Salut à tous les petits jardiniers de France. L'Europe cherche à vous dépouiller et s'attaque à votre santé !
Je lance ici, mes chers cinq lecteurs, un appel solennelle aux personnes possédant un compte courant ou possédant une porte feuille d'investissement dans les banques qui spéculent sur les marchés à terme des matières premières agricoles à quitter lesdites banques et à aller ailleurs.
Pour qu'au moins, vous ne participiez à ces opérations financières qui vont déclencher des famines un peu partout dans le monde et empêcher les organisations internationales d'intervenir, vu que les prix seront trop élevés.
Ces banques condamnent des gens à mort !
Nous ne devons pas les laisser faire !
Parce qu'ils en existent qui se refusent à la roulette de la mort.
La mobilisation doit être citoyenne, massive et internationale.
Dénoncez ces banques,maintenant, afin que leurs clients les quittent !
(source : les Echos.fr)
Bon, à part ce cri d'indignation, je me demande toujours au sujet de la main mise des semenciers et des multinationales sur notre droit à planter ce que nous voulons dans notre jardin, qu'elle est l'arnaque qui se dissimule là-dessous.
Eh, bien, je crois, d'après mon expérience sur les graines de semenciers et leurs plants, que j'ai compris.
Bon, les graines, vu la pluie, elles ont pourris en terre.
Les plants de Gamme vert ou Truffaut à Saint Denis, c'est la même. Une fois en terre ont donné le change tant qu'ils se nourrissaient de l'engrais chimique contenu dans leur motte.
Après, ils végétaient.
J'ai donc arraché une motte qui végétait. En fait, les racines ne s'étaient pas développés, comme ci au contact de la terre de mon jardin, elles s'étaient rétractés devant un terrain hostile.
Donc, s'est resté une plante riquiqui.
Alors, question, pourquoi ?
Simple, au fond, je n'utilisa pas d'engrais chimique et d'ailleurs pas encore d'engrais naturel.
Alors, si, vous m'avez bien compris mes chers cinq lecteurs, ses graines, plants sont demandeurs d'engrais chimiques pour s'épanouir. Autrement, simple, ils ne poussent pas.
Ce fut le cas pour les courges, les cornichons, les poivrons, les choux fleurs, les poireaux, la citrouille. Ce qui a poussé venaient de graines kokopelli ou de plants achetés directement sur le marché.
Donc, en fait les semenciers et les "experts européens", en toute connaissance de cause nous pousse directement dans les bras de l'industrie chimique.
Ceci est un vrai "CRIME CONTRE L'HUMANITE !"
Et, je le dénonce haut et fort.
A quand le jugement des coupables ?
A quand le jugement de ces fameux experts européens ?
Sommes-nous obligé, tels des esclaves d'accepter et de baisser la tête ?
Non, car, ils nous mentent et manoeuvrent pour que des industries prédatrices s'engraissent au dépend de notre santé !
Ils le savent !
Alors, la question est :" Comment sont-ils récompensés ?"
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
Je lance ici, mes chers cinq lecteurs, un appel solennelle aux personnes possédant un compte courant ou possédant une porte feuille d'investissement dans les banques qui spéculent sur les marchés à terme des matières premières agricoles à quitter lesdites banques et à aller ailleurs.
Pour qu'au moins, vous ne participiez à ces opérations financières qui vont déclencher des famines un peu partout dans le monde et empêcher les organisations internationales d'intervenir, vu que les prix seront trop élevés.
Ces banques condamnent des gens à mort !
Nous ne devons pas les laisser faire !
Parce qu'ils en existent qui se refusent à la roulette de la mort.
La mobilisation doit être citoyenne, massive et internationale.
Dénoncez ces banques,maintenant, afin que leurs clients les quittent !
(source : les Echos.fr)
BOURSE
Sous la pression des ONG, plusieurs banques renoncent à spéculer sur les matières premières
Des établissements allemands et autrichiens ont récemment renoncé à investir dans des fonds agricoles, alors qu'ils étaient vivement critiqués par des organisations comme Foodwatch ou Oxfam.
Sur le même sujet
Sous la pression des ONG, plusieurs banques
européennes ont levé le pied sur les marchés des matières premières
agricoles. Souvent pour des questions de réputation. Dernière en date,
la banque autrichienne Volksbanken a annoncé la semaine dernière qu'elle
renonçait à investir dans des fonds agricoles ou à en proposer à ses
clients. Au cours des mois précédents, en réponse aux critiques de
nombreuses ONG, la deuxième banque allemande, Commerzbank, les banques
régionales Landesbank Baden-Württemberg et Landesbank Berlin, ou
Dekabank, à la fois gestionnaire d'actifs et banque d'investissement,
ont pris la même décision. La Deutsche Bank a, quant à elle, déclaré en
mars qu'elle ne lancerait plus de nouveaux produits indexés sur le cours
des matières premières, mais qu'elle maintiendrait son offre existante.
Le marché des matières premières est sous haute tension depuis la
flambée du cours des céréales cet été. « La sécheresse aux Etats-Unis et
en Russie est la première responsable de la hausse généralisée des
matières premières, explique Thilo Bode, président de Foodwatch. Néanmoins, la spéculation financière amplifie gravement cette flambée des prix. »
L'Oxfam tire ainsi le signal d'alarme sur la « financiarisation
de plus en plus importante des matières premières depuis un certain
nombre d'années, qui risque de créer de sérieuses distorsions ».
Les organisations humanitaires craignent que cette hausse des prix engendre une crise alimentaire.
D'après une étude de l'Oxfam, les institutions
financières allemandes ont engagé au total des investissements de
11,4 milliards d'euros sur le marché des matières premières en 2011. Un
montant multiplié par 4 depuis 2008. L'assureur Allianz et la Deutsche
Bank sont, de loin, les plus impliqués sur ce marché en Allemagne avec
respectivement, en 2011, 6,2 et 4,6 milliards d'euros investis. Epinglé
par l'ONG, Allianz n'a pas donné de suites.
Anticipation
Ces initiatives sont une « bonne nouvelle », relève Marc Olivier Herman du bureau belge d'Oxfam. « C'est
la preuve que certaines banques prennent leurs responsabilités et
reconnaissent publiquement que la financiarisation des marchés agricoles
pourrait avoir des effets indésirables. »
« Ces banques ont décidé d'appliquer le principe de précaution en arrêtant leurs activités liées aux matières premières »,
renchérit Thilo Bode de Foorwatch. Ces établissements pourraient aussi
avoir anticipé la révision de la directive sur les Marchés d'instruments
financiers (MiFID), programmée par la Commission européenne. Le nouveau
texte vise à instaurer des déclarations de positions par opérateur sur
les marchés de dérivés de matières premières et à imposer des limites en
cas de perturbations de ces marchés. Les ONG espèrent que cette
directive sera adoptée d'ici à la fin de l'année.
De nombreuses grandes
banques sont très actives sur le marché des contrats à terme agricoles.
Malgré les pressions des organisations, elles n'auraient cependant pas
l'intention de suivre le même chemin que les établissements allemands et
autrichien. « Les grands acteurs britanniques sur les marchés des matières premières n'ont montré aucun signe d'ouverture », concède Robert Nash, consultant chez Oxfam au Royaume-Uni. Il ajoute : « Les
banques britanniques bénéficient de plus de couverture de la part des
politiques et la spéculation sur les marchés agricoles est plus
profondément ancrée dans la culture bancaire anglo-saxonne. »
Bon, à part ce cri d'indignation, je me demande toujours au sujet de la main mise des semenciers et des multinationales sur notre droit à planter ce que nous voulons dans notre jardin, qu'elle est l'arnaque qui se dissimule là-dessous.
Eh, bien, je crois, d'après mon expérience sur les graines de semenciers et leurs plants, que j'ai compris.
Bon, les graines, vu la pluie, elles ont pourris en terre.
Les plants de Gamme vert ou Truffaut à Saint Denis, c'est la même. Une fois en terre ont donné le change tant qu'ils se nourrissaient de l'engrais chimique contenu dans leur motte.
Après, ils végétaient.
J'ai donc arraché une motte qui végétait. En fait, les racines ne s'étaient pas développés, comme ci au contact de la terre de mon jardin, elles s'étaient rétractés devant un terrain hostile.
Donc, s'est resté une plante riquiqui.
Alors, question, pourquoi ?
Simple, au fond, je n'utilisa pas d'engrais chimique et d'ailleurs pas encore d'engrais naturel.
Alors, si, vous m'avez bien compris mes chers cinq lecteurs, ses graines, plants sont demandeurs d'engrais chimiques pour s'épanouir. Autrement, simple, ils ne poussent pas.
Ce fut le cas pour les courges, les cornichons, les poivrons, les choux fleurs, les poireaux, la citrouille. Ce qui a poussé venaient de graines kokopelli ou de plants achetés directement sur le marché.
Donc, en fait les semenciers et les "experts européens", en toute connaissance de cause nous pousse directement dans les bras de l'industrie chimique.
Ceci est un vrai "CRIME CONTRE L'HUMANITE !"
Et, je le dénonce haut et fort.
A quand le jugement des coupables ?
A quand le jugement de ces fameux experts européens ?
Sommes-nous obligé, tels des esclaves d'accepter et de baisser la tête ?
Non, car, ils nous mentent et manoeuvrent pour que des industries prédatrices s'engraissent au dépend de notre santé !
Ils le savent !
Alors, la question est :" Comment sont-ils récompensés ?"
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire