samedi 8 septembre 2012

Salut, aux filles mères, bientôt sans ressources. Il nous pousse à nous révolter en ayant préparé les armes de la répression pour nous la faire fermer une bonne fois pour toute !

Bon, je suis d'accord mes chers cinq lecteurs, c'est la crise. Sauf que, la crise aura atteint son summum lorsque la société qui fabrique les poupées barbies aura déposé son bilan.
Mais, passons, comme, je ne fais que le dire, nos élus nous prennent pour des cons au risque de mettre notre santé en danger.
Et, ils le font pour tout, même pour les plages.

(source : Beurk.com)
1 280 plages disparues des listes

européennes entre 1997 et 2007


La fondation Surfrider lutte contre toutes les agressions du littoral européen (dégradation, artificialisation, pollution). Elle veut comprendre pourquoi des plages en Europe disparaissent des listes officielles des zones de baignade, contrôlées par la commission européenne, sans aucune justification. Erreurs, oublis volontaires ou involontaires… méthode illégale de certaines communes pour cacher des plages polluées ?
1 280 plages disparues des listes européennes entre 1997 et 2007

Des plages réelles qui n’existent pas

Parmi les quelques 1 280 plages disparues en Europe pendant la dernière décennie, 151 sont françaises indique l’enquête présentée fin juin par la fondation Surfrider. Cette étude porte sur le délistage des plages en Europe et leur retrait volontaire ou non des listes officielles des zones de baignade. Ces plages échappent ainsi aux contrôles sanitaires des états et de l’Europe, évitant le déclassement pour mauvaise qualité des eaux. Mais avant de publier la liste des plages concernées, la fondation Surfrider souhaite faire toute la lumière sur les conditions officielles de suppression des listes. Les conclusions de l’enquête sont attendues pour l’automne 2012.

Contourner la réglementation

Lorsqu’une zone de plage n’est plus inscrite comme zone de baignade, les réglementations en vigueur concernant la qualité des eaux de baignade ne s’appliquent plus. Pour contourner l’obligation de contrôle, certaines municipalités dé-listent volontairement leurs plages en cas de pollution. Les usagers de la plage ne sont donc plus informés. Pourtant, en cas de pollution, c’est strictement interdit. Olivier Barrière, conseiller Environnement chez Surfrider Europe précise :
« La réglementation n’autorise pas une fermeture définitive pour problème de contamination. Le gestionnaire a pour obligation d’engager un certain nombre de travaux pour améliorer la qualité des eaux littorales ».

Plage fantôme dans le Pays basque

Dans le Pays basque, connu pourtant pour la qualité de ses plages et les efforts faits pour lutter contre la pollution, l’une des plus belles plages a disparu des listes. À Bidart, la plage Ouhabia n’est plus, alors que sa fréquentation est très importante. Lors d’une interview sur les ondes de France Info le 6 juillet dernier, Christian Barrague, adjoint au maire, ne comprend pas. Ouhabia est une plage ouverte et surveillée. L’élu reconnaît cependant qu’après des orages et des fortes pluies, la rivière qui se déverse dans l’Océan est source d’une pollution bactériologique importante.
La côte basque met pourtant tous les atouts de son côté pour l’amélioration des eaux de baignade. L’économie locale, avec le tourisme de plage, en dépend énormément.

Nouvelle directive européenne en 2015

Les prochaines normes européennes concernant la qualité des eaux, applicables à partir de 2015 serontquatre fois plus sévères que celles actuellement appliquées. 2015 c’est demain et de nombreuses communes littorales en Europe n’auront pas pris le temps de rendre compatible les eaux de baignade avec ces nouvelles normes. De nombreuses autres plages ou sites de baignades pourraient alors encore être radiées pour ne pas subir les sanctions de la Commission européenne.

Pour en savoir plus, lire le rapport « Etude des dé-listages de plages en Europe » réalisé par la Surfrider Fondation Europe qui détaille les dé-listages pays par pays.


Eh, oui, décidément, nos élus n'en ont rien à "foutre" de notre santé. Sans doute, le font-ils pour favoriser les commerçants. Comme, le gouvernement américain le fait pour favoriser les compagnies d'exploitation de gaz de schiste, les places financières, les grandes banques tentaculaires et j'en passe et des meilleurs.
A mon avis, les élus devraient plutôt travailler sur la pollution des entreprises, des agricultures et exiger une amélioration des centres de traitement des eaux par les compagnies des eaux.
Ah, oui, c'est vrai, suis-je bête, les compagnies des eaux leur accordent des avantages qui ne sont pas forcément rendus publics.
Mais, ce n'est pas de la corruption, juste un gentleman agreement entre gens de bonne compagnie.
D'ailleurs, sur ce type de sujet "Nos élus n'ont rien à cacher", on peut continuer sur le nucléaire qui selon le gouvernement socialiste ne présent aucun risque et, pourtant !

(source : Monde Planète)


Des micro-fissures sur les cuves de dix réacteurs nucléaires français

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A l'initiative de l'Agence fédérale de contrôle nucléaire belge (AFCN), des représentants des autorités de sûreté nucléaire de sept autres pays européens (France, SuisseSuèdePays-BasAllemagneEspagneRoyaume-Uni), ainsi que des Etats-Unis, se sont réunis jeudi 16 août à Bruxelles.

Ils doivent examiner la situation de la cuve du réacteur numéro 3 de la centrale de Doel, près d'Anvers, où des milliers de possibles fissures ont été découvertes. Ils devraient se revoir en octobre, quand les résultats d'analyses complémentaires effectuées en Belgique seront disponibles.
Ces pays avaient été invités car certains d'entre eux possèdent des réacteurs - une vingtaine au total - dont la cuve, comme celle de Doel 3, avait été fournie, il y a une trentaine d'années, par le groupe néerlandais Rotterdamsche DroogdokMaatschappij (RDM), aujourd'hui disparu.
A l'issue de cette réunion, le patron de l'AFCN, Willy De Roovere, a dévoilé l'étendue des "potentielles fissures" détectées en juin et juillet sur la cuve de Doel 3 : elles seraient au nombre de 8 000 et d'une taille d'environ 20 mm.
Ces défauts sont situés dans la masse des cylindres d'acier formant la cuve abritant le cœur du réacteur. Ils sont, selon toute vraisemblance, présents depuis la fabrication de l'acier brut par le groupe allemand Krupp (aujourd'hui ThyssenKrupp) ou sont apparus au moment du forgeage des cylindres par RDM.
Selon M. De Roovere, ces fissures, détectées par capteurs à ultrasons, sont presque parallèles aux parois des cylindres. Elles présentent donc moins de risques pour la solidité de la cuve que si elles étaient perpendiculaires aux parois. Mais leur grand nombre "crée un sentiment de malaise", souligne le directeur de l'AFCN.
LA MOITIÉ DES FISSURES À LA CENTRALE DE TRICASTIN
A l'arrêt jusqu'au 30 septembre, Doel 3 ne sera autorisé à redémarrer que si Electrabel, l'exploitant de la centrale, filiale du groupe français GDF Suez, parvient à convaincre les experts qu'il n'existe aucun risque que ces anomalies se transforment en véritables fissures, par lesquelles de l'eau de refroidissement pourrait s'échapper, mettant à nu le réacteur.
"Ce sera difficile à prouver", a averti M. De Roovere, qui juge la date du 30 septembre peu réaliste et se dit "sceptique" quant à l'avenir de ce réacteur de 1 000 mégawatts. Il a aussi écarté l'hypothèse d'une réparation ou d'un changement de cuve.
L'autorité de sûreté belge a également révélé que c'était suite à la découverte, en 2004, de fissures sur les cuves de réacteurs français, notamment au Tricastin (Drôme), que la Belgique avait décidé de planifier des contrôles plus poussés de ses centrales.
De fait, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) française fait état, dans une note de novembre 2010 - passée inaperçue - de la détection, depuis 1993, de 33 "défauts sous revêtement" (des fissures situées sous le revêtement interne en acier inoxydable) sur les cuves de 10 réacteurs.
Plus de la moitié d'entre elles (17) affectent le réacteur 1 de Tricastin, les autres se trouvant sur les réacteurs de Fessenheim 1 et 2, Chinon B-3, Gravelines 6, Blayais 2, Dampierre 3, Saint-Laurent B-1 et B-2.
"Les défauts découverts jusqu'à aujourd'hui ne dépassent pas une dizaine de millimètres de hauteur", indique l'ASN, qui estime qu'ils "ne sont pas comparables à ceux détectés à Doel 3". Un contrôle supplémentaire, entre les visites décennales réglementaires, a néanmoins été décidé pour Tricastin 1.
Greenpeace s'étonne de la "différence d'approche" entre les autorités de sûreté française et belge, la première considérant que "ces micro-fissures ne sont pas nocives", tandis que la seconde envisage, si ses craintes se confirment, de fermerdéfinitivement deux des principaux réacteurs du pays.


Et, tout cela n'est pas étonnant, comme; il n'est pas étonnant que l'Europe nomme un "ancien" de Golman Saches à la tête de la BCE (banque centrale européenne).
Comme, il n'est pas étonnant qu'il ne se gène pas pour déclarer publiquement là où il veut entraîner les citoyens européens.




Alors, après, toutes ces nouvelles affriolantes, je vous souhaite, mes chers cinq lecteurs, bien le bonjour chez vous.
René.

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