Aujourd'hui, j'accuse les "experts" européens d'avoir organisé une crise en Europe. Pas la financière, mais, l'autre, celle des délocalisations et des déserts d'emplois.
En nous servant la soupe d'un euro fort et en s'y maintenant contre vent et marées sous prétexte que l'euro fort signifiait la puissance européenne.
Ils savaient que les produits européens ne seraient plus concurrentiels face à un dollars faible.
Donc, crise de la compétitivité.
Ce qui signifie, vague de licenciements à travers l'Europe et délocalisation en masse.
Ce qui, effet collatéral, par réduction des cotisations, mise à mal des services sanitaires et de protections sociales.
Donc, moins de remboursements par la sécu et précarisation accélérée dans les services de santé.

J'accuse également les industries chimiques, pharmaceutiques, de l'agro-alimentaire de nous faire ingurgiter des molécules nuisibles à notre santé et de participer au niveau de leur influence à couper drastiquement dans les politiques sociales.
Ils nous rendent malades et nous retirent les aides pour nous soigner.

J'accuse encore les experts des agences de santé publiques en occident d'être inféodés aux industries au dessus cités et d'avaliser des études et des expertises produites par ceux par lesquels ils touchent des prébendes. Comme les agences européennes de sécurité alimentaire et  sanitaire dont les membres pour la plupart travaillent pour les industries dont ils ou elles doivent surveiller les produits proposés pour la consommation ou les soins.

J'accuse Bruxelles de ne travailler que pour la finance et les multinationales contre les intérêts des citoyens. Je récuse cette Europe, si, chère à Attali, cette Europe destructrice de la santé et des services publics.  De cette Europe là, nous n'en voulons plus, même, si, en tant que dirigeant de la BCEf, il en a bien profité.

Question : "Quand ces gens là seront jugés et finiront à pourrir en prison, comme, ils nous pourrissent notre santé ?

Evidemment, il ne faut pas parler de complot.

A bientôt.
René.

PS : Regardez-le, il a la tête ailleurs. Comme, si, il était préoccupé par autre chose au point qu'il ne soit pas capable de remarquer qu'il tenait le livre à l'envers.
Mais, par quoi pouvait-il être préoccupé, juste avant qu'on lui annonce que les Twin Towers avait été attaquée ?

Vous avez dit à l'envers ?! (mardi 11 septembre 2001)

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