteur dans une faillite financière. La seule solution pour
le FMI en effet est toujours de faire baisser le niveau de vie des
populations locales en augmentant les impôts et en privilégiant le créancier
extérieur par rapport au créancier intérieur, ce qui rend le remboursement de
la dette impossible.
Ce plan, bien entendu ne marche jamais, comme on le voit partout
en Europe aujourd’hui, mais le fait qu’un plan ne marche pas n’a jamais empêché
des fonctionnaires de le proposer à nouveau puisque le fait qu’il échoue leur
garantit un emploi pour de nombreuses années ensuite. Après tout, vivre dans un
hôtel de luxe à Athènes depuis trois ans est plutôt plus agréable que de se
morfondre dans une banlieue de Washington.
Et là, quelque chose se passe en Islande après que le Président
de la République ait accepté de passer sous les fourches caudines du FMI : la
population se révolte, une immense manifestation a lieu qui exige un
referendum. Le Président cède, le referendum a lieu et la population refuse
massivement de devenir esclaves pour sauver des banquiers allemands ou anglais
qui ont commis imprudence sur imprudence.
Du coup, les mesures suivantes sont prises :
•
Le Parlement est dissous et de
nouvelles élections ont lieu.
•
Les banques sont nationalisées et
les comptes des déposants locaux garantis à 100%, en monnaie locale.
•
Les prêts internationaux et les
déposants en dehors de l’Islande ne bénéficient d’aucune protection.
•
Un contrôle sur les mouvements de
capitaux est institué.
•
Une réforme constitutionnelle est
engagée pour que plus jamais dans le futur le système financier ne
puisse prendre le contrôle du système politique. C’est là sans doute le point
le plus important : les citoyens du pays ont parfaitement identifié que
l’origine de la crise se trouvait dans la prise de contrôle du politique par la
banque, comme au Japon en 1992 et ils ont aussi très bien compris que le
système politique préférait les mettre en esclavage plutôt que de faire de la
peine à leurs maitres. On aimerait que la même chose se passe en Europe, mais
quand Papandreou a proposé un referendum pour la Grèce, il a été promptement
débarqué pour être remplacé par un Kissling de service. Au moins en Europe, on
sait pour qui le système politique roule…
Du fait de ce refus fort démocratique de payer pour les erreurs
des autres, l’Islande fut mise à l’index de la communauté financière
internationale, qui n’est ni une communauté ni financière ni internationale
puisque l’on parle d’abord d’un cartel, de banque et non de finance,
représentant des sociétés européennes et américaines et non une entité
internationale. Les prêts en faveur de l’Islande s’arrêtèrent donc net.
Comme l’Islande était en déficit extérieur, la monnaie
islandaise s’écroula, tandis que l’inflation passait à 18%, le chômage de 4% a
9%, le PNB baissant fortement, les taux longs passant à 14%… Et tout le monde
de ricaner dans les instances internationales, en se félicitant « in
petto » de la bonne leçon qui était en train d’être donnée à ces pêcheurs
incultes, leçon qui allait être bien utile pour amener les autres pays
réfractaires à de bons sentiments…
Où en sommes-nous trois ans après ? La balance commerciale est
passée d’un déficit à un fort excédent (l’Islande n’a donc plus besoin de prêts
de la communauté financière internationale, au contraire de la Grèce ou de l’Espagne),
l’inflation est aux alentours de 4%, le chômage est retombé à moins de 5%, les
taux d’intérêts longs sont à 7% et le PNB est sur une pente moyenne de
croissance de 2,5% par an… Dans sa grande bonté, l’Islande a même décidé
qu’elle allait repayer tout ou partie des dettes aux banques allemandes et
anglaises et, d’après le FMI, le contrôle des changes devrait être supprimé
d’ici 2015. Voilà qui a dû avoir du mal à passer pour ces ignoramus
économiques. Bref, un succès total ! Comme à chaque fois quand l’on demande son
avis au peuple plutôt qu’au FMI…
Et la leçon est simple. Quand un pays a un problème de
surendettement, la seule solution est de recréer les conditions de la
croissance, en laissant le taux de change trouver son niveau d’équilibre, en mettant
en faillite les banques tout en les nationalisant et en garantissant les dépôts
locaux, en laissant les marchés du crédit trouver leur équilibre sans
intervenir et en ne se sentant aucune responsabilité envers des prêteurs
étrangers qui auraient soutenu la bulle du crédit au-delà de toute raison… Une
fois le bilan nettoyé, les réformes de structure peuvent alors commencer et
l’on peut s’attacher à renvoyer les banquiers des instances politiques et
monétaires qu’ils ont accaparées pour qu’ils retournent dans leurs agences de
quartier d’où ils n’auraient jamais dû sortir. Et tout cela doit se faire de
façon démocratique, en demandant son avis au peuple par référendum ou au
travers de nouvelles élections, à chaque étape.
À mon avis, il est temps, grand temps que les autorités
politiques européennes demandent toutes affaires cessantes une consultation aux
élites islandaises pour apprendre comment se sortir du trou dans lequel elles
ont collé le vieux continent. Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me dit
que la probabilité d’une telle demande est faible, très faible et que les
élites européennes préféreront continuer à crucifier leurs peuples sur la croix
de l’euro plutôt que de reconnaitre leurs erreurs et bien entendu, refuseront
de demander leur avis aux peuples de façon démocratique.
Mais ce qui m’étonne le plus, c’est le silence radio total
de la presse sur ce qui s’est passé en Islande et l’absence de comparaison
entre l’Islande et la Grèce. Si les peuples savaient qu’il existe une solution
à leurs malheurs, peut-être exigeraient-ils que des actions soient prises en ce
sens ? Est-ce pour cela que l’on n’entend jamais parler de l’Islande ?
Et la Presse a-t-elle reçu des ordres ? Mais de qui ?
Via sott.net
Ah, là, là, mes chers lecteurs, mais, pourquoi, aucun média contrôlé par le patronat ne parle de l'Islande ?
Cela déplairait-il au marché financier ?
Et, pourquoi, l'Argentine a nationaliser une compagnie pétrolière espagnole et que la France, pour plaire au patronat, n'a pas nationalisé l'acérie de Florange appartenant à Mittal ?
Que de questions, que de questions, mon dieu !
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.
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