jeudi 5 juin 2008

L'esprit n'est jamais né. L'esprit ne cessera jamais. Et il n'y eut pas de temps où il n'était pas. Fin et commencement sont des rêves. Proverbe sioux

Salut aux compagnons du coquelicot, le marasme mental atteint le niveau critique.

Nul part où aller sans que ne se pose cette question insidieuse qui me taraude le cervelet, "A quoi, sommes-nous destinés en tant qu'espèce humaine ?"
Sérieux, parce que si c'est pour se contenter de notre planète, il y a de quoi prendre le cafard. Et, entre-nous l'ambition dans nos organisations sociales, ça me peine, parce que cela nous éloigne des étoiles, atteint notre karma et nous empêche de nous distancer d'un monde de paraître.
Nous ferions bien de nous organiser en communauté de pensée pour condenser notre énergie afin qu'elle atteigne à la création.
Au lieu de ça, nous nous battons au nom de valeurs dont le patronyme est dieu. Qu'il soit d'argent, de pouvoir ou religieux ou simplement mesquinement de domination de l'autre.
Oui, voilà, pourquoi, nous nous battons.
Et, parce que notre ambition en tant qu'humanité est à courte vue, d'autant nous subirons l'unique loi d'airain, celle de notre destruction (Point final).
Alors, qu'est-ce que vous en pensez ?
Aujourd'hui, je commence fort, ne croyez-vous pas ?
A moins que je n'ai plus rien à dire sur ce monde dont la pauvreté intellectuelle me sidère et me peine à la fois.
Même de la poésie, il ne nous reste rien !
Bon, voilà que je recommence, c'est toujours comme ça, quand je commence un délire, je ne sais jamais m'arrêter.
A part peut-être, dire que le bon dieu nous a envoyé trois plaies et qu'il nous en reste quatre à vivre. La première étant plaie d'argent, la deuxième, la famine et la troisième, les catastrophes naturelles.
Quant-aux quatre autres à venir, alors, là, j'avoue que je sèche. Peut-être des pluies acides pour la quatrième, une apparition de nouveaux virus pour la cinquième, des guerres civiles pour la sixième et une grave perte de la foi pour la septième.
Donc, voilà, brosser un tableau bien sombre, sauf que, c'est lorsque que l'on a touché le fond qu'on remonte, qu'on rebâtit un nouvel ordre social et qu'on se refait la même.
En tout cas, en France, nous pouvons être sûr d'une chose, les forces de l'ordre se mettront du côté des émeutiers vu leur faible niveau de salaire. "Tous unis ! Tous unis !"
Sauf que, sauf que, parfois, j'en ai marre de raconter des conneries. Mais, tant que Ben Laden en pondra quarante à la minute, je continuerais de raconter les miennes.
Néanmoins, il faut souligner la performance d'Obama puisque Hilary Clinton a jeté l'éponge. Perso, ma position était motivée par la pensée que l'amérique ne voterait pas pour un président noir, vu que la majorité de l'électorat est républicain. A moins qu'il n'y ait un ticket Obama-Clinton. Là, je commencerais à y croire étant donné que le candidat républicain est un vieux monsieur qui risque de casser sa pipe à tout moment. Cependant, je ne pense pas que cela sera le choix d'Obama.
Bon, à part ça, quid sur la planète ?
Ah,si, l'école a rouvert dans la zone sinistrée en Birmanie. Beaucoup d'enfants n'ont pu rentrer à l'école parce que leurs parents n'avaient pas d'argent pour assumer les frais d'inscription.
On aurait pu penser que le gouvernement birmans les en aurait exonérer.
Nada ! Pas ça ! Pas un pet de lapin ! Pas un fifrelin !
On se demande à quoi sert l'argent que Total leur verse, à part à se construire des palais dans leur nouvelle capitale ?
Peut-être à sucrer les fraises ?
Et, sur ces bonnes paroles beurrées au fiel, je vous souhaite bien le bonjour chez vous. Et, n'oubliez pas, "No Passaran !", les salauds qui nous veulent du mal.
René.

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