samedi 6 mars 2010

Salut, les messieurs,dames de la légion d'honneur. Entre nous, est-ce qu'il reste une signification à cette décoration pour servir les petits copains ?

Et, voilà, dans le monde de la came, tout évolue toujours. Les drogués trouvent toujours un nouveau truc pour mieux se détruire. Je vous laisse lire cet article sur la nouvelle mode en Afrique de l'est.

(source : Irin News sur le net)

La technique du partage de sang est encore plus risquée que le partage de seringues pour la transmission du VIH
MOMBASA, 26 février 2010 (PlusNews) - Amina* et Rajab*, dans la mi-vingtaine, passent la majeure partie de leurs journées à se défoncer à l’héroïne. Lorsqu’elle n’a plus d’argent, Amina s’injecte le sang de Rajab juste après qu’il s’est piqué pour obtenir une dose indirectement.

(...)Selon des responsables du gouvernement et des ONG à Mombasa, la pratique du partage de sang, communément appelé « flash blood », est de plus en plus courante dans cette ville.

(...)Selon le dernier plan stratégique national de lutte contre le VIH/SIDA (KNASP), la consommation de drogues injectables est responsable de près du tiers des nouvelles infections au VIH dans la province de la Côte, et de 3,8 pour cent des nouvelles infections à l’échelle nationale.

Risque élevé

La technique du partage de sang aurait d’abord été utilisée en 2005 chez les travailleuses du sexe qui s’injectaient de l’héroïne à Dar es Salaam, la capitale commerciale de la Tanzanie, dans l’est de l’Afrique.

« Il s’agit d’un nouveau phénomène qui représente, dans un sens, une variante encore plus dangereuse du partage de seringues, car le risque de transmission du VIH est encore plus élevé », a écrit, en 2005, Sheryl McCurdy, de l’université du Texas, dans une lettre adressée au British Medical Journal. « Si le premier consommateur est porteur du VIH ou de l’hépatite C, la quantité de virus transmise directement dans le sang du second consommateur peut être assez importante ».

D’après une étude réalisée en 2009 par l’ONG Darat HIV/AIDS International Agency sur plus de 100 consommateurs de narcotiques de Mombasa - des consommateurs de drogues injectables, pour la plupart -, la technique du partage de sang serait une cause probable des taux élevés de VIH et d’hépatite C – 50 pour cent et 70 pour cent, respectivement – qui ont été observés chez les participants. Tous ceux qui ont été diagnostiqués séropositifs étaient des consommateurs de drogues injectables".

Et, ben, mon petit bonhomme, on peut pas dire les camés ne font pas preuve d'imagination pour satisfaire leur addiction. Et, tout ça, parce que les commerçants de la drogue ont développés de nouveaux marchés partout. Les pays de passages sont devenus des pays de consommation. Et, les trafiquants divers s'achètent des hôtels, corrompent les dirigeants, la police et l'armée et créent de nouveaux pays voyous qui en plus siègent à l'ONU.
On peut dire qu'en Afrique, les narco trafiquants réussissent mieux qu'au Mexique avec moins de morts pour le moment. Vous, voulez une liste mes chers trois lecteurs. Eh, bien non, vous ne l'aurez pas.
Mais, pensez bien que dans cette liste vous pouvez intégrer des pays du pré carré français. Et, les pays du pré carré français ont des relations politiques privilégiées avec des politiques privilégiés de notre beau pays.
Alors, à mon avis, le gouvernement ferait bien de surveiller tout ça parce que la corruption est insidieuse et parfois, elle est tellement limite qu'elle en devient publique.
Il n'y a qu'à voir, la commission qui s'est occupé de l'autorisation de l'introduction d'une OGM en Europe. Et, ben, certains des experts ont des liens directs avec les industries concernés. Tellement d'ailleurs qu'une expert siège dans le conseil d'administration de l'une de ses industries.
Et, cette dame ose affirmer que cette situation n'influence en aucun cas sa capacité à prendre une décision indépendante.
Décidément, cette Europe pose question.
D'ailleurs la première étant son incapacité à mettre en place une commission d'enquête sur les relations de ses experts et des élus avec les industries dont ils se font les chantres.
Ne doivent-ils pas être neutres ces experts ou ces élus ?
Parce qu'il me semble que le peuple, donc les gens qui les ont élus, les ont justement élus pour les défendre et non défendre des industries qui au final leur nique leur santé.
Alors, j'exige que la justice passe sur les commissions de la CEE et sur l'assemblée des élus qui nous laisse pour des pauvres merdes §
Des fois, je me dis que les mecs d'Action Directe se sont trompés d'époque et de cible. Mais, ça, c'est quand la colère parlent. Parce qu'il faut le dire nos élus ne nous défendent plus à Bruxelles. Ils se laissent manipuler par les experts. Experts qui ne sont pas tous pourris, je vous l'accorde, mais, il y a quand même pas mal de décisions qui posent questions. Et, c'est là qu'il faut enquêter.
Même, les écolos ne peuvent que constater à Bruxelle, la puissance des lobby et la puissance de leur inefficacité. En tout cas, en envoyant des vrais militants à Bruxelles, ils nous les ont retirés sur le terrain et ça, ça manque.
Pas Cohn Bendit, on se tape. Mais, eux, oui, ils manquent sur le terrain !
Mais, c'était ça aussi le but de prendre des têtes d'affiche pour faire un carton aux élections européennes.
Par contre, la refaire pour les régionales en France avec celles qui restent, ça me provoque aucun enthousiasme, vu, justement celles qui restent.
Bon, c'est tout pour aujourd'hui !
Après tout, j'a assez craché mon veni et surtout parce que je suis en colère à cause de cette OGM allemande qui ouvre la route à Mosanto.
A bientôt.
René.

Aucun commentaire: