Salut aux militants de Notre Dame des Landes, Ayrault vous prend pour des billes et Hollande pareil !
Eh, oui, mes chers lecteurs, l'Europe protège les OGM, Mosanto et compagnie. A se demander pourquoi, les experts européens n'ont rien à refuser à ces gens-là.
Il paraît que parmi ces experts, il y de sérieux conflits d'intérêts avec certains, en nombre paraît-il, rémunérés plusieurs fois, pour divers postes par ces mêmes compagnies.
Mais, l'administration européenne, comme celui des Etats-Unis et d'autres ne jugent pas ces gens qui travaillent contre l'intérêt des citoyens, mais, pour le leur naturellement,
Jamais d'enquêtes, jamais de procès et encore moins de condamnation.
Pourtant, ces gens-là en s'arrangeant pour faire autoriser des semences OGM, des pesticides, fongicides, des médicaments, tout cela parce qu'ils sont payés par ailleurs par ces boîtes, devraient être arrêtés et jetés en prison.
L'Europe, c'est la gabegie de l'argent que nos impôts versent à l'Union Européenne.
Car, je l'affirme fort, la majorité des experts européens sont achetés par les sociétés qui veulent nous fourguer leur poison.
(source : le Monde Planète)
L'agence européenne avait déjà conclu, dans un avis préliminaire rendu le 4 octobre, que l'étude incriminée était "de qualité scientifique insuffisante" pour être considérée comme "valide pour l'avaluation des risques". L'examen final de l'EFSA confirme ce premier avis, en estimant "qu'il n'est pas possible de tirer des conclusions valables sur l'occurrence des tumeurs chez les rats testés".
L'EFSA, mais aussi les six Académies savantes françaises, le Haut Conseil des biotechnologies et l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) ont tous invalidé ces résultats. Les principales critiques portent, d'une part sur le fait que la souche de rats utilisée est connue pour développer spontanément des tumeurs, d'autre part que les effectifs des groupes de rats testés (dix mâles et dix femelles seulement servant de témoins) sont insuffisants pour en tirer des statistiques robustes.
"L'analyse réalisée par l'EFSA a montré que les lacunes observées dans l'article de Séralini et. al donnent lieu à une qualité scientifique insuffisante dans le cadre de l'avaluation des risques", indique Per Bergman, qui a dirigé l'expertise de l'agence européenne. Celle-ci précise que son évaluation finale "prend en considération les évaluations indépendantes réalisées par les organisations de six Etats membres de l'UNion européenne : l'Allemagne, la Belgique, le Danemark, la France, l'Italie et les Pays-Bas".
Quelque 140 scientifiques français ont toutefois pris leurs distances avec les Académies savantes françaises. Et M. Séralini a également reçu le soutien de 200 scientifiques internationaux. Sans se prononcer sur le fond de l'étude, les partisans de M. Séralini, président du conseil scientifique du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen), estiment qu'elle plaide en faveur d'études de long terme (plus de trois mois) sur la toxicité du maïs NK603 et de son herbicide associé.
Mais, mon dieu, qu'ils sont fait vite, les experts européens pour juger une étude qui a duré deux ans. C'est bien, leur maître Mosanto les a sifflé et ils ont rappliqué avec des conclusions, sans doute même élaboré par les experts de Mosanto.
N'oublions pas, Mosanto que la banque communautaire européenne (BCE) va couvrir pour 40 millions de dollars US pour des risques de non vente de ses semences sur les pays de l'est.
Comme quoi, toutes les structures européennes se mettent à genoux devant Mosanto.
Il serait peut-être temps de regarder de plus près tous les comptes en banque de ces fameux experts.
Eh, oui, tous pourris !
Mais, passons, parce qu'il y en a un autre de pourri, j'ai parlé de Bill Gates.
(source : Internationalnews)
Traduction copyleft de Pétrus Lombard 14 octobre 2010
Uel de cet article:
http://www.internationalnews.fr/article-blackwater-monsanto-et-bill-gates-les-machines-de-guerre--61473859.html
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.
Eh, oui, mes chers lecteurs, l'Europe protège les OGM, Mosanto et compagnie. A se demander pourquoi, les experts européens n'ont rien à refuser à ces gens-là.
Il paraît que parmi ces experts, il y de sérieux conflits d'intérêts avec certains, en nombre paraît-il, rémunérés plusieurs fois, pour divers postes par ces mêmes compagnies.
Mais, l'administration européenne, comme celui des Etats-Unis et d'autres ne jugent pas ces gens qui travaillent contre l'intérêt des citoyens, mais, pour le leur naturellement,
Jamais d'enquêtes, jamais de procès et encore moins de condamnation.
Pourtant, ces gens-là en s'arrangeant pour faire autoriser des semences OGM, des pesticides, fongicides, des médicaments, tout cela parce qu'ils sont payés par ailleurs par ces boîtes, devraient être arrêtés et jetés en prison.
L'Europe, c'est la gabegie de l'argent que nos impôts versent à l'Union Européenne.
Car, je l'affirme fort, la majorité des experts européens sont achetés par les sociétés qui veulent nous fourguer leur poison.
(source : le Monde Planète)
L'étude Séralini sur la toxicité des OGM "enterrée" par les experts européens
Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le Par Pierre Le HirL'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a définitivement rejeté, mercredi 28 novembre, l'étude controversée du biologiste français Gilles-Eric Séralini, publiée le 19 septembre dans la revue Food and Chemical Toxicology, sur la toxicité du maïs OGM NK 603 de Monsanto et de l'herbicide Roundup.
"Les lacunes importantes constatées dans la conception et la méthologie de l'article (...) impliquent que les normes scientifiques acceptables n'ont pas été respectées et, par conséquent, qu'un réexamen des évaluations précédentes de la sécurité du maïs génétiquement modifié NK 603 n'est pas justifié", écrit l'EFSA.L'agence européenne avait déjà conclu, dans un avis préliminaire rendu le 4 octobre, que l'étude incriminée était "de qualité scientifique insuffisante" pour être considérée comme "valide pour l'avaluation des risques". L'examen final de l'EFSA confirme ce premier avis, en estimant "qu'il n'est pas possible de tirer des conclusions valables sur l'occurrence des tumeurs chez les rats testés".
Voir le compte rendu du chat avec le journaliste du Monde Stéphane Foucart : Affaire Séralini : peut-on faire confiance aux toxicologues ?
Dans son étude, Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie
moléculaire à l'université de Caen, a testé pendant deux ans, sur un
groupe de 200 rats, les effets d'un régime alimentaire comprenant du
maïs transgénique NK 603, à différents dosages et traité ou non au
désherbant Roundup. Selon le biologiste, ce régime serait responsable de
tumeurs mammaires, de nécroses du foie et d'inflammations rénales,
provoquant une mortalité accrue des rongeurs..L'EFSA, mais aussi les six Académies savantes françaises, le Haut Conseil des biotechnologies et l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) ont tous invalidé ces résultats. Les principales critiques portent, d'une part sur le fait que la souche de rats utilisée est connue pour développer spontanément des tumeurs, d'autre part que les effectifs des groupes de rats testés (dix mâles et dix femelles seulement servant de témoins) sont insuffisants pour en tirer des statistiques robustes.
"L'analyse réalisée par l'EFSA a montré que les lacunes observées dans l'article de Séralini et. al donnent lieu à une qualité scientifique insuffisante dans le cadre de l'avaluation des risques", indique Per Bergman, qui a dirigé l'expertise de l'agence européenne. Celle-ci précise que son évaluation finale "prend en considération les évaluations indépendantes réalisées par les organisations de six Etats membres de l'UNion européenne : l'Allemagne, la Belgique, le Danemark, la France, l'Italie et les Pays-Bas".
Quelque 140 scientifiques français ont toutefois pris leurs distances avec les Académies savantes françaises. Et M. Séralini a également reçu le soutien de 200 scientifiques internationaux. Sans se prononcer sur le fond de l'étude, les partisans de M. Séralini, président du conseil scientifique du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen), estiment qu'elle plaide en faveur d'études de long terme (plus de trois mois) sur la toxicité du maïs NK603 et de son herbicide associé.
Pierre Le Hir
Mais, mon dieu, qu'ils sont fait vite, les experts européens pour juger une étude qui a duré deux ans. C'est bien, leur maître Mosanto les a sifflé et ils ont rappliqué avec des conclusions, sans doute même élaboré par les experts de Mosanto.
N'oublions pas, Mosanto que la banque communautaire européenne (BCE) va couvrir pour 40 millions de dollars US pour des risques de non vente de ses semences sur les pays de l'est.
Comme quoi, toutes les structures européennes se mettent à genoux devant Mosanto.
Il serait peut-être temps de regarder de plus près tous les comptes en banque de ces fameux experts.
Eh, oui, tous pourris !
Mais, passons, parce qu'il y en a un autre de pourri, j'ai parlé de Bill Gates.
(source : Internationalnews)
Publié dans : Nouvel Ordre Mondial/New World Order
La firme agroalimentaire tentaculaire criminelle Monsanto (de l'agent Orange aux OGM) vient d'acheter la
société de mercenaires criminels Blackwater (aujourd'hui appelée Xe Services) !
La Pravda en anglais, Silvia Ribeiro, 14 octobre 2010
Un article de Jeremy Scahill, Blackwater's Black Ops (Les opérations secrètes des Blackwater), paru dans The Nation
le 15
septembre 2010, a révélé que la plus grande armée de mercenaires
du monde, la compagnie de services clandestins d'intelligence Blackwater
(aujourd'hui appelée Xe Services) a été vendue
à la multinationale Monsanto. Blackwater a été rebaptisée en 2009,
après que de nombreux rapports de débordements, dont des massacres de
civils, en Irak l'aient rendue célèbre dans le monde.
Elle reste le plus grand prestataire privé de « services de
sécurité » du ministère des Affaires étrangères zunien à pratiquer le
terrorisme d'État, offrant ainsi au gouvernement la
possibilité de nier sa pratique.
De nombreux
militaires et anciens officiers de la CIA travaillent pour Blackwater ou
des entreprises assimilées ou
créées pour détourner l'attention de leur mauvaise réputation et
rendre plus lucrative la vente à d'autres gouvernements, banques et
compagnies multinationales de leurs infâmes services, allant
de l'information et du renseignement à l'infiltration, en passant
par le lobbying politique et la formation paramilitaire. Selon Scahill,
les affaires avec les multinationales comme Monsanto et
Chevron, et des géants de la Finance tels que Barclays et Deutsche
Bank, sont conduites par deux sociétés appartenant à Erik Prince, le
propriétaire de Blackwater : Total Intelligence
Solutions et Terrorism Research Center. Leurs fonctionnaires et administrateurs ont en commun Blackwater.
L'un d'eux, Cofer Black, l'un des directeurs de la CIA connu pour sa brutalité, est celui qui, en tant que
directeur de Total Intelligence, a pris contact avec
Monsanto en 2008 pour conclure un contrat avec la compagnie pour
espionner et infiltrer les organisations de militants des droits
des animaux et des anti-OGM, et accomplir les autres sales boulots
du géant de la biotechnologie.
Contacté par Scahill, Kevin Wilson, un cadre de Monsanto, a refusé de commenter, mais a confirmé plus tard à
The Nation qu'ils avaient engagé Total Intelligence en 2008 et 2009, seulement, selon lui, pour garder une trace des « révélations » de leurs opposants. Il a aussi
indiqué que Total Intelligence est une « entité totalement distincte de Blackwater. »
Pourtant, Scahill
possède des copies de courriels de Cofer Black après sa rencontre avec
Wilson pour Monsanto, où
il explique à d'autres anciens agents de la CIA, en utilisant
leurs adresses de courriels chez Blackwater, que la discussion avec
Wilson était que Total Intelligence est devenu
« l'organe de renseignement de Monsanto, » pour l'espionnage des
militants et d'autres actions, incluant « l'intégration légale de nos
gens dans ces groupes. » Monsanto a
payé Total Intelligence 127.000 dollars en 2008 et 105.000 dollars en 2009.
Il n'étonnera
guère qu'une compagnie engagée dans la « science de la mort » comme
Monsanto, dédiée dès
l'origine à créer des poisons toxiques à répandre, de l'Agent
Orange aux BPC (biphényles polychlorés), des pesticides, des hormones et
des semences génétiquement modifiées, est associée à une
autre compagnie de voyous.
Quasi simultanément à la publication de cet article dans The Nation, Via Campesina
a signalé
l'achat de 500.000 actions de Monsanto, pour plus de 23 millions
de dollars, par la Fondation Bill et Melinda Gates, qui, avec cette
action, a complètement jeté le masque de la
« philanthropie. » Encore une association qui ne surprendra guère.
Il s'agit d'un
mariage entre deux monopoles des plus cyniques de l'histoire de
l'industrialisme : Bill Gates
contrôle plus de 90 pour cent de part du marché de l'informatique
propriétaire et Monsanto environ 90 pour cent du marché mondial des
semences transgéniques et la majorité des semences
commerciales du monde. Il n'existe aucun autre monopole aussi
vaste de secteurs industriels. Leur l'existence même est une négation du
fameux principe du capitalisme de « concurrence de
marché. » Gates et Monsanto sont tous deux très agressifs dans la
défense de leurs monopoles mal acquis.
Bien que Bill
Gates puisse être tenté de dire que sa Fondation n'a aucun rapport avec
son entreprise, tout prouve
le contraire : la plupart de ses dons finissent par favoriser les
investissements commerciaux du magnat. Quoi que ce soit, ce ne sont pas
vraiment des « dons, » puisque au lieu
de payer des impôts à l'État, la Fondation investit ses bénéfices
là où c'est favorable économiquement, y compris dans la propagande sur
ses bonnes intentions présumées. Ses « dons »
financent au contraire des projets aussi destructeurs que la
géo-ingénierie ou le remplacement des médicaments de la communauté
naturelle par des médicaments brevetés de haute technologie dans
les régions les plus pauvres du monde. Quelle coïncidence !
L'ancien ministre [mexicain] à la Santé Julio Frenk et [l'ancien
président du Mexique] Ernesto Zedillo sont des conseillers de
la Fondation.
Comme Monsanto,
Gates est aussi engagé dans une tentative de destruction de
l'agriculture rurale dans le monde,
principalement à travers l'« Alliance pour une révolution verte en
Afrique » (AGRA). Il fait office de cheval de Troie dans le but de
déposséder les agriculteurs pauvres africains de
leurs semences traditionnelles, afin de les remplacer d'abord par
des semences de leurs compagnies, et ensuite par des semences
génétiquement modifiées. À cette fin, en 2006 la Fondation a
embauché Robert Horsch, le directeur de Monsanto. Gates expose
maintenant des bénéfices importants, directement revenus à leur source.
Blackwater,
Monsanto et Gates sont les trois faces d'un même calcul, la machine de
guerre contre la planète et la
plupart des gens qui l'habitent : les paysans, les communautés
autochtones, les gens qui veulent partager les informations et les
connaissances ou tous ceux qui ne veulent pas être sous
l'égide du profit et du pouvoir destructeur du capitalisme.
L'auteur, Silvia Ribeiro, est chercheuse à l'ETC Group. Cet article, paru à l'origine dans le journal mexicain La Jornado, a été traduit
de l'espagnol pour La Pravda en anglais par Lisa Karpova.
Source : english.pravda.ru/business/companies/14-10-2010/115363-machines_of_war_blackwater_monsanto_billgates-0/
Source : english.pravda.ru/business/companies/14-10-2010/115363-machines_of_war_blackwater_monsanto_billgates-0/
Traduction copyleft de Pétrus Lombard 14 octobre 2010
Source http://www.lepost.fr
Image: tickergrail.blogspot.com, antifascistencyclopedia.com
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.
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